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Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

Publié le mercredi 2 octobre 2019 à 16h40min

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Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

Coris Bank International et M. Idrissa NASSA, font l’objet d’accusations sur les réseaux sociaux relativement à des activités de trading, avec en prime une publication datée du 30/09/2019 et intitulée « lettre ouverte au PDG de Coris Bank International, M. Idrissa NASSA ».

Sur fond d’allégations purement mensongères et incohérentes, ces publications portent à l’encontre de notre Institution et de son Président des accusations graves qui appellent de notre part des observations.

Notre démarche s’inscrit dans le but de rassurer l’opinion publique qui de bonne foi pourrait être affectée par ces diffamations dont le seul objectif est de ternir l’image de notre Institution bâtie à la sueur d’hommes et de femmes qui, au prix de mille sacrifices, lui ont donné sa notoriété et en ont fait la fierté de tout un pays tant au plan national qu’international.

Sans s’attarder sur nombre de points évoqués dans cette soi-disant « lettre ouverte », qui traduisent la méconnaissance par son auteur du monde de la finance et de son fonctionnement, nous réfutons ces affirmations tendant à faire croire à un intérêt quelconque de Coris Bank International et de M. Idrissa NASSA pour le rachat ou la prise de participations dans une quelconque société de trading. Ces affirmations sont purement fausses et mensongères.

Notre institution et son Président ne sont mêlés ni de près ni de loin à la situation que vivent les sociétés dites de trading au Burkina Faso et aucune de ces sociétés n’a son compte bloqué dans notre réseau.

L’ensemble des activités du Groupe Coris sont réalisées dans le strict respect de la règlementation nationale et sous régionale régissant le secteur financier.

A titre de précision, la société de gestion et d’intermédiation Coris Bourse, a été agréée par l’autorité de tutelle, le Conseil Régional de l’Epargne Public et des Marchés Financiers (CREPMF) sous le numéro SGI/2010-02 et a débuté ses activités en octobre 2010 et non dans le contexte évoqué par les auteurs, preuve d’un amalgame innocent ou intentionnel dont l’objectif est de porter atteinte à l’honneur du Groupe Coris.

En rappel, dans une interview accordée au journal en ligne Lefaso.net le 12/05/2019, le Président de l’Association Professionnelle des Banques et Etablissements Financiers du Burkina (APBEF-B) a donné la position du système bancaire sur le sujet à la suite d’un communiqué du CREPMF du 07/05/2019.

En tout état de cause, nous nous réservons le droit de saisir les autorités judiciaires compétentes conformément aux lois en vigueur dans notre pays quant aux suites à donner à cette affaire.

Le service communication

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Vos commentaires

  • Le 2 octobre 2019 à 17:51, par Sacksida En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    A vrai dire, apres lecture de cette lettre ouverte d’un jeune Burkinabe depuis la Tunisie, j’ai eu un peu un pincement au coeur par parce qu’il apparait tout a fait invraisemblable que le PDG de Coris Banque puisse etre la cause des malheurs de cette activite de "Trading" ou si vous voulez des manoeuvres financieres. Rappelez vous de la crise des subprimes au Etats Unis en 2008 ou l’abondance de credit et la recherche effrenee du profit par des operations successives. En tout etat de cause, je suis de ceux qui conseilleraient aux jeunes entrepreneurs Burkinabe de s’investir plutot dans l’economie reelle et de faire leur petit bonhomme de chemin ; car le secteur du Trading est expose a des dereglementation dont nous ne tenons pas les manettes. Courage et Salut.

    • Le 3 octobre 2019 à 07:30, par de rien En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

      à vrai dire vous ne savez donc pas qui est véritablement le pdg de coris.

      • Le 8 octobre 2019 à 00:10, par Dominique Konditamde En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

        " Malheur à celui qui bâillonne son peuple " disait notre cher président feu thomas sankara . Aujourd’hui monsieur NASSA se croit toujours le plus fort et le plus craint de ce Burkina Faso qui appartient à nous tous, Il oublie que nous sommes au 21ème siècle et que les choses ont beaucoup évolué , le vrai anarque vient des banques car il y’a peu de qui ne traident de nos jours avec l’argent du client. Le traiding est une activité légale qui existe depuis la fin des années 1800 bien que comportant des risques énormes pour qui n’est pas un professionnel . Même si les sociétés disparaissent actuellement, les banques ont déjà perdu la bataille car la jeunesse est consciente et éclairée

    • Le 4 octobre 2019 à 14:14, par Just The Truth En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

      Je vous invite à lire attentivement ce qui suit. Vous verrez la différence. On est en train de faire croire à cette jeunesse Burkinabè et africaine que pour réussir, "il faut casser goudron", c’est à dire il faut beaucoup souffrir. Le trading et bien d’autres opportunités méconnues nous prouvent le contraire.

      Le marché des « subprimes » est constitué de prêts risqués qui peuvent être hypothécaires (immobiliers ou rechargeables), des cartes de crédit, de la location de voitures et autres, accordés à une clientèle peu solvable (c’est-à-dire sans revenu fixe, situation professionnelle ou patrimoine fixe) ou à l’historique de crédit difficile. Ce marché s’est largement développé aux États-Unis à partir de 2001, passant d’un montant de 200 milliards de dollars pour les prêts hypothécaires en 2002 à 640 milliards de dollars en 2006. Ce montant représentait 23 % du total des prêts immobiliers souscrits1.
      Les emprunteurs à risque peuvent contracter un emprunt immobilier sur ce marché, moyennant un taux d’intérêt révisable généralement indexé, majoré d’une « prime de risque » pouvant être très élevée. Typiquement, les premières années du prêt (1, 3 ou 5 en général) sont couvertes par un taux d’intérêt fixe promotionnel qui devient ensuite variable. Les gens (surtout aux États Unis) avaient la possibilité d’emprunter jusqu’à 110 % de la valeur de l’immeuble objet du prêt, d’avoir la possibilité de ne rembourser que la partie intérêt de leur mensualité, un intérêt d’ailleurs entièrement déductible d’impôts.
      Les causes de cette crise sont imputées à la Federal Reserve Bank, qui a pratiqué entre 2003 et 2004 des taux directeurs faibles, puis a décidé un rehaussement brutal de ces taux. Les taux d’intérêt bas ont incité à l’emprunt, aussi bien qu’à la recherche par les prêteurs de suppléments de rémunération, obtenus par le développement de prêts risqués à des emprunteurs peu solvables, avec des taux d’intérêt plus élevés.
      Vous voyez d’abord qu’ici les Subprimes sont des prêts ce qui est différent du Trading qui est un investissement. Avec les Subprime, j’emprunte de l’argent et je rembourse un peu un peu comme on dit chez nous avec des intérêts. Par contre, avec le Trading, j’investis mon argent que je récupère un peu un peu avec des intérêts qui me reviennent, contrairement au prêts où les intérêts reviennent à celui qui qui m’a prêté l’argent. Enfin, comme vous l’aurez compris à travers mon écrit, c’est encore l’intervention de l’Etat américain (comme dans notre cas au Burkina Faso actuellement) qui a créé la crise. Les taux d’emprunt étaient bas, beaucoup ont emprunter et après l’Etat décide d’augmenter ces mêmes taux. Du coup difficile pour les emprunteurs de payer.

      • Le 9 octobre 2019 à 10:02, par Koumabanna En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

        Bien dit monsieur vous avez vu juste sur cette question... Mais j’ai vraiment mal pour ce Burkina Faso qui est mon pays franchement j’ai honte d’être Burkinabé...Pendant que le Ghana juste à côté incite les jeunes à Trader, ici au Faso on gèle les comptes des sociétés de trading. Une des sociétés dont je terrai le nom payait comme intérêts à ses investisseurs par mois pas moins de 1.5 milliards de Fcfa et près de 30 millions de masse salariale. Donc on dit stop au trading et la suite combien de gens iront au chômage, ? combien de famille souffre du non paiement de leur retour sur investissement ? Très honnêtement le PF devra prendre au sérieux cette histoire pour apaiser les cœurs car beaucoup de jeunes souffrent et c’est grâce à cette même jeunesse qu’ils sont au pouvoir. A bon entendeur salut...

  • Le 2 octobre 2019 à 18:13, par Yacouba En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Il n’y a rien d’étonnant.
    Dans ce pays, qui a déjà reconnu son implication dans un problème, aussi évident qu’il soit ? Et qu’est ce que ce jeune homme ou les autres jeunes débrouillards qui ont investi dans le trading gagnent à salir l’image de Coris et de son PDG ?
    Netenons seulement qu’il n’y a pas de fumée sans feu. M.Nassa n’est ni le premier, ni le seul banquier du Burkina. Qu’il démente n’étonne personne car on est au Faso et on est habitué à ces genres de démentis. Des personnes pris en flagrant délit ont démenti leurs implications dans des fraudes, des assassinats ici. Des fois avec la bénédiction de la puissante justice du pays des hommes intègres. Mais qui vivra verra car le temps, lui ne ment jamais.

  • Le 2 octobre 2019 à 18:15, par Tapsoba issaka En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    M. NASSA j’ai une seule question pour vous qui est la suivante :Pourquoi les accusations n’ont pas porté sur autre personne et c’est au PDG de Coris ?
    Je suis désolé !

    • Le 3 octobre 2019 à 15:05, par nongba En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

      Bonne question. Je vais te donner la réponse.

      C’est parce que tout simplement, les accusateurs ignorent ou feignent d’ignorer que ce brave Nassa malgré l’immensité de son empire financier dans la sous région n’est :
      - Ni le Président de l’assemblée nationale qui adopte les lois votées du Burkina faso ;
      - Ni le Président du conseil des ministre de l’UMOA ;
      - Ni le gouverneur de la BCEAO,
      - Ni le Secrétaire général de la Commission Bancaire
      - Ni le Président de l’Autorité des marchés financiers qui édicte la règlementation des marchés financiers
      - Ni le procureur du Faso.
      - Ni le ministre de l’économie et des finances du Burkina.

      Tu sais mon brave petit Issaka Tapsoba nous avons de gros problèmes au faso, qui malheureusement me semble congénitaux :

      1- La jalousie maladive. La réussite d’un Burkinabè, au Burkina Faso, est toujours jugé suspecte et malsaine. Même la vielle mère qui prospère dans sa vente de benga le soir au quartier, tout simplement parce qu’elle a innové dans la qualité de service et l’assaisonnement et aussi qu’elle a donné du cœur à ce qu’elle fait, sera toute suite taxée de sorcière, de mélanger ses menstrues ou des restes humains à ses repas, de pratiques mystiques pour retirer les clients des autres vendeurs .... Résultats des courses : fausses rumeurs faillite de la pauvre dame

      2- L’ignorance et surtout le refus d’accepter cette ignorance et d’aller à la bonne école ou la bonne source d’information. Tu peux être sur d’une chose mon bon petit Issaka. Tous ceux qui réagissent en faveur de ces accusateurs ignorent ou ne savent qu’ approximativement de quoi ils parlent. Crois moi.

      Laisser ce Brave nassa tranquille, si vous ne voulez pas le soutenir pardon, faut pas le déranger

  • Le 2 octobre 2019 à 18:56, par Verite En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Ce n’est pas vrai. C’est bien CORIS BANK avec a sa tete Mr NASSA qui a porté plainte aupres du CENTIF contre ces vaillantes societes de trading qui se battent pour l’independance financiere pour tous. Et le comble c’est que la plainte Porte sur des accusations de blanchiment d’argent et de financement de terrorisme. Pourquoi une telle mechancete Mr NASSA ? Les investisseurs sont de pauvres populations qui aspirent a un mieux etre c’est tout et elles ont investi avec de l’argent gagné honnetement a la sueur de leur front. Ne soyez pas le boureau de vos propres freres et soeurs. Tout ce que nous voulons c’est le degele des comptes et la reprise des paiements.Je reste convaincu que vous ne pouvez pas rester insensible a la souffrance et a la detresse de centaines de milliers de personnes. Dieu touche votre coeur pendant qu’il est encore temps.

  • Le 2 octobre 2019 à 20:20, par O. E. KABORÉ En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Je ne sais pas le rôle que joue NASSA et sa banque dans cette affaire. Mais je suis sûr d’une chose : les banques de la place sont mal intentionnées et font la force aux investisseurs. si elles étaient objectives, elles devaient limiter leur rôle à l’information et à la sensibilisation. le reste ce n’est pas leur problème. j’ai mon argent et je suis libre de son emploi. si je mise et je perds c’est mon problème. elles m’auraient averti. point barre. il n’y a pas d’activité à but lucratif avec 0 risque. les commerçants ne tombent-ils pas en faillite ?
    vouloir forcer les gens à faire ce qu’elles veulent sous couvert d’un quelconque respect de la règlementation, c’est de la méchanceté, de l’égoïsme, de la jalousie. Dieu voit chacun et chacune et demeure le juge impartial

  • Le 3 octobre 2019 à 00:24, par Sidpawetta En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Ça fait maintenant presque 4 mois que ce problème de gele des comptes des sociétés de trading est posé et qu’elles n’arrivent pas à honorer leur engagement vis à vis des investisseurs. Les sociétés de trading rejettent la faute aux banquiers. Cette communication de sourd trouble les investisseurs. Il serait donc souhaitable d’organiser un débat télévisé entre les deux protagonistes pour éclairer le peuple. Parce que à ce rythme, une autre fissure sociétale est entrain de germer et ça risque fort d’exploser. Cette situation a fait beaucoup de désagréments sociaux. Le Burkina n’a pas besoin de ça. Rendez nous notre argent dans les meilleurs délais pour éviter le pire...

  • Le 3 octobre 2019 à 05:51, par Pascal En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Tout ça, c’est du bruit inutile. Je pense que les sociétés de trading devront sortir devant la presse pour nous expliquer ce qui se passe. Au lieu de tenir des réunions secrètes qui ne font pas avancer les choses. Nous voulons un débat public. On saura qui dit la vérité

  • Le 3 octobre 2019 à 07:06, par Drd En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Je me demande si vous avez des vertu du burkinbila zéro sûrement rien que vos intérêts que vous poursuivez. Sachez nous sommes plus de 50000 jeunes ayant investi dans le trading et nous n’aimerions pas ce soit vous l’instigateur de notre malheur et si sa perdure la colère ne se fera que grandissante et non maîtrisable et vous êtes déjà dans le collimateur des jeunes burkinabé même les grandes sociétés de télécommunications de la place ont investi

  • Le 3 octobre 2019 à 08:10, par SA En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    De toute les façons, ceux qui sont devant les Sociétés de trading ne sont pas des enfants. Quand on voit le nombre de société que ce monsieur continue a créée, moi ça ne m’étonne qu’il soit en parti responsable de ce blocage. De toutes les façons, ce sont des gens qui se croient tout permis. Mais attendons de voir la suite. Quand la honte veut tomber sur un grand, ça commence toujours comme ça. Il a dû pousser le pignon jusqu’à un niveau où lui-même ne peut plus rien. Mais on va d’ici là lui apporter les preuves..

  • Le 3 octobre 2019 à 09:45, par lejuste En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Je pense que Coris Bank est bien impliquée. J’ai mon compte à Coris bank mais j’ai des difficultées à recevoir des paiements internationaux. Mes partenaires m’indiquent clairement que c’est ma banque qui fait les blocages

    • Le 3 octobre 2019 à 15:23, par Faux pion En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

      Mon ami, il y a près d’une dizaine de banques au Burkina, si c’est coris ton problème, change de banque et laisse nous tranquille.

      Ou bien tes partenaires t’ont dit que si c’est pas coris ils ne peuvent pas envoyer l’argent ?

      Rassure toi, aucune banque au monde n’est aussi idiote ou bête pour refuser un transfert d’argent surtout en devise sans raison valable, et même là c’est avec les larmes aux yeux qu’elles le rejetteront.
      ce n’est pas coris une petite banque du Burkina qui va jouerà ce jeu. Des gens qui cherchent l’argent et qui le rejettent ? Arrêter de nous raconter n’importe quoi svp. Y n a marre des gens qui ne cherchent qu’a dénigré les autres.

  • Le 3 octobre 2019 à 12:34, par klo En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Mr NASSA avec tout le respect que je vous dois , il y’a trop eu de dégâts a cause de cette situation divorce décès ,,,,, nous n’allons pas accepter pour que vous nous asphyxier , nous n’allons pas non plus aller mourir en mer par désespoir, mais ici dans notre cher faso . Comprenez que nous sommes prets a tout pour vivre ici

    • Le 3 octobre 2019 à 15:40, par M’Maa Poko En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

      Voici quelqu’un qui demande une pine à une femme.

      Mon gars si tu veux trouver une solution a ton problème, un conseil de vrai ami. Adresse toi au procureur du faso.
      Nassa malgré ça bonne volonté ne peut rien pour toi. Ou bien pardon à moins que tu ailles demander sa charité. Comme ça va chez lui, il pourra te donner un peu ou bien te trouver un job dans une de c’est boite.
      A defaut de celà, si tu penses que c’est lui le nœud de ce problème, tu risque de perdre trop de temps dans la résolution de ton problème.

      C’est un conseil d’ami sincère

      • Le 8 octobre 2019 à 23:45, par sid Pa Yii En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

        Il a sûrement trouvé du boulot pour toi et bien d’autres sur ce forum et l’on comprend votre position d’avocat sans bien comprendre les faits….
        1) Aucune société de trading n’a de compte à Coris, pourquoi ?
        2) Pourquoi c’est uniquement Nassa qui est ciblé ?
        3) Des personnes morales ou physiques ont perdu leurs business par récupération… d’autres ont échappé en réussissant à solder leurs prêts octroyés dans des conditions peu orthodoxes
        "Poussière nous sommes, poussière nous retournerons"
        Les gens veulent être leurs propres patrons sans pour autant être un larbin récitant des paroles dictées pour préserver leur boulot comme vous le faites

  • Le 3 octobre 2019 à 13:21, par Mishmish En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    En tout cas moi j’attends fort longtemps mon paiement et que ce soit Coris Bank, MINEFID et autre je vous informe que l’argent de ma sueur que j’ai investi donc rendez-moi mon argent. Sinon les investisseurs vont envahir les banque d’ici là. Dans ce pays c’est la méthode forte qui est entendu donc .....

    • Le 3 octobre 2019 à 16:39, par Soussé En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

      Cher PDG, votre explication est vague et ne tient pas. Si les gens vous identifient comme étant le fossoyeur des sociétés de trading, c’est que vous l’êtes. C’est en réalité votre manière de faire les affaires (récupération d’idées et de business des autres) qui fonde ces accusations. Le problème des sociétés de trading porte votre marque (égoïsme, cupidité, gourmandise, etc.).

      • Le 8 octobre 2019 à 14:23, par Passoré En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

        @Soussé, mais pourquoi ne pas aussi récupérer les idées de business de Nassa et monter tes propres affaires, parce exemple Nassa a récupéré l’idée de banque et monter Coris banque qui prospère aujourd’hui malgré toutes les peaux de bananes jeter sur son chemin par les grands groupes financiers d’envergure mondiale.

        Tu pourras en faire de même en créant par exemple la "Soussé Banque international" et dans 10 ans ta banque sera leader au faso et tu engrangeras des milliards comme Nassa.

        @Soussé fait des recherches sur cet homme et tu seras, comme moi, heureux de savoir qu’il est plutôt un pionner dans un domaine qui pendant des décennies était dominé par les grands groupes Etrangers. A la création de coris ces grands groupes rigolaient d’ailleurs à gorges déployer de voir un petit indigène de NASSA formé dans le grand-marché de ouagadougou, sans PHD ni MBA de la harvard business school, s’aventurer sur ce qu’ils ont conquit et dominé depuis le vivant de son grand-père. Aujourd’hui ces grands groupes admirent le génie de ce petit indigène.

        Si tu t’informe bien, toi aussi tu admireras bientôt le génie de ce petit indigène.

        SVP modérateur laisse passer

  • Le 3 octobre 2019 à 16:07, par wass En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Monsieur NASSA, vous avez poussé les autres banques à faire le blocus sur la société de Trading par jalousie parce que cette société commençait à avoir la confiance des jeunes investisseurs.
    le gouvernement n’a pas été vigilent en laisser geler les activités du Trading parce que M Nassa et sa bande ont évoquer comme raisons entre autres le financement du terrorisme. depuis le gèle, le terrorisme continue dans notre pays oui ou non ???

  • Le 3 octobre 2019 à 18:25, par Miniroun En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Je suis en retard sur cette information et je m’excuse si mon analyse peut avoir des insuffisances.
    Coris Bank est une banque burkinabè, les sociétés de trading concernées sont burkinabè !
    A mon avis, il y a un non-dit, que ni Coris Bank, ni les promoteurs de société de Trading veulent en parler !
    Depuis 2012, les règlementations dans le domaine financier ont beaucoup évoluées et de nouvelles mesures s’introduisent de plus en plus depuis 2016, notamment concernant l’opérationnalité des comptes bancaires sociétés.
    le blocage d’un compte peut survenir à la demande une structure d’état (impôts) pour non paiement de taxes dues, par la justice sur instruction suite à une plainte, par des structures régionales ou internationales spécialisées pour activités assimilables à des fraudes (de devises, fiscales, ...,, virements inexpliqués, non conformité avec l’objet social, ...) ou pour relations commerciales interdites (en embargo commercial ou interdiction d’échanges avec une source donnée). Les chèques sans provision peuvent conduire aussi à un blocage et éventuellement à une action en justice.
    Cependant, si la décision de bloquer les opérations d’un compte provient uniquement la banque, cela suppose qu’il y a soit une rupture de garantie ou une volonté de la banque d’agir compte le titulaire. Et là il faut en chercher les raisons, car le titulaire du compte a probablement été notifié ou interpellé plus d’une fois auparavant.
    Le problème que vivent les investisseurs concernés dépendent de la façon de leurs comptes sont gérés. Car si leurs comptes sont sous mentor d’un compte commun géré par le promoteur, ou si le promoteur est co-titulaire de leurs comptes, il faut chercher la réponse chez le promoteur.
    Si aucune personne n’évoque les raisons réelles du problème, il faut avoir peur et il faut vite chercher les raisons.
    Ce genre de situation peut vite arriver avec un promoteur de type centrale d’achat. Et les faits ayant occasionnés le problème peuvent être totalement involontaires et liées à une méconnaissance de la règlementation (qui est malheureusement très complexe).
    Il serait souhaitable que des hommes de lois se saisissent du débat (bien que ce ne soit pas politique) pour éclairer le public.

  • Le 3 octobre 2019 à 19:37, par Oliver En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Remetez notre argent pour qu on nous paye .....sinon vous vera encors le petit peuple dans les rues . Largent gélé ne vous appartient pas donc evitez ces comportement irresponsable .Que sa soit
    Ou pas du vole C est notre argent et on est libre d investir ou on veut et quand on veut ...

  • Le 3 octobre 2019 à 19:58, par sid Pa Yii En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Diendéré a-t-il reconnu sa culpabilité dans le putsch du 15 septembre 2015 ? je répète le destin à la Patrice Talon ne se fait pas en brimant plus de 50 000 personnes avec leurs familles.
    L’autorité politique doit intervenir pour résoudre cette question car vos concitoyens sont dans la souffrance…. la famille des investisseurs directe et indirecte avoisine le quart de million de personnes(environ la population totale de Joudougou)...et cela pour juste le contentement de certains individus. Regardez ce problème de près avant qu’il ne prenne une ampleur incroyable.

  • Le 3 octobre 2019 à 20:29, par Sacksida En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    C’est tres simple, etant donne que nous sommes dans un Etat de droit et si vous etes convaincus de vos accusations ; organisez vous entre traders et saisissez la justice qui se chargera d’eclairer cette affaire. Ainsi, l’opinion publique saura ou se trouve la verite ; et de surcroit vous rentrerez dans vos droits. Courage et que Dieu aide les Hommes veridiques. Salut.

  • Le 4 octobre 2019 à 08:57, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    hum !c est connu !ces arnaqueurs internationaux sont maitres dans l art de la diversion pour filer a l anglaise en détournant le regard larmoyant des victimes entêtés vers un bouc émissaire parfait en l occurrence coris bank !et pourtant de quelle alerte officielle ou familiale a t on fait l économie pour dissuader nos compatriotes de céder a ce terrible appât nommé trading qui fait pleurer aujourd hui tant de victimes directes et indirectes ce qui servira peut etre de leçon amer a certain pour demain !prochaine étape:disparition des arnaqueurs abandonnant des employés temporaires insolvables aux prises avec leur compatriotes !quel terrorisme !

  • Le 4 octobre 2019 à 10:02, par BILA En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    boujour chers traders
    la vérité va finir par apparaître
    si cest Coris Bank ou d’autres institutions qui sont à la base des problèmes de la famille des trader, nous allons le connaitre tôt ou tard.
    sachez qu’au Burkina, rien n’acquière sans un lutte et l’union des traders serait la bien venue
    A vous de se battre

  • Le 4 octobre 2019 à 12:46, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    - Faux pion  ! Quel analphabétisme ! Même s’il y avait une centaine de banques il y a quoi ? Qu’est-ce que tu en sais ? Et s’il a des engagements non encore soldés avec Coris-Bank, tu veux qu’il quitte avec le risque d’être poursuivi ou bien du vas solder ses créances pour lui ? Réfléchissez avant de roter !

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 4 octobre 2019 à 15:41, par Burkinabè En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Le trading n’est pas de l’arnaque. C’est un metier bien legal. Aux USA, au Canada, en France, en Coré du Sud et dans tous les pays du monde, le trading est bien reconnu c’est un travail légal et bien reglementé. Faites des recherches sur internet, renseifgnez-vous par tous les moyens et vous saurez que le trading n’est pas de l’arnaque. Dommage que des economistes en viennent à de telles declarations. Ce sont de faux arguments pour nuire à des gens qui s’adonnent à ce metier dans notre pays. Nous interpellons les autorités à intervenir pour permettre à des jeunes de vivre. L’Etat ne peut pas embaucher tout le monde. Les gens trouvent des metiers légaux pour se debrouiller et echapper au chomage et on les bloque. Que voulez-vous qu’ils deviennent ? Des bandits ? Des miserables ? Non non faites pardon. Reglementer le trading et laissser les gens s’y debrouiller. Avec ce metier on peut bien s’en sortir. Je repete ma question, que voulez-vous que les gens deviennent en bloquant leurs comptes ?

    • Le 4 octobre 2019 à 16:37, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

      Arnaque Trading - des Chiffres Inquiétants

      L’AMF (Autorité des Marchés Financiers) a publié en 2014 une étude réalisée sur un échantillon de 15 000 clients de courtiers autorisés sur une période de 4 ans, de 2009 à 2012.

      Cette étude révèle que 9 clients sur 10 ayant investi sur le Forex et / ou les CFD via des plateformes autorisées ont perdu de l’argent. La perte moyenne par client était de 10 900 euros.

      Depuis, l’AMF a multiplié les actions de prévention. Elle met à jour régulièrement sur son site sa liste noire des courtiers illégaux derrière lesquels se cachent des arnaques.

      Depuis décembre 2016, la loi interdit aux professionnels de la finance (banques, sociétés de gestion, conseillers en investissements financiers) de diffuser des publicités par voie électronique destinées aux particuliers sur les Options Binaires, le Forex et les CFD. Les supports électroniques concernés incluent les sites internet, les emails, les téléphones portables, la radio, la télévision, etc.

  • Le 4 octobre 2019 à 23:20, par Bassiba En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Merci beaucoup, internaute yelmingaan blaan saa hien. Beaucoup d’analphabètes se sont jetés dans cette affaire à très haut risque et refusent d’être conseillés soit disant que le trading n’est pas interdit et rapporte même très gros. Ils voient le miel mais jamais les abeilles.Ils sont devenus eux-mêmes de grands financiers, oubliant que la finance est le domaine de ceux qui savent en économie, en statistiques, en probabilité, en mathématiques, en ingénierie financière, en gestion des portefeuilles et en gestion des risques. Allons seulement.

  • Le 5 octobre 2019 à 10:15, par Burkinabè En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Mon ami Bassiba soyons courtois sauf votre respect je dirai que l’analphabéte vous l’etes sans le savoir. Je répète que dans tous les corps de métier il y a des brebis galeuses sans pourtant que ces métiers soient illégaux. Il y a eu combien de sociétés d’épargne qui ont disparu avec l’argent des gens en leur faisant croire que ces sociétés d’épargnes étaient crédibles ? on en a vue au Benin aux usa et même au Burkina ce qui ne veut pas dire que créer une société d’épargne et y ouvrir un compte est de l’arnaque. Mais un individu ou un groupe d’individu mal intentionnés peuvent créer une fausse société d’épargne et s’en aller avec les sous des gens par la suite. L’AMF reconnait bien le trading et recommande la précaution aux gens. C’est d’ailleurs la raison de l’existence de L’AMF. C’est de protéger les investisseurs dans le marché financier contre les faux-types qui sévissent dans le domaine. C’est ce que les autorités doivent faire dans notre pays. Créer une structure qui va régir par une règlementation bien spéciale le trading. L’AMF n’a jamais recommandé d’interdire le Trading et ne le fera jamais. C’est un métier de la Bourse. Si vous pensez que le Trading c’est de l’arnaque parce que des gens y perdent leurs sous, il vaut mieux autant demander à tout pays d’interdire le PMU, les jeux du casino et toutes les formes de la loterie. Parce que beaucoup de personnes y perdent leur argent et même se suicident. Est-ce pour autant que le PMU c’est de l’arnaque ? Est-pour autant que le jeu du Casino c’est de l’arnaque ? ce sont des métiers à risque de perte élevée de sous et non des métiers illégaux ou arnaqueurs. Il en est de même que le Trading dans lequel pullulent les risques de pertes d’argent et des faux types pour voler. Mais cela ne fait pas du trading un métier arnaqueur ou illégal. Il faut seulement le règlementer par des textes adéquats pour permettre aux uns et aux autres de le pratiquer.

  • Le 5 octobre 2019 à 15:16, par Bii kouèga En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Je pense qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Dans ce Burkina d’ojourdhui où ces milliers d’investisseurs en trading peinnent à joindre les deux bouts tout finira par se savoir et cela ne saurait durer une éternité. Il semble que c’est à l’accusé d’apporter la preuve de son innocense. Ici c’est pas les sociétés de trading qui accuse quelqu’un, mais probablement des jeunes ou des Burkinabé investisseurs qui souhaitent ressembler à PDG (grand entrepreneur). De mon point de vue si DG n’est pas à la manoeuvre qu’il nous dise comment on en est arrivé à cette situation car je pense que son influence le lui permet. Je me pose aussi la question de savoir : pourquoi aucune de ces Sociétés de droit Burkinabé n’a de Compte à Coris Bank ? Quelqu’un ne dit pas la vérité quelque part. Inch Allah sa va se savoir et j’en suis convaincu.

  • Le 5 octobre 2019 à 18:47, par Miniroun En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Salut à tous !

    Le tradding est une activité commerciale légale. Cependant il est très réglementé tout comme les ventes de produits pharmaceutiques ou des armes ou des avions, etc.
    D’après les écrits que j’ai pu lire hier en fouant le net, le problème des traders burkinabè est surtout lié à la conformé de leur activité avec la règlementation. Ce qui veut dire qu’il leur est facile de continuer leurs activités en se conformant à la règlementation de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) dont tous les états de l’UEMOA sont mandaitaires.
    Ce qu’il faut savoir est que le trader concerné, qui décide de se conformer à la règlement, aura du mal à satisfaire sa clientèle avec les mêmes conditions avant le blocage. Car même il ne pourra peut être pas versé plus de 8% d’intérêts tandis que son client attend plus de 100%. Par conséquent, il est mieux pour ce trader d’entretenir aussi longtemps que possible le problème et éventuellement décidé de faire faillite et laisser la justice saisir les comptes bancaires pour dédommagement aux clients sur la base brute de leurs souscriptions. C’est loin des attentes mais c’est moins douloureux pour tous, sauf pour ceux qui s’étaient endettées pour leur souscription
    Le trader averti qui voudrait profiter de la situation aurait pu financer la création d’une nouvelle compagnie (non trader) et y transférer une bonne partie des soucis. Mais ce genre d’opérations peut conduire à un blocage de son compte, s’il est su par les assurances ou la banque. Car il risque de laisser un gros passif à ces dernières. Toutefois un blocage dans cette situation est de très courte durée sauf si une instruction judiciaire intervient pour son maintien. Et le communiqué du régulateur CREPMF de l’UMOA peut en être une explication.
    Alors, la seule action qui permette aux abonnés du trading d’entrer en possession de leur capital (et non le produit attendu) est de se réunir en playant pour réclamer leur investissement aux traders auprès des instances judiciaires. Cependant, il faut très bien relire le contrat de souscription pour voir si vous avez une marge de manoeuvre. Car le trading étant une activité s’apparentant à celle d’un ujurier, il faut faire attention aux clauses protectrices du collecteur/promoteur.
    A mon avis, il vaut mieux que votre argent resté bloqué dans un compte que disparu dans d’autres charges auxquelles les tradings doivent malheureusement affronter (sans dédommagement) du fait de l’arrêt de certaines recettes.
    Cette affaire me parait très lourde à dénouer pour les traders. Sauf si le procureur ou un juge d’instruction se saisisse rapidement du dossier et en fait son affaire, les dommages risquent de s’accumuler.
    Tout le monde demande justice ! Mais pensons-nous vraiment à aider la justice en la saisissant au bon moment et à temps ? A quoi sert de se plaindre de quelqu’un qui n’est plus visible ou saisissable ?
    Pensons-nous que la justice doit être au coeur de notre vie ? Que l’égale chance peut paraitre injustice à celui qui veut avoir plus que les autres ? Que celui qui est à mesure de vous porter plus loin que les autres est en même injuste envers les autres ?
    A ceux qui pensent que les traders ont eu tords ou qu’ils sont analphabètes, je demande de modérer leur langage et de les comprendre. Car lorsqu’une activité arrive avec un drapeau de légalité internationale, on peut ignorer que le porte drapeau soit non conforme. Et c’est l’effet de publicité qui embarque le consommateur au point qu’il peut paraitre naïf sans l’être. La réglementation dans le domaine financier n’est pas expliqué au public et c’est une insuffisance de nos institutions. Il y a des travailleurs de banques qui peuvent peiner à expliquer certaines mesures. Il faut étudier l’ITB et les diffférentes normes et règlementation de l’UMOA (surtout les révisions de 2012) pour réussir à comprendre l’espace financier.
    Toutefois, je souhaite du courrage aux victimes de cette affaire et leur suggère de ne pas rejeter systématiquement le conseil des internautes qui pensent qu’ils se sont faits avoir.
    Car c’est le même système qui a conduit à la crise de 2008 (encore présente en Europe qui paie les pertes des USA par l’aide de l’Afrique).
    Ce n’est pas une consolation, mais il est fort possible à une structure de trading de verser des taux élévés, en revendant l’argent à des sociétés de branding de produits. un produit fabriquant à 10 CFA en annonyme peut être brandé, conditionné et revendu à 100 CFA. Par conséquent, il ne coûte rien au brandeur de remettre 50 CFA à celui qui lui a permis d’exécuter son marché rapidement sans fond et de gagner 50 CFA aussi. Mais pour un trading conforme à la règlementation de notre zone, c’est difficile de respecter les déclarations de devises, les dpi, systèmes de virements, etc et réussir un tel record ! Comprenez que les traders ont raisons de croire que c’est possible d’avoir 100% et plus d’intérêt mais en même sachez qu’il es difficile de le réaliser en toute légalité !!!!

  • Le 5 octobre 2019 à 19:31, par Y’a bondo En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Nassa tu es riche certes mais le pauvre aussi aspire à la richesse.tu sais comment tu as monté ta banque.de gace laisse Les autres petits épargnants gagner leurs vie. Tu n’est que de passage sur terre.

  • Le 7 octobre 2019 à 10:44, par Sidzabda yusgo En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Bonjour chers internautes. Ayant été victime dans une affaire similaire avec Top potentiel j’avais conseillé à un de ne mettre aucun copec dedans. Mais il y croyait comme moi aussi je croyais à Top. Ce que je retiens chacun doit faire sa propre expérience dans n’importe quel domaine afin de devenir un expérimenté.

  • Le 9 octobre 2019 à 19:30, par Arnold Akhan kwame En réponse à : Situation difficile des sociétés de « trading » : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank International, dément toute implication

    Le tout n’est pas de démentir toute implication. La chape de plomb qui s’est abattue sur les sociétés d’agrobusiness en côte d’ivoire, c’est la même main invisible qui s’abat aujourd’hui sur les sociétés de trading au Burkina.
    Allez savoir pourquoi nos Etats et plus particulièrement nos banques agissent ainsi pour empêcher toute autonomie financière de nos populations et surtout de la jeunesse ?

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