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Nation : Le nouveau gouvernement très attendu

Publié le vendredi 8 juin 2007 à 08h17min

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Le tout nouveau Premier ministre Tertius Zongo est-il toujours en train de consulter pour la formation de son équipe ? A-t-il fini et attend la validation par le grand sachem ? S’il est venu effectivement trouver une liste qui lui a été remise dès son arrivée, pourquoi ne l’a-t-il pas encore publiée ?

En tout cas, par rapport à ce gouvernement, des noms circulent. Toutefois, tous ceux qui ont été cités dans les discussions informelles ou à travers la presse, lorsqu’ils sont contactés se refusent à tout commentaire. Parfois, ils nient avec la dernière énergie. Pourtant, ils ont peut-être déjà mis le champagne au frais.

Certes, être consulté ne signifie pas forcément être nommé et l’on comprend la prudence de caméléon observée par les ministrables.

Un signe qui fait penser que le gouvernement tombera bientôt, c’est que le président du Faso séjourne en principe aujourd’hui au Mali où il s’est rendu pour l’investiture de son homologue malien Amadou Toumani Touré. Blaise Compaoré semble bien aimer être absent quand ces genres d’événement se passent.

Pour l’instant des ambassadeurs et pas des moindres qui étaient des collègues de Tertius Zongo pendant que ce dernier était ambassadeur, arrivent à Ouaga depuis le mercredi dernier. L’un est annoncé au poste de ministre délégué à la Coopération, vacant depuis la nomination de Jean de Dieu Somda comme commissaire de la CEDEAO et un autre prendrait un maraquin d’une importance stratégique pour le Burkina.

Au moment où nous bouclions ce numéro, le gouvernement n’était pas encore tombé. Peut-être qu’il l’est maintenant et que chacun sait à quoi s’en tenir. Ainsi va la vie de la nation en ces moments exceptionnels.

M. Y

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 8 juin 2007 à 11:23, par Lefaso.net En réponse à : > Nation : Le nouveau gouvernement très attendu

    Vous les journalistes burkinabè-là, vous ne pouvez pas faire votre travail comme il faut ? A quoi ça sert de donner des informations à moitié ?

    Quels sont ceux qui ont été cités ? Vous n’êtes pas astreints à un devoir de réserve que je sache ?

    Vous écrivez que "Pour l’instant des ambassadeurs et pas des moindres qui étaient des collègues de Tertius Zongo pendant que ce dernier était ambassadeur, arrivent à Ouaga depuis le mercredi dernier. L’un est annoncé au poste de ministre délégué à la Coopération". De qui s’agit-il ?

    Si vous n’avez pas l’information, n’ecrivez rien au lieu de faire semblant de savoir.

    Un peu de rigueur et d’audace s’il vous plaît !!!

    • Le 8 juin 2007 à 11:58, par Lefaso.net En réponse à : > Nation : Le nouveau gouvernement très attendu

      Tu as raison mon frère !

      Je ne sais pas s’ils veulent chouer aux devinettes ou aux charades avec nous. Mais ils nous fatiguent.

      Si au lieu de nous donner des réponses, des explications, pour comprendre les événements, les journaux deviennent des compilations de questionnements, et nous embrouillent au lieu de nous éclairer, ce n’est pas la peine...

    • Le 8 juin 2007 à 13:55, par kapto En réponse à : > Nation : Le nouveau gouvernement très attendu

      l’absence du president du faso n’est pas une analyse , vous ecrivez comme on parle au maquis.

  • Le 8 juin 2007 à 17:18, par Yacine En réponse à : > Nation : Le nouveau gouvernement très attendu

    Vraiment nul comme article ! et c’est là l’image pathétique que donnent à voir la plupart des "journalistes" burkinabé. Quand il s’agit de supputations de cabarets, ou de comptes rendus d’ateliers, ils y excellent, pour la plupart. Mais l’analyse ? ne le leur démandez surtout pas ! ce qui me désole, c’est qu’un quotidien aussi connu et côté que "Le pays", publie de tes navets. D’abord, le "journaliste" joue à l’informé, ensuite il fait comme s’il a un dévoir de réserve. Il s’autocensure de ce fait. Enfin, l’investiture de ATT, à laquelle Compaoré aurait assisté de toute façon, sauf cas de force majeure, a quel rapport avec la formation d’un gouvernement ? de grâce, respectez vos lecteurs. J’écris journaliste entre guillemets parce qu’il y a de vrais journalistes, peu nombreux certes, dans ce pays, et même au journal "Le Pays".

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