Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Dans un communiqué publié ce mercredi 16 août 2023, le ministère de la Défense du Niger informe d’une attaque contre un détachement des Forces armées nigériennes, mardi 15 août, près de la frontière avec le Burkina. L’attaque a coûté la vie à 17 soldats et 20 autres blessés, selon le bilan provisoire. Une centaine de terroristes ont été également neutralisés et du matériel détruit, précise le communiqué.
Cette attaque a suscité une réaction de la CEDEAO qui, par un communiqué en date de ce mercredi 16 août, dit sa « consternation », condamne « fermement » ces attaques et présente ses condoléances au peuple nigérien et aux familles des soldats qui y ont perdu la vie.
Elle a, en outre, appelé les dirigeants militaires du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) à rétablir l’ordre constitutionnel au Niger « afin de pouvoir concentrer leur attention » sur la sécurité dans le pays, « qui s’est davantage fragilisée » depuis le coup d’Etat.
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Vos commentaires
1. Le 16 août 2023 à 18:16, par Jean l’Original En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Très triste cette nouvelle, mais on pouvait s’attendre un peu à ça .
Les jeunes manipulés pour la plus part qui brandissaient les drapeaux Russes vont se rendre compte très rapidement qu’il n’y a aucun militaire Russe qui va venir les aider et surtout que les putschistes sont en train de les induire en erreur.
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2. Le 16 août 2023 à 19:08, par Bigbale En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
La CEDEAO a ainsi commencé son plan de déstabilisation du Niger ! Elle se fait prompte à verser des larmes de crocodile pour quelque chose dont elle n’ignore l’origine. Les Nigeriens devaient bien s’attendre à de telles attaques puisqu’il faut que la France prouve que c’est sa seule présence qui peut garantir la sécurité des Nigeriens et avant que les troupes françaises decampemt, il faut bien qu’elles organisent les massacres pour justifier leur maintien sur le sol Nigerien. Quoiqu’on fasse les français partiront ! Courage au peuple Nigerien !
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Le 16 août 2023 à 20:37, par Kas En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Arrêtez avec la france le disque est raillė. Pas besoin d’être 1 génie pour savoir que ça devais arriver. Que Ceux qui ont fait le coup d’état sous pretexte pour linsecuritė prennent leurs responsabilités ils se rendrons compte que les autres ne s’amusait pas.
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3. Le 16 août 2023 à 19:09, par Ouédraogo Pascal En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Ce sont des larmes de crocodile, la CEDEAO c’est abonnée absente depuis 11 ans que le terrorisme est installé. Tous des traîtres.
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4. Le 16 août 2023 à 19:11, par Noël SANOU En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
A moins d’avoir la mémoire courte, ce crime était prévisible du moment ou le Niger veut quitter le néocolonialisme français. Et non parce qu’il y a un autre régime à Niamey.
Par ailleurs, le CNSP doit s’attendre à la multiplication de ces crimes terroristes pour avoir neutraliser le protecteur et parrain national des terroristes de l’EIGS.
Mais les renégats et valets locaux de la France ont déjà oublié le calvaire du Burkina et du Mali dès la rupture avec l’ordre français.
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5. Le 16 août 2023 à 20:44, par Lamby En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Paix aux âmes des disparus.
Courage aux autorités nigériennes
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6. Le 17 août 2023 à 07:53, par HUG En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Tout ce qui est mauvais c est la france, c est la ,cedeao.Ah bon, et nous notre role dans tout cela.Ayant souvent une capacité d analyse elevée.Nous on n a pas de problémes c est les autres..Allons seulement.
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7. Le 17 août 2023 à 08:23, par saam En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Faites croire maintenant que c’est parce que Bazoum n’est plus aux commandes qu’il y a des attaques. Combien de nigériens sont morts sous Bazoum ?
Déployez plutôt votre force maléfique pour aller combattre ces terroristes au lieu de bander vos muscles de cabris contre Tchiani.
Ou bien pensez-vous que seul la vie de Bazoum dépasse celle des milliers de nigériens qui souffrent ou meurent depuis des années du fait de son jeu trouble avec les terroristes et leurs maitres ?
Ou est Aissata Tall Sall ? Ou est ADO ? Si prompts à justifier et à accompagner l’intervention militaire illégale et injustifiée de la CEDEAO au Niger mais complétement nuls, muets et invisibles depuis toutes ces années où des jeunes africains meurent par milliers pour défendre leur patrie ?
Vous laissez couler égoïstement et avec cupidité le sang de vos jeunes enfants pour votre petit confort et pour le bonheur des étrangers !! Shame on you !! Honte à vous !! honte à la CEDEAO DERACINEE !!
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8. Le 17 août 2023 à 10:10, par DIA En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Jean l’Original, Le combat qui est mené aujourd’hui en Afrique transcende les individus et les générations. C’est un combat pour un monde multipolaire ou chacun à son mot à dire. Le combat c’est pour que les européens ne considèrent plus les pays d’Afrique qu’ils ont colonisés comme des territoires d’outre mer. Mais il est claire et évident que tout le monde n’a pas la capacité pour comprendre le sens de ce combat. Certains parce qu’ils n’ont pas la capacité intellectuelle et d’autres à cause de leurs intérêts personels.
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9. Le 17 août 2023 à 12:32, par Badisak En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Je m’incline devant la mémoire des dignes fils patriotes du Niger tombés au champ d’honneur ; puissent leurs âmes reposées en paix et leur sang versé fortifier le reste des combattants de la liberté et de la souveraineté.
Ceci étant, j’éprouve un sentiment de honte à la place de la CEDEAO ; depuis plus de 10 ans que le Niger est en proie au terrorisme avec par fois des attaques qui font près de 100 morts sans qu’on ne voit cette organisation broncher et subitement ils ont un intérêt pour ce pays frère.
Il y a eu une attaque au Nigéria au cours de la semaine écoulée qui a fait plus de 20 morts avec à la clé un hélicoptère écrasé. Mais curieusement, cela n’a pas suscité d’intérêt et de compassion pour la CEDEAO alors que le président de ce pays est le chef de fil pour la guerre que l’organisation entant mener contre le Niger ; comment expliquer cette hypocrisie. Il faut arrêter d’insulter l’intelligence des peuples d’Afrique et singulièrement du brave peuple du Niger qui connait désormais ses véritables ennemis.
Sous le fallacieux prétexte de défense de la démocratie, des larbins de l’impérialisme occidental usent de tous les stratagèmes pour ramener au pouvoir un des leurs renversé pour mal gouvernance et complicité avec des puissances étrangères qui manigancent à travers leurs forces stationnées dans le pays contre les intérêts supérieurs du peuple nigérien ; c’est ça la vérité.
Honte aux valets locaux de l’impérialisme et victoire au digne peuple du Niger en lutte pour son indépendance et sa souveraineté véritables. Puisse DIEU faire échec au plan diabolique visant à maintenir ce pays frère sous la coupe réglée des impérialistes et leurs complices.
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10. Le 17 août 2023 à 12:55, par Jean l’Original En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
@DIA, internaute 8 :
Votre faux combat pour un ``monde multipolaire`` est intellectuellement mal conçu donc est voué à l’échec, ce n’est rien d’autre que de la fausse rhétorique à la logique fallacieuse consistant à manipuler des jeunes en profitant de leur misère, ça fait pitié !
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11. Le 17 août 2023 à 14:27, par AD En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Je croyais que avec les militaires au pouvoir, le Niger devrait être à l’abri de ces attaques des djihadistes. En plus c’est partir des frontières de leur allié du BF, ces alliés n’ont pas pu les en empêcher ni les prévenir. Nous voulons probablement la même chose, mais vous ne pouvez pas me convaincre que votre méthode est biaisée et ne peut que nous conduire au chaos tout au moins au désastre. Malheureusement, vous suffez sur l’ignorance de la grande masse des africains. Le temps rendra certainement son verdict.
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12. Le 17 août 2023 à 16:08, par TOE En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Anti-impérialisme, anti-colonisation, souverainisme, etc.Et puis la France comme symbole de tous les malheurs.
Qui peut me dire ce que le Burkina apporte à la France en terme économique ?
Pardon, je veux des chiffres et non des slogans.
Pour ma part je ne vois pas grand chose.
A ma connaissance elle nous apporte plus par les aides budgétaires et alimentaires.
Ce que je vois, c’est seulement une lutte d’influence entre grandes puissances.
Seulement des voix à l’ONU.
Est-ce que cela appauvrit notre pays ? J’en doute.
Notre pauvreté ne vient pas du pillage de nos ressources (il n’y en a pas beaucoup) mais de notre incapacité à créer, à innover.
La plupart des pays occidentaux sont dépourvus des ressources naturelles (France, Belgique, Luxembourg, Espagne, Italie et la liste est très longue).
Mais ils ont compensé ce manque par l’intelligence, l’éducation, la formation de leurs peuples, et par voie de conséquence des inventions scientifiques.
Voila ce qui nous reste à faire plutôt que de hurler avec les loups que nos pays sont pillés encore aujourd’hui par l’occident.
S’il y a en effet des entreprises immatriculées en France qui exploitent le peu de matières premières que nous avons, c’est parce qu’elles ont le capital et l’outillage, mais pas nous.
Et puis ces entreprises sont des sociétés commerciales, souvent multinationales, et leurs gains profitent à leurs actionnaires et rien n’interdit à nos ressortissants d’acquérir en bourse des actions.
Elles payent peu ou pas d’impôts en France.
Alors, de grâce, arrêtons d’accuser l’étranger comme cause de nos malheurs.
Les causes sont endogènes !
A nos pays d’éduquer leur jeunesse et de lui donner les moyens de créer de la valeur ajoutée !
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Le 18 août 2023 à 10:01, par ALARAMA iSSA En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Voici ce que le Burkina apporte à l’économie française depuis 63 ans.
ACCORD n⁰ 2 :
LA CONFISCATION AUTOMATIQUE DES RÉSERVES FINANCIÈRES NATIONALES.
C’est-à-dire que les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon.
Ainsi, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrone et incomplète du fait qu’elle soit pilotée directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que CEDEAO ou la CEMAC.
Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des 14 pays des zones économiques et financières CFA , elles sont obligées de garder 65 % de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor français, ainsi que 20 % supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ».
En plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre, équivalent à 20 % des recettes de l’état dans l’année budgétaire en cours , bien que le BEAC ou la BCEAO aient des possibilités de retraits supérieurs auprès du Trésor français. Ces retraits doivent faire d’abord l’objet de l’accord du Trésor français.
La décision finale revient donc au Trésor français qui a lui-même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne.
En d’autres mots, 85 % des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte d’opération contrôlé par l’administration française.
Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elles mêmes.
Le pire est que les pays eux-mêmes ne savent même pas quelle est la part de réserves financières qui leur revient
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13. Le 18 août 2023 à 00:25, par Dibi En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
La débilité politique et l’inculture historique sont des plaies de la conscience et poussent à débiter des platitudes !
On comprend pourquoi la région Sourou est effondrée aujourd’hui ; et la Francophilie est une maladie mortelle aux apatrides !
Je n’en dirais pas plus par respect !
Na an lara, an sara !
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14. Le 18 août 2023 à 10:03, par ALARAMA iSSA En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
ACCORD n⁰ 2 :
LA CONFISCATION AUTOMATIQUE DES RÉSERVES FINANCIÈRES NATIONALES.
C’est-à-dire que les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon.
Ainsi, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrone et incomplète du fait qu’elle soit pilotée directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que CEDEAO ou la CEMAC.
Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des 14 pays des zones économiques et financières CFA , elles sont obligées de garder 65 % de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor français, ainsi que 20 % supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ».
En plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre, équivalent à 20 % des recettes de l’état dans l’année budgétaire en cours , bien que le BEAC ou la BCEAO aient des possibilités de retraits supérieurs auprès du Trésor français. Ces retraits doivent faire d’abord l’objet de l’accord du Trésor français.
La décision finale revient donc au Trésor français qui a lui-même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne.
En d’autres mots, 85 % des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte d’opération contrôlé par l’administration française.
Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elles mêmes.
Le pire est que les pays eux-mêmes ne savent même pas quelle est la part de réserves financières qui leur revient
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Le 19 août 2023 à 08:00, par kwiliga En réponse à : Attaque meurtrière au Niger : La CEDEAO se dit consternée, exprime sa solidarité et appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Bonjour ALARAMA iSSA,
Heu, peut-être n’ai-je pas bien compris, mais il me semble qu’elles sont un peu datées vos infos :
"La Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest (BCEAO) rapatrie les réserves de change obligatoires des pays ouest-africains détenus par la Banque de France. Un geste politique alors que le projet de l’éco piétine ?" Newafrican 06 mai 2021
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