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Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

Publié le mardi 1er février 2022 à 16h48min

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Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

(Ouagadougou, 1er février 2022). Dans le cadre des concertations pour la construction d’un Burkina nouveau, le président du Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, président du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR), a rencontré ce matin une délégation de la classe politique burkinabè.

La délégation était composée de l’ex-majorité présidentielle, conduite par Alassane Bala Sakandé, président du MPP, de l’ex-Chef de file de l’opposition politique, conduite par Eddie Comboïgo, président du CDP, de l’ex-opposition non-affilée (ONA) conduite par Pr Abdoulaye Soma, président du parti Soleil d’avenir, et de représentants d’autres partis sous la conduite de Luc Adolphe Tiao, président du Rassemblement patriotique pour le développement (RPD).

« Le chef de l’Etat nous a brièvement expliqué ce qui a amené le MPSR à agir et les objectifs à atteindre dans les brefs délais c’est-à-dire ramener la paix, sécuriser les Burkinabè et ramener les populations déplacées dans leurs localités. Il compte sur la classe politique pour accompagner et faire des propositions dans ce sens », a indiqué l’ex-Chef de file de l’opposition politique, Eddie Comboigo à l’issue de la rencontre. Pour lui, « en tant qu’ex-opposition, nous allons apporter notre contribution dans un esprit patriotique pour que la paix revienne ».

Pour le porte-parole de l’ex-opposition non affiliée, Pr Abdoulaye Soma, le chef de l’Etat a demandé aux partis politiques d’avoir plus de responsabilité dans le militantisme au cours de cette phase de la vie nationale en cours pour ne pas compromettre les réformes qui seront engagées. « Nous avons pris note, nous avons été convaincus et nous avons accordé au chef de l’Etat notre soutien par rapport à la nécessaire refondation », a soutenu Pr Soma.

« L’entretien s’est passé dans une ambiance très cordiale, le président du Faso a renouvelé la vision du MPSR et nous a donné l’occasion d’apprécier la situation. Nous, en tant que partis n’appartenant ni à l’ex-majorité, ni à l’ex-opposition, nous avons dit que nous avons pris acte et que nous étions prêts à accompagner le processus de refondation de l’Etat », a indiqué Luc Adolphe Tiao, porte-parole des autres partis n’appartenant ni à l’ex-majorité, ni à l’ex-opposition.

Quant à l’ex-majorité, elle n’a pas voulu s’exprimer à l’issue de cette rencontre avec le chef de l’Etat.

Direction de la communication de la présidence du Faso

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Vos commentaires

  • Le 1er février 2022 à 16:53, par Yacouba En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat échange avec la classe politique

    On ne peut l appeler décemment, chef de l état ou président
    Mais uniquement chef fe la junte ou cgef des putschistes
    Vous êtes devenus fous ou quoi !??

  • Le 1er février 2022 à 17:06, par Lucidité En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Être appelé Chef de l’Etat quand personne n’a validé démocratiquement reste une insuffisance grave. On veut croire qu’il a de la bonne volonté mais ce n’est pas suffisant. Cela ne fait pas sérieux et cela ne grandit pas le pays aux yeux du monde, quand on n’a pas été élu.
    Il suffirait de dire que c’est le Président du MPSR. On saurait à qui on a affaire. Il a des compétences militaires qu’on lui demandait de montrer contre les terroristes alors qu’un Chef d’Etat a des compétences issues de la démocratie. .

  • Le 1er février 2022 à 17:18, par SIDNABA En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Des professeurs politiciens couards. C’est triste pour des gens qui se disent intellectuels. J’ai vraiment honte de nos hommes politiques. Tous à la soupe en préparation et pour cela tous les partis politiques retournent les vestes. Et si demain on faisait revenir le Président Rock. Je paris qu’ils feront le mouvement contraire encore pour espérer avoir un poste juteux pour manger. Hélas, il n’y a plus d’hommes intègres au Burkina et je constate que seul le Président Thomas Sankara a été et est le seul homme intègre du Burkina Faso. Dommage !!!!

  • Le 1er février 2022 à 18:08, par Rasta En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Bien fait mon president. Bala a refuser de vous parler ? Hahah cest comme un bebe qon a retirer son biberon. Lui qui pensait etre president apre Rock.
    Ou est passer tout son populisme ?
    President il faut profiter de locasion leur dire que nous on plus de democratie corrompue.

  • Le 1er février 2022 à 18:52, par Mninda En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Sincèrement ,il faut profiter de cette phase transitoire pour assainir l’activité politique au BURKINA FASO notamment :
    1- limitant le nombre de partis politiques . Comment me dira t-on ?
    Par exemple on sort les archives des différentes élections que notre pays à connu de puis les années 1996 jusqu’à nos dernières élections de 2020
    Tous les partis qui n’ont jamais eu au moins trois 3 députés ,ou 15 conseillers municipaux au minimum répartis sur au moins trois provinces différentes sont dissouts d’office . A l’issue des élections qui viendront après la transition dans trois ans minimum , tous les partis qui n’auront pas eu au minimum 200 000 voix sur l’ensemble du territoire national et réparties sur au moins sur le tiers du nombre de provinces sont automatiquement dissouts .
    Concernant la création la création des partis , faisons comme au BENIN tout nouveau parti doit justifier de bureaux dans au moins la moitié des provinces avec des membres formellement identifiés à l’aide de leurs pièces d’identités avec des déclarations sur l’honneur types d’adhésion au nouveau parti .
    Bref ,j’espère que tout le monde aura compris l’esprit de mon post et c’est l’essentiel . Honnêtement a-t-on besoin d’avoir 200 partis au BURKINA FASO ? Il ne faut même pas plus de 5 grands partis dans ce pays . Pourquoi nous africains aimons toujours mal copier chez les occidentaux là où est née la démocratie ? Citez moi un seul pays en EUROPE ,aux USA ,en Asie, où il y a plus de cinq partis.
    Vraiment ,il faut que le MPSR assainisse totalement le jeu et la vie politiques
    2- rationalisant le nombre d’institutions dit démocratiques .
    Une assemblée nationale ,un Conseil Constitutionnel, un Conseil Economique et Social (discutable) sont suffisant pour complèter la présidence du Faso et la Primature . Eventuellement opter pour un régime parlementaire et semi parlementaire .
    En conclusion, il faut absolument travailler à limiter le nombre de partis politiques ,que dis-je de cigles et d’institutions inutiles
    qui embrouillent le jeu démocratique et entretiennent la graine du régionalisme ,du tribalisme ,et ne favorisent pas la création et le renforcement de la cohésion et de l’unité nationales et le bon vivre ensemble .
    Avant que le MPSR ne passe la main, il faut que tout cela soit fermement consigné dans la future constitution que nous aurons à adopter j’espère pour ne plus revenir en arrière .

    • Le 2 février 2022 à 08:01, par Baker En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

      Au moins voici une proposition constructive au delà des critiques et des constatations de fait. Il faut impérativement assainir la scène politique burkinabé sinon les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets. On ne peut avoir une gouvernance vertueuse avec des femmes et des hommes qui ne sont pas vertueux. La verrue s’incarne et se manifeste dans l’action politique.
      Honnêtement, bonnes gens, 200 partis dans un pays qui compte tout au plus 22 millions d’habitants. En Inde il aurait fallu combien de partis alors ? Aux Usa ?
      C’est une occasion unique que nous avons de clarifier le jeu politique sinon ce sera l’éternel retour à la case départ.

  • Le 1er février 2022 à 19:04, par yat En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Tout ce que nous attendons des militaires c’est de récupérer les milliards que les membres du MPP ont volé.Les mines d’or personnalisées, les terres volées et partagées. Des budgets de l’armée qui ont servi à construire des grosses villas. Des beaux frères qui financent des réalisations insultantes dans les beaux villages alors que chez eux ils sont dans entrée coucher. Il faut que la vérité soit connue.

  • Le 1er février 2022 à 19:13, par Le patriote burkinabè mobilisé En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    J’aimerais bien voir Bala dans ses bottes devant le Président du MPSR. Hi hi hi hi hi ! On vivait comme si le pouvoir était éternel avec soi. Tu étais un parvenu et au lieu d’en tenir compte pour te faire petit et humble, tu t’es laissé allé dans le farotage avec les sous de l’Assemblée, le fanfaronnage, le malin, le populisme et autres, croyant c’était toi qui allait être notre Président en 2025.

  • Le 1er février 2022 à 19:40, par HUG En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    il faut les ecarter car ces politiciens sont la source de nos maleurs dans ce pays.Surtout cette vieille classe qui ne pense qu a se remplir les poches. Ils n ont pas d ideologie à defendre mais ils sont des chercheurs d argents.Regarder leur train de vie.

  • Le 2 février 2022 à 00:27, par Le Nahourien En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    L’intervention de Mr Alassane Bala SAKANDE importe peu.IL a honte de s’exprimer car malgré les assassinats récurrents de ses concitoyens, il disait orgueilleusement et naïvement que les Coups d’Etat n’étaient plus possibles au Burkina Faso.IL a été finalement rattrapé par son passé. et l’histoire l’enseignera que nul n’est indispensable pour son pays.Aussi,il saura que quel que soit son rang social,l’être humain doit être humble.Ce qui me fait mal est que Mr SAKANDE et son entourage ont induit le Président Roch KABORE ,homme humble et bonasse en erreurs.Bon vent à son Excellence Mr Henri Paul Sandaogo DAMIBA, nouveau Président du Faso,Chef de l’Etat et ses éléments du MPSR.N’en déplaisent vos détracteurs.Que Dieu vous bénisse pour avoir sauvé le Burkina Faso du gouffre.Bonne suite aussi au Président Roch KABORE pour son patriotisme et son humilité.

  • Le 2 février 2022 à 06:14, par le Nomade En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    On peut traiter les partis politiques de tous les maux possibles mais je pense que nous sommes tous responsables. Combien de personnes au sein des populations militent honetement dans un parti politique sans rechercher un gain individuel particulier ? combien de personnes votent sans tenir compte de l’ethnie, de la region, ou de la religion ? C’est d’ailleurs cette situation qui a fait que Rock a eu un deuxieme mandat, malgre l’echec du premier et qui a mis le pays dans le grouffre. Grace a son argent et son origine ethnique, il a eu le second mandat et la descente aux enfers du pays s’est poursuivi. Alors pouvons nous accuser les partis politiques ? Par ailleurs les partis politiques sont dans leur role et sur leur terrain qui est politique. Ce sont les militaires qui ont une fois de plus, abandonne leur domaine qui est de defendre le territoire, pour faire iruption sur le terrain politique. Esperons seuleument que tout se passera bien et que nous aurons des resultats tengibles sur le plan securitaire !

  • Le 2 février 2022 à 07:42, par Honoré Juste SANOU En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Soyons honnêtes et réalistes...ce qui se passe au Burkina Faso aujourd’hui, ROCK même est d’accord....

  • Le 2 février 2022 à 09:48, par Lopan En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Thomas Sankara qui a changé le nom du pays en Burkina Faso et qui etait le premier President du Faso a t il ete elu ? Il etaut pourtant le bien-aimé PF (president du Faso) reconnu par tous. Ou bien on doit revenir a l ancien nom du pays, ancien drapeau, ancien hymne parce que Sankara n etait pas elu au suffrage universel par un scrutin libre, egal et secret ? (vous aimez bien ces mots hin !!!). Arretez vos aneries de droit constitutionnel et vos pseudo connaissances. PHS Damiba est notre President du Faso. Meme les "autorités" dechues etaient au palais de la Presidence du Faso pour lui dire qu’ils sont prets pour "l’accompagner". Kouma baana.

  • Le 2 février 2022 à 09:58, par Lopan En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    La refondation est en marche. les anciens ministres et autres doivent liberer les residences, sinon ils vont payer l’eau et l electricité de leurs poches hin ! il faut redeployer les gardes postés devant ces residences et domiciles. Sans oublier de bloquer les caisses noires et les comptes secrets en faisant le points des retraits depuis les elections de novembre 2020. je suis pour que Lassina Zerbo soit coopté par le MPSR car il avait commencé a derouler une gouvernance vertueuse. C est un patriote et il n a pas besoin de notre argent. Kouma baana

  • Le 2 février 2022 à 10:03, par Sambare En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Le président du Faso a entamè des concertations avec les différentes couches politiques, économiques et sociales du pays. C est une bonne initiative qui pourra permettre de dégager des pistes de solutions aux problèmes de gouvernance auxquels le pays est confronté. Toutefois il faut garder l’œil dur l’essentiel, savoir discerner ce qui est indispensable de la diversité des problèmes.
    Aussi, il faut le dire sans peur que ka classe politique à échoué lamentablement dans la réponse aux aspirations du peuple dont le capitaine Sankara avait tracé les sillons et pour lesquels il a donné sa vie.
    Depuis lors les vieux démons ont refait surface, pillant, détournant, les biens du peuple tant kes ressources naturelles, minières, les maigres ressources du oays de manière impunie, laissant s’installer l’individuel, la destruction de ka jeunesse par la circulation et ka consommation des stupéfiants etc. Tout cela en dépit de la perte progressive de notre territoire devant les succès des jihadistes terroristes.
    Les hommes politiques de ce pays toute tendances confondue ont préféré fermer les yeux devant le chaos
    Qui s’est installé.
    En plus, on ne pourra plus parler de conflit generationnel dans la gestion du pays. Combien de personnes âgées,ou moins âgées ont été appelées dans les différents gouvernements et n’ont cherché que leurs propres intérêts, créant ka gabegie, le népotisme, l’insouciance etc. Elles sont nombreuses. La jeunesse a été essayée dabs plusieurs gouvernements en oarticuliet dans ce gouvernement de Rich Jabiré. Hélas, nos jeunes considérés forts, intelligents, habiles ont utilisé leur forces, leur intelligence, leur habilité à leurs seuls profits, rivalisant dans l’orgueil, dans l’arrogance et la mauvaise gestion dabs le bien public, produisant de faux rapports avec la complicité d’hommes volontairement choisis et nommés pour jouer au veni oui oui. Ke Ministère en charge du commerce, ke ministère des infrastructures, destinés et énergies sont des exemples à retenir pour ne plus y retomber.
    Aloès, il ne s’agit plus de choisir des vieux ou des heures, mais d’identifier des hommes et des femmes de tous âges, de tout sexe, de toute religion, de toute ethnie, en un mot des hommes qui ont l’amour de la patrie, qui ont conscience que la patrie est en danger et qui en leur âme et conscience s’engagent à apporter leur contribution sincere et désintéressée au développement économique, politique, social de notre cher oays Le MPSR devra avoir un regard attentionné pour détecter et éloigner les hyènes les lions, les loups, les vautours masqués qui se déguisent et vienne t offrir
    "Leurs services". Le MPSR est venu avec une vision, une politique, une orientation pour une autre firme de gouvernance dabs ce oays et il faut que le MPSR garde cette vision. La mise àl’écart de l’actuelle classe politique s’impose si le président Damiba et ses camarades veulent ramener le Burkina sur les rails et permettre aux burkinabé de reprendre ke chemin du bonheur, de ka paix et du développement économique et social. Ce sera douloureux pour certains, mais c’est le chemin à suivre tout en interpellant tous ceux qui ont commis des détournements, des investissements frauduleux à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. La qualité du choix des hommes est indispensable pour le succès du MPSR.
    L’ATTEINTEC DE L’HORIZON DU BONHEUR EST TOUJOURS POSSIBLE POUR LES FILS ET FILLES DU PAYS DES HOMMES INTEGRES !

  • Le 2 février 2022 à 10:19, par Passakziri En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Vraiment cette photo est trop parlante : regardez comment ils sont arrêtés au passage du LCL Damiba. Vraiment politiciens, vous ne conaissez plus la honte , et je vois mal comment pouvons nous construire durablement ce pays avec des "leaders" sans repéres moraux ? je suis simplement dégouté.

    Passakziri

  • Le 2 février 2022 à 12:20, par freddy le loup En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Chassez le naturel il revient au galop. Ah nos chers politiciens pas un pour rattrapper l’autre. Entre les discours opaques de certains, les empressements maladroits des autres, tous sont prêts à se servir à la table du MPSR, malheureusement il y’a plus de convives que de couverts sans compter les anciennes OSC essoufflées qui peine a trouver de quoi se mettre sous la dent depuis le CNT passé et la multitude de nouveaux mouvements aux noms révélateurs crées pour la circonstance. Chacun sous le couvert du bien du peuple et la sécurité, vise des objectifs peu avouables. Commente séparer la bonne graine de l’ivraie ? Comment accompagner la transition avec ces visions différentes ? Vivement que nos nouvelles autorités ouvre l’oeil ! Et le bon !!.

  • Le 2 février 2022 à 12:28, par Yves Levi Sawadogo En réponse à : Burkina Faso : Le chef de l’Etat, le LCL Paul-Henri Sandaogo Damiba, échange avec la classe politique

    Voilà !!! Ils sont toujours là. Comme l’a dit Hugue, il faut les mettre de côté parce qu’ils ont des calculs cachés. Ils n’ont plus rien à prouver. Quand je voie des professionnels politiciens comme Achille Tapsoba, Tiao, Gilbert O, Benewendé Sankara,..... se bousculer ; j’en ai honte. Il faut que le MPSR ouvre l’oeil et le bon. Nous ne voulons plus de CNT/ Zida bis
    A bon entendeur,......

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