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Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

Publié le dimanche 30 mai 2021 à 23h00min

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Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

La fédération des syndicats nationaux des travailleurs de l’éducation et de la recherche (F-SYNTER) était face aux Hommes de médias ce samedi 29 mai 2021 pour donner sa lecture sur la crise scolaire qui secoue actuellement le pays. Elle demande la suspension des reformes au cœur des incompréhensions pour une sortie de crise rapide.

La F-SYNTER a passé en revue les péripéties de la crise qui secoue le système éducatif burkinabè. Pour la fédération, il est nécessaire de prioriser le dialogue avec les organisations syndicales des scolaires afin de trouver une issue à cette crise. La F-SYNTER accuse le gouvernement d’être responsable de cette situation notamment avec l’application des politiques « anti-éducatives ». Sur la thèse relative à la manipulation des élèves par les enseignants, comme l’a laissé entendre le ministre Stanislas Ouaro lors de ses sorties médiatiques, la F-SYNTER la qualifie de ridicule et fallacieuse. Elle dit ne pas se sentir concernée par ces déclarations mais reconnait soutenir les élèves dans leur lutte en guise de solidarité syndicale.

Souleymane Badiel, secrétaire général de la F-SYNTER

Pour Souleymane Badiel, secrétaire général de la F-SYNER, bien avant ce point de presse, le vendredi 21 mai 2021, la F-SYNTER a, dans une note, interpellé le ministre de l’Education nationale, Stanislas Ouaro, sur la nécessité de cesser la répression et rouvrir sans délai les établissements fermés. Cela avait pour but d’éviter que la situation ne s’envenime et ainsi pouvoir terminer l’année scolaire.
Souleymane Badiel et ses camarades appellent à la suspension des réformes qui sont la source de cette crise et au besoin les renvoyer aux prochaines assises nationales sur l’éducation.

Des assises nationales auxquelles la F-SYNTER dit n’avoir pas été véritablement associée. « La sagesse à l’étape actuelle doit consister à suspendre les volets des réformes qui engendrent des incompréhensions et qui ont déclenché la crise et au besoin, les renvoyer aux débats pendant les assises nationales sur l’éducation. Il y a encore et toujours une solution pour la question des épreuves de sciences de la vie et de la terre, et d’histoire et géographie. De même, une rencontre avec les organisations à caractère syndical des scolaires, porteuses de la lutte en cours est indispensable pour asseoir des échanges francs », peut-on lire dans la note adressée au ministre Stanislas Ouaro.

Le présidium durant la conférence

Pour la F-SYNTER, cela n’a rien d’une faiblesse mais il s’agit d’avoir une hauteur politique dans une situation de crise. Pour Souleymane Badiel et les siens, cela permettra de créer la confiance au niveau de tous les acteurs du système et des discussions sereines et ouvertes pour un avenir meilleur de l’école burkinabè. Pour eux, d’autres sujets notamment la réforme même du système éducatif burkinabè, le choix des examinateurs, la taille des programmes, etc. méritent d’être revus.

J.E.Z
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 29 mai 2021 à 23:55, par Un Burkinabê En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Les raisons que vous donnez sont très légers. C’est pas à cause de quelques élèves du Zinda que toute la Nation doit sombrer.

  • Le 30 mai 2021 à 07:29, par Avar En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    C’est ça qui fait que nos syndicats sont peu credibles. Ils mènent souvent des luttes sans queux ni tete, eux seuls connaissent dans quel interet, en tout cas pas pour l’interet général des travailleurs. Laissez les histoires politiques et vous concentrer sur les luttes pour l’amelioration des conditions materiel et moraux des travailleurs. Les raisons que vous avancez sont tellement legères qu’on n’a pas besoin d’etre du systheme éducatif pour savoir qu’ils ne sont pas objectifs. Vous avez menez une lutte mole contre l’application de l’UITS sur les primes et indemnités or cette lutte là concernait pratiquement tous les travailleurs du BF ; au lieu de perceverer non, c’est une lutte farfelue (peut-etre juste pour quelques interets de quelques personnes) que vous entamez et vous voulez qu’on vous soutienne

  • Le 30 mai 2021 à 08:29, par Le Vigilent En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Basile, vous dites que « la F-SYNTER soutient la lutte des élèves mais soutient leur lutte ». Vous voulez nous faire croire que « vous ne dites pas la vérité mais que votre intention est de tromper l’opinion publique ». Voyez-vous, tout le monde vous connaît et sait ce qui se passe. D’ou vient-il que les ténors de la lutte des élèves se présentent sous vos couleur (tee-shirts rouges) pour faire leurs déclarations incendiaires ? Simple coïncidence ? Quand même bizarre non !? Vous ne tenez pas des AG avec l’ensemble des élèves mais vous donnez des directives aux élèves meneurs qui militent avec vous dans d’autres cadres. On a tous lu dans la presse que vous avez été le seul syndicat à émettre des réserves sur les reformes approuvées par la totalité des autres syndicats ayant participé à la concertation sur ces propositions de réformes. Comme vous avez été battus lors de la rencontre, le seul moyen qui vous restait pour faire valoir votre position minoritaire, à été d’instiguer les élèves à contester par tous les moyens dont vous seuls avez le secret. On comprend aisément que vous soyez le seul syndicat à soutenir la lutte des élèves, lutte qui a été minutieusement préparée par vos spécialistes et dans de vos laboratoires clandestins.

  • Le 30 mai 2021 à 10:50, par COB En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Salut. J’ai peut-être pas compris. N’est ce pas une bonne chose que de chercher à faire des économies sur l’organisation des examens ?
    Je suis d’accord par contre que cela ne doit pas impacter la qualité des résultats recherchés. Ne faut-il pas investir ces économies faites sur l’organisation des examens dans les apprentissages et enseignements ?

  • Le 30 mai 2021 à 11:38, par Le rouge En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Merci pour cette sortie médiatique. Cependant je veux remarquer que le Ministre OUARO réagit comme un enseignant. Quel enseignant accepterait la contradiction dans sa classe et accepter dialoguer avec les élèves pour une mesure qu’il aurait prise. Tous ces membres de la F-synter vont agir de la même façon dans leur classe. De manière général, aucun apprenant ne peut dire quelque chose sur la façon dont on doit le former. Aller au campus. Des centaines de zéro dans une matière, on en voit. Est ce pédagogique cela ?? Mais qui peut en parler ?? Les étudiants ?? Qu’ils osent boycotter, ce sont des zéro collectif qu’ils récolteront. Mais personne ne dit mot. Soyons, honnêtes les enseignant utilisent cette crise pour résoudre leur problème avec le ministre.

    • Le 30 mai 2021 à 23:18, par Le Vigilent En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

      Le Rouge, tu as dit, je cite "Soyons honêtes, les enseignants utilisent cette crise pour leur problème avec le ministre. Je suis du même avis que toi sur ce point. Le "crime" reproché au ministre Ouaro par les gars de F-SYNTER est celui d’avoir dévoilé le cas du Général Basolma qui n’assurent que 3 h de cours par semaine au lieu de 10 h sur les 18 h prescrites par le reglement. Quant au proviseur du lycée Philippe Zinda Kabore, il a été puni pour avoir fourni l’information sur le nom respect du volume horaire réduit (10 h par semaine) par Basolma Bazie et aussi pour avoir adressé une lettre de
      demande d’explication à ce dernier. Le bras fer que Basolma Bazie a engagé avec l’administration s’étant terminé par sa démission de la fonction publique, ses disciples veulent punir sévèrement tous ceux qu’ils estiment avoir été à la base de cette déculottée de leur chef suprême : le ministre Ouaro et le proviseur du lycée Philippe Zinda Kabore et autres.

  • Le 30 mai 2021 à 20:37, par Swartskoff En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Les choses se précisent. Les experts en jeu de dames chuchotent aux petites oreilles des petits pousseurs de pions. Bataille par procuration

  • Le 30 mai 2021 à 22:38, par James En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Je demande à la F-SYNTER de régler leur compte autrement avec le Ministre et laisser les apprenants tranquille.
    Vous avez pronostiquez les examens non lieu l’année dernière et ils ont bel et bien lieu, cette année c’est la suspension des réformes. J’ai honte à votre place.
    Vous placez les apprenants comme des boucliers face aux flèches qui arrivent ; ils sortent en premier lieu pour leur point de presse et les heures suivantes vous faites votre apparition.
    Bonne suite à vous !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Le 31 mai 2021 à 05:07, par Malo En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Il y a quelle urgence à procéder à la réforme avant les assises ? La crise et ses morts sont dus à cette aventure du ministre Ouaro.

  • Le 31 mai 2021 à 07:55, par ali baba En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Ce syndicalisme va nous mettre en retard dans nos efforts de développement, des syndicats qui ne savent rien d’autres que de provoquer la bagarre tout le temps et créer des crises. ca fait honte que nos travailleurs n’aient rien compris a la guerre mondiale pour le développement. j’ai très honte de ce groupe de syndicalistes F SYNTHER un peu robotisés. J’en connais des anciens de cette mafia qui se sucrent aujourd’hui sur le dos du peuple, ce qui montre que leur lutte en fait est pour se sucrer et rien d’autre. Foutez nous la paix !
    On voit tes clairement qui est derrières la lutte des élèves, les masques tombent petit a petit !!!

  • Le 31 mai 2021 à 08:34, par Wendmi En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    C’est lamentable et pitoyable pour des éducateurs de se comporter de la sorte vis-à-vis des élèves. Un bon éducateur, un bon père de famille, dira aux élèves d’éviter les comportements du genre à organiser des casses parce qu’ils sont pas d’accord avec une décision. En tant qu’élève, enfant, nous avons tous ruminé les décisions des parents à notre égard sans protester, et cela par souci de respect de l’autorité parentale.
    En tant qu’éducateur, vous pouvez ne pas être d’accord avec les reformes entreprises par le MENAPLN et exprimer cela à travers une lettre confidentielle adressée au ministre contenant tous les arguments de taille. Cette lettre peut être également adressée à l’Association des parents d’élèves toujours avec le sceau de la confidentialité. Mais se comporter comme vous le faites s’apparente beaucoup plus à instrumentaliser les élèves pour d’autres causes que celles liées aux reformes autour des examens du secondaire. Cela montre qu’en réalité votre souci premier n’est pas un système éducatif performant pour tous mais plutôt des luttes pour agendas non avoués.

  • Le 31 mai 2021 à 08:45, par kap En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Bonjour chers compatriotes , et ce syndicat abandonnait cette lutte égotiste et l’orientait contre les sociétés téléphonie mobiles qui arnaque les Burkinabè tous les jours surtout que le grand pourcentage de leurs clients sont les fonctionnaires . Ils nous sauver parce que la ligue des consommateurs est une structure morte née .

  • Le 31 mai 2021 à 10:10, par Le Duc du Yatenga Nouveau En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    La F-SYNTER demande de suspendre. Les autres, demandez à ce que ce soit appliqué. Est-ce si difficile que ça ? Les conséquences de l’application ou de la non application éclaboussera tout le monde.

  • Le 31 mai 2021 à 10:39, par maalgre-kon-loui-liiky En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Des assises nationales , la F-SYNTER dit n’avoir pas été véritablement associée. On note qu’elle a au moins été associée mais pas véritablement selon elle, la question c’est comment cela se fait-il qu’elle n’ait pas été véritablement représentée et à qui la faute ?
    Elle reconnait soutenir les élèves dans leur lutte en guise de solidarité syndicale. La F-SYNTER était ou pendant les propositions de la dite reforme ? Si elle n’a pas pu apporter un argumentaire conséquent en son temps contre la reforme, l’instrumentalisation des élèves qu’ils disent soutenir contre cette reforme qu’ils rejettent sans pour autant apporter des arguments convainquant est lamentable. On voit bien dans cette sorti médiatique que le problème se situe ailleurs et il est plus politique et ne vise nullement l’amélioration du système éducatifs.
    Quelle mal ya t-il a faire des propositions et qu’on en discute pour améliorer véritablement le système ? En lieu et place on lance les enfants dans les rues pour parvenir à ses fins. C’est pas sérieux.

  • Le 31 mai 2021 à 12:54, par Le réaliste En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Les élèves ont agi à l’image de leurs enseignants, surtout une bonne partie des membres syndicaux et bien d’autres, partisans du moindre effort, moralité défaillante, paresseux, voyous ect... Voyez-vous comment le phénoménal BAZIE Bassolma qui était en fait contre les élèves en ne dispensant pas les cours convenablement, a traiter le Proviseur en son temps en présence des mêmes élèves.
    C’est très dommages pour beaucoup de nos enseignants actuellement. Certes ! Il y a en de très professionnels et consciencieux tout comme dans d’autres administrations. C’est du reste ces derniers qui se sont dressés l’année dernière contre leurs collègues inconscients et insoucieux qui voulaient empêcher la tenue des examen. Voraces et toute honte bue, ces lascars étaient obliger de négocier la queue entre les jambes par la suite pour être retenus dans l’organisation dans l’optique d’avoir les "perdiems".
    Cependant, les élèves ont intérêt à éviter le suivisme à l’aveuglette pour leur avenir. Regardez le niveau des élèves qui ont aminé leur conférence de presse après les violentes manifestations ; incapables de faire une phrase et c’est cela la triste réalité indiquant également la qualité de certains enseignants.
    Comment des élèves vont-ils organiser de telles violences jusqu’à se tuer entre eux. Ils en portent la responsabilité tout comme ce syndicat qui n’a même pas daigné condamner les actes ignobles des élèves durant toute cette conférence de presse, ce qui veut dire effectivement qu’ils en sont les planificateurs et instructeurs.
    Honte à vous

  • Le 31 mai 2021 à 12:57, par Le réaliste En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Les élèves ont agi à l’image de leurs enseignants, surtout une bonne partie des membres syndicaux et bien d’autres, partisans du moindre effort, moralité défaillante, paresseux, voyous ect... Voyez-vous comment le phénoménal BAZIE Bassolma qui était en fait contre les élèves en ne leur dispensant pas les cours convenablement, a traité le Proviseur en son temps en présence des mêmes élèves.
    C’est très dommages pour beaucoup de nos enseignants actuellement. Certes ! Il y a en de très professionnels et consciencieux tout comme dans d’autres administrations. C’est du reste ces derniers qui se sont dressés l’année dernière contre leurs collègues inconscients et insoucieux qui voulaient empêcher la tenue des examen. Voraces et toute honte bue, ces lascars étaient obliger de négocier la queue entre les jambes par la suite pour être retenus dans l’organisation dans l’optique d’avoir les "perdiems".
    Cependant, les élèves ont intérêt à éviter le suivisme à l’aveuglette pour leur avenir. Regardez le niveau des élèves qui ont aminé leur conférence de presse après les violentes manifestations ; incapables de faire une phrase et c’est cela la triste réalité indiquant également la qualité de certains enseignants.
    Comment des élèves vont-ils organiser de telles violences jusqu’à se tuer entre eux. Ils en portent la responsabilité tout comme ce syndicat qui n’a même pas daigné condamner les actes ignobles des élèves durant toute cette conférence de presse, ce qui veut dire effectivement qu’ils en sont les planificateurs et instructeurs.
    Honte à vous

  • Le 31 mai 2021 à 13:06, par Le réaliste En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Les élèves ont agi à l’image de leurs enseignants, surtout une bonne partie des membres syndicaux et bien d’autres, partisans du moindre effort, moralité défaillante, paresseux, voyous ect... Voyez-vous comment le phénoménal BAZIE Bassolma qui était en fait contre les élèves en ne leur dispensant pas les cours convenablement, a traité le Proviseur en son temps en présence des mêmes élèves.
    C’est très dommages pour beaucoup de nos enseignants actuellement. Certes ! Il y a en de très professionnels et consciencieux tout comme dans d’autres administrations. C’est du reste ces derniers qui se sont dressés l’année dernière contre leurs collègues inconscients et insoucieux qui voulaient empêcher la tenue des examens scolaires. Voraces et avec toute honte bue, ces lascars étaient obligés de négocier par la suite, la queue entre les jambes, pour être retenus dans l’organisation desdits examens dans l’optique d’avoir les "perdiems".
    Cependant, les élèves ont intérêt à éviter le suivisme à l’aveuglette pour leur avenir. Regardez le niveau des élèves qui ont aminé leur conférence de presse après les violentes manifestations ; incapables de faire une phrase et c’est cela la triste réalité, indiquant également la qualité des enseignements reçus de certains enseignants félons.
    Comment des élèves vont-ils organiser de telles violences jusqu’à se tuer entre eux. Ils en portent la responsabilité tout comme ce syndicat qui n’a même pas daigné condamner les actes ignobles des élèves durant toute cette conférence de presse, ce qui veut dire effectivement qu’ils en sont les planificateurs et instructeurs. N’ont-ils même déclaré soutenir le mouvement scolaire dans cette lutte injustifiée ?
    Honte à vous

  • Le 31 mai 2021 à 18:52, par ADETOKOUN En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Moi je suis étonné de la réaction des syndicalistes.
    C’est dans quel domaine où c’est l’apprenti qui doit dire comment l’évaluer.
    En comparant les épreuves de la troisième du Burkina aux épreuves de la sous région cela ne permet pas de competir avec les autres.
    Rien n’est fait contre les élèves.

  • Le 2 juin 2021 à 01:39, par BANSE En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Vous profitez de la crise des elèves pour evoquer vos doleances .

  • Le 5 juin 2021 à 17:47, par Primed En réponse à : Crise scolaire au Burkina Faso : La F-SYNTER demande la suspension des reformes

    Les syndicats d’ici sont calqués sur les syndicats français, de même que l’enseignement qui lui retarde d’au moins 20 ans.
    il est urgent de changer la façon d’apprendre des l’école primaire, avec des classes qui ne sont pas surchargées. Ce n’est pas en répétant qu’on apprend mais en étant actif. L’autonomie s’acquiert dès le plus jeune âge.

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