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Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

Publié le mardi 20 avril 2021 à 22h00min

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Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

Après l’annonce de la mort du président tchadien Idriss Déby Itno, suite à ses blessures sur le champ de bataille, dit-on, son fils Mahamat Idriss Déby prend les commandes du « Conseil militaire de transition ». Son équipe est composée de quinze membres.

Celui qui succède à son père est né en 1984. Etant élevé par sa grand-mère (mère de Déby Père), il est surnommé Mahamat Kaka (kaka signifiant « grand-mère » en arabe tchadien).

C’est en 2013 qu’il a été dévoilé au grand public, lorsqu’il est nommé au poste de commandant en second des Forces armées tchadiennes en intervention au Mali (Fatim), dans le nord du Mali.

Un an plus tôt, il était nommé à la tête du groupement numéro 1 de la Direction générale de service de sécurité des institutions de l’État (DGSSIE), la garde prétorienne du régime.

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Vos commentaires

  • Le 20 avril 2021 à 15:44, par Swartskoff En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    Hum ! Afrikya mon Afrique ! Á 37 ans Général 4 étoiles ou corps d’armée. Il faut le faire pour protëger les arrières du clan. Ainsi á-t-on institué en afrikya les fils ou frères Officiers généraux ou ministres de La Défense, oubliant que tout n’est que fumée diluée ou dispersés en cas de tornade ou de pluie.

  • Le 20 avril 2021 à 15:50, par Sidpassata Veritas En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    En France, sous la royauté, on annonçait le successeur de roi défunt par l’acclamation suivante "Le roi est mort vive le roi" !
    On peut aussi dire ici que "Idriss Déby est mort, vive Idriss Déby".

    - Mais que dit la constitution tchadienne en cas de décès du président de la république ?
    - Qui est-ce que les africains vont accuser comme cause de leur malheur ? L’alternance politique vraiment et réellement démocratique et pacifique n’est-elle pas un moyen sûr contre des situations ubuesques ?
    - Comment ça va se passer un jour au Cameroun, au Gabon, au Congo Brazzaville, en Guinée, au Togo, en Cote d’Ivoire... Et qui va-t-on accuser ?

    Il y a quelque chose de pire que la colonisation : c’est la niaiserie politique.

  • Le 20 avril 2021 à 15:54, par KABORE CHRISTIAN dit PALAADE En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    ITNO DEBY A PERDU LE COMBAT
    MAIS PAS LA GUERRE CONTRE LE TERRORISME

    QUE LA TERRE LIBRE DE L’ AFRIQUE LUI SOIT LÉGÈRE ET CONDOLÉANCES AU PEUPLE TCHADIEN.

  • Le 20 avril 2021 à 16:43, par Laafi-nooma En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    Merci et félicitations à l’armée Tchadienne pour son pragmatisme et sa promptitude. La situation sécuritaire, non seulement du pays, mais aussi de la sous-région est telle qu’une seule minute de tergiversation autour le pouvoir et du commandement est une opportunité en or pour les ennemis de s’installer. Or seule l’armée peut (et a pu) éviter cette tergiversation. Cette même situation sécuritaire rend très convenable que le pays soit dirigé dans l’immédiat par les militaires. Tous ceux qui, dans cette situation oseront condamner l’armée d’avoir assumé le pouvoir ou revendiqueront leur retrait immédiat sont sans nul doute des terroristes ou des ennemis du Tchad et des pays de G5. Quant aux militaires qui viennent de récupérer le pouvoir ils devront tout simplement, dans les semaines à venir, intégrer des civils au Gouvernement et organiser une transition sincère vers un régime démocratique normal. Il serait néanmoins souhaitable, toujours au vu de la situation sécuritaire, que l’armée participe au gouvernement, en assumant des postes stratégiques.
    J’espère que Déby Père dégommé, ceux qui voulaient l’alternance se diront satisfaits. Encore une fois, la situation sécuritaire ne laisse pas de place à la tergiversation concernant le pouvoir. Quand à doter le pays d’un régime démocratique, cela devra se faire dans le calme et la sérénité dans le respect des règles de l’art. En attendant, encore une fois, félicitations et bon vent à l’armée.

    • Le 21 avril 2021 à 08:48, par Le Financier En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

      Cher internaute, j’adhère à votre argumentaire qui vous amène à féliciter l’armée pour sa prise de pouvoir. Là où je trouve qu’il y a problème, c’est pourquoi c’est son fils qui n’a même pas l’âge instauré par son père pour être président qui est mis au pouvoir. Pourquoi pas un général plus aguerri que lui, le Tchad en regorge. Moi je ne crois pas à cette mort au front. Le président sur le front cela suppose que tous les patrons de l’armée seront là-bas avec lui ça c’est obligé. Le boss ne peut pas être sur le front et ses généraux (pensons d’abord à ceux de la liste de la CMT) soient à Ndjamena. Qu’on nous explique si c’est le président seul qui a été atteint où s’il y a d’autres hauts gradés. Qu’on nous donne le nom des hauts gradés qui sont morts où on été blessés lors de ce soit disant. Son clan prévoyant les conséquences du 6ème mandat a choisi de l’éliminer pour sauvegarder leur position et leurs biens mal acquis. C’est également une occasion pour le clan Deby de mieux se repositionner dans la gestion des ressources du pays qui est entrain de leur échapper au profit de Hinda, la première dame officielle et de ses protégés. Le cas du Tchad en termes de conflits internes est un cas d’école. Conflits entre le nord et le sud, conflits au sein du clan Deby, conflits entre le clan Deby et Hinda et ses protégés, conflits entre les tchadiens nourris par l’impunité (on tue pour un oui ou non, on est même fier de montrer le couteau avec lequel on a tué, on tue et on paie le prix du sang, bref. Pour ce qui s’inquiète que la disparition de Deby va impacter la lutte contre le terrorisme, je leur dis que Deby est mais l’armée Tchadienne est et restera le même. Des hommes qui affrontent l’ennemi avec courage et c’est armée qui a combattu au Mali, en Centrafrique, au côté du G5 Sahel et non Deby

  • Le 20 avril 2021 à 17:34, par DCOUL En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    Cette mort nous concerne tous , je parle de la sous région DEBY nous a beaucoup soutenu contre le terrorisme alors c’est notre tour

  • Le 20 avril 2021 à 17:38, par A qui la faute ? En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    Les mossis disent "Il faut balayer ta cours pour ne pas donner raison à l’escorpion". Comment peut-on cumuler tout ça aux yeux du monde et après critiquer l’occident d’être la cause de nos malheurs :
    - On met le fils de Deby qui ne répond pas aux critères pour être président : général 4 étoiles mais seulement 37 ans ; l’âge prévu est de 40 ans minimum
    - Vous mettez votre propre constitution à la poubelle en ne la respectant pas à la première occasion quand elle ne vous arrange pas en ne respectant pas la succession légale en cas de vancance du pouvoir : un coup d’Etat par ceux-là même qui sont au pouvoir, jamais vu
    - ce jour 20/04 le clan Deby coupe internet et procède à un vaste déplacement de l’argent et des grosses voitures vers le Caméroun.
    - Un 6è mandat avec un score de dictateur
    - Des histoires de fesses, des histoires de drogues avec son propre fils, ensuite savamment tué
    - La Centrafrique qui souffre, qui souffre, de l’arméeTchadienne
    - Ne parlons même pas de la misère au Tchad
    Quand vous arrivez à cumuler tout ça, ne venez pas pleurer qu’un pays lointain vous a lâché

    Dommage de gâcher son courage pour lutter contre le terrorisme à cette façon de "développer" son pays et d’organiser la succession

  • Le 20 avril 2021 à 19:33, par Hum En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    La constitution Tchadienne a ete violée. En son article 81 c’est le president de l’Assembléee nationale qui prend le pouvoir et organise des election sous 45 jours au minimum et 65 jours au plus. Donc la dictature Tchadienne continue suite a un coup d’etat du fils au pere.

  • Le 20 avril 2021 à 19:48, par TAMINI En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    Toutes mes condoléances au peuple du Tchad et l’Afrique entière. Pour que les choses ne tourne pas du coup mal au Tchad, le pouvoir devrait être toujours dirigé par les militaires voir même un nouveau président militaires en attendent le mandat prochain parce que la guerre continue et si le peuple tchadien et même toute l’Afrique ne se tiens pas debout ça va mal tourné au Tchad et cela va sans doute affecté la quasi totalité de l’Afrique. Soutien total au Tchad comme feu Idriss DEBY la longtemps fait pour le peuple africain en tenant une résistance rude contre le terrorisme.

  • Le 20 avril 2021 à 22:02, par Tig-re En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    J’attendS avec impatience ceux qui viendront nous expliquer ici que c’est la France qui a tué Deby pour mettre son fils. Et c’ Aussi la France qui a rendu tout le peuple tchadien mouton.

    • Le 21 avril 2021 à 11:30, par Sidpassata Veritas@@ En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

      @Tig-re Il faut éviter deux extrêmes, si nous voulons comprendre ce qui nous arrive en Afrique : 1- croire et dire que tout est de la faute des autres (comme la France) ; 2- croire et dire que les autres (comme la France) ne sont pour rien dans ce qui nous arrive.
      Je disais hier qu’il y à pire que la colonisation : c’est le niaiserie politique.
      - Alors il faut savoir que nous sommes dans un monde où nous ne sommes pas seuls. Dans ce monde-là, chacun défend ses intérêts en rusant avec les autres. C’est ce que fait la France, non pas qu’elle nous déteste, mais parce qu’elle fait tout pour ses intérêts.
      - La France a soutenu Idriss Déby dans ses exploits militaires, parce ce partenariat militaire intéressait la France ( d’abord contre Kadaffi, ensuite contre Béchir et maintenant contre le terrorisme...) ; tout comme la Chine soutenait Omar el Béchir au Soudan (pour le pétrole du soudan...). Chacun de ses deux dictateurs (Idriss Déby et Béchir) ont généré leurs rébellions qui se réfugiaient sur le territoire de l’autre et ont écumé la région du Darfour. Pourtant, pendant la crise du Dafour on a dit que c’était un conflit ethniques (pauvres populations du Darfour qui vivaient en symbiose depuis la nuit des temps). Le "Communauté Internationale" a fini par trouver de fausses solutions à ce faux problème du Darfour et les intérêts de la Chine (au Soudan) et de la France (au Tchad) ont été épargnés alors que beaucoup d’africains, à commencer par l’UA, n’y ont vu que du feu.

      - J’évoque tout cela pour dire que les autres (dont la France) ne viennent pas pour décider de qui doit mourir ou de qui doit vivre. Ils viennent se greffer sur les évènements de la vie politique des africains pour défendre leur intérêts, avec des choix et des solutions qui ne se préoccupent pas du sort des populations concernées. Si un dictateur fait leur affaire, il ne voient aucun inconvénient à l’aider pour qu’il reste au pouvoir par tous les moyens jusqu’à mourir tragiquement ou de sa belle mort, même si cela fait le malheur de son peuple. Donc c’est aux dirigeants africains eux-mêmes d’avoir la sagesse de refuser les aides et les soutiens financiers et politiques qui les condamnent à programmer le désordre dans leur pays malgré leurs bonnes intentions. Pour cela, il faut éviter la niaiserie politique et avoir une vraie vision qui dépasse la personne de l’homme politique et qui construit l’unité de la nation.
      Revenons cas spécifique du Tchad et de l’implication de la France. Comme vous dites, personne ne peut dire que c’est la France qui a provoqué la mort d’Idriss Déby. En fait le souci de la France ce n’est ni la vie d’Idriss Déby et ni celle d’un autre africain d’ailleurs (ne parlons pas du peuple Tchadien) ; le souci de la France, c’est la préservation de ses intérêts.
      - Les autres vont toujours tenter de vous pousser dans l’esprit des clans afin de diviser pour régner. Et pour cela, puisque qu’aucun mort ne fait son affaire la France cherchera tout de suite qui mettre en place au Tchad, toujours pour la seule défense de ses intérêts : Avez-vous remarqué que dès que le CMT (Conseil Militaire de la Transition) s’est manifesté pour prendre le pouvoir au Tchad, la France a devancé même les réactions de hommes politiques tchadiens pour dire qu’elle prend acte de la mise en place du CMT. Vous croyez que cette rapidité est dénuée de toute intention d’immixtion dans les affaires intérieures du Tchad ? Pourquoi elle n’a pas demandé le rétablissement de la légalité constitutionnelle ? La cours constitutionnelle venait de reconnaitre l’élection du président défunt. Pourquoi ne pas s’en tenir aux dispositions constitutionnelles ? Pourquoi la France se prononce avant même les acteurs politiques tchadiens.
      Vous voulez innocenter la France ? Vous aurez du boulot : Elle n’est pas la cause de tous les maux du Tchad, mais elle n’est pas blanche comme neige.
      Soyons lucide et pensons par nous-même et fuyons toutes les tutelles, même celle qui sont en apparence inoffensives. Chacun joue ses intérêts, jouons les nôtres. Bannissons les dictatures, mêmes les plus soft : elles finissent toujours mal et nous entrainent dans les broussailles de l’incertitude !

  • Le 21 avril 2021 à 00:24, par Blablabla En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    Il faut que pour une fois certains pseudo intellectuels réfléchissent. Voyons : le pays est en guerre. Le combat bas son plein sur plusieurs fronts. Contre les djihadistes, contre les terroristes et contre les rebelles aux intentions inavouées. Le pays, déjà géré par un militaire est en danger. Le président, en vertu de ses aptitudes militaires se sens obligé d’aller lui-même au front. Malgré ses aptitudes, il est abattu. Ce qui est un coup dur de nature à affaiblir l’armée et à la fois de nature à galvaniser les ennemis. Ceux-ci menacent de marcher sur la capitale. Ils sont même proches. Pendant ce temps il y a des gens n’ont rien dans la tête que l’expression " Respecter la Construction" qui osent penser que dans ce contexte, on peut s’amuser à donner la priorité aux élections. Qu’il faut tranquillement aller chercher le président de l’Assemblée Nationale qui ne sait certainement pas grand chose de stratégies de défense militaire pour assumer le pouvoir, et se consacrer bonnement à l’organisation des élections, pour remettre ensuite le pouvoir dans 60 jours à un autres qui probablement le sais pas grand chose non plus de la défense nationale. Comme si on avait signé une trêve avec les ennemis. Sincèrement, il faut être ou inculte, ou de mauvaise foi pour raisonner ainsi. Les élections peuvent attendre. La dotation du pays d’un régime démocratique aussi. Mais la défense nationale et la sécurité ne peuvent pas attendre. Il y en qui semblent minimiser le danger. Il faut saluer la promptitude de l’armée : le pouvoir et le commandement sont tombés, aussitôt un pouvoir et un commandement sont mis en place sans tergiversation, sans laisser ni un instant aux ennemis. Moi je dis tout simplement bravo à l’armée Tchadienne. C’est le seul espoir pour non seulement tenir tête aux terroristes et rebelles mais aussi pour éviter que les charognards affamés ne se livrent à la bataille pour le pouvoir au détriment de la bataille très urgente pour la survie de la nation.

    • Le 21 avril 2021 à 11:54, par Sidpassata Veritas En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

      @Blablabla je ne comprends pas ceux comme vous qui voulez que des militaire gouvernent un pays sous prétexte que le pays est en guerre, alors qu’en Afrique on a plein d’exemple où les militaires au pouvoir ont commis beaucoup d’exactions et on empêché le développement de leur pays.
      Pour défendre le territoire nationale, on n’a pas besoin d’être le président de la république : on a besoin d’être un bon chef de guerre, un bon chef d’état major de l’armé peut-être.
      Ce n’est pas de la démocratie à l’occidentale : c’est du bon sens universel qui consiste à ne pas donner l’autorité suprême de l’état à celui qui a déjà le pouvoir des armes et le monopole de la violence dans le même état. C’est plus équilibré ainsi et il y a moins de risque de dérives.
      Imaginez dans le cas du trame que le Tchad vient de vivre, si l’ennemi, après avoir tué le chef d’état chef militaire sur champs de bataille avait réussi à mettre les troupes en déroute ! Il ne lui restait plus qu’à régner sur tout le pays. Non les militaire à la caserne et le pouvoir civil aux civils.

  • Le 21 avril 2021 à 08:32, par TANGA En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    Pour ce qui est de la chose politique, je me garde de faire des commentaires car je ne m’y connais pas. Mais, pour le grade du jeune, soyez sûr que au TCHAD, les galons on les gagne au combat ; ce ’’petit’’ a gravis les échelons comme d’autres dans son pays. Des Burkinabè qui ont été au mali vous confirmerons les valeurs militaires du jeune général.
    Arrêtons de pleurer, arrêtons de vouloir la démocratie à l’occidentale car tous savons que nous ne sommes pas faits et ou mûrs pour ça ! Les occidentaux eux même font les pires des bêtises en la matière ; si non comment voulez vous que dans un pays qui se dit avancé, on prenne le père de famille qui est le plus jeune de sa famille comme président ? Si il ne peut pas asseoir un seul membre de sa famille, ce n’est pas le pays qu’il pourra gouverner. Il pourra à la limite rebeller tout le pays et c’est le cas là bas et nous ça ne nous regarde pas.

  • Le 21 avril 2021 à 09:59, par ATON LE BERGER En réponse à : Tchad : Le président Idriss Déby mort, son fils prend la tête d’un « Conseil militaire de transition »

    {{}} pour peu qu’il ait lutter contre le terrorisme , on oubli toute la violence avec la quelle il a tenu à l’ écart de la gestion du pays , tous les politiciens qui n’étaient pas de son clan, paix a son âme mais vivement que le Tchad se réveil de son coma politico-économique .

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