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Décès de sa majesté le Kupiendieli : Les condoléances du gouvernement

Publié le samedi 17 août 2019 à 16h30min

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Décès de sa majesté le Kupiendieli : Les condoléances du gouvernement

Le gouvernement burkinabè a salué, dans un communiqué, la mémoire du roi du Gulmu décédé dans la nuit du 16 au 17 août 2017.

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Vos commentaires

  • Le 17 août 2019 à 21:43, par WT En réponse à : Décès de sa majesté le Kupiendieli : Les condoléances du gouvernement

    Que l’âme de l’illustre disparu repose en paix. Vive les valeurs africaines.

  • Le 18 août 2019 à 11:13, par yaadiga En réponse à : Décès de sa majesté le Kupiendieli : Les condoléances du gouvernement

    Paix a l’ âme de l’ illustre disparu ,je voulais venir au funérailles mais après toutes les informations que cela n’existe pas chez mes esclaves .Mes condoléances a toute la nation burkinabé.

  • Le 19 août 2019 à 00:45, par Mechtilde Guirma En réponse à : Décès de sa majesté le Kupiendieli : Les condoléances du gouvernement

    Ce dont je me souviens surtout du Koupiendéli et dont personne ne parle, c’est qu’il fut aussi un grand sociologue. Et si je me souviens bien il fut, je crois, au ministère des affaires sociales au temps de Maurice Yaméogho (si je ne me trompe pas) et fut également le tout premier rédacteur du Code des personnes et de la famille après la période coloniale. J’étais encore au secondaire et la première mouture fut soumise aux différentes structures sociales (religieuses et coutumières, puis dans les lycées et collèges). Je me rappelle que ce fut sous l’égide de Madame Jacqueline Ki-Zerbo dans une conférence de « l’Amitié africaine » (la toute première Association des femmes) que nous avons eu à examiné les principaux points d’achoppement. Mais peu de temps après, vint le 3 janvier, et tout fut rangé dans des oubliettes, jusqu’à la révolution où Thomas Sankara vint tout balayer et prétendit recommencer tout à zéro. La suite on la connaît où le nouveau code fut élaboré après la rencontre intermationale de Beijing en 1995 où pour la première fois, on définit la validité du mariage, comme étant « celle du couple » et non celle préconisée par les pays arabes et le Saint-Père à savoir la triade : « Père, Mère, Enfant ».

    L’épouse du Koupiendiéli, Solange Onadja, fut, elle aussi, la première fille bachelière de notre pays et la première Enarque.

    Que la terre du Burkina leur soit légère et qu’ils reposent tous les deux dans la paix du Seigneur.

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