Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
On l’appelle affectueusement Lola. Journaliste togolaise, elle est d’une douceur adorable. Sa douce voix, ses idées pertinentes, le tout accordé avec sa beauté naturelle, font que Lola ne fait que des merveilles tous les jours. A travers ses écrits ! Ce qui a d’ailleurs fait d’elle depuis plus de trois mois, la rédactrice du bimensuel FOCUS INFOS. Rencontre avec une icône du monde des médias togolais.
Présentez-vous à nos lecteurs
Je suis Ayaovi Djifa Akomatsri, connue sous la plume de Lola Akomatsri. Je garde secret mon âge mais disons que j’ai l’âge d’une femme accomplie… Je suis journaliste de profession depuis bientôt 7 ans. Célibataire sans enfant (mais j’en veux actuellement). Actuellement rédactrice en chef du bimensuel FOCUS INFOS à Lomé. Je suis issue d’une famille de 13 enfants mais je suis le seul fruit de mon père et de ma mère. En clair, j’ai 12 « demi-frères et sœurs », même si je n’aime pas trop le terme.
Comment est-vous arrivée dans le journalisme ?
J’avais tout pour ne pas devenir journaliste ou communicatrice parce que j’étais timide, très « intello », me réfugiant dans mes livres et mes cahiers à chaque fois que je voulais fuir le monde extérieur. Au lycée j’ai suivi un parcours de scientifique. Mon bac D en poche j’ai voulu expérimenter quelque chose de nouveau pendant les vacances. Alors j’ai adhéré au fan club de la radio Nostalgie où j’ai été ensuite choisie pour animer une émission dénommée « Life Feelings ». ça été le choc ! J’ai été si à l’aise, si… moi-même… je me découvrais. Bref, c’était un instant magique. Je me suis découverte la vocation. Ensuite j’ai continué mes études en biologie à la Fac tout en suivant un stage professionnel à la radio.
Puis, il y a eu un désintérêt total pour la science de ma part je l’avoue. Alors j’ai décidé de me consacrer en plein temps au journalisme. Mais il faut dire qu’en tant qu’animatrice je ne faisais pas du journalisme. Alors j’ai débuté au bas de l’échelle avec des exercices de voix, je passais mon temps à écrire des papiers que je remettais pour des corrections au rédacteur en chef de l’époque, Gilles Bocco (que je remercie sincèrement pour m’avoir donné ma chance malgré mon jeune âge). Cela a pris du temps, mais lorsque j’ai présenté mon premier journal parlé, j’ai su que j’étais prête et qu’il fallait que je passe à la vitesse supérieure. Ensuite tout est allé très vite. Mais compte tenu des problèmes financiers de la radio Nostalgie qui deviendra dans la foulée Radio Légend FM, je suis partie.
C’était un risque qu’il fallait prendre. Mais les premiers mois ont été difficiles et j’ai commencé par douter de moi. J’ai été engagée en 2009 par un organe de presse écrite CROCODILE NEWS. C’était un défi pour moi parce qu’à part mon blog, je n’avais aucune expérience dans le domaine mais j’ai vite appris. Et les formations auxquelles je participais sur le plan international venaient me conforter dans l’idée que je m’en sortais plutôt pas mal. Maintenant je suis au bimensuel FOCUS INFOS. Un journal qui m’a toujours fascinée par la qualité de ses investigations. Alors je me fonds dans le moule pour pouvoir apporter ma pierre à l’édifice.
Qu’est-ce qui vous plait dans le métier ?
J’aime beaucoup ce métier. Je trouve que c’est le plus beau du monde parce qu’il te permet d’être un éclaireur d’opinion et non un leader d’opinion. Il est très important de faire la différence entre les deux concepts. Ensuite c’est grâce à ce métier que j’ai plus côtoyer les plus grandes sommités de ce monde. Et je n’en suis qu’au début.
Quelles sont les difficultés que vous rencontrez en tant que femme ?
En tant que femme, c’est un peu difficile d’exercer ce métier sans préjugés de la part de son entourage. Côtoyer un peu trop des hommes politiques on y trouve des raisons indécentes. Mais à part cela, j’exerce mon métier comme tout journaliste et je rencontre les mêmes difficultés comme tous les autres journalistes aussi bien du Togo que d’ailleurs qu’ils soient hommes ou femmes.
Quelle est la représentativité des femmes dans les médias togolais ?
Très peu. Surtout aux postes de responsabilité. Je crois dans la presse écrite je suis la seule. A la radio il y en a un peu plus, à la télévision pas du tout. Je ne veux pas être féministe pour revendiquer une discrimination positive mais je dis tout simplement que si une femme à la capacité d’assumer un poste de responsabilité, il faut lui accorder sa chance.
Vous avez été nommée rédactrice en chef, comment vous sentez-vous avec ces nouvelles responsabilités qui ne sont pas des moindres.
Oui j’en suis consciente, mais c’est une étape importante pour moi. C’est une opportunité pour moi de travailler selon mes méthodes, d’organiser la rédaction afin que le travail se déroule dans les meilleures conditions. Mais au-delà de tout c’est aussi le temps de la maturité dans mon travail. Que je sois capable d’endosser la responsabilité des erreurs de mon équipe. J’ai commencé au bas de l’échelle mais à présent que je suis en haut de l’échelle, il est important pour moi de pouvoir regarder tout en bas pour aider ceux qui y sont à venir me rejoindre.
Quels sont les défis que vous entendez relever ?
Ils sont d’ordre rédactionnel c’est-à-dire faire des investigations de bonne facture. Donner une certaine aura à mon organe de presse, en faire une référence.
Quels sont les futurs projets de Lola ?
Je voudrais m’engager et me former plus dans le domaine du reportage image. Je voudrais devenir à moyen terme réalisatrice de film documentaire sur les questions sociales telles que la pauvreté, la santé, les injustices sociales, les mutilations génitales, la traite des enfants… bref tout ce qui touche à l’humain.
Qu’est-ce qui fait la femme selon vous ?
Sa confiance en elle et son charme. La beauté est relative mais le charme est incontestable. Une femme qui connaît ses forces mais aussi ses faiblesses peut tout conquérir.
Que sont vos meilleurs souvenirs dans le métier ?
C’était mon séjour aux Etats-Unis en 2010, lors d’un programme des Nations unies pour les journalistes des pays en développement. Cela m’a permis de recadrer ma vision du journalisme. Mais surtout j’ai eu l’occasion de toucher du doigt et d’apprécier la simplicité des dirigeants occidentaux notamment Barack Obama et aussi de Ban Ki Moon qui vraiment a été très « friendly » avec tout le groupe de journalistes. Ce sont des marques de sympathie qui ne s’oublient pas.
Quelle est votre occupation, outre le travail professionnel ?
Je m’investis beaucoup dans la vie associative aussi bien pour la cause de la corporation, celle des journalistes mais aussi pour les femmes, les jeunes et le leadership.
Interview réalisée par Bassératou KINDO
L’Express du Faso
Vos commentaires
1. Le 22 novembre 2012 à 03:38 En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Dieu merci que j’avais decidé me prononer sur votre beauté avant d’entamer la lecture de l’article !!! sinon je me serais fais devancer par l’auteur de l’article !!! ça se passe dans la tète !!!!
Madame, juste pour vous faire des compliments !!! vous ètes pleine de charme !!
Le 22 novembre 2012 à 18:32, par Dicko En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Si l’auteur de cet article n’est pas un homme, ce doit être une femme qui a un penchant pour les femmes ; vous comprenez ce que je veux dire. Quelle précision de la description !!!!
2. Le 22 novembre 2012 à 04:33 En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
C’est parce qu’elle est belle ou parce qu’elle est togolaise. Cet article est sans intérêt pour nous burkinabé. De grâce faites nous d’abord la promotion des journalistes locaux. Courage à toi Lola
3. Le 22 novembre 2012 à 09:19, par Togoteena En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Charmante femme en tout cas !
4. Le 22 novembre 2012 à 09:21, par AZONTO En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Courage et plein de succès à cette journaliste ...
Le 22 novembre 2012 à 13:40 En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Toi au moins, tu fais des commentaires matures. Sinon le reste, ils se concentrent sur le bas de la vaillante journaliste alors qu’ elle veut qu’ on se concentre sur son haut, c’est a dire, sur ses meninges. Elle en a meme beaucoup.. En tout cas plus que la cendre qui est dans la tete de la plupart de vous, esprits formattes au sexe de la femme.
5. Le 22 novembre 2012 à 09:44, par KAKA En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Merci pour ses informations. Je ne sais pas si c’est moi qui ai mal lu, mais a t-elle fait une ecole de communication ou de journalisme ? Tout ce que j’ai compris, c ;est qu’elle est rentree dedans comme ca et apprendre sur le tas.
Je plus plus d’eclaircissement.
Bon courage a elle.
6. Le 22 novembre 2012 à 09:55 En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Passez moi le contact de cette belle femme. Merci
Le 22 novembre 2012 à 10:46, par Raogo En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Non Monsieur, je vois ce que tu veux faire. Elle veut un enfant mais le futur père de l’enfant, c’est moi. Merci de reculer.
7. Le 22 novembre 2012 à 10:38, par Apollinaire En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
J’ai vu qu’elle recherche actuellement des enfants. Je ne suis pas un super modèle mais je crois que je pourrais faire l’affaire. Bref, c’était juste pour rigoler. Bon courage à elle. Et que son exemple fasse tâche d’huile parmi la gente féminine.
Le 22 novembre 2012 à 14:06, par Beau Gosse En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Bonjour, je suis ravi de l’article car cela se montre qu’on pas obligé d’être sorti d’une école de formation professionnelle pour dire que l’on est journaliste. En outre, je retiens que le volonté de faire du journalisme permet d’atteindre ses objectifs. Concernant, la journaliste, je la trouve belle femme mais il ne faut pas qu’elle tombe dans l’exemple de certaines journelistes du BURKINA qui ont cru que la beauté permettait d’ouvrir la voie du succès et qui sont devenus de vielles go sans enfants malgré leur fortune. Il faut rapidement t’attraper un beau mec comme moi pour qu’on fasse rapidement cet enfant. Allez pas de censure, il n’ ya reien de méchant dans ce que je dis puisque je m’inspire des faits et je n’invente rien. WEBSMASTER laisse passer mon message. Merci.
8. Le 22 novembre 2012 à 12:48, par zz En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Popopopo, elle est jolie dè. Quelqu’un a son numéro pour moi ? :)
Le 22 novembre 2012 à 13:38 En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Meme si c’est un arbre qu’ on habile de vetements de femme, si on publie la photo au Burkina, ca va faire tabac. Les males burkinabe sont si complexes. Ce n’est pas pour rien que la cooperation technique sous- regionale dans sa version la plus salace marche a ouaga.
Les hommes burkinabe n’ ont plus rien dans le coeur, ils n’ ont meme pluis rien en bas, mais ils font semblant, tas d’ impuissants.On vous connait maintenant
Madame X
Le 22 novembre 2012 à 17:37, par FANTASY En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Ca c’est de la pure jalousie de votre part, madame X. Lola est très belle et avec un visage sexy. Vous avez fini avec tous les hommes burkinabè pour affirmer qu’ils sont impuissants ? Venez voir moi FANTASY et vous allez revenir à la raison en une soirée. Si votre homme ne fout plus rien ou vous a abandonnée ne généralisez pas. Bonne chance à vous et que le bonheur charnel vous revienne.
9. Le 22 novembre 2012 à 13:11 En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Arretez les gars de masturber vos clavier pour cette, le pere de son futur enfant, c’est moi piannnn !
Le 22 novembre 2012 à 15:03, par m1a2ig3a En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Par Madouba, je dirai très bel arcticle et j’ exhorte la gente féminine à faire autant. ELLE EST VRAIMA CANON
10. Le 22 novembre 2012 à 14:24 En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Ma LOLA tu resteras toujours charmante, ta fraicheur emballe mon coeur et mon esprit. Comment te rencontrer et tu seras comblée. Je vais souivent au Togo, je promets de te retrouver. Merci Bassératou pour cette decouverte pleine de beauté africaine
11. Le 22 novembre 2012 à 15:13, par m1a2ig3a En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Par MADOUBA, Très bel article et j’exhorte la gente feminine à faire autant. ELLE EST VRAIMA CANON
12. Le 22 novembre 2012 à 16:52, par Carlos En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Il y aune femme à la tête d’une télévision privée depuis un an déjà...
13. Le 22 novembre 2012 à 19:09, par Le Messager En réponse à : Tribune de la femme - Ayaovi Djifa Akomatrsi, journaliste togolaise : Une plume qui séduit…
Tas d’imbéciles de mâles affamés de femmes des autres. Laissez ma copine tranquille. Madame X a raison, vous voyez sa photo et vous commencez à saliver. J’ai 1m95 avec 92,50 kg, suivez mon regard bande de rancards.
Elle est très professionnelle et très battante, c’est pour cela on la pris comme exemple pour la jeune génération. Courage à toi ma chérie !