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On murmure : L’histoire de division d’un village en deux crée des soucis

Publié le mercredi 29 février 2012 à 01h15min

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Il est revenu à Kantigui que le village de Lahel, de la commune de Kelbo, qui comptait jadis, 12 quartiers, est, depuis le 7 janvier 2011, scindé en deux, par arrêté n° 2011/01/MATDS/SG/DGCAF/DOAT portant érection de localités en villages. Et selon les sources de Kantigui, cette scission fait que le village de Lahel se retrouve avec trois quartiers et le tout-nouveau village né, qui est Bolin, compte neuf quartiers.

Kantigui a eu vent des mécontentements dus à cette situation car la scission serait à l’origine de tension dans la localité. Les populations lancent un cri du cœur afin que la situation soit tirée au clair le plus rapidement possible pour éviter que ça ne dégénère.


Arrivée du secrétaire général d’Interpool au Burkina

De sources sûres, il a été dit à Kantigui que le secrétaire général de l’Organisation internationale de la police criminelle (Interpool), Ronald K. Noble, est arrivé au Burkina Faso, hier nuit. Selon les sources de Kantigui, M. Noble est au Burkina pour une visite de travail de 48 heures. A l’ordre du jour, il sera question du renforcement des capacités du bureau central national d’Interpool. Aussi, il est revenu à Kantigui que Ronald K. Noble sera reçu en audience par le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao et aura également un tête-à-tête avec le ministre en charge de la Sécurité. Pour finir, Kantigui a appris que l’hôte du Burkina sera honoré. Il recevra la distinction de médaille d’honneur de la police.


Le RAJIT a sa section du Burkina

Kantigui a appris qu’il a été créé, conformément aux textes fondamentaux du Réseau africain de journalistes pour l’intégrité et la transparence (RAJIT) adoptés par l’assemblée constitutive, le 26 octobre 2005, au Burkina Faso, une section du RAJIT, dénommée RAJIT-Burkina Faso, en abrégé RAJIT-B. Selon les sources de Kantigui, une assemblée générale a permis de mettre en place le bureau de la section Burkina, composé de cinq personnes, avec deux commissaires aux comptes, le samedi 25 février 2012. Ainsi, Kantigui a ouï dire que la section Burkina est dirigée par son confrère, Tiergou Pierre Dabiré des Editions Sidwaya.

Les autres membres du bureau sont ? : secrétaire administratif, Gabriel Kambou, secrétaire à la communication, Ousmane Diallo, trésorière, Irène Ouédraogo et secrétaire à l’organisation, Frédéric Ilboudo. Ce bureau est appuyé par deux commissaires aux comptes, à savoir Moussa Diallo et Ali Traoré. Kantigui qui a suivi la mise en place de la structure a entendu dire que tout journaliste burkinabè exerçant au Burkina Faso qui accepte les dispositions et objectifs de l’organisation peut être membre de RAJIT-Burkina. Kantigui a cherché à comprendre ce qu’est le RAJIT et s’est rendu compte que l’organisation a été créée, le 26 octobre 2005 à Ouagadougou par une dizaine de journalistes provenant du Burkina, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de la Gambie, de la Guinée, du Mali, du Niger, du Nigeria, du Sénégal, de la Sierra-Leone et du Togo.

Il est la concrétisation d’un appel lancé à Conakry en octobre 2004 par des journalistes du Burkina, de la Guinée et du Niger, réunis à l’initiative de Transparency international. Le RAJIT est une organisation non-gouvernementale, indépendante, apolitique, sans but lucratif, et non-confessionnelle. Il a son siège à Ouagadougou et a été reconnu par récépissé n° 2006_002/MATD/SG/ DGLPAP/ DOASOC du 23 janvier 2006. Il est revenu à Kantigui que le RAJIT a comme vision ? : un journalisme dynamique au service des intérêts des peuples africains et comme mission ? : compléter, accompagner et appuyer la mise en œuvre de tout action visant à lutter contre la corruption et à promouvoir l’intégrité et la transparence. Le réseau nourrit de légitimes ambitions d’être présent dans plusieurs domaines comme ceux des industries extractives, la transparence électorale, la transparence dans les marchés publics… et bien entendu, le professionnalisme dans les médias.


« Princesse » ouvre ses portes ce samedi

Kantigui a appris que l’Espace culturel récréatif Dieudonné, situé au secteur n° 30 de Ouagadougou, non loin de la mairie de Bogodogo, continue son offensive de charme. Ainsi, Kantigui a été informé de l’inauguration de son night club, le samedi 3 mars 2012. Ce night club dénommé « Princesse » offre toutes les commodités d’une soirée réussie.
Kantigui, qui y a déjà fait un tour, est d’avis que ce cadre permet de décompresser, le temps d’un week-end, pour reprendre des forces.


« Insurrection », un ouvrage sur la crise ivoirienne disponible

Il est parvenu à Kantigui, la sortie, le 16 janvier 2012, d’un livre intitulé ?« Insurrection » et disponible dans les librairies Mercures et Jeunesse d’Afrique à Ouagadougou. Selon les informations de Kantigui, l’ouvrage qui résume un pan de la crise ivoirienne sera dédicacé, ce jeudi 1er mars 2012, à 18h, à la direction générale de la coopération, à Ouagadougou. Kantigui a été informé que l’événement est placé sous le parrainage du ministre la Culture et du Tourisme, Baba Hama.


Rencontre des anciens élèves de Song-Taaba

Il est revenu à Kantigui que les anciens élèves du lycée Song-Taaba de Ouagadougou prévoient de se rencontrer, le samedi 3 mars 2011, à 16h, au stade municipal de Ouagadougou. Cette rencontre, a-t-on rapporté à Kantigui, sera un cadre de retrouvailles et de concertations pour des actions futures entre les anciens élèves de Song-Taaba. Les uns et les autres sont informés qu’ils sont attendus à la porte n°1 du stade municipal de Ouagadougou.


Lancement de la 10e édition de la coupe de l’unité et de la fraternité de Dissomey, ce week-end

Il est parvenu à Kantigui que la compétition sportive dénommée, « Coupe de l’unité et de la fraternité », s’ouvre pour la 10e fois, à Dissomey, ce samedi 3 mars 2012. Œuvre de Tiiga Ouédraogo, affectueusement appelé « Adjudant-chef Tiiga », cette compétition se veut un cadre de rassemblement des jeunes de Dissomey et environs pour le développement de la commune de Guiba. Selon les sources de Kantigui, cette initiative, outre les compétitions sportives, a permis la réalisation d’infrastructures routières, scolaires et d’un édifice religieux. En tenant ce pari malgré la conjoncture nationale, a-t-on expliqué à Kantigui, le promoteur a voulu répondre aux besoins de la jeunesse qui, d’année en année, se mobilise autour des idéaux de cet élément du régiment de sécurité présidentielle. Kantigui lance donc un cri du cœur afin que de bonnes volontés se manifestent, une fois de plus, pour marquer d’une pierre blanche ce 10e rassemblement pour une synergie d’actions en faveur du développement endogène.


Rendez-vous vendredi au stade municipal pour la commémoration du Mouloud

Il est revenu à Kantigui que le cheick Mahamoudou Bandé organise la commémoration de l’anniversaire de la naissance du Prophète Mohammed, appelé Mouloud, le vendredi 2 mars 2012 au stade municipal de Ouagadougou, à partir de 20h. Selon les sources de Kantigui, cet événement, qui rassemble des milliers de personnes, se déroulera toute la nuit jusqu’à 6h du matin et sera ponctué de prières et autres bénédictions.


Rumeur de pénurie de carburant : pas de panique, il y a du jus ? !

Une rumeur de pénurie de carburant a traversé la ville de Ouagadougou, le week-end dernier, provoquant des attroupements dans les stations d’essence. Kantigui qui a voulu en savoir davantage a été rassuré qu’il n’en est rien. Kantigui a été en effet informé que le blocage des prix des hydrocarbures à la pompe depuis les troubles sociaux de 2011 provoque la ruée de camionneurs vers le Burkina. Selon des sources dignes de foi, le prix du carburant du Burkina est le plus bas de la sous-région si bien que des consommateurs étrangers n’hésitent pas à venir remplir leurs réservoirs et voyager en toute tranquillité. Du coup, ce sont des milliers de litres qui étaient destinés à la consommation des Burkinabè qui prennent d’autres directions. C’est cette forte pression actuelle sur les hydrocarbures qui fait courir les rumeurs de rupture éventuelle de carburant. Du côté de la nationale des hydrocarbures, on rassure Kantigui que le pays a des réserves satisfaisantes. Le hic, a-t-on fait savoir à Kantigui, c’est que le blocage des prix depuis 2011 fait perdre des milliards de FCFA à la SONABHY, si bien qu’elle risque d’être déficitaire lors de la prochaine Assemblée générale des sociétés d’Etat.

Kantigui

Sidwaya

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