En mai 2011, les travailleurs ont eu la confirmation que l’ECF commercialise des produits finis JUMBO au détriment de SIBEA, agissement qui met les comptes bancaires de la structure au rouge, annonçant ainsi le chômage. Depuis lors, c’est la misère : 5 mois sans salaire, ce qui met à rude épreuve la vie de ceux dont ils ont la charge. En attendant que la situation connaisse un dénouement heureux à la justice où se trouve l’affaire, les travailleurs, à travers ce point de presse, ont formulé 3 revendications à savoir le paiement de leurs arriérés de salaires par le recouvrement de plus de 300 millions de francs CFA détenus par ECF, la réouverture de la SIBEA et la réinsertion de leurs enfants chassés de l’école.

Circulation routière : Yannick Sankara victime d’un accident de circulation

Le dimanche 4 décembre 2011, alors que notre reporter Yannick Sankara revenait de Dori où se sont déroulés le Forum national des jeunes et le festival Denké-Denké, il a été victime d’un accident de la circulation. En effet, le car qui transportait l’équipe de journalistes s’est arrêté à quelques encablures de Kaya pour un contrôle, et Yannick Sankara, en voulant traverser la chaussée, a été grièvement percuté. Emmené dans un premier temps au Centre hospitalier régional de Kaya, il a été enfin évacué de toute urgence à l’hôpital Yalgado Ouédraogo de Ouagadougou où il suit des soins. A l’heure où nous tracions ces lignes, sa vie était hors de tout danger ; et, nous implorons le bon Dieu pour que notre confrère sorte rapidement de l’hôpital avec une santé de fer.

Association Elites africaines : un cadre de réflexion des intellectuels

L’Association Elites africaines est une organisation de la société civile qui a été portée sur les fonts baptismaux le 20 mars 2011, à Ouagadougou. Cette association se veut un cadre de réflexion et de proposition dans tous les domaines qui interpellent les élites africaines. Aussi entend-elle promouvoir l’émergence d’une nouvelle élite africaine engagée pour bâtir des nations africaines authentiques et modernes par la vulgarisation des valeurs et principes généraux exprimés dans sa charte.

Un chef enfume ses collègues de service

Dans une grande société de la place, un chef de service a une attitude désobligeante à l’égard de ses collègues. L’homme, grand fumeur, devant l’éternel, n’a jamais voulu se plier à l’interdiction de fumer dans tout le service. Il enfume royalement ses collègues, mais comme c’est un chef, les petits agents ont du mal à le rappeler à l’ordre. Tant pis pour les asthmatiques et les agents à qui cela crée des désagréments.

Campagne de sensibilisation de la police municipale

Dans le cadre de la campagne de sensibilisation "grand public", la police municipale a entrepris de multiples actions pour une meilleure connaissance de ses missions auprès des populations. A cet effet, une équipe d’animation sillonne les différents quartiers de la ville, conformément à un programme mensuel préalablement établi.

Bibliothèques pour pasteurs : des bibles aux servants et servantes du Seigneur

Les servants et servantes du Christ issus des églises protestantes étaient venus des régions du Sud-Ouest, des Cascades, de la Boucle du Mouhoun et des Hauts-Bassins, pour recevoir "le pain spirituel", à travers la deuxième conférence bibliothèque pour pasteurs, tenue du 22 au 24 novembre 2011 à Bobo-Dioulasso. La cérémonie d’inauguration a été marquée par la remise des documents bibliques à 700 pasteurs, pour la continuité de l’évangile dans le monde. Compte tenu de l’importance et du rôle de la bible dans la vie chrétienne, le président du comité d’organisation, Nicodème Soulama a, d’entrée de jeu, souhaité l’implication des directeurs des écoles bibliques, et des librairies évangéliques pour le choix des livres aux prochaines éditions. Trois jours durant, les participants ont renforcé leurs connaissances dans la spiritualité avec des orateurs de renommée comme le pasteur Jean-Marc du Canada, Job Ilboudo et Jean Tarnaba du Burkina.

Tribunal de grande instance de Dédougou : SOS pour un interprète

Cela fait bientôt 3 mois que le Tribunal de grande instance de Dédougou est sans interprète ; son seul et unique interprète ayant réussi à son concours professionnel. Depuis lors, les juges sont obligés de demander aux bonnes volontés de les appuyer pour la tenue des différentes audiences comme le prescrit la loi. Malheureusement, ces interprètes ad hoc ne sont pas toujours à la hauteur des attentes. Certains ont de la peine à se faire entendre, s’ils ne trahissent pas simplement les idées ou les propos des justiciables. Face à une telle difficulté et pour une bonne administration judiciaire, il faut en finir avec ces interprètes ad hoc

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