Vos commentaires

• 1. Le 24 avril 2022 à 17:03, par Tengbiiga En réponse à : Terrorisme au Burkina : Le détachement militaires de Gaskindé attaqué

  Juste une question : combien de terroristes ont été tués ?

• 2. Le 24 avril 2022 à 18:01, par TANGA En réponse à : Terrorisme au Burkina : Le détachement militaires de Gaskindé attaqué

  Du courtage à nos fds et VDP.
  Lefado.net, d’où est ce que vous obtenez les informations et les cartes ?
  Qui d’autre l’armée vous donne les cartes avec les informations ?
  Voyez comment Ouagadougou est écrit.
  Lefasi.net, vous avez des sources qui ne soient pas Burkinabè ?

• 3. Le 24 avril 2022 à 18:02, par TANGA En réponse à : Terrorisme au Burkina : Le détachement militaires de Gaskindé attaqué

  Du courtage à nos fds et VDP.
  Lefado.net, d’où est ce que vous obtenez les informations et les cartes ?
  Qui d’autre l’armée vous donne les cartes avec les informations ?
  Voyez comment Ouagadougou est écrit.
  Lefasi.net, vous avez des sources qui ne soient pas Burkinabè ?

• 4. Le 24 avril 2022 à 18:23, par Alain k En réponse à : Terrorisme au Burkina : Le détachement militaires de Gaskindé attaqué

  Rien n a change depuis l avenement des pretendus sauveurs. Que Dieu sauve le Burkina

• 5. Le 24 avril 2022 à 18:32, par Yaabi En réponse à : Terrorisme au Burkina : Le détachement militaires de Gaskindé attaqué

  Sincères condoléances aux familles éplorées, que par la miséricorde de Dieu les âmes des défunts reposent en paix. Que Dieu réconforte les familles et donne aux blessés la santé.

  Constat de profane : les attaques se font généralement au petit matin et/ou pendant/après une escorte

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• 6. Le 24 avril 2022 à 20:35, par HUG En réponse à : Terrorisme au Burkina : Le détachement militaires de Gaskindé attaqué

  Toujours les mêmes tactiques et il y a des morts mais on ne change pas.La plupart des attaques on lieu vers 4 heures et 5 heures.Que font les sentinelles ? Que s est il passé ?

• 7. Le 24 avril 2022 à 22:36, par Sidbala En réponse à : Terrorisme au Burkina : Le détachement militaires de Gaskindé attaqué

  Dans cette lutte, nos dirigeants doivent faire très attention à leur langage. Les dernières sorties du ministre d’Etat Yéro Boli et du porte-parole du gouvernement peuvent motiver les terroristes à plus d’actions. Pourquoi dire qu’on ne négocie pas avec les terroristes ? Pourquoi dire que des terroristes veulent déposer les armes et pour ce faire, ils cherchent à entrer en contact avec des leaders locaux ? Pourquoi dire qu’en plus de chercher à dialoguer, la lutte armée continue ? Eh bien ! Voilà là, la réaction des terroristes. Si dialogue il doit y avoir, évitez chers membres du gouvernement de jeter de l’huile sur le feu et je m’adresse là particulièrement au porte parole du gouvernement qui a un langage des plus véhéments qui n’incite pas au dialogue.

• 8. Le 25 avril 2022 à 00:46, par Dibi En réponse à : Terrorisme au Burkina : Le détachement militaires de Gaskindé attaqué

  La question se pose : que faut-il espérer de Damiba, son gouvernement et son MPSR ?
  Généralement assis, calé dans un fauteuil doré, sous la climatisation de son bureau, on a l’impression qu’il passe son temps à recevoir des hôtes et autres missions des structures d’intégration (CEDEAO, CE, UE, FMI… et ONG diverses) de notre pays au Grand capital ; comme s’il ne tenait la légitimité de son pouvoir que de ces structures de prédations impérialistes et néocoloniales.
  Cette posture lui sied bien et correspond à une certaine culture socio-anthropologique de chez nous. Le chef doit montrer au peuple et à la cour, l’importance de son rayonnement local et international. L’importance des audiences diplomatiques de cour qu’il donne et qui satisfont à son égo. L’égo du "pouvoir sur scène" comme dirait G. Balandier, un des grands anthropologues de l’Afrique.
  Mais dans le contexte actuel du Burkina-Faso, on attend autre chose de Damiba, que ces moments protocolaires quasi mondains qui n’ont rien à voir avec les preuves d’un activisme volontaire et offensif de sa lutte contre le djihadisme islamiste égorgeur et chasseur de vies dans nos campagnes tenues par la peur et la mort. Et c’est cela seulement qui donnera une base de reconnaissance et de légitimité à son pouvoir. C’est cela qui le fera rentrer dans l’histoire et non les mondanités protocolaires de visites de personnalités généralement porteuses d’étiquettes néocoloniales.
  On espère que Damiba, son MPSR, et tout son gouvernement ne se résument pas qu’à cela : un pouvoir ordinaire tenu par une routine administrative classique. On a envie de les voir prendre des mesures fortes et non des happenings de mondanités protocolaires pour demander de l’aide à des ONG et à des Diplomates occidentaux, dans la lutte contre les forces terroristes qui endeuillent tous les jours le pays. Un paradoxe et un comble qui fait dire que Damiba ne sait pas le combat qu’il doit mener.
  On ne demande pas l’aide à ceux-là mêmes qui équipent, arment et renseignent les chacals qui tuent et égorgent nos populations. On les combat suivant les règles de la guerre et non selon les principes des droits de l’homme prêchés par leurs ONG humanitaristes qui font partie de leurs armes de guerre contre nous et contre nos pays !
  Avec les Occidentaux, les hésitations, le manque de déterminations se payent par le viol et le mépris. Ils ne connaissent que la logique de leurs propres intérêts de vol, de mensonge et de prédation. Et si Damiba croit bien faire, en bernant et en trompant notre peuple, pour l’heure, les Occidentaux le flattent, le caressent ; et le moment venu, ils le lâcheront et le piétineront en le criminalisant.
  C’est leur morale, réduite à la prédation capitaliste et néocoloniale. Elle leur sert de boussole unique. Il en va de même avec la pourriture compradore endo-coloniale qui sert le MPSR aux affaires. Et le sursaut urge !
  Na an lara, an sara !
  La patrie ou la mort !