LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Avec de la persévérance et de l’endurance, nous pouvons obtenir tout ce que nous voulons.” Mike Tyson

Harouna Napon bientôt en essai à Bordeaux

Publié le mercredi 4 mai 2005 à 07h49min

PARTAGER :                          

Actuellement, les championnats européens tirent inexorablement vers leur fin. Les équipes connaissent maintenant les compartiments à renforcer pour la saison prochaine et s’attellent déjà aux contacts pour les recrutements et essais. Kantigui a ouï dire que le jeune Harouna Napon, latéral gauche du Santos FC intéresse les Girondins de Bordeaux.

Napon devra incessamment s’envoler pour la France où il ira donc effectuer des tests en Gironde. Le jeune Burkinabè (il a moins de 17 ans) travaille actuellement la condition physique car il sait que c’est là que se fera la différence entre lui et ses autres concurrents. Mais là où Kantigui exprime son indignation et crache sa colère, c’est le fait que l’encadrement technique des Etalons cadets ait choisi délibérément d’écarter Napon après la qualification de l’équipe pour les phases finales de la CAN des cadets qui aura lieu bientôt en Gambie.

Alors que le jeune latéral gauche du Santos FC était l’une des pièces maîtresses de l’équipe aux phases éliminatoires. L’incorporer dans la formation qui est en route pour la Gambie aurait constitué pour son dossier et son CV, un avantage non négligeable. Mais Harouna Napon se confiant à Kantigui, s’est dit moralement fort et compte être en forme pour aborder ses tests.


Où est passé le président du RPP/Gwassigui ?

Kantigui se pose la question parce que depuis 2003, Youssoufou Diawara, fondateur et président du Rassemblement populaire pour la prospérité (RPP)/Gwassigui n’a plus été revu à Sya alors qu’il y a des élections en vue (présidentielle et municipales). Et pourtant, le parti, créé en grande pompe en 2001 à Bobo-Dioulasso, avait pris part aux législatives de 2002.

Kantigui qui voyait dans ce parti, un autre son de cloche sur l’échiquier politique bobolais a vite déchanté puisque son premier responsable ne donne plus signe de vie. Aux dernières nouvelles, Youssoufou Diawara serait au Congo-Brazzaville comme conseiller du président Denis Sassou N’Guesso. D’autres personnes ont plutôt fait savoir à Kantigui que le président Diawara se trouverait du côté du Mali voisin où il se la coulerait douce. Qui dit vrai alors ? s’interroge Kantigui.


Sié Offi Somé de retour à Bobo

La joie de Kantigui a été grande lorsqu’il a aperçu Sié Offi Somé, un confrère journaliste travaillant pour le compte de l’ONG Terre des Hommes, il y a quelques jours dans les rues de Bobo-Dioulasso. Evacué de Bobo à Ouaga pour raison de santé, puis en Europe, Sié Offi Somé nous est revenu au Burkina en pleine forme. Kantigui salue le retour de ce confrère à Sya. Sié Offi Somé, qui a longtemps travaillé à Sidwaya et à "Enda Tiers monde" (à Dakar) est un journaliste pétri d’expérience. Kantigui lui souhaite donc une bonne reprise à Terre des Hommes.


Monsieur le maire, le 15 juin n’est plus très loin

Kantigui rappelle au maire de Bobo-Dioulasso qu’il a annoncé la fin des chantiers de la commune pour le 15 juin 2005 au cours de son dernier point de presse. Kantigui qui prend à la lettre, ses déclarations se demande bien si le délai fixé pourra être respecté.

En effet, en dehors du chantier de l’hôtel de ville qui a connu une avancée notable avec la pose des carreaux sur les façades du bâtiment, les autres n’ont pratiquement pas évolué depuis ces échanges entre le bourgmestre de Sya et les hommes de médias. L’avenue Louveau n’est toujours pas bitumée et les voies en construction aux secteurs 10 (Yéguéré) et 22 n’ont connu aucun changement notable.

Or, la date du 15 juin approche inexorablement. Plus qu’un mois et quelques jours. Il est vrai qu’il n’est pas encore trop tard, mais comme Saint Thomas, Kantigui attend de voir la fin des différents chantiers de la commune pour y croire.


Pourquoi "Clin d’oeil" n’arrive plus à Bobo ?

Kantigui constate avec regret que depuis un certain temps, "Clin d’oeil", cette revue qui donne le programme mensuel de la télévision nationale n’est plus disponible à Bobo-Dioulasso. Cela est-il dû au fait que cette publication de la RTB est distribuée gratuitement maintenant ?

Kantigui est fondé à le croire d’autant plus qu’auparavant, il n’y avait jamais rupture à Bobo tant que "Clin d’oeil" était vendu. Maintenant que c’est gratuit, on préfère ne servir que les téléspectateurs de Ouagadougou tandis que ceux de Bobo en sont privés, d’où des grincements de dents dans la capitale économique. Aussi, Kantigui suggère -t - il que désormais, "Clin d’oeil" soit par exemple distribué comme supplément aux abonnés de Sidwaya de Bobo-Dioulasso. Cela pourrait être un début de solution.


* Me Djibril Lankoandé radié de l’Ordre des avocats

Kantigui qui suit de près, les activités de l’Ordre des avocats, a appris la radiation de Me Djibril Lankoandé, du tableau de l’Ordre des avocats du Burkina. La sanction a été prise lors d’un conseil de discipline tenu à huis clos, vendredi 29 avril 2005 à la Maison de l’avocat, sur convocation de Me Barthélemy Kéré, bâtonnier de l’Ordre.

Lisez plutôt le compte-rendu des reproches qui sont faits à Me Djibril Lankoandé qui n’est plus admis à défendre la veuve et l’orphelin au Burkina Faso.

Que reproche-t-on à Me Djibril Lankoandé ?

1°) - De l’extorsion de la somme de 1 000 000 de F CFA sur la personne de Dame Xu Vian Wen ; Me Lankoandé Djibril a perçu de Dame Xu Vian Wen, la somme de 1 000 000 de F CFA au motif que ladite somme devait servir à "motiver" le magistrat en charge de son dossier. Suite à une audition contradictoire des protagonistes le 04 septembre 2004 par le Conseil de l’Ordre, il est apparu entre autres que :

- la sollicitation de cette somme de 1 000 000 de F CFA par Me Djibril Lankoandé a été faite par l’intermédiaire d’au moins deux personnes ;

- l’argent a été remis entre les mains de Me Djibril Lankoandé par Sawadogo Abdouramane dit Baba préposé de Dame Xu Vian Wen dans un maquis situé à proximité du siège de Celtel ; l’avocat n’a pas délivré de quittance ;

- L’argent a été perçu en vue de la corruption de magistrats ; le principe de ce genre d’entreprise étant l’extrême discrétion, il n’est pas étonnant que l’avocat n’ait pas établi de quittance de paiement.

- Mme Xu a été défendue par Me Djibril Lankoandé ; elle a gagné son procès ; elle ne peut inventer des faits aussi graves à l’encontre de son avocat d’autant moins qu’elle reconnaît par ailleurs avoir reçu quittance de la somme de 750 000 F CFA représentant le montant des honoraires de l’avocat ;

Maître Djibril Lankoandé a encaissé des sommes d’argent dans sa voiture ou sur le bureau de sa cliente moyennant des reçus dits provisoires, jamais régularisés ; il a transformé sa voiture en cabinet d’avocat ambulant, déniée de toutes règles professionnelles, ce qui est de nature à le placer dans des conditions favorables à l’indélicatesse, l’absence de probité et le mépris de l’honneur ;

2°) - Il est ensuite reproché à Djibril Lankoandé d’avoir endossé à son profit, des chèques FONCIAS libellés au nom de Dame veuve Yempoaka Rosalie et Dame veuve Compaoré Tibo Adèle ; après quoi il s’est servi 50% de l’indemnité d’assurance payée par la FONCIAS à ses clientes.

Me Djibril Lankoandé a fait preuve de mauvaise foi caractérisée lorsqu’il a été interpellé par le Conseil de discipline relativement à ces endossements ;

- il a d’abord affirmé devant le Conseil de l’Ordre qu’il n’avait pas compris que le conseil lui demande copie des chèques endossés ;

- il a ensuite déclaré avoir envoyé les ’chèques incriminés sous pli à Me Adolphe René Ouédraogo, rapporteur du Conseil de l’Ordre ; ce pli n’est jamais parvenu aux mains du rapporteur ;

- c’est en vain que le Bâtonnier lui a demandé, avec insistance, de lui transmettre directement copie des chèques incriminés ;

- lors du conseil de discipline il lui a été demandé en vain, de montrer lesdits chèques et que Me Djibril Lankoandé est resté silencieux sur toutes ces demandes ;

- le banquier, la BOA en l’occurrence, qui a été interpellé pour la production des chèques a évoqué le secret bancaire tout en reconnaissant l’inopposabilité dudit secret à Me Djibril Lankoandé qui peut demander et obtenir copies des chèques en cause ; Me Djibril Lankoandé qui est donc en situation de produire la copie des chèques endossés s’obstine à refuser de le faire ;

De tout ce qui précède, le Conseil de discipline a constaté le désir manifeste de dissimuler les chèques endossés afin de les soustraire à l’examen et au contrôle du Conseil de l’Ordre ; le tout vise à dissimuler le caractère irrégulier des endossements qui ont permis de retenir contre l’accord des clients, les sommes d’argent leur appartenant.

3°) - De la non représentation de l’indemnité d’assurance due aux ayants droit de Yaméogo Saïdou et ayants droit de Kologo Sagdo.

Entendu que dans la plainte des ayants droit de Yaméogo Saïdou et de Kologo Sagdo, la situation se présente ainsi qu’il suit :

a) le dossier de feu Yaméogo Saïdou

- indemnité versée par la SONAR le 28 août 1998 = 5 792 716 F CFA

- honoraires facturés par Djibril Lankoandé = 2 520 085 F CFA

- reversement effectué par l’avocat le 24/12/2000 = 1 005 000 F CFA

- reliquat à verser aux ayants droit = 2 267 631 F CFA

Malgré les incessantes réclamations, Me Djibril Lankoandé détient toujours par devers lui, la somme de 2 267 631 F CFA de façon injustifiée et ce, depuis près de 7 ans ;

b) le dossier de feu Kologo Sagdo

- indemnité versée par l’UAB, le 07 décembre 1999 = 8 926 280 F CFA

- honoraires facturés par Djibril Lankoandé = 3 296 600 F CFA

- paiement effectué par l’avocat le 24/11/2001 = 2 000 000 F CFA

- reliquat à verser aux ayants droit = 3 629 680 F CFA

Malgré les incessantes réclamations, Me Djibril Lankoandé détient toujours par devers lui, la somme de 3 629 680 F CFA de façon injustifiée et ce, depuis près de 6 ans ;

Le fait pour Me Djibril Lankoandé de se faire remettre de l’argent par sa cliente en lui offrant de corrompre le magistrat constitue un manquement à l’honneur et à la probité justifiant de prononcer contre lui, la peine de radiation.

Le fait pour lui de ne pas pouvoir représenter les fonds appartenant à ses clients dont il est dépositaire et dont il s’est approprié abusivement depuis de longue date constitue des fautes contre l’honneur, la probité et la délicatesse ;

Les fautes contre l’honneur, la probité et la délicatesse justifient de prononcer contre lui, la peine disciplinaire de la radiation et d’en ordonner la publication afin de donner l’information aux justiciables, aux avocats et aux juridictions pour permettre une bonne administration de la justice.


* PDP/PS : 15 mousquetaires pour la campagne présidentielle

Kantigui a aperçu dans ses investigations, un communiqué du PDP/PS, le parti du Pr El Hadj Ali Lankoandé nommant les personnes chargées d’organiser et d’animer la campagne présidentielle du 13 novembre 2005. Kantigui vous donne la composition des différentes coordinations.

Coordination nationale

1 Directeur national

Ouindélassida François Ouédraogo

2 Directeur national adjoint

Dr Alain Zoubga

Coordinations régionales

1 - Cascades : Siriki Cyrille Ouattara

2 - Centre : Innocent Ouédraogo

3 - Centre-Est : Sébastien Zabsonré

4 - Centre-Nord : T. Boureima Sawadogo

5 - Centre-Ouest : Gaspard Badolo

6 - Centre-Sud : Théophile Dentiogué

7 - Est : Fidèle Lankoandé

8 - Hauts-Bassins : Dr Félix Ouédraogo

9 - Mouhoun : Mme Suzanne Coulibaly née Kondé

10 - Nord : Pr Alain. N. Sawadogo

Il - Plateau central : Ousmane Sinaré

12 - Sahel : Gorkoléré Hama Maïga

13 - Sud-Ouest : Pr Blaise Somé.

Le Président National,
Pr El Hadj Ali LANKOANDE


* Attribution de parcelles au secteur 17 de Ouaga : les populations réclament une commission d’enquête pour situer les responsabilités

Kantigui dans ses balades, à constater de visu que suite au lotissement social effectué dans l’arrondissement de Boulmiougou, secteur 17 de Ouagadougou, les populations bénéficiaires ne sont pas du tout contentes de l’attribution des parcelles.

Les mécontents se sont réunis autour d’un mouvement pour dénoncer ce qu’ils appellent une mascarade et un trouble à l’ordre social. Se sentant lésés, désorientés les résidents des sections 323 et 324 affirment ne pas comprendre pourquoi les parcelles qui devraient leur être attribuées seraient purement et simplement rétrocédées à d’autres demandeurs non résidents qui proposeraient des pots-de-vin aux membres de la commission d’attribution.

Ils pensent qu’une telle attitude ne contribue en rien à la lutte contre la corruption, d’autant plus, disent-ils, le lotissement aurait été initié pour eux. Kantigui a ouï dire que les résidents du secteur 17 crient donc à la corruption, à l’enrichissement illicite des membres de la commission d’attribution et à une gestion opaque. Selon des témoignages faits à Kantigui, tout serait parti du fait que des résidents des sections 323 et 324 se seraient vu sommés de déguerpissement immédiat au motif que leurs parcelles sont situées sur des voies publiques.

Et le comble dans ce tohu-bohu qui ne dit pas son nom, c’est qu’ils auraient été contraints pour la plupart, à s’installer à plus de dix kilomètres du site initial où ils auraient été recensés. Les résidents ne comprennent pas non plus pourquoi les promesses de construction de forages, d’écoles, de centres de santé sont laissées à la traîne. Sur 40300 parcelles dégagées, les recensés, toutes catégories confondues (série A , D et E), seraient 39979. Et les résidents de s’interroger pourquoi les autorités accusent un manque de parcelles pour les jeter à Bika, à une dizaine de kilomètres plus loin. Kantigui promet de suivre cette affaire de parcelles à Boulmiougou de près...


*Affaire des fausses plaques : plus de 2000 engins dans le "deal"

La semaine dernière, Sidwaya avait été témoin de l’arrestation de délinquants qui avaient pris la vilaine habitude de délivrer des cartes grises et autres plaques d’immatriculation frauduleusement.

Kantigui dans ses recherches a appris de ces bandits que la manœuvre aurait concerné plus de 2 000 engins dans tout le Burkina. Chaque moto coûtant 100 000 F au propriétaire. Faites donc le compte.

C’est pourquoi à travers des investigations Kantigui a, par ailleurs, appris que ces personnes à la moralité très douteuse sont passées en un temps record de la marche à pied à la Mercedes. Tout en félicitant nos forces de sécurité, Kantigui exhorte celles-ci à user de tous les moyens pour retrouver tous ces engins qui circulent dans l’illégalité et que le reste de la bande passe aussi au "chaud". Parole de Kantigui.


* Le président du CSI à Maputo

Kantigui a ouï dire que le président du Conseil supérieur de l’information, Luc Adolphe Tiao participe du 3 au 5 mai 2005 à Maputo, au Mozambique à la troisième session des instances africaines de régulation et à la deuxième conférence du Réseau des instances africaines de régulation de la communication (RIARC).

La rencontre des instances africaines de régulation de la communication se penchera sur le thème : "Quel contenu réel donner à la régulation face à la convergence des technologies". Les présidents de ces institutions, à ce qu’il paraît, examineront... l’activité du secrétaire exécutif du réseau et fixeront les date et lieu de la tenue prochaine des instances statutaires.


* Les salles de conférences et des banquets de Ouaga 2000 fermées jusqu’à nouvel ordre

Kantigui a eu connaissance d’une décision du ministre des Infrastructures, des Transports et de la l’Habitat. Décision qui ne fera pas que des heureux. En effet, cette décision du ministre annonce la suspension jusqu’à nouvel ordre, de l’utilisation de la salle de conférences et de la salle des banquets, en attendant les nouvelles dispositions relatives à l’exploitation des infrastructures du complexe du Centre international de conférence de Ouaga 2000 (CCIC). Kantigui qui suit le dossier de près, espère que l’attente ne sera pas longue pour les utilisateurs de ces 2 prestigieuses salles.


* Différend entre la SONABEL et les opérateurs économiques de Pouytenga

Kantigui a appris qu’entre les opérateurs économiques de Pouytenga et la SONABEL, ce n’est pas la lune de miel. Cette mésentente serait liée aux clauses abusives de contrat. Les opérateurs économiques de la région ont profité d’une rencontre d’information organisée par la Commission nationale de la concurrence et de la consommation (CNCC) à Pouytenga, jeudi 25 avril 2005, pour exposer le problème.

Cette rencontre portait sur les nouvelles lois dans l’espace UEMOA. Les opérateurs économiques de Pouytenga ont ainsi exprimé leurs préoccupations dont celle liée aux clauses abusives de contrat de certaines sociétés notamment la SONABEL. Ils ont demandé à la CNCC d’agir et au plus tôt.


* Manque d’eau au CMA de Boromo

Kantigui a appris que le Centre médical avec antenne chirurgicale (CMA) de Boromo manque d’eau courante depuis une semaine. Cette pénurie serait plus récurrente au bloc opératoire où les agents de santé de ce service sont obligés de payer de leur propre poche la barrique d’eau à 500 F CFA pour satisfaire les besoins à chaque intervention.

Kantigui n’arrive pas à comprendre pourquoi des services comme la Gendarmerie, l’Environnement ne connaissent pourtant pas cette situation. Fatigué de dépenser leur argent, le personnel du bloc opératoire menacerait de suspendre ses activités pour attendre "l’or bleu" au robinet. D’où la psychose qui règne au sein des nombreux patients. Kantigui qui est allé aux sources a ouï dire du côté de l’Office national de l’eau et de l’assainissement (ONEA) que le CMA dépendrait d’un château-d’eau autonome. Malheureusement, ce réservoir qui n’est pas du ressort de l’Office ne serait pas fonctionnel depuis un certain temps.

Kantigui
Sidwaya

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 6 mai 2005 à 17:01, par cwousmane En réponse à : > Harouna Napon bientôt en essai à Bordeaux

    Du courage cher Harouna Napon dans ton essai à Bordeaux. Oublie un peu toutes ces brimades dont peuvent être victimes les espoirs burkinabé qui ne cherchent qu’à s’imposer hors de nos frontières. IL ne fait aucun doute que ta place dans l’effectif qui part en Gambie aurrait été un grand coup de piston. Mais sache que moi j’en appelle plus aux hommes de média afin qu’ils assurent une plus grande médiatisation de cet essai. Car voyez vous, c’est ce qui manque beaucoup pour les burkinabé. Et je dit celà par rapport à l’expérience marocaine que je connais bien. Alors vous les hommes de presse et des média, couvrer le de façon à l’imposer. Repportage et interview de ses encadrants et coéquipiers lors de cet essai.

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique
Développement : SOS pour la route Pouytenga-Bogandé
Portées disparues : Fati et Mounira ont été retrouvées