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POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

Publié le vendredi 8 avril 2011 à 02h45min

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Dans la nuit du dimanche 3 avril dernier, alors que le couvre-feu avait été levé, un homme en tenue militaire et armé d’une kalachnikov a fait irruption dans un maquis à proximité du Jardin Ouaga 2000 situé sur le boulevard France-Afrique. Arme au poing, il a indiqué au jeune gérant qu’il y avait un couvre-feu, avant d’exiger la caisse. Le jeune homme lui a fait comprendre qu’il n’y avait rien dans la caisse.

C’est à ce moment que l’homme en tenue militaire s’est emparé d’un appareil de musique comme butin et a pris la fuite grâce à sa moto, en se dirigeant vers Ouaga 2000. Un homme qui était sur les lieux s’est mis à sa poursuite avec sa moto en criant au voleur ! Et c’est aux feux tricolores, au niveau de la station Petrofa, en voulant tourner à droite pour prendre la direction de Pissy, que l’homme en tenue militaire a chuté. Il a été tout de suite encerclé et une patrouille qui était dans la zone l’a embarqué. Selon les dernières informations, l’homme en tenue militaire, qui s’est transformé en braqueur, se trouverait dans une cellule où il médite certainement sur son sort.


Les acteurs du monde judiciaire reprennent du service lundi

A l’issue d’une rencontre tenue le jeudi 7 avril, les différents syndicats de magistrats et d’avocats du Burkina qui avaient décidé, on s’en souvient, de suspendre toute activité juridictionnelle, suite à la manifestation des militaires ayant conduit à la libération de six des leurs condamnés en justice, ont décidé de lever leur mot d’ordre de grève. Selon nos sources d’information, tous les militaires qui avaient été libérés aussi bien à Ouaga qu’à Fada N’Gourma ont réintégré leurs geôles respectives. Aussi le gouvernement a-t-il mis les bouchées doubles pour renforcer la sécurité des magistrats et avocats au sein des Palais de justice et ce, en revoyant à la hausse les effectifs des GSP qui y étaient déployés, et en dotant ceux qui n’en disposaient pas. Selon toujours nos sources d’information, un conseil extraordinaire de la magistrature est convoqué pour le 19 avril prochain. Autant de raisons, apprend-on, qui ont motivé les acteurs du monde de la justice à suspendre leur mot d’ordre de grève pour reprendre leurs toges dès lundi.


Tertius Zongo devant les députés le 28 avril

Plusieurs fois reporté à cause des événements de février et mars 2011, le discours sur la situation de la Nation du Premier ministre, Tertius Zongo, a été renvoyé au 28 avril prochain à 10h. L’information vient de la direction de la communication de l’Assemblée nationale. Il est prévu au programme de la 1re session parlementaire, l’élection du bureau de l’Assemblée nationale et le renouvellement des commissions, le jeudi 26 mai 2011, avant la clôture prévue le 30 mai 2011 à 16 h.


JCI : le président mondial au Burkina

Le président mondial 2011 de la Jeune chambre internationale (JCI), Kentaro Harada, séjournera au Burkina du 10 au 13 avril 2011. Cette mission de travail, organisée par le Bureau mondial de Saint-Louis (Missouri, Etats-Unis), vise, d’une part, à conforter les membres de la JCI sur les idéaux de l’organisation axés sur la citoyenneté active et, d’autre part, à renforcer les relations de coopération avec les autorités et les partenaires au Burkina. Le programme très chargé du président (qui est de nationalité japonaise) prévoit des audiences avec de nombreuses personnalités politiques, diplomatiques et des hommes d’affaires burkinabè ainsi qu’avec le président du Faso. Le groupe de presse "Le `Pays" aura l’honneur d’accueillir M. Harada dans ses locaux. La JCI/Burkina est une organisation apolitique de plus de 800 membres actifs âgés de 18 à 40 ans, dont la mission est d’offrir des opportunités de développement aux jeunes en leur donnant la capacité de créer des changements positifs. La JCI regroupe plus de 200 000 membres de diverses origines, répartis dans plus de 110 pays.


Balkuy : Des cultivateurs accusent la SOCOGIB d’expropriation de terres

Les Editions " Le pays" ont reçu le 7 avril 2011, le président des cultivateurs de Balkuy, Alexis Ouédraogo, accompagné de Ernest Ouédraogo. L’objectif de leur visite au journal était, ont-ils dit, de porter à la connaissance de l’opinion publique l’expropriation de leurs terres par la Société de construction et de gestion immobilière du Burkina (SOCOGIB). Une cinquantaine de paysans de Balkuy accusent la SOCOGIB de les avoir expropriés de leurs terres. "La SOCOGIB a pris nos terres en 2006. Depuis cette date, toutes les tentatives de résolution du problème sont restées vaines", a indiqué le président des cultivateurs de Balkuy, Alexis Ouédraogo. Selon ses explications, ce sont 240 hectares de terre que la SOCOGIB a arrachés des mains de 53 paysans de Balkuy. Face à cette situation, les propriétaires des terres, a-t-il relevé, ont rencontré les responsables de la société qui avaient promis de leur donner d’autres terres.

Mais jusque-là, rien n’est fait dans ce sens. Pire, la société qui a déjà parcellé les terres et commencé à ouvrir les voies, a-t-il révélé, envoie des forces de l’ordre intimider les paysans chaque fois qu’ils veulent manifester leur mécontentement. Il a soutenu que le maire de Ouagadougou, Simon Compaoré, ainsi que le maire de l’arrondissement de Bogodogo que les paysans ont rencontrés, ont montré leur impuissance face au problème. Une lettre a été également adressée au ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation. Malheureusement, aucune suite n’a été donnée à celle-ci, a déploré Alexis Ouédraogo. Il a laissé entendre que la SOCOGIB avait aussi pris les terres de certains peulhs de Balkuy. Mais ces derniers, a-t-il affirmé, ont été dédommagés. Le président des cultivateurs de Balkuy a, par ailleurs, fait savoir que les paysans comptent organiser une manifestation le samedi 9 avril pour exprimer leur mécontentement. Et de prévenir que la SOCOGIB sera responsable des conséquences qui en découleront.


LCB : la section du Zondoma réinstallée

Le samedi 02 avril 2011 a eu lieu à Gourcy le renouvellement du bureau de la section de la Ligue des consommateurs du Burkina (LCB) de la province du Zondoma. C’était lors d’une Assemblée générale (AG) rehaussée par la présence de représentants du bureau exécutif national de la LCB. Vingt-quatre personnes ont pris part à l’AG qui s’est tenue à l’école du secteur 5, en présence de deux membres du bureau exécutif national : Abdoulaye Mosse, 2e vice-président chargé des sections et Alassane Traoré, secrétaire chargé des finances et de la comptabilité. Avant la mise en place du nouveau bureau, ces derniers ont fait un état des statuts et du règlement intérieur de la structure. Ils ont, par ailleurs, déploré l’absence de bilan, soit-il moral ou financier, du précédent bureau. Cette situation serait due à l’absence du président sortant, absent de la province depuis un certain temps pour raison de service. Par vote à main levée, un bureau de six membres, dirigé par Souleymane Ouédraogo, a été mis sur pied pour un mandat de trois ans. Il se compose de la façon suivante : Président : Souleymane Ouédraogo Secrétaire Général : Fulbert Yampa Responsable des réclamations et du suivi des plaintes : Abdou Rasmané Kouka Ouédraogo Responsable à l’information et à la communication : Tiendrébeogo Cathérine Responsable à l’organisation : Issaka Mandé "Son" Secrétaire chargé des finances et de la comptabilité : Blaise Ouédraogo


SAMAE : "notre justice appartient à un tout sociopolitique qui doit faire sa mue"

Ceci est une déclaration du Syndicat autonome des agents du ministère des Affaires étrangères (SAMAE) qui, on s’en souvient, avait organisé en 2007 une marche jugée inopportune par l’autorité. Ledit syndicat, quatre ans après, tient à "commémorer l’anniversaire de l’expulsion de ses 105 militants".

Le 10 avril 2007, le SAMAE avait organisé une marche autorisée par toutes les autorités compétentes, en vue d’attirer l’attention de l’Etat sur les conditions exécrables de vie et de travail dans lesquelles les diplomates végétaient depuis plusieurs décennies. Depuis ce jour, 105 militants ont été expulsés et affectés dans les quatre coins du pays, dans des gouvernorats, des mairies, des préfectures, des lycées et collèges, à Banfora, à Gaoua, à Dori, à Fada, à Orodara, à Kantchari, à Ouahigouya, à Kaya, pour ne citer que ceux-là. Le 26 juillet 2007, une ordonnance de justice accordait un sursis à exécution aux 105 militants expulsés. Mais le Conseil d’Etat, à son assise du 12 février 2008, annulait ladite ordonnance en renvoyant les 105 suppliciés à leur potence. Le jugement de fond demandé par le SAMAE pour l’annulation de l’acte administratif sanctionnant les 105, a eu lieu le 19 novembre 2010. Sans ambages, il a été favorable au SAMAE. Ce jugement qui devait permettre à l’Administration de se ressaisir et de réfléchir sur la gouvernance de la diplomatie burkinabè, lui a plutôt fait outrage, d’où la saisine à nouveau du Conseil d’Etat (comme dans le cas du sursis) qui, depuis 15 mois, demeure muet sur le dossier. Pourquoi un tel silence ? Notre Justice aujourd’hui, au gré des récentes insurrections scolaires et militaires, est plus que jamais sur la sellette. Elle appartient à un tout socio-politique qui doit nécessairement faire sa mue.

Elle sait désormais à quoi elle doit sa survie : vérité et justice. C’est ce que les citoyens attendent dans toute société où les hommes sont amenés à partager durablement leur destin. C’est ce que les citoyens, surtout ceux qui n’ont pas les armes de guerre, attendent et les militants du SAMAE sont de cette catégorie. En tout état de cause, les crises profondes qui secouent notre pays ne révèlent autre chose que l’agonie des valeurs morales et démocratiques dont le SAMAE souffre le martyre depuis 2007. Voilà pourquoi, comme il en a été dit l’année passée, dans le message " devoir de mémoire pour le SAMAE" paru dans l’Observateur Paalga du 9 avril, le SAMAE souligne à nouveau ceci : "A l’opinion nationale, le SAMAE la tient à témoin de l’histoire du temps et de la nôtre.

Une société qui mérite un lendemain se construit sur des bases de valeurs morales et démocratiques capitales : la liberté, la justice, l’équité. Si nous rêvons tous d’un pays d’égalité et de justice, la question SAMAE doit à jamais être résolue"’. Dès lors, la question légitime à se poser est de savoir comment la résolution de ce problème SAMAE peut être envisagée ? La gouvernance de la diplomatie burkinabè mérite une attention particulière du Chef de l’Etat. Le Président du Faso étant le premier acteur de la diplomatie burkinabè, il lui revient de se pencher davantage sur la gouvernance au sein du Ministère des Affaires étrangères. Une gouvernance qui, au gré de l’histoire, a toujours fait montre d’insensibilité et de manœuvres dilatoires vis-à-vis des conditions de vie et de travail des agents qui font paradoxalement sa fierté.

Cette gouvernance qui a toujours remis aux calendes grecques la résolution des problèmes sociaux du département, en oubliant que les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets.

Ni partisan, Ni courtisan, la cause est commune.


Kaya : débrayage de 24 heures des élèves le 4 avril

Les cours ont été suspendus pour 24 heures, le 4 avril 2011, dans les trois plus grands établissements scolaires de Kaya, à savoir le lycée provincial, le lycée municipal et l’ADK. Par cet acte, les élèves ont dit vouloir protester contre des atteintes à l’intégrité physique de certains d’entre eux et des formes d’injustice. De façon spécifique, les élèves exigent des autorités provinciales et régionales l’examen de trois points. Le premier est le désarmement d’une milice liée à un député qui, selon eux, a pour objectif d’en découdre avec les élèves et de démobiliser les parents autour des revendications de leurs enfants. Le deuxième point est l’arrêt de l’inscription des noms de certains élèves par la gendarmerie dans son fichier.

Le troisième point porte sur le paiement des timbres communaux de 200 et de 300 F CFA pour les légalisations. Leurs revendications ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd. Dans l’après-midi du 4 avril, le gouverneur de la région du Centre-Nord a rencontré les élèves pour échanger sur leurs préoccupations. Le député Sayouba Ouédraogo, à qui les élèves reprochent d’avoir une milice, les a aussi rencontrés.


Maison d’arrêt de Bobo : dialogue direct avec les détenus après la mutinerie

Une délégation du ministère de la Justice s’est rendue, le 5 avril 2011, à la Maison d’arrêt et de correction de Bobo, communément appelée Bolomakoté. Elle était conduite par la secrétaire générale de ce ministère, Thérèse Traoré, et avait pour objectif de faire un état des lieux après la tentative de mutinerie survenue le 1er avril en ce lieu de détention. La délégation a eu, au cours de sa visite, un dialogue direct avec les détenus. Ce qui a permis à ces derniers d’exposer leurs préoccupations. Celles-ci ont porté, entre autres, sur la reprise des activités juridictionnelles, la lenteur constatée dans les procédures judiciaires, etc.

Les détenus ont aussi profité de l’occasion pour regretter leur acte du 1er avril, à savoir la tentative de mutinerie. Par la suite, la délégation a visité les cellules des femmes et des mineurs avant de s’entretenir avec les éléments de la Garde de sécurité pénitentiaire (GSP). Eux aussi ont évoqué leurs préoccupations qui sont essentiellement l’absence de cellule disciplinaire, le manque de mirador, la renovation du poste de police, la formation continue, etc. La délégation a dit avoir pris bonne note des préoccupations tant des GSP que des détenus et a promis de les transmettre à qui de droit pour étude et pour la suite à donner. Après la maison d’arrêt, la délégation est allée présenter les condoléances du ministre de la Justice à la famille de Yacouba Toé, un détenu qui a perdu la vie lors de la tentative de mutinerie. Enfin, la secrétaire générale et sa suite se sont rendues à l’hôpital Souro Sanou au chevet des blessés de la tentative de mutinerie.


Guinguette : la police municipale sensibilise sur les bonnes pratiques

Le trajet menant à La Guinguette de Bobo pour la baignade, donne lieu souvent à des rallyes de la part de certaines personnes. Cette pratique met en danger la vie des riverains qui s’en sont plaint plusieurs fois. Aujourd’hui, la police municipale de Bobo a pris à bras le corps le problème. Elle mène une campagne de sensibilisation sur la nécessité de s’y rendre sans excès de vitesse et le respect du site où des pratiques contraires aux bonnes mœurs y ont souvent eu lieu.

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 8 avril 2011 à 03:49 En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    JOURNALISTE s’il vous plaît sachez qu’il y a plusieurs personnes de la sous-région et même au-délà qui visitent le site parfois pour s’enquérir des nouvelles du Burkina.Alors utilisez des termes qui désignent vraiment la chose dont vous parlez : "Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis." MAQUIS veut dire quoi.Sachez à cause d’un seul terme,on peut être perdu dans le sujet.Merci !

  • Le 8 avril 2011 à 11:39, par Hamane En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    Pour ce qui concerne la revendication des détenus, ces mêmes revendication sont exprimées il y a plus de 20 ans et personnes ne les écoute. si el système manquent d’argent pour construire des bâtiment dans la prison et agrandir l’existant, je pense que vous ne devez pas manquer d’argent pour faciliter l’obtention du permis de communiquer que leurs visiteurs vous demande. des stratégies pour faciliter cela existe et leur application en nécessite pas de l’argent. d’ailleurs même quand un visiteur à le permis, souvent les GSP prennent de l’argent avec lui. aussi, si pendant sa visite il donne de l’argent à son detenu, souvent certains GSP demande 10% au détenu bénéficiaire. Si le détenu refuse, à la proche visite d’un de ces parents on peut refuser de le faire sortir pour échanger avec son parent ou ils vont échanger mais le GSP diminue leur temps de communication qui est de 15mn ou 25 mn. l’ensemble des problème rencontrés par les détenus peuvent se gérer avec une bonne volonté et à moindre frais. dans toutes le sprisons du faso, les détenus ne souffrent pas par manque de moyens de la part des différents intervenants (Etat, APA, Prisonniers sans frontières, catholique, protestant, musulmans, autres organisations de la société civile). les détenus souffrent du fait du mauvaise utilisation des ressources matérielles, financières et humaines déjà mobilisées. soyons plus honnètes. on ne peut pas continue à vouloir gérer des "voleurs" de nos maisons d’arrêt, en les volant. sinon nous sommes pires qu’eux. chaque intervenants en prison (Etat, ONG, etc.) donne un peu. j’ai toujours dit que la somme de "un peu" n’est pas forcement un peu. c’est à dire que petit+petit+petit n’est pas forcement égale à petit. arrêtons les détournement de biens destinés aux prisonniers, arrêtons de voler "nos voleurs" (selon nos propres critères). Souvent après le pèlerinage des musulmans à la Mecque, des tonnes de viandes arrivent au Faso pour être distribuer aux pauvres. c’est partager dans les représentations de l’actions sociales dans les CSPS des quartiers et une partie est envoyé en prison. malheureusement, on vend cette partie à 500 f cfa (par tas) aux prisonniers de Bobo. s’ils ne peuvent pas acheter c’est vendus au petit marché le plus proche de la MACB (donc au marché de bolomakoté. les GSP nous disent non, c’est pas nous qui envoyons vendre, ce sont les détenus eux mêmes qui envoie vendre dans ce marché pour se faire un peu d’argent. écouter au faso, nul n’est à l’abri d’un séjour en prison. Améliorons sensiblement la vie des détenus de sorte que si un jour (on souhaite que ça n’arrive pas) on doit y séjourner qu’au moins il y ai le minimum.

  • Le 8 avril 2011 à 11:53, par GO En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    Un homme en tenue militaire et armé d’une kalachnikov.
    On pouvait aujourd’hui nous dire qui est cet homme, et comment a t-il eut la tenue et la Kalachnikov.

    Donc je demande à ce journaliste de revenir pour nous donner des éclaircissements. Le peuple de voir claire dans des choses comme ça.
    Merci

  • Le 8 avril 2011 à 13:25 En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    La SOCOGIB ! De qui détient-elle le droit de retirer ou d’attribuer des terres aux pauvres populations ? ça commence à faire un peu trop. Ayez pitié de vos semblables.

    • Le 13 avril 2011 à 13:30, par Nella En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

      Je suis d’accord avec vous pour le cas du retrait des terres par la SOCOGIB.Ils n’ont vraiment pas le droit.J’appartiens à une ONG qui défend le droit de l’homme à l’alimentation et cet accaparemment de terre constitue une entrave à la jouissance du droit à l’alimentation. Notre ONG veut rentré en contact avec le responsable de ces paysans donc si vous avez des informations sur ces paysans veuillez nous contacter au 50 37 74 66. Merci beaucoup d’avance

  • Le 8 avril 2011 à 14:14 En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    Il faudra chercher à savoir si celui qui a fait irruption dans le maquis est vraiment un militaire, dans lequel cas, on a vraiment du souci à se faire.

    S’agissant du problème des diplomates, c’est l’occasion pour le PF de régler définitivement cette question dans le cadre du "dialogue direct" qu’il a entrepris avec tous ceux qui ont des griefs contre la république. Si le Président les reçoit aussi, ce sera la preuve qu’il écoute même ceux qui ne brûlent pas et ne manient pas des armes, car à ma connaissance, les diplomates n’ont mis en danger la vie de personne, ni attaquer des biens publics ou privés

  • Le 8 avril 2011 à 14:49, par Oued from Houston En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    Je n’ai plus foie a nos militaires. Je pense que mes militaires ne sont plus des militaires mais des bandes de voyous et de voleurs. Ils ne valent pas mieux que les coupeurs de routes et les petits voleurs. On ne peut pas comprendre qu’un problem avec le gouvernment se termine avec des exactions sur la population (commercants et eleves). Si vous vous penser si fort aller y faire la guerre. Des bandes de peurreux qui ne savent que taper sur la population, voler leurs biens et tirez sur les eleves. Vous me decevez......
    Depuis Houston USA

  • Le 8 avril 2011 à 14:58, par Yak En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    Je crois que les detenus devraient pouvoir etre recu par le president pour les entendre directement !

  • Le 8 avril 2011 à 19:13, par DOS En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    il faut comprendre que le journaliste a raison car avec les militaires on ne pas la jamais. Les commerçants et policiers en savent de ces gens là. Donc mon frère, c’est un homme en tenue "militaire"

  • Le 8 avril 2011 à 21:00, par juriste En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    Si les militaires se sont transformés eux même en assassins, pilleurs, voleurs, pas etonnant que les voleurs se prennent pour des militaires et s’habillent comme eux pour aller voler !
    c’est dommage, comment ces militaires se sont bafoués !!

  • Le 8 avril 2011 à 22:04 En réponse à : POT-POURRI : Un homme en tenue militaire et armé fait irruption dans un maquis

    L’ homme en tenue, c’est un militaire ou quoi ? Si tuas peur des mots, tu seras un pietre jour naleux.
    LOP

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