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POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

Publié le vendredi 6 août 2010 à 00h08min

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Convoqués par téléphone le lundi 26 juillet 2010 vers 11H30 à passer au secrétariat pour retirer un courrier que la directrice du lycée Charles Lavigerie leur a adressé, c’est avec stupeur que les professeurs ont pris connaissance du contenu de leur correspondance : « Nous vous remercions pour tous les services rendus au sein du lycée technique Charles Lavigerie depuis…. à nos jours. Mais dans le cadre de la réorganisation de l’établissement, nous mettons fin à vos prestations en tant que professeur vacataire pour l’année scolaire 2010-2011.

Veuillez recevoir l’expression de nos meilleurs sentiments." Cette lettre, c’est une dizaine de professeurs qui en ont été destinataires (2 représentants du personnel y compris). D’autres professeurs ont reçu le même jour, une correspondance les invitant à signer un contrat de vacation pour 2010-2011 au plus tard le 27 juillet dernier.


Cybercriminalité : Hamado Ouangraoua visé

Les cybercriminels sont prêts à tout pour se faire des sous. M. Hamado Ouangraoua, dont le nom est utilisé pour une escroquerie, dément ici être à Londres.

"Le mercredi 04 août 2010, tôt dans la matinée, des cybercriminels ont bloqué la boite e-mail de M. Ouangraoua Hamado pour escroquer ses nombreuses relations. Cet e-mail annonce qu’il est victime de vol à Londres et demande sept cents (700) euros remboursables une fois de retour au Burkina. M. Ouangraoua Hamado dément ce message mensonger. Il ne se sent ni de près, ni de loin concerné par cette annonce. Il n’est pas à Londres mais à Ouagadougou et n’a aucun problème. Il remercie tous ceux qui, de partout, l’ont appelé pour l’en alerter."


Commune de Pabré : une gestion controversée

Des voix s’élèvent pour dénoncer la gestion de la commune de Pabré par son premier responsable. L’illustration, selon les mécontents, en a été donnée le 1er août dernier. L’assemblée générale de mise en place du Bureau communal de jumelage, convoquée par SMS, a été reportée sine die. La population présente ce jour-là serait repartie sans aucune explication sur ce contretemps, le maire ne s’étant pas rendu à l’AG.


Evénements de Gaoua : l’appel au calme de l’ASDD

Ceci est un appel au calme de l’ASDD (Action Solidaire pour la démocratie et le développement) suite aux événements de Gaoua. Il est signé de son président, Rodrigue S. Kussiélé Kpoda.

"Le 1er juillet 2010, la ville de Gaoua a été violemment secouée par une crise sociale suite a la mort, dans des circonstances encore suspectes, du jeune Arnaud Somda. En réaction à cette mort, la population de ladite ville a saccagé le commissariat et mis le feu aux registres ainsi que sur du matériel roulant. Deux personnes ont été tuées suite à l’intervention des forces militaires et de gendarmerie qui auraient tiré à balles réelles sur les manifestants. Précisons que la deuxième victime est décédée des suites de ses blessures une semaine après à l’hôpital Sanou souro de Bobo Dioulasso. Tout en présentant ses condoléances aux familles éplorées ainsi qu’à l’ensemble de la population de Gaoua, l’Action solidaire pour la démocratie et le développement (ASDD), après un passage sur les lieux, invite la population au calme et la remercie de cette réaction prompte dont elle a fait preuve dans la résolution de cette crise. Elle remercie également les autorités politiques et administratives, les autorités coutumières et religieuses ainsi que les partis politiques qui ont œuvré pour la restauration de la paix dans cette ville. L’ASDD souhaite pour sa part un dialogue franc entre les autorités administratives et la population afin d’asseoir les bases d’une paix durable dans la zone."


La FBCP reboise

La Fondation Blaise Compaoré pour la paix, que préside Evence Eymard Kaboré, a lancé la 2e phase de son programme "Une famille, un arbre fruitier". Le départ de l’opération a été donné le 4 août dernier dans l’enceinte du SIAO à Ouagadougou.


Sosoaga à Saabtinga

La présidente de la Fondation Jo-Weder, Solange Douamba, retrousse les manches, en compagnie des membres de la Fondation, pour un sosoaga (Culture collective d’un champ). Ce sera ce samedi 7 août, à partir de 8h, dans le champ du Chef de Saabtinga.


Judo : la coupe ONATEL pour ce week-end

C’est un rendez-vous attendu chaque année dans le domaine du judo. La coupe ONATEL, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, se joue ce samedi 7 août 2010 à l’INJEPS. Pour les judokas, c’est la seule compétition internationale qui leur permet de se frotter à d’autres compétiteurs et de pouvoir réhausser leur niveau. En effet, la coupe ONATEL en judo verra la participation de tireurs de la Côte-d’Ivoire, du Mali, du Niger et du club de Châteauroux en France. Selon le vice-président du club ONATEL, Salif Kaboré, depuis quelques années, un partenariat établi permet aux tireurs du club français de venir au Burkina et aux Burkinabè d’aller dans l’Hexagone. Au total, une centaine de judoka sont attendus pour cette compétition. A entendre Salif Kaboré, des suprématies seront remises en cause parce que le niveau des jeunes judokas burkinabè évolue.


Promo-Femmes en congé

Promo-Femmes ferme ses bureaux pour compter du lundi 02 août 2010 jusqu’au au mardi 31 août 2010 inclus, en raison de son congé annuel. La reprise se fera le mercredi 1er septembre 2010 à 7h30.


Voiries du Burkina : ne perdons pas de vue l’esthétique

Raogo Ouédraogo se pose ici, un certain nombre de questions sur les travaux d’infrastructures routières qui ont l’air d’un éternel recommencement.

"A la faveur du processus de décentralisation en cours dans notre pays, plusieurs actions non moins louables sont menées surtout par les autorités municipales pour rendre la vie des citoyens plus agréable. Sont de celle-là, le bitumage de certaines artères et l’assainissement de nos villes.

Mais là où le bât blesse, c’est "l’arrière-goût" que laissent certains de ces travaux. Pour illustrer notre propos, nous nous pencherons sur les deux grandes villes de notre pays que sont Ouagadougou et Bobo Dioulasso. Parlant de Ouagadougou, nous nous intéresserons aux voies de déviation. En effet, il n’est pas rare de voir dans cette ville, la réalisation de voies de déviation à l’occasion du bitumage de certaines artères principales, pour favoriser la circulation des usagers ; lesquelles voies bénéficient d’un certain bitume (nous ne saurions apprécier les caractéristiques, car amateur dans le domaine). Nous osons croire que dans de pareilles situations, la réalisation de telles voies est contenue dans le cahier des charges de l’entrepreneur et que celui¬-ci a l’obligation de donner à ces voies, une certaine consistance, eu égard à leur importance. Car si lesdites voies favorisent le désengorgement de la circulation, elles permettent également aux populations riveraines de souffler un tant soit peu, de la poussière qui les agace au quotidien. Mais le fait déplorable à ce niveau, c’est que ces soit-disant goudrons n’ont, dans bien des cas, qu’une durée de vie très limitée. On le voit, avant même la fin du bitumage de la voie principale, les voies en question sont redevenues ce qu’elles étaient c’est-à-dire poussiéreuses ; celles qui résistent sont jonchées de nombreux nids-de-poule. Et il ne fait pas bon d’y circuler sous une pluie battante ; c’est la croix et la bannière.

La question que nous nous posons ici est de savoir si ces voies ne méritent pas elles aussi, un meilleur traitement au même titre que les autres voies ? Ne participent-elles pas elles aussi au rayonnement et à l’embellissement de la ville ? L’occasion n’était-elle pas donnée à la Mairie de faire d’une pierre deux coups ou trouver une formule qui lui permettrait, en effectuant ultérieurement des travaux de bitumage sur ces mêmes voies, de ne pas avoir à revenir à la case départ ? On nous objectera d’être limité du point de vue des ressources financières. Certes, mais c’est là aussi l’occasion de jeter les bases pour un bitumage définitif de ces voies. Car comme dirait l’autre, tôt ou tard, ces voies devront être bien goudronnées. Que dire de la ville de Bobo Dioulasso ?

Ici, ce qui nous dérange, ce sont les travaux d’assainissement de drainage des eaux usées qui emmènent les entrepreneurs à creuser le goudron pour les besoins de leur mission. Si la cause est noble, il faut cependant déplorer le fait que dans de pareilles situations, ces parties du goudron prennent un coup sérieux, étant entendu qu’elles ne peuvent plus retrouver leur lustre et leur éclat d’antan. Nous en avons la preuve avec ce qui s’est déjà passé dans d’autres localités du pays (suivez mon regard). Peut-être que notre cri du coeur sera entendu et que des dispositions particulières seront prises pour nous prouver le contraire. Mais tout de même, certaines interrogations subsistent. Pourquoi, c’est maintenant que lesdits travaux ont lieu ? Où étaient-ils lorsqu’on bitumait ces voies ? Etant entendu que la réalisation de certaines infrastructures commande une synergie d’actions, y a-t-il souvent une concertation entre les différentes entreprises appelées à réaliser les ouvrages dans notre cité ?"


ONEA/Cissin : un client se dit avoir été humilié

Dans la lettre ouverte ci-dessous au DG de l’ONEA, Ahmed Kagoné, ingénieur en génie civil et base aérienne, se plaint du traitement que lui a réservé une guichetière à l’agence ONEA de Cissin.

"Monsieur le Directeur général, je viens par la présente vous faire part du comportement révoltant d’une de vos guichetières de l’agence ONEA/ Cissin secteur 17. En effet j’ai établi un chèque à la date du 25 juillet 2010 pour le règlement de ma facture mensuelle.

Après deux jours de tentative de paiement de la facture qui n’a pas été possible du fait d’une panne des machines de l’agence, j’ai envoyé une nouvelle fois ma sœur le 28 juillet 2010 pour le paiement de ladite facture. Alors, la guichetière en question lui fait savoir que le chèque doit être repris à la date du jour du paiement, le cas échéant le paiement n’est pas possible. Je me suis rendu à l’agence le jeudi 29 juillet à 8h 00 minute, après vingt minutes d’attente, la guichetière n’était pas à son poste. A son arrivée, je lui fais part de l’objet de ma venue qui était de chercher à comprendre pourquoi le chèque doit être repris obligatoirement à la date du jour du règlement.

Elle me fait savoir que c’est la règle à l’ONEA, qu’elle n’a pas d’explication à me fournir, qu’elle a reçu les ordres de son supérieur et face à mon insistance, elle me dit qu’un texte réglementaire existe à cet effet . C’est ainsi que je lui ai tout simplement demandé de me montrer le texte en question pour me rassurer de la régularité de cette procédure dont j’ignorais totalement l’existence et même la pertinence de son application pour un office orienté vers le client et qui ne cherche en principe que la satisfaction totale de sa clientèle. C’est là que ma déception fut encore plus grande, en entendant les propos désobligeants de la dame à mon endroit devant la consternation générale des autres clients. Propos discourtois et humiliants du genre "qu’est-ce qui prouve que votre chèque n’est pas un chèque sans provision".

Je lui ai fait savoir que cela fait quinze ans que j’émets des chèques pour le règlement de mes factures et c’est la première fois qu’on me pose des problèmes de date et que j’irai régler ma facture dans une autre agence. Nous avons eu des échanges verbaux des plus désobligeants et le pire, en voulant repartir avec mon chèque, elle a voulu faire une copie de mon chèque mais face à mon refus elle tire sur le chèque et le déchire. Je ne comprends pas du tout pourquoi cette dame m’a fait subir de telles humiliations, ainsi qu’aux autres clients qui sont troublés par les caprices d’une dame qui passe le plus de son temps au téléphone faisant attendre les clients qui lui permettent de toucher son salaire.

C’est à cause du client que l’ONEA existe et partant de même l’emploi de cette dame. Le client mérite respect, considération et courtoisie même si Mme dit haut et fort à qui veut l’entendre, qu’elle n’a pas de compte à rendre à quelqu’un. L’ONEA qui est notre agence à tous dont je suis fier, qui est certifié ISO 9001 version 2008 et qui s’est engagé dans la démarche qualité, doit tout mettre en œuvre pour maintenir sa certification et par des actions correctives et dans l’amélioration continue. Le client est au début, au centre et à la fin de tout le processus de la qualité, sinon c’est de la non-qualité. Pour un établissement qui vient de se faire décerner le premier prix de la qualité par l’Association burkinabè du management de la qualité (ABMAQ), de tels comportements ne peuvent être tolérés. Je vous prie de croire Monsieur le Directeur général à l’assurance de ma considération distinguée."

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 6 août 2010 à 11:20, par Kôrô Yamyélé En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

    FONDATION JO-WEDER :

    - Mme la Présidente, on ne crée pas une Fondation pour appeller les gens à aller labourer un champ. Il faut revoir votre copie. Ce n’est pas celà une Fondation.

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 6 août 2010 à 11:32, par Kôrô Yamyélé En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

    Mon frère, tu as bien fait !!!

    - Les guichets de l’ONEA sont occupés par des semi-analphabètes qui n’agissent que comme des robots : taper les chiffres dans l’ordinateur et vous remettre votre monnaie.

    Elles n’ont pas un bon niveau de formation. Voilà qu’elle ignore même que la date du chèque est surtout importante pour vous, émetteur, et non pour l’ONEA qui encaisse quelque soit la date (même si c’était l’an passé).

    Si c’est un de ses chefs qui lui a donné cette directive, il faut chasser ce Chef car il ne connait pas son travail.

    - Monsieur le DG de l’ONEA doit la faire licencier. On ne gère pas une societé avec du sentimentalisme. L’ONEA n’est pas le champ de son père et donc, elle doit respecter ceux qui viennent y verser de l’argent.

    Mon frère, mais moi je trouve que votre écrit dans le journal ne suffit pas. Il faut aller déposer une plainte devant M. le procureur du Faso contre cette dame pour avoir détruit votre chèque. Et je vais vous dire pourquoi :

    - Le chèque est une monnaie scripturale. C’est comme si elle avait déchiré votre argent car ce chèque équivaut à de l’argent. Elle mérite donc des sanctions de la justice.

    Les gens ne le savent pas, mais si tu déchires volontairement un billet d’argent, on doit t’enfermer en prison car, c’est la valeur de l’argent qui t’appartient et non la matière utilisée pour confectionner cet argent.

    Par Kôrô Yamélé

  • Le 6 août 2010 à 12:09 En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

    Monsieur,nous sommes vraiment désole qu’une caissiere vous est fait subir ce prejudices.
    Nous et sa n’engage que nous pensons que c’est trop ose de votre part.
    Nous savons bien que ce sont des actes qui ne sont pas pardonables devant la hierarchie.
    Bien vrai quelle est tenue de vous reserver l’accueil le plus chaleureux possible car comme vous le dite si bien c’est vous (clients) qui etes a la base des reussites des societes.
    Monsieur nous pensons que ce probleme aurait dû etre reglé entre son chef d’agence, vous et elle. Elle allait reconnaitre sa faute et s’excusee et si vous aurez aimer peut etre publiquement apres cela elle recevra une lettre d’avertissement et elle saura que d’aure navant le client est un dieu. Ecrire a son DG est deja un acte de bravour car vous auraez reussi a dire a tout les caissiers de ne pas confondre boulot et probleme personnel, mais ecrire dans un journal pour la denoncer revient a demander son licenciement car cela vaut une faute lourde.
    Vous meme savez autant que nous qu’au faso nous circulons avec des problemes et pour un rien on s’enflame.
    Nous ne disons pas qu’elle a eu raison de faire ca,mais que vous etes allez trop loint.
    Tous les etres humains se trompe et commetent des erreur.
    Restont toujour africain, respectant nos base traditionnelle car c’est elle qui est notre vrai richesse.
    Excusez moi si j’ai porte atteinte a votre personne ou si je vous est manque de respect.
    Ce n’est qu’un poin de vu

    • Le 7 août 2010 à 02:31, par Un Compatriote Vivant aux USA En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

      Mon frere, c’est parceque nous agissons toujours en Africain que l’Afrique est toujours derriere.
      Si j’etais le patron de cette caissiere, une fois m’etre rassurer de la veracite des faits, je la licencie purement et simplement. Meme si elle a des problemes personnelles cela ne dois jamais se refleter sur son boulot. C’est ca qui fait aussi le professionalisme.

    • Le 7 août 2010 à 22:52, par MBOYE En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

      UNE CAISSIERE TOUT COMMEUNE SECRETAIRE OU UNE RECEPTIONISTE DOIT ETRE UNE VITRINE. LA ELLE EST ALLEE TROP LOIN CETTE BONNE DAME. QUELLE TRADITION AUTORISE UN AGENT A MANQUER DU RESPECT A UN CLIENT. ON DOIT LA SANCTIONNER CAR ELLE LE MERITE. ELLE EST VENUE AVEC SA MAUVAISE EDUCATION ET SI ELLE CONTINUE ELLE AURA QUELQU’UN DE PLUS MAL ELEVE QU’ELLE POUR LUI REGLER SON COMPTE. CE SONT DES FEMMES AIGRIES COMME CELA QUI N’ARRIVENT PAS A GERER LEUR PROBLEMES A LA MAISON ET QUI VIENNENT FAIRE N’IMPORTE QUOI AU LIEU DU SERVICE. MONSIEUR LE DG, NE LAISSEZ PAS DES PERSONNES PAREILLES VENIR DEGRADER VOTRE IMAGE.

    • Le 10 août 2010 à 10:08 En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

      "Excusez moi si j’ai porte atteinte a votre personne ou si je vous est manque de respect. Ce n’est qu’un poin de vu" ! on est où là !!!!!!!!!!! vous êtes plus malade que la caissière !!!!!!!!!

  • Le 6 août 2010 à 19:43, par Le Watt En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

    Une réaction en ce qui concerne l’ONEA pour dire que l’on aurait simplement dit à mon chauffeur que l’ONEA n’acceptait plus les chèques !!! Allez comprendre...

  • Le 7 août 2010 à 13:59, par paricdibo En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

    Monsieur vous avez bien fait cette dame de l’ONEA CISSIN nous crée trop de problème à nous population riveraine de ladite zone , elle pas du tout courtoi en vers les cliens , tout le monde en parle , mais vous avez eu du courage nous disons merci et nous demandons au Directeur de l’ONEA de nous épargne de ce genre de caissière qui ne font pas honneur à l’agence

  • Le 8 août 2010 à 00:12 En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

    Contrairement au 3° intervenant, je ne pense pas que ce monsieur à mal fait d’écrire dans les journaux pour denoncer ces genres de pratiques.C’est en agissant toujours en africains attardés que ces genres des pratiques perdurent. Nous des africais certes mais sachons rester des honnêtes africains. Si on s’engage à servir qu’on le fasse avec respect et justice autrement on rend sa démission.
    En écrivant dans les journaux, le message portera conseil à tous les caissiers et caissières qui servent mal au délà de la caissière enragée de cissin. Sa va même servir au délà des guichets de l’ONEA ;
    Si la fonction publique est pourrie c’est à cause de cette sale mentalité qui estime toujours que nous sommes en afrique. Personne ne veut être à la base de licienciement du plus ripoux des fontionnaire. Et la mauvaise façon de sevir continue et on circule en se disant qu’on afrique.

    • Le 11 août 2010 à 11:25, par Oceanne En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

      Monsieur Mboye, je suis tout à fait d’accord avec tous les intervenants concernant le comportement de la caissière qui n’est pas à féliciter. Mais j’attire votre attention sur ce que vous avez dit, la caissière tout comme la secrétaire ou secrétaire réceptionniste doit toujours apporter un accueil sans faille aux clients ou visiteurs, là aussi je suis tout a fait d’accord avec vous, mais reconnaissez avec moi que ce meme comportement s’applique à tout le monde. Il ya des secrétaires bien accueillantes, souriantes, professionnelles, alors ne stigmatiser pas une profession donnée, il ya d’autres corps de métier ou les gens sont plus désagréables que les secrétaires,(je ne citerai pas d’exemple pour respect à tous ceux qui font bien leur travail) la plupart des gens qui ont une idée arrêtée sur les secrétaires sont ceux qui ne savent pas qu’elles ont bien fait des études universitaires, des formations en anglais etc. et que c’est elles qui abattent le plus grand travail dans les societés, prennent des décisions importantes dans des entreprises. Dans tout corps de métier, il ya les uns et les autres, donc ne confondont pas la cousine ou la nièce du patron à la professionnelle qui a bien souvent obtenu son emploi, son salaire à la sueur de son front.
      Mes respects à vous Monsieur Mboye !

  • Le 13 août 2010 à 11:05, par Youpek En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

    La caissière a certes déconner mais je pense que le Monsieur aurait du se plaindre directement chez le chef d’agence au lieu d’écrire à la Direction Générale.Adresser une lettre au DG c’est demander le licenciement de la dame tout simplement parce que c’est une faute lourde.
    Même a la Direction générale des impôts lorsque la date du chèque dépasse de deux semaine on vous demande de reprendre avec une date ressent
    Ne cherchons jamais a mettre du sable dans le couscous des gens.
    Merci

    • Le 17 septembre 2010 à 14:51, par Uncle T. En réponse à : POT - POURRI : Lycée lavigerie, une dizaine de professeurs licenciés

      Sans vouloir offenser qui que ce soit, je crois bien que ce monsieur a bien fai fait ou meme encore il a juste fait ce qu’il a pu pour devoiler cette histoire ! j’aurais ete a sa place j’aurais fait pire ! Franchement, il n s’agit pas seulement de l’ONEA, je me rappele que meme sur le site web de telmob, dans un forum, les operateurs frisaient l’insulte en repondant aux internautes qui posaient des questions ! aussi vrai que l’ONEA reste seule compagnie a appovisionner notre pays d’eau, cela ne donne as le droit a ses employes d’agir de la sorte ! pourquoi dans les pays developpes avant de pouvoir appliquer pour quelque job que ce soit on vous demande un minimum de ce qu’ils appelent "customer service". C’est vous dire que la majeur partie du temps, meme s’il arrive que le client s’emporte, l’employe reste calme ! a ce que je sache persone n’a ete olige a prendre ce genre de position ! soyons responsable et professionel ! comme la majeur partie des reponses le dit : ne melangeons pas vie personnelle et professionelle

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