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L’assassin du gardien du marché de Dassasgho dans les mailles de la police

Publié le mardi 6 avril 2010 à 03h11min

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Dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 mars, un drame s’était produit dans le marché de Dassasgho. Le gardien desdits lieux, Zabtako Salam, avait été sauvagement égorgé. Depuis, les suputations sur ce crime horrible allaient bon train. Mais depuis peu, les choses se précisent.

En effet, comme le dit si bien un adage, "l’assassin revient toujours sur le lieu du crime", une semaine après avoir commis son forfait, l’assassin, Séni, c’est ainsi qu’il s’appelle, est revenu au même endroit la nuit, pour commettre un autre meurtre. Il réussit à poignarder Kasoum dit Samogo, qui est admis à l’hôpital Yalgado Ouédraogo, et qu’il croyait être l’employeur du pauvre gardien qu’il avait envoyé ad patres, une semaine plus tôt. Ayant compris le manège du meurtrier, les compagnons du marché de Kasoum ont tendu un piège à Séni qui y est tombé pieds joints. Il serait, depuis la nuit dernière entre les mains de l’officier Kambou au commissariat central de police.

L’Observateur Paalga

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Vos commentaires

  • Le 6 avril 2010 à 11:35, par VieuxFlic En réponse à : L’assassin du gardien du marché de Dassasgho dans les mailles de la police

    C’est idiot de donner le nom de l’officier qui s’occupe de l’affaire. Cette information n’a aucun intérêt et peut gêner l’enquête.

    • Le 6 avril 2010 à 17:34, par Kôrô Yamyélé En réponse à : L’assassin du gardien du marché de Dassasgho dans les mailles de la police

      Mon cher ami, celà ne gêne rien si ce monsieur est un incorruptible. C’est seulement sur ce terrain-là qu’on peut le faire changer les contenus des PV à la faveur du mis en cause.

      Sinon il n’y a rien puisque lui-même ne mène pas directement les investigations. Ce sont ses gars, en général de fins limiers, qui le font et lui rendent compte.

      Par Kôrô Yamyélé

    • Le 6 avril 2010 à 20:11, par le SURVIVANT En réponse à : L’assassin du gardien du marché de Dassasgho dans les mailles de la police

      Tu as sale bouche qui degage une mauvaise odeur d’ignorance desormais broche toi avant de parler ou tu la ferme

  • Le 6 avril 2010 à 13:31 En réponse à : L’assassin du gardien du marché de Dassasgho dans les mailles de la police

    Peut être, mais un peu de respect à l’auteur de l’article ainsi qu’aux fidèles internautes. C’est plustôt votre commentaire qui est idot d’être. C’est comme si vous disiez que c’est idiot de donner le nom d’un juge d’instruction qui instruit un dossier.

  • Le 6 avril 2010 à 22:13 En réponse à : L’assassin du gardien du marché de Dassasgho dans les mailles de la police

    Trop d’assassinat sauvage au burkina !A moins qu’ils ne soient commis par des dereglés mentaux qui necessitent une prise en charge psychiatrique ; il est envident que c’est totalement inutile d’en rajouter à la population des prisons ; qui d’ailleurs sont debordées ; des canibales potentiels !!!La peine de mort doit exister et ne doit pas être que dissuasive !
    Car ces mêmes fauves, tueurs nés se retrouvent être les gourous dans les prisons !Un homme qui egorge de sans froid un humain en tant de paix ne merite de vivre sur cette terre et ne merite aucune compassion. C’est peut être cinique de dire ça mais la realité est là devant nos yeux.

  • Le 7 avril 2010 à 04:49, par Kerozene En réponse à : L’assassin du gardien du marché de Dassasgho dans les mailles de la police

    desole "le survivant" mai j pense ke t’a pas surveccu a l’aprentissage du francais. ca veu dir koi le mot "brocher" ????

  • Le 13 avril 2010 à 20:47 En réponse à : L’assassin du gardien du marché de Dassasgho dans les mailles de la police

    "une semaine après avoir commis son forfait, l’assassin, Séni,.." Sans vouloir cautionner ce crime ignoble, je voudrais juste inciter nos braves journalistes, à faire preuve de modération dans leurs affirmations, au nom de la présomption d’innocence. Jusqu’à ce que le sieur Séni soit jugé et reconnu coupable, il n’est qu’un présumé coupable. Sous d’autres cieux, une telle déclaration fracassante vous vaudrait un procès. Puisse cette modeste remarque, vous encourager à beaucoup plus de professionnalisme dans vos articles.

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