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POT-POURRI : Le torchon brûle entre l’UNIR/PS et le FFS

Publié le vendredi 5 mars 2010 à 02h20min

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Le courant ne passe plus décidément entre l’UNIR/PS et le FFS. En témoigne cette lettre de protestation que le président de l’UNIR/PS, Me Bénéwendé Sankara, a adressée le 1er mars dernier à Norbert M. Tiendrébéogo du FFS.

"Monsieur le Président, Ce jour 28 février 2010, vous avez tenu une réunion publique à Pô. Vous avez particulièrement convié certains des militants de mon parti dont le responsable fédéral de l’UNIR/PS, le camarade Frédéric Tientambou. Au cours de vos échanges, vous avez plutôt tenu des propos mensongers et diffamatoires à l’endroit de mon parti et de moi-même.

Vous avez notamment affirmé sans preuve ni fondement que :
- Maître Sankara est financé par El Hadj Oumarou Kanazoé ;
- Diendéré Gilbert et sa femme Fatou ;
- l’UNlR/PS n’est pas un parti sankariste ;
- que le Chef de file de l’opposition politique est un deal de Maître Sankara avec le pouvoir, etc.

Joint au téléphone aux environs de 14 heures 45 minutes alors que vous vous apprêtiez à quitter les lieux, vous avez juste reconnu les faits avant de couper précipitamment votre téléphone. C’est pourquoi, j’ai immédiatement saisi le président du CPO et celui du G14 pour leur exprimer toute ma désapprobation face à vos agissements d’une bassesse à nulle autre pareille. Je pense que si le programme politique du FFS doit s’articuler autour de ragots de cabaret, que ma personne et mon parti en soient épargnés. Au moment où l’opposition cherche à se crédibiliser, je crois plutôt à la force des arguments et à notre capacité de prouver que nous sommes une force de proposition et non une force de destruction dont je vous concède bien sur la palme. En tout état de cause, j’estime avoir suffisamment encaissé de votre part des dénigrements graves et divers et considère que ce qui vient de se passer à Pô ce dimanche 28 février 2010 ne se répétera plus, car cela n’honore nullement, je suppose, les militants désabusés de votre parti le FFS, ni vous-même. Au demeurant, je vous conjure que vous descendrez seul dans la boue sans Maître Sankara, car comme dit la sagesse, on ne tire pas sur un corbillard. Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’assurance de mes sentiments distingués."


Lauréat 2009 à Yalgado : les encouragements d’une député

La député Kadidiatou Korsaga/Keïta nous a fait parvenir ce mot dans lequel elle encourage la lauréate 2009 de la meilleure surveillante d’unité de soins de l’hôpital Yalgado.

C’est avec un réel plaisir et une fierté légitime que j’ai lu à travers les pages de votre journal du mardi 2 mars 2010, l’annonce du Directeur général du CHU Yalgado Ouedraogo adressant ses compliments à Madame Sarata Dakouré/Ouédraogo, lauréate, pour l’année 2009 de la meilleure surveillante d’unité de soins du CHUYO. Quel bel exemple de dévouement et de conscience professionnelle au service de la nation. Ce cas de figure mériterait d’attirer l’attention de tous, et particulièrement du genre féminin auquel j’appartiens. Au-delà des discours et autres manifestations populaires sur la question de l’équité et de la promotion de la femme, nous devrions œuvrer dans les divers domaines d’activités à faire preuve d’abnégation, de courage et de responsabilité. C’est à ce seul prix que nous pourrions emprunter le chemin de la promotion de la femme. Bravo à Madame Dakouré Sarata, et courage à toutes celles qui sont engagées sur les chantiers de la promotion de la femme.


Politique : l´UPC bientôt face à la presse

Le 2 mars 2010, le dernier né des partis politiques burkinabè, l´Union pour le progrès et le changement (UPC), se faisait connaître des Burkinabè par une déclaration dans la presse écrite. Les raisons de la création du parti dont les rênes sont tenues par Zéphirin Diabré, son positionnement sur l’échiquier politique burkinabè, la composition de son bureau politique transitoire, etc., avaient été rendus public à l’occasion. Toutefois, le parti tient à mieux se faire connaître. Et à cette fin, son bureau politique envisage une conférence de presse. Celle-ci est prévue pour se tenir le 11 mars prochain à Ouagadougou.


Site aurifère de Kario : deux orpailleurs trouvent la mort

Deux orpailleurs répondant aux noms de Hamado Sawadogo et Soumaïla Barry ont trouvé la mort hier 3 mars 2010 sur le site aurifère de Kario situé à dix kilomètres de Yalgo. L’une des victimes a succombé à un manque d’oxygène alors qu’il se trouvait au fond du trou. La seconde victime, descendue pour secourir la première n’échappera pas elle aussi à la mort tant la profondeur du trou empêchait l’air de parvenir aux orpailleurs. Une troisième personne, elle, échappera de justesse à la mort et se verra transporter à l’hôpital où des soins lui sont présentement administrés. La première victime laisse derrière elle une femme tandis que la deuxième une femme et des enfants.


Championnat national de football : une tombola et de gros lots à gagner

Dans le cadre de la mobilisation des supporters pour remplir les stades pendant les matchs du championnat national, la Fédération burkinabè de football (FBF) et son partenaire IFAP sport initient une action à partir de la 13e journée. Il s’agit de l’organisation d’une tombola par journée. Ainsi, on retrouve dans les prix à gagner, des motos JC, des réfrigérateurs, des machines à laver, des climatiseurs, des cageots de boisson, des packs d’eau minérale et bien d’autres lots.


Lotissement à Tougo : des ressortissants ne sont pas d’accord avec le maire

On se rappelle que le 6 février dernier, le Conseil municipal de la commune rurale de Tougo a attribué des parcelles dans les zones nouvellement loties. Des ressortissants de Tougo résidant à Ouagadougou ont aussitôt manifesté leur mécontentement. Ils disent ne pas être d’accord avec la manière de faire du maire et de son conseil municipal et également, avec les attributions qui ont été faites. Ce projet de lotissement, font-ils savoir, a été entamé par les ressortissants vivant à Ouagadougou bien avant la communalisation intégrale. Aussi ne comprennent-ils pas pourquoi le maire ne tient pas compte de certaines propositions déjà faites. Selon ces ressortissants, le maire a attribué des parcelles à des personnes qui ne sont pas de Tougo. Ils rejettent tout en bloc et ont adressé les correspondances au haut-commissaire du Zondoma et au gouverneur de la région du Nord pour qu’ils réagissent afin de trouver une solution à cette situation.


Lutte contre les abattages clandestins

Les 26 février 2010, la Police municipale a organisé une opération de grande envergure de lutte contre les abattages clandestins d’animaux de boucherie dans la Commune de Ouagadougou. Cette opération cadre avec le plan d’action communal de lutte contre l’insalubrité publique et pour l’hygiène alimentaire. La viande provenant des animaux abattus clandestinement constitue un risque sanitaire énorme pour la population ; c’est pourquoi la Police municipale, dans le cadre de l’application des pouvoirs de police municipale du maire en matière de salubrité et d’hygiène publique, fait de la lutte contre les abattages clandestins une priorité. Le 26 février, dès 5 h du matin, des sites d’abattages préalablement identifiés ont été investis par les policiers municipaux. Il s’agit des sites de Ouagarinter et de Lanoi-yiri. Sur ces sites, les policiers municipaux ont saisi une importante quantité de viande. Vers 7 h, ils ont investi les marchés du secteur 15, Zempassogo, Lanoi-yiri, Karpala, secteur 30, du bétail, Tembogdo yaar, Confiance yaar, Tollos yaar et Katré yaar. Le but de l’intervention dans ces différents marchés était d’effectuer un contrôle des viandes non inspectées par les services vétérinaires par le simple constat de l’estampille.

A la fin de l’opération vers 10 heures, 72 carcasses et 198 kilogrammes de viandes ont été saisis. Il faut signaler que cette opération a été menée avec la collaboration des responsables des bouchers. Une collaboration saluée à sa juste valeur par les responsables de la Police municipale, car elle cadre bien avec les principes fondamentaux de la Police municipale qui est la proximité, la gestion participative des initiatives sécuritaires et de lutte contre l’insécurité urbaine. Toutefois, il faut relever un manque criard de matériel roulant, car l’opération a été menée avec un seul véhicule. De nos jours, l’information circule vite grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. Les forces de Police doivent agir de façon concertée, vite et bien, car le facteur temps joue à leur défaveur. Il est évident que si la Police municipale avait plus de moyens roulants pendant cette opération, les résultats seraient plus tangibles. N’est-il pas mieux que l’Etat accompagne la commune de Ouagadougou dans cette noble tâche ?


Houndé, la cérémonie officielle régionale du 8 mars annulée

La cérémonie officielle de commémoration de la Journée internationale de la femme initialement prévue pour se dérouler à Houndé, province du Tuy, pour le compte de la région des Hauts-Bassins, a été annulée. De sources très bien informées, le manque de moyens financiers a contraint la région à cette décision d’annuler la cérémonie de Houndé. Chaque province doit se débrouiller avec ses femmes le 8 mars. C’était le tour de Houndé d’abriter la cérémonie régionale du 8 mars 2010, après Orodara en 2008 et Bobo Dioulasso en 2009.


Inscriptions sur les listes électorales à Banfora : les agents recenseurs refoulés dans deux villages

L’opération d’inscription sur les listes électorales a commencé dans la commune de Banfora le lundi 1er mars 2010 comme partout ailleurs dans notre pays. Si dans la plupart des villages rattachés à la commune, elle (l’opération d’inscription) a démarré sans couacs, dans ceux de Diarrabakoko et de Bomboura, deux localités situées respectivement à 20 et 25 kilomètres au Sud de Banfora, on apprend que les agents commis par la CEPI à cette tâche ont rencontré des résistances. Ces agents se seraient entendu dire par les habitants de ces deux localités que l’opération d’inscription sur les listes est « leur dernier souci ». Ces villageois, selon notre source, se plaignent du silence des autorités nationales face aux dégâts que causent les éléphants dans leurs champs et utilisent cela comme argument pour justifier leur attitude. Les agents recenseurs ont dû regagner Banfora ce même lundi en attendant que les esprits se calment dans ces deux localités.


Gaoua : un camion tue un enfant

Un accident de la circulation est intervenu le mardi 2 mars en face de la Maison de la femme de Gaoua où un camion a percuté mortellement un enfant. De l’avis des riverains, il était difficile pour les cœurs sensibles de regarder la victime après l’accident. L’enfant dont on dit avoir moins de six ans aurait tenté de traverser la voie pour suivre son grand père qui, semble-t-il, ignorait que ce dernier suivait ses pas. C’est ainsi que le drame se produisit. Un drame qui doit interpeller tous sur la nécessité du respect de la vitesse requise en agglomération et de la prudence des parents surtout lorsqu’ils habitent à proximité d’une voie d’intense trafic avec leurs progénitures.


Les lutteurs de Daka en fête

Ce dimanche 7 mars 2010 se déroulera à Daka dans la province du Sourou, la 6e édition de la grande lutte qui porte le nom de cette localité. Cette lutte de la solidarité va rassembler près d’une centaine de lutteurs (y compris les grandes figures de la lutte) issus d’une vingtaine de villages du pays San. Ce rendez-vous sportif qui prend de plus en plus de l’ampleur est placé sous la présidence du ministère des Sports et des Loisirs et sous le parrainage de Robert B. Sangaré, élu de la localité. En marge de ces compétitions officielles, les femmes et les élèves de Daka vont également s’exercer en levée de rideaux.


Pitié pour les femmes balayeuses

Un travail remarquable, c’est ce que font les femmes de Simon Compaoré si on peut les appeler ainsi. Ces braves femmes qui, tous les matins, se chargent de la propreté des artères de la ville de Ouagadougou. Cependant, certains semblent ne pas voir les efforts qu’elles fournissent tant leur comportement laisse à désirer. C’est ce qu’il nous a été donné de constater au quartier Tampouy de Ouagadougou où des vendeurs de bois de chauffe n’hésitent pas à stationner au cours de la nuit pour nourrir leurs ânes, laissant sur place les débris et autres restes de tiges de mil. En effet, ceux-ci vont chercher le bois dans des villages environnants qu’ils transportent avec des charrettes jusqu’à Ouagadougou pour le revendre. Sur ces charrettes sont transportées les tiges de mil destinées à l’alimentation des ânes. Après leur passage, il appartient toujours aux femmes de rendre les lieux propres. Cette scène ne cesse de se répéter au grand dam des balayeuses impuissantes face à la situation. Même s’il est vrai que ces femmes sont payées pour faire ce boulot, il est aussi vrai que leurs efforts sont à louer et ce n’est pas trop demander aux usagers de la route de leur faciliter la tâche.


Concours en santé maternelle et néonatale : proclamation des résultats le 12 mars

Le concours en santé maternelle et néonatale lancé en août dernier par l’Agence de formation, de recherche et d’expertise en santé pour l’Afrique, AFRICSanté (ex-GREFSaD), va bientôt connaître son épilogue. C’est, en principe, le 12 mars prochain qu’auront lieu a Bobo la proclamation des résultats et la remise des prix de ce concours destiné aux journalistes et aux dramaturges. Au total, 9 prix à raison de 3 par catégorie seront remis en presse écrite, en radio et en théâtre. Les prix sont en espèces avec des enveloppes de 100 000, 150 000 et 200 000 F CFA pour chacun des lauréats retenus dans chaque catégorie. Il y a aussi des prix en nature constitués d’ordinateurs portables, d’appareils photos numériques et de Dictaphones numériques pour les catégories presse écrite et radio et un camescope, un appareil téléviseur et un appareil photo numérique dans la catégorie théâtre. Des attestations seront également remises aux acteurs. L’esprit du concours est de contribuer à la promotion de la santé maternelle et néonatale ainsi qu’à celle d’une presse constructive et éducative en matière de la santé de la mère et de l’enfant.


Des femmes d’entreprises s’unissent au sein d’une amicale

Depuis le début de l’année 2010, précisément le 12 janvier, des femmes des différentes entreprises du groupe Bolloré se sont retrouvées pour mettre en place une association. Il s’agit de l’Amicale des femmes de Bolloré Africa logistics du Burkina Faso (AF-ALXBF) qui prend la place des associations existantes auparavant dans certaines des entreprises du groupe. L’Amicale présidée par Barkissa Hema, qui dirige un bureau de 9 membres avec Seydou Diakité comme président d’honneur, a mis en place un plan d’action pour 2010 en 18 points dont , une négociation de prix réduits pour les membres de la salle de sport de l’école nationale des douanes ; un don à l’école des enfants malades de l’hôpital ; des conférences-débats sur des thèmes en rapport avec la vie des femmes et des enfants ; l’organisation d’une loterie, d’une matinée cinématographique, d’une soirée culturelle et d’une soirée de gala pour récolter des fonds. La présidente de l’Amicale, Barkissa Hema, et ses membres ont déjà organisé une sortie détente et prévoient un spécial 8 mars 2010. Il y aura au programme, l’exposition vente de mets et boissons, des enveloppes surprises et bien d’autres activités.


Comoé : le village de Diaya inaugure sa première école

Le village de Diya, localité située à 95 kilomètres de Banfora dans la commune rurale de Mangodara, a inauguré le lundi 1er mars 2010 sa toute première école primaire. La construction de ce temple du savoir est l’œuvre de deux associations à savoir l’Association Solidarité Comoé et Res Publica basée à Koudougou dans le Boulkiemdé. L’école de Diaya a ouvert ses portes à la satisfaction de la population qui s’est fortement mobilisée. Elle compte trois logements pour maîtres et trois salles de classes, tout équipées en table-bancs et de bureaux du directeur. Les bâtisses qui la composent offrent un cadre idéal à la formation des 90 garçons et 80 filles qui la fréquentent. Pour Jean Etienne Zoungrana, DPEBA de la Comoé, cette école vient réduire le nombre de classes sous paillote dans sa province. Tout comme le parrain de la cérémonie d’inauguration, Benoît Ouattara, il a invité les habitants de Diaya à mettre l’accent sur la scolarisation des filles.


Sit-in des militants SYNATEB du Poni : haro sur le blocage des avancements

Les militants du Syndicat national des travailleurs de l’éducation de base (SYNATEB) du Poni ont observé le mercredi 3 mars 2010 un sit-in au gouvernorat du Sud-Ouest. Ce sit-in fait suite à l’appel du bureau national qui compte ainsi exiger du gouvernement la satisfaction de la plateforme minimale dont les points focaux sont : les avancements immédiats et sans conditions des années 2006, 2007, 2008, 2009 qui connaissent encore des blocages ; le remboursement des sommes illégalement coupées pour fait de grève. La reconstitution de carrière d’enseignants brimés et le relèvement des prises en charge des groupes d’animation pédagogique (GAP) étaient également à l’ordre du jour.

Mais avant de remettre le message des manifestants au représentant du gouverneur, notamment le SG du gouvernorat, Sory Ouattara, les militants ont passé deux heures durant à débattre également de certaines préoccupations d’ordre local. Ils ont décrié le fait que certains chefs de circonscription de l’Enseignement de base exigent de la part des enseignants de l’argent pour soi-disant expédier les dossiers des concours professionnels. Pour les camarades du coordonnateur régional du SYNATEB, Pascal Kambiret, c’est de la pure ‘’arnaque’’ de la part de ces CCEB qui, selon eux, ont le devoir de faire acheminer tous les courriers administratifs par voie hiérarchique sans exiger des enseignants à supporter les frais. Les manifestants ont également fustigé le retrait des bulletins de paie sous condition. Pour eux, il n’est plus question de payer les 50 F exigés quand il est question de retirer le bulletin de paie à chaque fin de mois.

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 5 mars 2010 à 17:16, par Gomezemsé En réponse à : POT-POURRI : Le torchon brûle entre l’UNIR/PS et le FFS

    Laisser Norbert où il est. La malcause ou la diffamation ont déjà détruit sa carrière politique. Seule lui ne l’a pas encore compris. Les pieds de l’enfant de la jalousie restent frêles à jamais.

    • Le 6 mars 2010 à 10:53, par Gustavo En réponse à : POT-POURRI : Le torchon brûle entre l’UNIR/PS et le FFS

      Je suis très attristé par cette attitude de Norbert qui persiste à aller dans le mur ; pourquoi se trompé tant d’adversaire ? J’avais personnellement de l’estime pour ce monsieur à une période donné , j’ai même cru en lui , mais je me rend compte aujourd’hui que je m’étais lourdement trompé.On pourrait accuser quelqu’un d’autre de ces choses pareilles mais Maître SANKARA n’est ressemble pas à un idiot politique !!cette tentative de le nuire ne peut pas passé, c’est trop gros comme mensonge !!!! courage à toi maître SANKARA, garde la tête droite et le peuple te suivra. Le peuple te regarde et te suit...

      • Le 8 mars 2010 à 23:13, par Burkin Rawa En réponse à : POT-POURRI : Le torchon brûle entre l’UNIR/PS et le FFS

        Gustavo, tu n’as encore rien vu. Le pire reste à venir. Tu seras déçu de ces guignols là. Même ton Me Sankara-là, tu verras. Il faut voter UPC de Zeph. C’est le vrai après Blaise.

    • Le 8 mars 2010 à 23:16, par Burkin Rawa En réponse à : POT-POURRI : Le torchon brûle entre l’UNIR/PS et le FFS

      ha ya, voici en grande première avant l’élection de novembre 2011, le spectre de la division, le théâtre de la honte et de l’incompétence en politique alors même qu’ils (Norbert et Bénéwendé) n’ont même pas un brin de pouvoir. Laissez ces deux-là là où ils sont.

  • Le 6 mars 2010 à 10:25, par La PUISSANCE En réponse à : POT-POURRI : Le torchon brûle entre l’UNIR/PS et le FFS

    Encore des brouilles entre SANKARISTES
    C’est pas étonnant : rappelez vous le capitalisme a eu raison du communisme ; les armes utilisés sont disproportionnés (argent, calomnie, corruption, chantage contre honneté, patriotisme, volonté sobre)
    Chers compatriotes, ouvrons l’oeil et le bon
    car la mascarade et les mises en scène sont monnaie courante

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