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CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

Publié le mardi 12 janvier 2010 à 00h24min

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K. S. une jeune fille de 20 ans environ, après avoir passé son réveillon à Gaoua, décida de passer la suite de sa fête de fin d’année au village à une vingtaine de km de Gaoua sur l’axe Gaoua-Nako. Elle enfourcha donc son vélo le 1er janvier et c’est chemin faisant qu’elle a été accostée par 3 jeunes hommes avec qui elle a échangé quelques civilités. Un homme couché sur la route préoccupait la jeune fille. Elle a même demandé aux jeunes de le mettre à l’écart pour qu’il ne soit écrasé. La fille décida de poursuivre son chemin.

Entre-temps, un des garçons qui avait porté des lunettes s’est concerté avec ses deux autres camarades et a rattrapé la fille à qui il a signifié qu’il avait décidé de l’accompagner. C’est ainsi qu’aux environs de 18 h, il a décidé de la laisser poursuivre son chemin. Et c’est dans la poignée de mains en signe d’au revoir que le jeune homme s’est subitement montré violent. C’est à cet instant qu’il a manifesté son intention d’avoir des relations avec elle. La fille opposa un refus. Par la force, il l’entraîna en brousse pour satisfaire sa libido. Elle présentait plusieurs blessures au cou puisque, selon elle, c’est par strangulation qu’il est parvenu à l’immobiliser. Selon la fille, le viol a commencé aux environs de 18 h et c’est à 2 h du matin qu’elle a été libérée pour regagner sa maison. Ce qui sous-entend qu’elle a passé plus de 8 heures d’horloge avec son bourreau. Arrivée à la maison, la fille n’a guère tenu compte de la menace qu’elle avait reçue, qui la sommait à garder le silence sous peine de mort. Il raconta sa mésaventure à son papa. Le présumé violeur a été arrêté par la gendarmerie de Nako.


Projet ZACA : Les immeubles vont bientôt sortir de terre

Les travaux de mise en valeur des parcelles de la ZACA, la zone d’activités commerciale et administrative, seront officiellement lancés le 14 janvier 2010, à l’occasion d’une cérémonie placée sous le patronage du Premier ministre, Tertius Zongo. En marge de cette activité, le ministre Vincent T. Dabilgou de l’Habitat et de l’Urbanisme animera une conférence publique le jeudi 14 janvier à 16h à la salle de conférences de Pacific hôtel sous le thème : "Le projet ZACA, un pôle d’investissement du grand Ouaga". Il est par ailleurs prévu du 14 au 16 janvier 2010, une rue marchande sur le site du projet.

L’objectif est de faciliter le contact entre les souscripteurs (les propriétaires de parcelles dans la zone) et les techniciens de la construction, notamment les bureaux d’études, les cabinets d’architectures et d’ingénierie, les vendeurs de matériaux de construction, etc. Le lancement officiel des travaux de construction des immeubles dans la ZACA marque le début de l’exécution de la phase finale du projet. C’est l’étape la plus importante de la réalisation du projet car elle concerne la partie la plus visible de la mise en oeuvre du projet. La réalisation de la ZACA fera du centre-ville de Ouagadougou, le poumon du développement économique et une zone de haute qualité culturelle, urbanistique et architecturale.


Affaire BIB/EROH : jugement en appel le 15 janvier

On se rappelle qu’en mai 2007, la Cour d’appel de Ouagadougou avait rejeté la demande de la Banque internationale du Burkina (BIB) qui avait mis en branle une procédure pour recouvrir une somme de plus de 850 millions de F CFA que lui devrait EROH, un de ses clients. Dans la foulée, cette juridiction avait condamné la banque à payer des dommages et intérêts de plus de 3 milliards de F CFA à EROH qui aurait vu la résiliation d’un de ses marchés, résiliation dont il rend la BIB responsable. Mais cette dernière contre- attaque en saisissant à son tour la Cour d’appel pour que celle-ci révise le jugement en question. C’est cette demande qui sera jugée ce vendredi 15 janvier 2010 à la Cour d’appel de Ouagadougou. Le dossier fait grand bruit et est présenté comme l’un des feuilletons judiciaires du moment.


Commune de Yako : entre projets de voirie et chaises musicales dans les établissements

Le conseil municipal a entrepris, avec l’appui du ministère des Infrastructures et de l’Urbanisme, d’améliorer sa voirie en cette année 2010. Ainsi, dès les premiers jours de janvier, les Yakolais ont constaté l’ouverture de rues dans les secteurs 2 et 6. Selon des sources proches de la mairie, il est prévu l’ouverture de 10 km de rue et le remplissage également de 10 km de routes dans la ville de Yako. Sur les 37 millions que doit coûter l’opération, la commune débourserait la bagatelle de 8 millions de nos francs. Malgré un taux de recouvrement jugé satisfaisant en 2009, le conseil municipal a fini l’année à genou en terme de moyens roulants. En effet, à ce jour, tous les véhicules du parc communal sont sur cale. Le seul mini-bus qui peut rouler est à l’abri au Haut- commissariat puisque ayant connu le même sort avant d’être réparé à l’approche du 11-Décembre par une main salvatrice.

Plusieurs activités ont donc été mises au ralenti et ce n’est pas la police municipale qui dira le contraire, puisque sa "Peugeot bâchée" de ramassage des motos et vélos non en règle est parquée au garage depuis près de 3 mois. Même l’édile a été contraint de reprendre son véhicule personnel pour assurer la continuité du service. Mauvaise gestion ou imprévus excessifs ? Wait and see. Les établissements secondaires publics sont vraiment entrés dans la nouvelle année de façon nouvelle. Ceux-ci ont connu des changements importants au niveau de la direction. Ainsi, M. Gabriel Zoungrana, anciennement en service au municipal, dès le 5 janvier, a pris les commandes du Lycée provincial de Yako en remplacement de M. Ouatéba Ouédraogo, appelé à Ouahigouya. Désormais, le poste de proviseur échoit à M. Atima Baziemo, en provenance du Sanmatenga, au Lycée municipal Toussaint Louverture de Yako.


Pô : le CNLD outille les agents de sécurité pour traquer la drogue

Une mission du Comité national de lutte contre la drogue (CNLD) conduite par son secrétaire permanent, a rencontré en fin d’année 2009 à Pô, une trentaine d’acteurs de la place, impliqués dans la lutte contre ces stupéfiants. Ces acteurs sont issus de la police, de la gendarmerie, de la douane, des eaux et forêts et de l’autorité judiciaire. Cette réunion a eu lieu le 29 décembre à la mairie de Pô et faisait suite à une autre, tenue en 2007. Il s’est agi pour le CNLD de faire l’état des lieux et présenter des échantillons de drogue aux différents agents concernés par la lutte, afin que ceux-ci puissent mieux être outillés en la matière et mieux distinguer les différents stupéfiants pour mener à bien la mission à eux confiée. Pour ce faire, les échantillons en question ont été remis pour être conservés au niveau de chaque poste. Bref, le choix de Pô pour un tel regroupement s’explique par sa position géographique, une zone frontalière où la drogue, dit-on, prend de plus en plus d’ampleur.


Secteur 4 de Pô : suicide d’une jeune mère

Une jeune dame de nationalité togolaise, épouse d’un Polais, et mère d’un nourrisson, s’est donné la mort dans la nuit du mercredi 6 janvier 2010 au secteur 4 de Pô. Une mort atroce survenue après pendaison. Et selon les témoignages, l’infortunée aurait laissé une note dans laquelle elle explique son geste.

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 12 janvier 2010 à 00:34 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Chers journliste, le mot exact, c’est recouvrer, pas recouvrir. A partir d’ aujour’ hui je m’erige comme lecteur des journaux sur le faso. net. Je veux proteger nos eleves et aider nos profs qui font un si beau job malgre les conditions dificiles. Chers lecteurs, n’ y voyez point de l’arrogance.

    Merci.

    San’ fot’

    • Le 12 janvier 2010 à 01:36 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      tu devrais d’abord apprendre à écrire sans fautes, avant de vouloir corriger les autres...pathétique, rien de pire qu’un bon conseil suivi d’un mauvais exemple.

    • Le 12 janvier 2010 à 05:17, par Vision101 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      "Chers Journliste" ? Je pense que "Chers Journalistes" serait le plus approprié.C’est un vrai péché d’omission de qualifier ces conditions de "dificiles". Elles sont je pense "difficiles".

    • Le 12 janvier 2010 à 06:13, par Mous En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Monsieur San Fot,

      Il faut commencer vous-même à être très attentionné sur la langue française.

      1) Vous occultez les accents dans plusieurs mots (ériger, protéger, élèves, malgré)

      2) Vous laissez plusieurs coquilles : Chers JournaliteSSSS, aujourDDD’hui, difFFFFiciles

      3) Vous devriez vous-même éviter le langage familier à travers l’usage des mots familiers : profs, jobs

      Je vous encourage néanmoins dans vote tâche.

    • Le 12 janvier 2010 à 06:58, par Ras T En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Mon Cher "San’ Fot",
      Votre initiative est louable et noble, mais vous risquez d’embourber davantage nos élèves et nos "profs", tant les fautes abondent dans votre écrit. Relisez plutôt !

      "Chers journliste" : Un "a" après le "n" protégerait mieux nos élèves et nos "profs"

      "...le mot exact, c’est recouvrer, pas recouvrir." : Et si vous disiez plutôt "... et non pas recouvrir" ?, ne pensez-vous pas que ce serait plus agréable a entendre ?

      "A partir d’aujour’ hui" : Décidément, ce n’est pas votre jour aujourd’hui !
      "...malgre les conditions dificiles." : Difficile, ce Français !
      "...Chers lecteurs..." : Auriez-vous une dent contre nos chères lectrices ?

      N’y voyez surtout point de l’arrogance, votre idée est louable comme nous l’avions dit au tout début, nous sommes également soucieux de protéger nos élèves et nos enseignants.

      Pour conclure, nous vous invitons a réfléchir sur cette petite phrase qui existe dans nombres de cultures "Clean your finger before you point at my spots".

      PS : "San’ Fot" est encore prématuré pour vous. Je vous suggère plutôt "Kelke Fot" pour l’instant, a moins que vous ne vouliez dire "Cent Fot" ! (lol)

      Ras T.
      One Love !

    • Le 12 janvier 2010 à 07:40, par lilboudo En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      M. san’ fot’ tâchera de ne pas faire de faute avant de corriger des journalistes. Rien que dans votre petite intervention, trois fautes, si on oublie les accents (on supposera que vous êtes sur un clavier anglais) : journalistes (s), aujourd’hui (d en manque), difficiles (ouf, un f s’est filé).

      L’erreur est humaine, alors soyons tolérants.

    • Le 12 janvier 2010 à 09:03, par Leprince En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Toi aussi tu fais de fautes : chers journalistes s’écrit avec "s" et difficiles avec deux "f" sans oublier les différents accents du mot "élèves".

      Compris ?

    • Le 12 janvier 2010 à 09:35, par kgb En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      cher correcteur, c’est un noble travail que vous voulez faire là. mais je vous suggérerai de commencer par vous corriger vous même. ne faites pas comme nous tous mais plutôt écrivez les mots avec leurs orthographes exacts sans utiliser les styles sms. votre mot "m’érige" est inexact dns le sens que vous l’utilisez.
      amicalement.

    • Le 12 janvier 2010 à 10:22, par Sid-metta En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      C’est l’arroseur arrosé, autrement dit, le correcteur corrigé. Dans ce court texte j’ai décelé les fautes suivantes : aujour’hui pour dire aujourd’hui, je m’erige comme pour dire je mérige en, proteger nos eleves pour dire protéger nos élèves, malgre les conditions dificiles pour dire malgré les conditions difficiles. Merci tout de même pour la volonté que affichez.

    • Le 12 janvier 2010 à 10:31 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Bien dit mon cher ami. Mais il faudra commencer par te corriger toi-même avant de prétendre le faire pour les autres ou protéger certains : ton "Chers Journaliste" devrait être "chers journalisteS" (avec S à la fin). Apprends aussi à utiliser les accents sur les voyelles quand il le faut, sinon, nos élèves (et non eleves)seront plus que perdus (peut-être que tu utilises un clavier anglais qui ne connaît pas d’accent, mais quand je regarde les apostrophes, je me dis que ce n’est pas le cas).
      Bon, c’est pas mal de toujours attirer l’attention des uns et des autres sur les fautes d’écritures.
      Très cordialement

    • Le 12 janvier 2010 à 11:56 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Mec, je suis d’accord avec toi. Mais commence, je t’en supllie, par être rigoureux avec toi-même, même quand tu es sur le forum. Les élèves dont tu te préoccupes tant, à juste titre, le lisent autant que les articles des journaux. Ta remarque est pleine de fautes. Je m’imagines bien que tu t’es lâché là, par manque de temps. Désormais, sois cohérent. On est ensemble mec.

    • Le 12 janvier 2010 à 12:28 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      bien mais commence par revoir ta propre copie. elle ne vaut pas mieux

    • Le 12 janvier 2010 à 12:54 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Monsieur san fot

      Apprenez déjà que si vous vous lutter pour une bonne éducation des éleves, sachez que vos abréviations ne les aident pas non plus.
      nous on a besoin d’information et j’estime que ce site fait pas mal d’effort pour vous fournir un tel contenu, alors si vous voulez corriger les fautes attendez les compétitions des cracks pour y participer
      vos fautes à vous sur un petit paragraphe
      Chers journalistes : sans S alors que c’est le pluriel
      eleve sans accent
      prof:professeurs
      job:travail pour respecter un peu travail des professeurs
      merci : sans cédille dan

    • Le 12 janvier 2010 à 14:46, par Yarbila En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Fou le kan laba. Tu ne sais pas que toute langue écrite est une convention. L’éssenciel, cè de comprendre.
      Si tu est français, je te comprend mais sache que le Burkina Faso n’est pas la france.

      Si tu est burkinabè, je te demande de traduire le texte que tu corrige dans la langue de ta maman.
      Je pari que tu fera autant de faute que de mots.
      J’espere que que tu écrit bien le nom de ton pays : Bourkina Fasso !!!!!!
      Rgrds

    • Le 12 janvier 2010 à 15:22, par Bruno En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Commence par écrire toi-même bien le français. Dans ton commentaire je ne compte pas moins de 13 fautes. C’est pas avec ça que tu vas protéger nos enfants.

    • Le 12 janvier 2010 à 15:34, par Le correcteur corrigé. En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Cher San’ fot’, le mot exact c’est aujourd’hui et je m’érige comme lecteur des ’forumistes’ comme vous sur le faso. net. Je veux protéger nos élèves et aider nos profs qui font un si beau travail malgré des conditions difficiles. Chers lecteurs, n’y voyez point de l’arrogance, c’est pas facile le français et chacun doit faire des efforts.

      Merci.

    • Le 12 janvier 2010 à 15:39, par Le VOLTAIQUE En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Mon type,t’as pas a t’erige pour la cause d’autre chose que la defense de la langue francaise ?SENGHOR a tout fait mais helas...il est parti.Vas sur SENEWEB.COM et lis les journaux Senegalais.C’est seulement en Afrique de l’Ouest que l’on essaie de bien parler cette langue.

    • Le 12 janvier 2010 à 15:51 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      San’ Fot’ a écrit ceci : "Chers journliste, le mot exact, c’est recouvrer, pas recouvrir. A partir d’ aujour’ hui je m’erige comme lecteur des journaux sur le faso. net. Je veux proteger nos eleves et aider nos profs qui font un si beau job malgre les conditions dificiles. Chers lecteurs, n’ y voyez point de l’arrogance."

      En voulant corriger la faute du journaliste, lui même en commet 3.
      - journliste c’est journaliste
      - Chers journliste c’est chers journalistes
      - dificiles c’est difficiles

      Je lui fais don des fautes d’accent.

      Quand on veut protéger les élèves, il faut le faire correctement et totalement.

      Avant de balayer devant la porte des autres, assurons-nous que notre propre devanture est bien propre.

      A bon entendeur, salut !!!

      Noaga

    • Le 12 janvier 2010 à 18:41, par rien En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      cher ami, pour vous eriger en bon correcteur commencer par vous corriger (orthographe et langage).

    • Le 14 janvier 2010 à 11:54, par aripont En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      tu fais pitié
      rien de plus triste que d’être à la fois arrogant et ignorant.

  • Le 12 janvier 2010 à 05:56, par Sidnoma New York En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Doucement monsieur "sans faute", il faut comprendre l’auteur de l’article : c’est facile de taper sur le "i" à la place du "e". SOYEZ TOLERANT.

  • Le 12 janvier 2010 à 09:24 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    absolument d’accord avec toi. et à la fin, il écrit "il raconta ...à son père" alors qu’il s’agit d’une fille, donc "elle raconta...". attention, messieurs les journalistes

  • Le 12 janvier 2010 à 10:06, par anonyme En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    En attendant mon cher, apprends à ecrire sans faute avant de t’eriger en lecteur-correcteur !

  • Le 12 janvier 2010 à 11:14, par Rakis En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Alors mon cher ami "San fot" il faut revoir vos accents !

  • Le 12 janvier 2010 à 12:25, par koukson En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Au vu de votre écrit je pense qu’il vaut mieux abandonner le projet pour le bien de ces élèves que vous aimés tant.

  • Le 12 janvier 2010 à 13:59, par patarbtaalé le fils du pauvre En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Cher Monsieur
    Je pense qu’il faut d’abord soigner votre français avant d’attaquer les journalistes. ou bien voulez-voulez vous instruire par les journalistes. Si le ridicule pouvait tuer. enlever d’abord la poutre de votre oeil.

  • Le 12 janvier 2010 à 14:07, par theophile le grec, En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Merci beaucoup “san fot”, je pense qu’il faut qu’on aide le « journliste » qui fait un si beau job malgre les conditions « dificiles ».

    Personnellement je suis dans un pays ou je parle le francais au travail ou avec les freres. Le reste c’est deux autres langues etrangeres qu’on parle, et je pense que des cours de grammaire pour moi seraient les bienvenus.

    Ne prenez pas cela en mal comme a dit san fot.

    Cordialement.

  • Le 12 janvier 2010 à 17:47 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Vous avez tous raison mais vous exagérez à la fin. Tolérance !

  • Le 12 janvier 2010 à 19:21, par une féministe en colère En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    je n’en crois pas mes yeux .l’article du journaliste parle d’une fille qui a été violée et les commentaires ,tous sans exception ,"blablatte " sur les fautes de français .je parie que tous les gens qui ont fait des commentaires sont des mecs pour avoir une telle réaction .votre bouche là !!!!!!!!!!vous etes bien tous les memes ,sous toutes les latitudes ,quelque soit votre couleur ,votre origine etc..........comment voulez-vous que le monde change ,que le racisme disparaisse quand le plus répandu des racismes ,celui envers les femmes ,perdure depuis des siècles et dans toutes les sociétés .

    • Le 13 janvier 2010 à 20:33 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      AH ENFIN ! ca me rassure que ce n’est pas moi seul qui suis "anormal" ! c’est la reflexion qui m’est venue autoamatiquement. C’est plus que hallucinant Ou sommes nous ? quelle morale la langue...francaise face a une fille violée En plus une personne qui se souciat des autres.. et voila Pauvre burkina pauvre afrique
      SOME

  • Le 12 janvier 2010 à 20:13, par Karim En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    J’en tombe des nues ! 25 réponses à l’article juste pour critiquer la première intervention qui malheureusement pour elle, n’a aucun rapport avec le fait présenté dans ledit article. Il est vrai qu’il faut s’échauffer avant l’effort physique, on ne ferait cependant pas 42 km de marathon pour se préparer pour un sprint. Néanmoins mieux vaut tard que jamais. Saluez la motivation de l’auteur de la première réponse, encouragez-le dans son entreprise, oubliez-le et revenez au fait relaté dans l’article. Une fille a été violée et comme toute réaction, nous nous acharnons sur un lecteur qui aurait tout simplement dû revoir ses écrits avant de les publier. Mon soutien moral à la pauvre fillette et que Dieu nous épargne d’être auteur où victime de ce genre de crime.

    Karim

  • Le 13 janvier 2010 à 01:44, par le Juge En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Mr "SAN FOT" ou "100 Fots" a deconne. On ne peut pas pretendre maitriser la langue francaise alors qu’on ecrit du japonais,du chinois ou du franglais sur le forum.
    La prochaine fois il va reflechir avant d’agir.
    Je me demande comment il s’ensortait en DICTEE a l’ecole primaire.Un livre d’orthographe lui ferait vraiment du bien.(LOL).

    • Le 13 janvier 2010 à 19:09, par theophile le grec, En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

      Merci juge, en effet j’ai voulut attirer l’attention de " san fot " que c’est tres dur pour chacun de nous de ne pas faire des fautes surtout dans les forums car on ne prepare pas les ecrits. Pour les journalistes c’est pas tellement le cas car ils ont le temps mais on peut toujours pardonner.

      Vraiment je m’excuse pour ma soeur qui s’est plainte la haut, et ce n’est pas que le sujet ne nous interesse parce que cette fille aurait pu etre notre soeur ou notre copine.

      Vivement que justice soit rendue.

  • Le 13 janvier 2010 à 20:38 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    UN SEULE INTERVENTION POUR PARLER DE LA FILLE QUI A SUBI CALVAIRE VIOLEE !! UNE SEULE !! JE VOUS ASSURE : UNE SEULE....
    SOME

  • Le 17 janvier 2010 à 13:19 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    je suis degouté absolument degouté par les interventions sur cet article. parler de fautes de francais par rapport a une fille qui a ete violee !!! ca donne la haine meme !!! pouah !! du n’importe quoi ! dans quel pays je suis ?! de la merde ! apre on veut donner des lecons aux uns et autres...
    SOME

  • Le 20 janvier 2010 à 22:34, par Ollo En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : une fille violée plus de 8 heures dans le Poni

    Bonsoir à tous,
    Je joins ma voix aux rares voix qui, sur cet article, tentent d’en appeler au bon sens. Comment peut-on s’étriper sur des futilités (fautes d’orthographe) alors que le sujet évoqué ( le viol et la détresse par ces tps de SIDA), est d’une gravité qui commande sinon la condamnation et la compassion, au moins le silence ? Je me permets juste une question à l’adresse de nos champions de français correct : si cette pauvre était votre fille, épouse, soeur ou mère, auriez-vous perdu votre temps à polimiquer sur les règles grammaticales ? De la décence que diable !!!

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