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On murmure : Election à colère à l’UNIR/PS

Publié le mercredi 15 juillet 2009 à 01h59min

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Il est revenu à Kantigui que la mise en place du bureau de la Coordination régionale du Centre de l’Union pour la renaissance/ Parti sankariste (UNIR/PS) ne s’est pas faite dans les règles démocratiques, samedi 11 juillet 2009 au siège du parti aux 1200 logements. Convoqués pour désigner les membres de cette structure de base, des militants et non des moindres, ont été très déçus de l’attitude d’un des bonzes du parti de l’ouf.

En lieu et place d’un vote même consensuel, celui-ci se serait présenté à l’heure indiquée pour distribuer une liste déjà arrêtée à ses camarades dont certains sont venus des recoins de la capitale. Kantigui s’est laissé conter que ce cadre du parti n’est pas à son premier coup de force. Adepte des dictatures d’un autre temps, il ne se gènérait pas à outre-passer les directives du bureau politique pour exprimer ses propres humeurs.
Face aux militants en colère, Kantigui estime que la culture de la démocratie commence au sein même des partis politiques et les premiers responsables doivent mettre du sérieux dans la désignation des structures de base au risque de décevoir leurs militants


Le toit du stade municipal de Koudougou en lambeaux

Kantigui a été surpris de constater pendant les matchs du week-end (Coupe du Faso et championnat de D2) que le toit de la tribune officielle du stade municipal de Koudougou n’existe plus. Un seul vent en ce début de saison pluvieuse a eu raison de cet ouvrage très vite présenté comme la fierté de toute la province du Boulkiemdé et au-delà, de la région du Centre-Ouest. Il a suffi d’une seule tornade pour froisser et arracher sa toiture comme un œuf. Cette démolition précoce amène une fois de plus Kantigui à se poser des questions sur la durabilité des infrastructures publiques. Leur construction ressemble à un perpétuel recommencement au grand bonheur d’entrepreneurs passés maîtres dans l’art de bâcler les travaux. C’est dans cette même ville de Koudougou qu’une école bilingue s’est effondrée tuant des élèves. Un tel drame qu’on aurait pu éviter donne à réfléchir


Simon Compaoré refuse le désordre

Kantigui se réjouit de la décision du maire Simon Compaoré de rappeler à l’ordre les “parkeurs” de la ville de Ouagadougou. En effet, les syndicats des “parkeurs” avaient décidé unilatéralement d’augmenter de 100% les frais de parking au grand dam des usagers. Ils ont prétexté la vie chère alors que leur mesure rendait la vie encore plus chère quand on sait le nombre très élevé de parkings. C’est ainsi que des gens ont avoué à Kantigui avoir dépensé plus d’argent pour faire surveiller leurs engins que pour le carburant. Si tout le monde devait faire comme les gérants de parkings, qu’allait devenir la vie à Ouagadougou, s’intérrogeKantigui. Et si dans les marchés et yaars, tous les commerçants augmentaient les prix des marchandises pour cause de vie chère ? C’est pourquoi Kantigui se joint aux nombreux citoyens qui ont accueilli avec soulagement le communiqué de Simon Compaoré annulant l’augmentation des frais de parking.

“Cette décision unilatérale est nulle et non avenue. La fixation des frais de gardiennage dans les parkings étant une des prérogatives du maire et du conseil municipal”, a rappelé Simon Compaoré. De plus, le maire prévient que des contrôles seront organisés par la police municipale sur toute l’étendue du périmètre communal et tout contrevenant s’expose aux sanctions conformément à la réglementation en vigueur.
Kantigui pense que cette décision du maire devrait faire réfléchir tous ceux qui, comme les syndicats des “parkeurs”, mûrissent l’idée de se remplir les poches sur le dos de la population sous le prétexte
de la vie chère


Elèves et étudiants plantent utile à Boulsa

Kantigui a appris que l’Association sport, culture et environnement Benkadi (ASCEB) organise du 16 au 19 juillet 2009 dans la commune de Boulsa, province du Namentenga, un camp de reboisement dénommé Boulsa 2009. Près de quatre mille (4000) plants composés entre autres, de jatrophas, de manguiers et de nérés seront mis en terre dans la forêt communale de Boulsa par une quarantaine de campeurs, âgés de 12 à 25 ans.

5ème du genre, le camp de reboisement Boulsa 2009, est placé sous la présidence du ministre de l’Environnement et du Cadre de vie, Salifou Sawadogo et le parrainage de Laurent Sédogo, ministre de l’Agriculture, de l’Hydraulique et des Ressources halieutiques. Outre la reforestation, il est prévu d’autres activités telles que du cyclisme féminin, un match de football qui va opposer les campeurs de l’équipe communale de Boulsa, une journée de salubrité baptisée “zéro sachet dans la commune de Boulsa”. Aussi, en vue d’allier théorie et pratique, travail physique et travail intellectuel, deux conférences-débats sur des thèmes d’intérêt comme “le rôle de la femme rurale dans la gestion de l’environnement” et la “lutte contre la désertification : quelles contributions de la jeunesse”, seront organisées au profit des participants


L’ONATEL-SA dans le Top 10 de la BRVM

Le 30 avril 2009 l’ONATEL-SA faisait son entrée à la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM). Mieux, il a fait une entrée réussie ce jour-là avec
12 000 titres vendus.
Deux mois seulement après cette entrée salutaire, Kantigui a ouï dire que l’ONATEL-SA vient de taper un nouveau coup en intégrant le cercle restreint et tant convoité de l’indice BRVM 10 regroupant les dix sociétés les plus actives du marché boursier régional. Ainsi, depuis le 1er juillet 2009, notre entreprise occupe le 3e rang dans la cour des grands.
Avec ce classement du Top 10, l’ONATEL-SA a démontré qu’il est non seulement le leader des télécommunications au Faso, mais aussi se comporte bien dans la sous-région.
Kantigui souhaite bon vent à l’ONATEL-SA dans ses ambitions de mieux servir sa clientèle


Les pompiers clôturent leur 30e anniversaire en beauté

Il est parvenu à Kantigui que les soldats du feu clôturent leur 30e anniversaire ce vendredi 17 juillet. “Sauver ou périr”, tel est le slogan de ces hommes qui ont choisi contre vents et marées de porter secours à tout sinistré sur le territoire national. En trente ans, les pompiers burkinabè ont bien accompli avec dévouement et abnégation, des missions qui leur valent bien des lauriers au sein de la population. Débutée en mars, la célébration de ce 30e anniversaire a permis aux hommes du colonel Silas Keïta de mieux se faire connaître du public. Kantigui appelle donc le tout Ouagadougou à se mobiliser une fois encore pour rendre un vibrant hommage aux soldats du feu à la clôture des activités du 30e anniversaire qui interviendra sur les coups de 15 h à l’Etat-major des sapeurs- pompiers.

Kantigui

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 15 juillet 2009 à 14:08, par Un fervent défenseur du "Pays des Hommes intègres" En réponse à : On murmure : Election à colère à l’UNIR/PS

    Pour une fois, il faut mettre chapeau bas à Kantigui de nous avoir mis dans ses confidences. Si les informations distillées sont exactes, il faut que Kantigui nous livre le nom de ce "bonze" du Parti de l’Oeuf car visiblement il s’est trompé d’adresse.

    La place de ce "bonze" des temps coloniaux n’est certainement pas à l’UNIR/PS, encore moins au sommet de celui-ci. Ces agissements sont de nature à déteindre sur tout le parti de l’oeuf et à saper les bases populaires et démocratiques de celui-ci.

    Kantigui, rend service à tous ceux qui ont foi à l’UNIR/PS comme avant-garde de l’unité tant attendue ses Sankaristes, dis-nous qui est ce potentat égaré parmi les révolutionnaires...

    A suivre donc...

    • Le 15 juillet 2009 à 19:41, par rab En réponse à : On murmure : Election à colère à l’UNIR/PS

      J’emboite le pas de mon prédecesseur, pour dire à kantigui de dire dorénavant le nom de cet individu égaré, car l’UNIR/PS ne mérite pas ce genre de comportement. J’attire l’attention de maitre SANKARA la nécessité de mettre de l’ordre pour permettre à L’UNIR/PS de poursuivre son chemin pour des victoires encore plus éclatantes.Merçi à kantigui de l’information.

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