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Commerce de motos : un géant en difficulté

Publié le vendredi 15 mai 2009 à 03h33min

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Les difficultés financières que rencontre une société spécialisée dans le commerce de motos importées continuent de s’amonceler. Très endettée auprès de certaines banques de la place, la société a pris des mesures sociales draconiennes à l’endroit de son personnel. Une note de service prise récemment par la Direction générale décide en effet des abattements des salaires du personnel, allant de 11, 43 à 45%, et ce de février 2009 au 31 juillet 2009.

L’inquiétude des agents est grande, quant à l’avenir de leur société. Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir "bossé". Jusqu’à la présentation des voeux 2008, la direction générale les a félicités pour leur performance. Les travailleurs n’ont du reste pas encore perçu les salaires du mois d’avril, selon certaines indiscrétions. Tous croisent donc les doigts pour que leur entreprise retrouve vite une bonne santé financière, pour continuer à servir l’économie burkinabè.


Marchés publics : financement danois à problème

Des bruits d’une affaire de marché public assez floue commencent à se faire entendre dans le milieu des affaires. Il s’agit d’un marché de câblage et d’interconnexion des directions et services du ministère de l’Economie et des Finances. Financé par le Danemark, ce projet phare, s’il était réalisé, ferait du Burkina le pionnier et le leader dans la visibilité et la mobilisation des ressources intérieures. Ce projet, qui n’existe nulle part en Afrique, devrait permettre d’une part au ministère de l’Economie et des Finances d’avoir, en temps réel, la situation des recettes intérieures sur l’ensemble du territoire national, grâce à cette interconnexion ; d’autre part, il permettrait une traçabilité des dépenses publiques. Mais voilà, malgré son importance, l’appel d’offres pour la désignation de l’entreprise devant réaliser les travaux piétine. Il a été trois fois lancé, deux fois attribué. En tout cas, quelque chose cloche dans ce dossier, et le Premier ministre, si attaché à la transparence dans les marchés publics, devrait y jeter un coup d’oeil. C’est l’image du Burkina qui est en jeu.


Ecofinances : la présentatrice en formation

La présentatrice de l’émission télévisée "Ecofinances", Amina Billa, serait en partance pour un pays nord-américain, semble-t-il, à la recherche d’un Master’s certificate dans un programme de certification universitaire en gestion axée sur les résultats. L’animatrice va donc renforcer ses compétences en finances publiques. Que deviendra l’émission ? Espérons toutefois que des dispositions seront prises pour ne pas priver les amateurs de débats sur le monde des affaires au Burkina.


Ecobank : rencontre au sommet à Ouaga

Le Burkina a été choisi pour accueillir la prochaine assemblée générale de Ecobank Transnational Incorporated (ETI) qui va se tenir le 5 juin 2009 à la salle des Banquets de Ouaga 2000. A cette occasion, les premiers responsables du groupe et l’ensemble des équipes dirigeantes des 28 pays dans lesquels Ecobank opère vont se retrouver dans notre pays avec des centaines d’actionnaires venant de tous les pays du continent. A cet effet, le staff d’Ecobank Burkina est en train de mettre les petits plats dans les grands pour réussir cet important challenge. Le public devrait découvrir bientôt la nouvelle identité visuelle du groupe.


Télécommunications : la diaspora burkinabè mécontente

De plus en plus de Burkinabè résidant en Europe se plaignent de la mauvaise qualité des communications avec leur pays d’origine. Ils sont régulièrement coupés du pays, faute de connexion téléphonique ou internet. Ainsi, ces derniers jours, il leur était impossible de joindre leurs interlocuteurs sur le portable. Cette situation est mal ressentie par ces Burkinabè, dont le principal lien avec la patrie est le téléphone ou l’internet. Sans compter que les incessantes perturbations, selon eux, portent préjudice à l’image du "Pays des hommes intègres".


Tenkodogo chante ce samedi

Pour la 4e année consécutive, la paroisse Saint François Xavier de Tenkodogo va vibrer au rythme de la "Nuit des chorales" qui mobilise nombre de choristes des villages et de la ville. Cet événement qui bénéficie du soutien de la marraine Marie Odile Bonkoungou, ministre de l’Enseignement de base et de l’Alphabétisation, aura lieu demain samedi 16 mai sur le podium de l’Eglise paroissiale de Tenkodogo sous le thème « l’Esprit Saint ». Près de 26 chorales des différents villages et de l’Eglise Marie-Reine de Tenkodogo seront en compétition. La nuit du samedi s’annonce donc palpitante à Tenkodogo.


Coupe de la Solidarité : Bangassogo défie Sissilé ce dimanche

La 7e édition de la coupe de la Solidarité va désigner son vainqueur ce dimanche à Bangassogo, dans le Sourou. Des 32 équipes qui ont pris le départ , celles de Bangassogo et de Sissilé ont pu arracher le ticket de la finale qui s’annonce déjà palpitante. Le promoteur de cette coupe que les populations du Sourou se sont appropriée, n’est autre que Robert Bibia Sangaré , ancien DG du CENOU et élu de la région. Cette compétition qui rassemble du monde chaque année est placée sous le patronage d’honneur de l’ancien ministre Adama Fofana , sous le patronage du ministre des Sports et sous le parrainage du colonel Labawo Forogo .


Après les Galian, voici les Gambré

L’édition 2009 de la nuit des Gambré se prépare activement par le département de Noël Kaboré, le ministère de la Promotion des technologies de l’information et de la communication. Il nous revient qu’à quelques heures de la clôture des inscriptions pour le concours des meilleurs sites web, on notait près de 169 inscrits. Sur cette liste, on compte 12 organes de presse. On observe une bonne cuvée dans la catégorie société civile avec 36 inscrits, ainsi que dans la catégorie site portail avec environ 27 sites candidats. La nuit du web aura lieu cette année le 29 mai au Siao, et elle se tient dans le cadre de la semaine nationale de l’Internet qui a lieu du 22 au 30 mai 2009.


Collège Pierre Kula : entre fête et AG

Dans le cadre de la célébration de la fête du collège Pierre Kula (CPK) de Diébougou, le CPKA (Collège Pierre Kula Association) se mobilise une fois de plus. Des activités culturelles et sportives toujours prisées par les élèves, anciens élèves et les Diébougoulais, se tiennent à ces dates et le transport de tous ceux qui désirent se rendre à Diébougou est facilité. Pour cette année encore, le CPKA met à la disposition des anciens élèves et sympathisants, un car pour un départ prévu le 15 mai 2009 à partir de 14 h à Jeunesse d’Afrique (Collège de La Salle, Ouagadougou). La constance et la régularité dans les actions dont fait preuve le CPKA en réunissant normalement ses instances et organes de gestion chaque année, est à saluer dans une région du Sud-Ouest où, semble-t-il, la longévité fonctionnelle des associations d’"intellectuels" n’est pas la chose la mieux partagée. Du reste, confortant la bonne gouvernance et conformément à ses statuts, l’alternance est annoncée à la direction du CPKA par l’élection programmée d’un Comité exécutif entièrement renouvelé au cours de l’assemblée générale prochaine, le 16 mai 2009.


Pô : la champions league fait une victime

A la fin de la rencontre de la ligue des champions européens du 6 mai dernier qui a opposé le FC Barcelone au club de Chelsea, beaucoup de supporters pôlais du club vainqueur, à l’instar de ceux d’autres localités, ont manifesté leur joie sur la voie publique. Malheureusement, l’un d’eux a mortellement fauché un vieil homme qui passait tranquillement son chemin. Transporté dans un état critique au CMA de Pô, il a été par la suite évacué sur Ouaga où il a malheureusement rendu l’âme. Certes, c’est bien de manifester sa joie après des événements heureux, mais c’est aussi bien de faire très attention aux autres. Car, ne dit-on pas que la liberté des uns s’arrête où commence celle des autres ?


Lancement d’un concours du meilleur journal scolaire à Ouaga

Le Goethe-Institut/Bureau de Liaison, présent à Ouagadougou depuis juillet 2008 et ayant pour mission principale d’asseoir et d’approfondir les bases d’une coopération culturelle entre le Burkina Faso et l’Allemagne, lance dans cette même optique un projet culturel et éducatif dans le milieu scolaire : le "Concours du meilleur journal scolaire". Ce concours a pour objectifs entre autres de stimuler l’intérêt pour le médium journal scolaire au sein des collèges et lycées de la ville de Ouagadougou, de permettre l’émergence de la créativité dans les domaines de l’écriture et de l’expression artistique et d’encourager "le travail en équipe" entre les jeunes pour un but collectif. La participation à ce concours est ouverte à tout établissement ayant déjà un journal scolaire ou qui, à l’occasion du concours, rédige, pour la première fois, un journal scolaire.

La possibilité est donnée de montrer son talent sous diverses formes et dans diverses langues, en l’occurrence le mooré, le français, l’allemand et l’anglais tout en joignant la maquette du nouveau numéro du journal ; soit sous forme de mise en page collée, sur une clé USB ou sur un support DVD. Il est aussi souhaité que les numéros des journaux déjà parus soient indiqués. Les journaux doivent être déposés au Goethe- Institut/BDL au plus tard le 10 octobre 2009 à 18 h. Les résultats du concours seront disponibles au mois de novembre 2009. Le Goethe-Institut/BDL, pour encourager les participants au concours, propose des prix pour les trois meilleurs journaux, à savoir respectivement 150 000, 100 000 et 60 000 F CFA, et prend en charge l’impression des cinq meilleurs journaux.


FPU : un festival global de la paix

La Fédération pour la paix universelle organise, du 14 au 18 mai 2009, un Festival global de paix dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la famille, instaurée par les Nations unies, le 15 mai de chaque année.

Au programme à Ouagadougou :

- jeudi 14 mai 2009 à l’hôtel Somkiéta : conférence de presse ;
- vendredi 15 mai 2009 à partir de 8 h 00, séminaire de formation des dirigeants et ambassadeurs de paix sur le leadership et la paix ;
- samedi 16 mai 2009 : 1) une marche pour la paix, de 8 h 00 à 9 h 30 : du terrain de football de Sa Majesté le Moro Naba Baongo au lycée mixte de Gounghin. La marche aura pour itinéraire : avenue du Mogho, avenue Simon Compaoré et lycée mixte de Gounghin ; 2) un service pour la paix : confection des briques pour la construction du mur de clôture du lycée mixte de Gounghin ; 3) un grand rallye familial pour la paix et la solidarité, de 15 h 00 à 19 h 00 à la place de la Nation ; 4) une nuit de la paix au Mess des officiers à partir de 21 h 00. Ces différentes manifestations se dérouleront dans une ambiance festive avec à l’affiche : Madess, la Cour Suprême, Salembéré Salambo, Nana Bibata.

A Bobo-Dioulasso :

- une grande conférence sur la culture de la paix le dimanche 17 mai 2009 à partir de 15 h 00 au ciné Sagnon, au cours de laquelle El Hadj Barro Djanguinaba, grand homme d’affaires de la région, sera distingué comme ambassadeur de paix de haut rang ;
- une nuit de la paix toujours le dimanche 17 mai 2009 à partir de 20 h 00 à l’hôtel Soba au cours de laquelle certaines personnalités de Bobo-Dioulasso seront distinguées comme ambassadeurs de paix ;
- un atelier de formation des ambassadeurs de paix et l’installation des structures de la Fédération à Bobo Dioulasso, le lundi 18 mai 2009, à partir de 8 h 00 à la Chambre de commerce et d’industrie.


Grève des 12 et 13 mai : le jeu trouble d’un responsable syndical de Pô

A quel jeu joue le secrétaire général de la section de Pô du Syndicat national des enseignants africains du Burkina (SNEA-B) ? C’est la question que se sont posée les représentants et les militants de 8 des 17 syndicats signataires de la grève des 12 et 13 mai réunis en assemblée générale le 9 courant à Pô dans la province du Nahouri. L’assemblée a accusé le responsable local de ce syndicat, qui n’est pas partant pour la grève, de chercher à démobiliser ceux qui voulaient faire le débrayage. Bien qu’absent de la rencontre, l’intéressé a été fermement mis en garde par rapport à ses agissements.


Le 9e prix francophone de la liberté de la presse lancé

L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Reporters sans frontières (RSF) et Radio France internationale (RFI) viennent de lancer le 9e Prix francophone de la liberté de la presse. C’est un prix destiné à récompenser le meilleur reportage d’actualité traitant des droits de l’Homme dans les catégories presse écrite et radio. Il est destiné aux journalistes de 42 pays francophones dont le Burkina. Les lauréats dans les 2 catégories recevront chacun en novembre prochain à Paris en France 5000 euros, soit un peu plus de 3 millions 250 mille F CFA. Les candidatures doivent être expédiées avant le 15 septembre 2009 par courrier électronique à cette adresse : communication@rsf.org ou par la poste à Reporters sans frontières, 47 rue Vivienne, 75002 Paris, France. Le formulaire d’inscription et le règlement du prix sont téléchargeables sur les sites www.rsf.fr (rubrique "événements"), www.rsf.org et www.francophonie.org


Théâtre : l’ATB présente ses récentes créations

Les amoureux des planches ont de quoi se régaler depuis le 8 mai dernier à l’Atelier théâtre burkinabè (ATB) sis au secteur 9 de Ouagadougou. Depuis cette date, cette compagnie propose tous les soirs ses dernières créations en date : "Parenthèse de vie" et "La dernière nuit". Les représentations de ces pièces qui portent sur les droits humains prennent fin le 15 mai avec le dernier spectacle, à moins d’une nouvelle programmation.


FFS : 5e congrès ordinaire du parti ce week-end

Le Front des forces sociales (FFS) tiendra les 16 et 17 mai 2009, son 5e congrès ordinaire. Les travaux de ce congrès se tiendront au stade du 4-Août de Ouagadougou, sous le thème : "Echéances électorales de 2010, 2011 et 2012 : participation du FFS".


Compétition interscolaire de taekwondo : l’heure des récompenses

Le samedi 16 mai 2009 à 15h 00 aura lieu à la maison du Peuple la remise des prix aux lauréats dans le cadre de l’organisation de la compétition interscolaire de taekwondo. Au programme :
- grande finale de démonstration ;
- remise de récompenses aux lauréats édition 2008-2009.


Une soirée des Droits humains à l’ATB

Une soirée des Droits humains se tiendra le jeudi 28 mai 2009 à 15 h à l’Atelier théâtre burkinabè (ATB). Organisée avec le soutien du PNUD et des ministères en charge de l’Education, de la Promotion des Droits humains, par Burkina éducation culture (BEC), cette soirée vise à récompenser les meilleurs établissements de la ville de Ouagadougou dans le cadre du projet de promotion des Droits humains par l’art en milieu scolaire.

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 15 mai 2009 à 11:42, par yelwaya En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    Parlant des difficultés de communiquer au pays, il est impossible depuis quelques semaines pour les burkinabès de France de communiquer avec le reseau TELECEL. Il serait alors très interessant que celui nous éclaircisse sur ce qui se passe réellement et quand le désagrément sera resolu.
    Yelwaya

  • Le 15 mai 2009 à 13:07 En réponse à : marché d’interconnexion du ministère de l’Economie et des finances

    Bonjour,
    il faut que le premier ministre et le ministre des Finances ouvre l’oeil car il ya des delinquants au ministere des finances qui jouent avec la vie des gens.

  • Le 15 mai 2009 à 15:50 En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    qu’est-ce qui vous empeche de dire le nom de la societe ?
    des infos comme ca sont inutils sans le nom.

    • Le 15 mai 2009 à 18:52, par YENTIABR2 En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

      JE SUIS DU MEME AVIS.SOIT ON EST SUR DE SES SOURCES ET ON INFORME OU BIEN ON SE TAIT QUAND C’EST POUR DIRE DES GENERALITES.

    • Le 15 mai 2009 à 20:19, par narcisse nikiema En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

      soyons sérieux dans ce que vous dites .si vous ne connaissez pas la société et n’avez pas de preuves ,c’est un mensonge et cela terni l’image de votre journal.je suis l’information très loin de mon pays a l’étranger a travers vous.Si vous ne pouvez citer de NOM ne dites rien alors c’est mieux.Tout le monde ne connait pas les sociétés du Burkina.Vous êtes la pour éclairer pas pour obscurcir les choses déjà sombres.

    • Le 17 mai 2009 à 20:53 En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

      Je veux aborder dans le même que mon prédécesseur !
      L’information est incomplète !
      le minimum c’est de préciser de quelle société il s’agit !
      Sinon ne vous donner la peine de nous en parler

  • Le 15 mai 2009 à 17:23 En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    En ce qui concerne les marchés publics, une commission doit se mettre en plac pour y regarder de près comment cela se passe. Inutile de dire qu’il y a des sociétés et bureaux d’études qui postulent aux marchés avec des CV de personnes qui ne sont ni permanents chez eux ni consultants alors comment exécuter la prestation plustard. Comment peut on attribuer 2 fois un marchés et que la prestation ne soit pas réalisée. De mauvaises pratiques se passent aussi au ministère de l’agriculture, le ministre gagnerait a y jetter un coup d’oeil au niveau de la DEP et de DAF. Trop de prestation sont données à des personnes qui baclent le travail par manque de ressources humaines. Dans le cadre de l’AEPA on peut facilement croiser les ressources permamentes d’un bureau d’études avec le nombre déclaré à la caisse car cela a été demandé dans des dossiers et ceux qui trichent doivent être suspendus de marché. Ex : un bureau avec une personne permanente déclare être avec 6 personnes depuis 4 ans et soumissionne avec un document d’une personne déclarée à la caisse. Ce n’est pas sérieux, un ingénieur ne peut pas travailler plus de 4 ans dans le noir sans partir un jour. Il faut asssainir le milieu afin que les jeunes puissent créer des bureaux de prestation de service. Il ne manque pas du boulot au Burkina mais certaines personnes refusent d’embaucher et s’accaparent un peu trop de marchés.

  • Le 15 mai 2009 à 18:49, par YENTIABR2 En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    POURQUOI NE CITEZ PAS LE NOM DU DIT GEANT AUX PIEDS D’ARGILE.INFORMER C’EST PRECISER.

  • Le 15 mai 2009 à 19:01, par lita En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    je pense que l’information quand on décide de la donner, on le fait de façon précise complète et transparente. mais là cher journaliste vous ne nous informez pas du tout car vous dites tout sauf l’essentiel en ns laissant sur notre soif.
    Il faut revoir votre copie si vous aspirez au professionnalisme dans votre metier. c’est très capital.

  • Le 16 mai 2009 à 04:30 En réponse à : communication téléphonique

    Moi je reviens sur les difficultés de communiquer avec le pays.En plus de ne pas avoir le reseau pour rentrer en communication avec la famille, au pays, l’ONATEL se permet de lancer des promotions où l’utilisation des bonus est pratiquement impossible de l’extérieur du Burkina.Aucun message texe impossible.Quand vous vous permettez de prendre des unités au moment des promotions, vous n’avez aucun avantage.

  • Le 16 mai 2009 à 13:09 En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    Bonjour a tous ;
    Comme vous voulez vraiment le nom de ce geant au pied dargiles ; je vous le donne en faisant foi en un document qui circule depuis un mois dans un certain milieu. dans ce dernier il est dit que la societe MEGAMONDE...eh oui est defaillante !

    Pavee dans la mare trouble des affaires ds notre cher Faso !
    Cette faillite etait previsible vu les problemes auxquels etaient confrontes bcp de clients. Le plus grand nombre dengins circulant dans ce pays sans plaque dimmatriculation est le fait de cette fa,euse societe qui a la barbe des services des finances narrivait pas a fournir a ces clients les documents necessaires pour lobtention de la carte grise !

    Cet etat de fait a entraine desproblemes avec les services de douanes ; causant des desagrements aux clients surtout a ceux qui avaient pris ces engins a titre onereux.
    Ah le pays des hommes integres !

  • Le 16 mai 2009 à 15:23, par Okapi En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    J’ai appris ce matin à Kiosque, que le groupe Megamonde demande pour une moto de donner une avance à la commande et les reste quand la personne passera pour récupérer sa moto. Alors là, le monsieur s’est insurgé pour dire que ce n’est pas normal, c’est du vol. N’est ce pas de cette société qu’il s’agit.

  • Le 17 mai 2009 à 02:32 En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    Un peu de Professionnalisme un jour Mr les journalistes. Quand meme !!!! Changer de metier si vous ne voulez pas travailler de facon professionnelle. Que vaut le prix de la mort de Norbert Zongo ? Il ya des grands journalistes qui sont font la fierte de notre pays dans le monde, recevant meme des prix internationaux....Approchez les, formez-vous davantage ou abandonnez votre metier car vous ne l’aimez pas.
    Ne TRAHISSEZ PAS LE PEUPLE QUE VOUS ETES SENSES INFORMES,EDUQUER ET FAIRE PRENDRE CONSCIENCE svp.
    Je vous remercie.
    B.S

  • Le 17 mai 2009 à 09:09, par BANGRE En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    ETES VOUS UN JOURNALISTE OU UN RAPPORTEUR DE RAGOTS DES MAQUIS ? INFORMER C’EST PRECISER. VOUS DEVREZ DECHIRER VOTRE CARTE DE PRESSE DONT JE DOUTE D’AILLEURS QUE VOUS QUE LA MERITEZ SI TOUTEFOIS VOUS EN POSSEDEZ

  • Le 17 mai 2009 à 11:36, par Roc En réponse à : Commerce de motos : un géant en difficulté

    RESEAUX CONFIDENTIELS : Le Procureur du Faso dans de « sales affaires » ?
    Le procureur du Faso, près le Tribunal de grande instance de Ouagadougou, Issa Kindo, doit avoir quelques insomnies ! Un tract le concernant circule actuellement dans les milieux judiciaires et l’accuse de tous les péchés d’Israël. L’affaire commence à faire grand bruit. Selon les auteurs du document, il aurait trempé dans de « sales affaires » et terni l’image de la Justice. Nous n’entrerons pas dans les détails car le tract, par principe, véhicule de la rumeur et est de surcroit, interdit. En cela, les informations diffusées dans un tel document doivent être prises avec des pincettes. Mais le tract peut aussi comporter certaines vérités véhiculées par des gens tapis dans l’ombre par peur de représailles. Au regard de l’ampleur que prend cette affaire, il serait intéressant que le procureur brise le silence et éclaire l’opinion par rapport à cet « échantillon d’affaires » dans lequel il est cité de bout en bout et qui risque de l’entrainer… dans la boue. Les auteurs du « document explosif » sont décidés à aller loin, très loin. Ils affirment vouloir, par leurs dénonciations, lutter farouchement contre la corruption au sien de l’appareil judiciaire et même au-delà. Et ils entendent faire de grands déballages : « Nous sommes déterminés à donner des informations sur d’autres agents publics, magistrats, policiers, gendarmes, ministres, douaniers et autres pour assainir et aider l’Etat dans sa lutte ». Leur première cible a été le Procureur du Faso, Issa Kindo. Ils ont déballé plusieurs affaires qui, selon eux, l’accablent à tout point de vue. Difficile à l’heure actuelle de dire si tout cela est fondé ou pas. Mais comme dit l’adage, « il n’y a pas de fumée sans feu ». Les structures de contrôles devraient s’intéresser à ce dossier pour que l’opinion soit située à propos de cette folle rumeur qui porte un terrible coup à l’image de la Justice. Car, à l’heure actuelle, le climat est délétère au sein du Palais de justice de Ouagadougou. La suspicion règne en maître. Et cela n’est pas de nature à permettre un bon exercice du droit. Certaines sources affirment que le Procureur du Faso serait en train de mener sa petite enquête pour savoir ceux qui se cachent derrière le tract. Pourtant, les auteurs du document, tout en l’accablant, disent vouloir « l’aider à avancer et à s’améliorer et, par la même occasion, inviter les autorités judiciaires à prendre leurs responsabilités ». « Nous sommes interloqués par le silence complice et coupable du ministre de la Justice qui est informé de tout cela, le silence complice de tous, presse, syndicats de magistrats, société civiles, partis politiques, structures de lutte contre la corruption ». Le tract se termine par cette phrase : « Dans les jours à venir, d’autres écrits suivront et vous feront des révélations fracassantes. Il est temps d’agir, sinon il sera trop tard demain ». Dans les milieux judiciaires, le document de trois pages circule de robe à robe, de veste à veste, de manteau à manteau. Tout le monde veut le voir, l’avoir et le lire sans se faire voir. Et sans être pris ! Les faits relatés dans le document sont très graves. Nous osons croire que les deux parties (les auteurs du tract et le Procureur du Faso) oseront s’expliquer à visage découvert et se soumettre aux exigences du droit… en se présentant à la barre pour que la lumière soit faite. Ils rendront ainsi service à cette Justice de plus en plus décriée par les justiciables !
    In LE REPORTER

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