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Une Lettre pour Laye : Dans l’univers des homosexuels du Burkina

Publié le vendredi 6 mars 2009 à 01h30min

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Cher Wambi,
Ce que femme veut, Dieu veut. Il en est ainsi depuis la nuit des temps, et célébrer la deuxième moitié du ciel a été érigé en règle d’or depuis que fut instituée la journée internationale de la femme le 8 mars de chaque année. Cette année, le Pays des hommes intègres sacrifiera à la tradition à travers des activités commémoratives dont l’événement majeur se déroulera à Dori, la capitale régionale du Sahel, sous la présidence de la première Dame, Chantal Compaoré.

Thème choisi : « Investir dans les femmes et les filles pour un développement durable : les priorités et stratégies régionales ». Dès lors, cher cousin, tu comprends aisément pourquoi cette mobilisation générale sonnée au cœur de la gent féminine pour faire de ce pèlerinage de Dori une réussite totale.

Mais avant, la Semaine nationale de la femme a été lancée lundi dernier à Ouagadougou, par une marche qui est allée de la place de la Nation au rond-point des Nations unies, en attendant ce samedi 7 mars à Dori, en levée de rideau, la tenue d’un panel sur l’évaluation de la mise en œuvre des recommandations du 8 mars 2008, qui portera sur : « Femmes & VIH/Sida : la féminisation de la pandémie ».

A défaut d’y être, nul doute cher cousin, que nos mamans du village seront de cœur avec leurs sœurs qui auront le privilège de se rendre dans la capitale du Séno. Tâchons de les y accompagner afin qu’elles sentent leurs hommes à leurs côtés.
Que la fête soit belle donc !

A quand la réouverture de Rood-Woko ? me demandes-tu. Sans être dans le secret des dieux, je ne saurais y répondre, mais tout porte à croire, au regard du nouveau visage qu’offre ce joyau, que ça ne saurait tarder. Dans l’attente que tu viennes, toi-même, constater de visu la prouesse qui y a été faite, saches seulement que c’est un Rood-Woko relooké qui exigera désormais de ses futurs locataires plus de civisme, de responsabilité et d’entretien.

Car, inutile de le répéter, cher cousin, le marché central de Ouagadougou mérite mieux que ces ordures, crachats, irunes et camps de réfugiés improvisés généralement par des clandestins. En tous les cas, cher Wambi, j’ose croire que chacun aura tiré leçon de l’incendie du 27 mai 2003. A bon entendeur donc...

Ce samedi 7 mars, cher cousin, les rideaux tomberont sur la 21e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO). Dans l’attente de savoir qui remportera le prestigieux trophée de l’Etalon de Yennenga, je puis t’assurer que la fête du 7e art aura réuni grand monde à Simonville durant toute la semaine.

A noter, pour l’histoire, que la célébration du 40e anniversaire de ce festival aura été rehaussée par le séjour, le dimanche 1er mars 2009 dans la capitale burkinabè, des présidents béninois, Boni Yayi, et togolais, Faure Gnassingbé, venus soutenir leur frère et ami, Blaise Compaoré, mais évoquer aussi avec lui les dossiers brûlants de l’heure.

Une visite que n’oubliera pas de si tôt la communauté togolaise du Burkina Faso, qui n’a pas marchandé sa présence, remarquée, à l’aéroport Ouaga-Taamsê, du lever au coucher du soleil. Mais, à dire vrai, si le Plateau SONAR a été, l’espace d’une journée, transformé en consulat du Togo, c’est que, derrière Faure Gnassingbé, se cachait le pactole.

Car l’héritier politique du général Eyadéma, depuis qu’il préside aux destinées de son Togo natal sous l’aile protectrice du locataire du palais de Kosyam, n’a jamais omis de sacrifier à cette vieille tradition datant du règne de son défunt père, en déliant les cordons de la bourse. Et pour cette énième édition de la pluie de francs CFA sur l’aéroport international de Ouagadougou, c’est quelque 20 millions que Faure Gnassingbé aurait jetés en pâture à la meute, sous le regard de son hôte.

En tout cas, cher cousin, nombreux sont ceux qui ont reçu leur part de cette manne présidentielle et qui se confondent en remerciements, mais des questions se posent, d’autant plus qu’il n’y a que sous nos tropiques qu’on voit de telles largesses. Des pays sous-développés en quête du salut, mais qui empruntent les voies qu’éviteront soigneusement les pays développés, celles de la gabegie. Je rêve, en effet, de voir Barack Obama, Nicolas Sarkozy ou encore Angela Merckel distribuer à tout vent des dollars ou des euros à leurs ressortissants à l’étranger.

Et pendant que nous y sommes, cher Wambi, quand viendront-ils enfin cet introuvable consulat du Togo au Burkina, cette caisse de solidarité ou cette mutuelle des Togolais ? Pour sûr, en attendant l’hypothétique élection présidentielle au pays d’Eyadéma, Faure aura fait étalage d’une générosité des moins innocentes.

Mais retour chez nous, cher Wambi, où dans la région du Centre-Est les militants du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) commencent à s’étriper à un an de la présidentielle de 2010. La scène se joue à Béguédo où le Secrétaire général de la sous-section, dans une correspondance datée du 20 février 2009 adressée au président du CDP, demande l’exclusion du parti des conseillers municipaux dont les noms suivent :

- Nonni Moussa, élu CDP ;
- Bara Noufou, élu CDP ;
- Bara Issa Nabyouré, élu CDP ;
- Bara Mahamadi Tanpa, élu CDP ;
- Bara Momali, élu CDP ;
- Bara Hamado dit Jo, élu CDP ;
- Bara Karim, actuel chef de Béguédo et élu CDP ;
- Bancé Jacqueline, élu CDP ;
- Bara Inoussa, élu CDP ;
- Bara Halidou, élu UPR.

Que leur reproche-t-on ? Dans l’attente d’en savoir davantage, ils seraient coupables de blocages du fonctionnement du Conseil municipal de Béguédo depuis 2007. Le Secrétaire général de la sous-section CDP de Béguédo, Bara Soumaïla, ne s’arrête pas en si bon chemin, accablant cette dizaine de conseillers de n’être pas à leur première manœuvre politique.

Ainsi écrit-il :
« Issus du RSI, ils sont devenus CDP avant de rejoindre le CNDP en 2002, puis l’UPR et maintenant la CFD-B. Depuis le 5 février 2009, ils s’organisent pour intégrer l’ADF/RDA en vue des prochaines campagnes électorales ». Comme il fallait bien s’y attendre, cher cousin, les indésirables ne se sont pas faits priés pour répliquer. Aussi peut-on lire dans leur réponse du 2 mars 2009 : « Si nous sommes exclus, nous prendrons nos responsabilités comme nous l’avons toujours fait.

Nous ne supplions personne pour rester au CDP, car il y a plusieurs voies pour soutenir le président Blaise Compaoré ». No comment. Mais que présage cette tambouille dans laquelle le nom du maire, Bara Moussa, est mille et une fois cité ? Peut-être des querelles de positionnement à la veille du grand combat, comme dirait l’autre. Mais sait-on jamais !

Dans ma dernière lettre, cher Wambi, tu as dû certainement marquer un arrêt sur cette affaire SITARAIL qui défraie la chronique depuis bien des années. Voici ce qu’en dit le Syndicat libre des cheminots du Burkina Faso (SLCB) :

« Monsieur le directeur,
Dans votre parution du vendredi 27 février 2009 à la rubrique Lettre pour Laye en page 7, votre quotidien a écrit à propos de l’affaire SITARAI : « ...Un accord est en passe d’être conclu et les 720 travailleurs pourraient éventuellement rentrer dans leurs droits ». « Mais voilà qu’il y a quelques jours de cela, l’un des syndicats a claqué la porte et a dit sa préférence pour la voie judiciaire ».

S’étant reconnu dans ce syndicat, nous vous saurons gré de bien vouloir publier cet éclairage, que nous vous apportons dans le cadre de votre écrit. Commencées le 12 septembre 2008 sous l’égide du ministère du Travail et de la Sécurité sociale, les négociations ont été suspendues le 17 octobre 2008 sans avancées réelles entre les parties. Quatre mois et 7 jours plus tard, nous avons été conviés à une rencontre au ministère des Transports pour les négociations sous la présidence dudit ministère le 24 février 2009.

Au cours de cette rencontre, à laquelle participaient le ministère des Transports, celui du Travail et de la Sécurité sociale, SITARAIL et les trois (03) syndicats des cheminots, les propositions faites par SITARAIL à notre syndicat n’ont pas évolué positivement, donc elles sont restées les mêmes depuis le 17 octobre 2008.

Face à cette impasse, il a été décidé de dresser un procès-verbal de non conciliation, toutefois, les deux (02) autres syndicats qui sont en phase avec SITARAIL poursuivront leurs négociations, et par voie judiciaire notre syndicat continuera à défendre les droits de deux cent quarante-trois (243) travailleurs. C’est dans ce climat que nous avons été invités à quitter la salle de réunions afin de permettre la poursuite des échanges avec les autres. Voilà comment notre syndicat s’est retiré de la salle avec une courtoisie qui n’a d’égal que celle déployée par les autorités présentes, qui nous ont raccompagnés jusqu’à la porte ».

Pour le Syndicat Libre des cheminots du Burkina

Le Secrétaire général
Ibrahima Boli

A la faveur de la biennale du cinéma africain, qui se tient actuellement dans notre capitale, Azalaï Hôtel Indépendance a officiellement ouvert ses portes ce jeudi 5 mars 2009. Cette relation, cher cousin, pour te rappeler que c’est dans ce joyau de l’hôtellerie burkinabè après les indépendances que Sembène Ousmane, l’icône du 7e art africain, avait toujours occupé la chambre n° 1. Pour mémoire, l’Hôtel Indépendance de Ouagadougou, rebaptisé Azalaï Hôtel Indépendance à l’issue de sa privatisation, fut inauguré en 1961 sous le règne de feu le président Maurice Yaméogo.

Les anciens se souviennent, comme si c’était hier, qu’avant ce luxueux hôtel, le site avait abrité les silos de la prévoyance sociale, l’ancêtre de l’Office national des céréales (OFNACER), aujourd’hui Société nationale de gestion des stocks de sécurité (SONAGESS). En 58-59, ces silos seront détruits, à la dynamite, pour faire place à l’édifice qui y trône depuis.

Passé ce cours d’histoire, cher Wambi, je dois te rappeler aussi que la célébration du Mouloud aura lieu cette année dans la nuit du 9 au 10 mars. Des vacances en perspectives, surtout pour les travailleurs de l’administration publique, qui vont en jouir au titre des dispositions des fêtes légales.

Le 8-Mars tombant, en effet, un dimanche, le lundi 9 mars est automatiquement férié, de même que le mardi 10 mars, sanctionnant le Mouloud. Rendez-vous donc le mercredi 11 mars pour la reprise du travail dans l’administration publique.

A propos du Mouloud d’ailleurs, je te propose ce communiqué du président de la Fédération des associations islamiques du Burkina Faso :

« Le Président du présidium de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a le plaisir de porter à la connaissance des fidèles musulmans et de l’ensemble de la Communauté nationale que la célébration de l’anniversaire de la naissance du Saint Prophète Mohammed (Paix et Bénédiction sur Lui), communément appelée Maouloud, aura lieu dans la nuit du 9 au 10 mars 2009 sur tout le territoire national.

A cette occasion, le Président du Présidium de la Fédération des Associations islamiques du Burkina exhorte les ulémas à multiplier les rappels sur la vie, les actes et les paroles du Saint Prophète Mohammed (PBL), et invite l’ensemble des musulmans à prier abondamment pour le renforcement de la concorde nationale, le progrès de la Nation et le bonheur de tous les habitants du Burkina Faso ».

Bonne fête de Mouloud à tous !
Le Président du Présidium
El Hadj Oumarou Kanazoé

Grand officier de l’Ordre du Mérite
Toujours au sujet du Mouloud, voici d’ailleurs le communiqué conjoint que nous a fait parvenir le département de la Fonction publique et de la Réforme de l’Etat et celui du Travail et de la Sécurité sociale.

Le ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’Etat et le ministre du Travail et de la Sécurité sociale ont le plaisir de porter à la connaissance des travailleurs et des employeurs des secteurs public et privé, qu’en application de la loi n°019-2000/AN du 27 juin 2000 portant institution des fêtes légales au Burkina Faso, les journées du lundi 9 et mardi 10 mars 2009, sont déclarées chômées et payées sur toute l’étendue du territoire.

Pour le ministre de la FPRE et P/D
la Secrétaire générale
Adama Y. Ouédraogo

Pour le ministre du TSS et P/D
la Secrétaire générale
Somkinda Traoré Ouédraogo
Chevalier de l’Ordre national

Pour sa part, cher cousin, sur la route de la Journée internationale de la femme à Dori, Tipoko l’Intrigante t’ouvre son carnet secret en te souhaitant de bonnes fêtes.

- L’homosexualité. Voilà un sujet aussi tabou que source de vives polémiques. Si en Europe, par exemple, les relations amoureuses entre personnes du même sexe sont acceptées et même légalisées dans certains pays du Nord, en Afrique par contre, la situation reste très contrastée : légalement reconnue en Afrique du Sud, l’homosexualité est, toutefois, dans la plupart des sociétés africaines, considérée comme une perversion sexuelle, une copulation contre nature, et ses pratiquants y sont donc l’objet de rejet, de stigmatisations et de répressions diverses. En atteste le procès, le mois dernier, d’homosexuels au Sénégal.

Qu’en est-il exactement de l’homosexualité au Burkina Faso ? C’est la question qui a guidé le grand reporter de l’Observateur paalga dans l’univers de ceux qu’on appelle communément gays. Sur la base de témoignages poignants, d’avis de juristes et de recherches documentaires bouleversantes, l’Observateur paalga proposera, dans son édition du jeudi 12 mars 2009, un grand reportage sur l’homosexualité au Burkina Faso.
Article à lire absolument.

- C’est en rangs dispersés que les femmes du Houet fêteront ce 8-Mars à Bobo-Dioulasso. Les deux clans rivaux qui se livrent bataille depuis des mois sont en train de multiplier les initiatives pour marquer leur présence sur le terrain. La ville de Sya sera, à l’occasion, divisée en deux. Les partisans d’Assita Ouattara et de Fatou Ziba, respectivement premières adjointes au maire de la commune de Bobo et de l’arrondissement de Dafra se retrouveront à la place de la mairie tandis que le clan du député Naba Diané et compagnie sera à la place Tiéfo-Amoro.

Et le moins que l’on puisse dire est que cette journée à Bobo s’apparentera à une démonstration de puissance par les deux tendances. Chacune voulant montrer à l’autre qu’elle reste maîtresse de la situation. Alors, on pourrait assister à une journée exceptionnelle à Bobo, où dans chaque camp on ne lésine pas sur les moyens de sortir vainqueur de ce duel.

- C’est en 1972 qu’il devint le chef de guerre du Mogho, en accédant au trône de Gounghin. Il prit alors pour nom de guerre Naaba Tanga. Aujourd’hui âgé de 76 ans, il célébrera donc sa 36e fête coutumière, le nabasga. Vous l’aurez deviné, il s’agit du Goungh-Naaba, dont les attributions coutumières dans la royauté mossi s’apparentent un peu à celles de son frère aîné, le Mouss-Tansoaba de Tansobentenga : défendre le Moogho.

Ce samedi donc, inutile de vous le dire, il y aura foule du côté de Gounghin, où parents, amis et administrés viendront souhaiter le « taabo » (anniversaire) au « karensaamba » (instituteur) retraité. Mais attention ! Ne venez surtout pas les mains vides, car, comme le dit un adage, on ne salue pas un chef comme on le ferait avec Dieu.

- L’homme à l’esprit fertile, en marge de la 21e édition du FESPACO, s’invite dans l’actualité nationale. Enfin le rêve de Moustapha Thiombiano, puisque c’est de lui qu’il s’agit, n’est-il pas devenu réalité ? Le PDG, le Boss, peut fièrement bomber la poitrine après la mise sur orbite de sa chaîne télévisuelle, TVZ Africa. L’avenir appartient à qui sait attendre, bon vent donc, l’artiste !

- C’est le samedi 7 mars (demain donc) que l’Amicale des anciens étudiants et stagiaires burkinabè de l’ex-URSS (AES/SOYOUZ) a choisi cette année pour sa traditionnelle cérémonie de présentation de vœux avec (hasard du calendrier oblige), un clin d’œil à la gent féminine. En effet, les « soyouzniks » ont décidé cette année de faire d’une pierre deux coups en couplant à leur cérémonie de présentation des vœu la commémoration de la Journée internationale de la femme. Comme d’habitude, c’est le cadre enchanteur et rénové du Mess des sous-officiers qui accueillera l’événement, dont le début est prévu pour 19h30.

- Ressortissants de Diabo, rendez-vous ce dimanche 8 mars à partir de 9h00 au lycée Marie-Curie, sis à Dassasgho Zone 1 sur la route de Taab-Tenga, où l’Association pour le développement social et économique de Yamwèga (ADESY) tiendra son assemblée générale extraordinaire. A l’ordre du jour, présentation de l’ADESY ; présentation et adoption du programme d’activités de 2009. Un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte.

Tipoko l’Intrigante n’apprend rien d’elle-même, elle n’invente jamais rien. Tipoko l’Intrigante est un non-être. Elle n’est ni bonne en elle-même, ni mauvaise en elle-même. Elle fonctionne par intuition, car "l’intuition c’est la faculté qu’a une femme d’être sûre d’une chose sans en avoir la certitude..."

Ainsi va la vie. Au revoir. Ton cousin, Passek Taalé.

L’observateur Paalga

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Vos commentaires

  • Le 10 mars 2009 à 21:39, par Océane Richesse En réponse à : Une Lettre pour Laye : Dans l’univers des homosexuels du Burkina

    Parler des homosexuels est devenue une sorte de défouloir xénophobe et honteux de la part de gens se disant civilisés ou vivant dans le continent des lumieres. La verité est bien ailleurs et au-dela de l’Afrique. IL serait bien plus intelligent de remonter aux sources du mal. Il est facile de montrer du doigt les homo ou meme les critiqués, vous les penseurs vous pensez souvent avec le peu de neuronnes restant et n’entrevoyez que le fond de votre orifice pour défaquer et propager des propos encore plus impropres ,voir infligent.Nous sommes des millions d’africains et nous savons que le sida ou l’homosexualité a été une arme mesquine et masqué pour faire diminuer les naissances.On ne parle jamais assez de toxicomanie et de pratiques sexuel à risque aux seins des pays irreroprochables. Je ne suis pas lesbiennes ,mais il me semble tout à fait normal de dire haut et fort "REGARDEZ VOUS !!!!! nous savons ce que vous faites dans les laboratoires et ce que vous inoculiez aux gens lors des campagnes de vaccination massives tourner vers l’Afrique !! Ou pires encore faire des experiences sur les orphelins Rwandais en leurs administrant des traitements les conduisant directement vers la mort. Bravos et encore bravos , mais arretez de vous gratter le trufion car votre betise est plus grande que votre cervelet. laisser les homo vivrent leur vie mais de grace vous les homo vivant au BF n’essayer meme ps un seul jour vouloir revendiquer votre liberté au vue et au su de tous. certes cest un choix mais respectez les autres sans pour autant vous affichez car vous êtes issu de deux corps de sexe différent.

    • Le 11 mars 2009 à 19:52 En réponse à : Une Lettre pour Laye : Dans l’univers des homosexuels du Burkina

      Pendant combien de temps vivront- ils caches dans le closet ? Pour moi il est temps qu’ ils se montrent au grand jour car il n’ y a pas de honte a cela. Pourqouoi les heterosexules peuvent sortir les week- ends bras dessu- dessous et les homos, non ? Mais moi je leur demanderai de ne pas enfreindre la loi de ce pays, pas celle condammant aveuglement l’ homosexualite mais celle protegeant les mineures et celles anti- viol. Le reste n’est que bigotisme. Est-ce que les gauchers ont honte d’ etre ce qu’ ils sont ? Sont- ils meme moins bien que les droitiers ? Il est temps que l’ on regarde les choses de facon assez detachee. On le dit tout le temps, l’ honosexualite a ete demontree p[ar la science. Ce n’est pas un choix sinon personne n’allait volontairement choisir une voie ou vous avez tant de problemes. Mais les gens n’ en ont cure. En plus, en quoi meme la sexualite entre 2 individus majeurs m’ interesserait ? Je ne suis meme pas censee savoir ce qui se pase entre eux. Dire que c’est degueulasse et autre, eux auissi p[ourraient en dire autant de ma maniere de faire l’ amouir. Meme avec une femme.

      • Le 18 août 2009 à 00:26, par lalas En réponse à : Une Lettre pour Laye : Dans l’univers des homosexuels du Burkina

        pourkoi voulez ous qu on les acceptent puisse qu ils sont differents de ce que DIEU a voulu ?pourkoi IL na pa fai descendre un homme et homme ou une femme et femme ?donc cest une maladie mentale a soingner rapidement

  • Le 23 mars 2009 à 22:59, par sougri En réponse à : Une Lettre pour Laye : Dans l’univers des homosexuels du Burkina

    De grace arreter de casser les tympans des gens avec vos conneries a la merde. L’homosexualité doit etre puni avec la plus grande rigueur dans notre pays. Ou allons nous si au nom de la liberté nous devenons pire que les animaux ? Monsieurs et Madame qui vous reclamer homosexuels c’est le moment d’arreter de vous leurrer. vous irez exprimer vos.... ailleurs.

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