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<I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

Publié le mercredi 22 août 2007 à 09h21min

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Il est parvenu à Kantigui que le rédacteur en chef d’un bimensuel de la place a maille à partir avec la police togolaise qui l’a écroué. C’est son directeur de publication qui a alerté le gouvernement burkinabè de la situation de ce confrère sans toutefois en donner les mobiles réels.

Le gouvernement, le Premier ministre en tête, qui a pris l’affaire au sérieux, a tout de suite cherché à faire agir les réseaux diplomatiques pour en savoir davantage et faire libérer "la victime" au plus vite. De sources bien informées, la vérité est que notre confrère, l’une des grandes plumes de la place, a acheté une voiture avec un confrère béninois et sans régler les frais d’achat du véhicule, a tenté de fuir par le Togo. Abus de confiance ?

Alertée, la police togolaise a mis la main sur le fugitif. Celle-ci l’a gardé à vue à Lomé, conformément à la procédure en la matière. Kantigui s’est vu expliquer que face à une affaire de droit commercial privé qui frise la délinquance, que peuvent faire les autorités publiques burkinabè qui malgré leur bonne volonté, pourraient être accusées de non-assistance à journaliste en danger.


ADF/RDA : Cécile Sawadogo/Badoit, présidente du comité national des femmes a démissionné

Mme Cécile Sawadogo/Badoit ne fait plus partie des militants de l’Alliance pour la démocratie et la fédération/Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA). Kantigui a reçu la lettre de démission de celle qui était présidente du comité national des femmes dudit parti et assumait deux autres fonctions. Pour plus de précisions et de témoignage, Kantigui vous propose la lettre de démission de Mme Cécile Sawadogo/Badoit, in extenso, dans les lignes ci-dessous.

A

Monsieur le président de l’ADF/RDA

De : Mme Cécile Sawadogo/Badoit,
- présidente du comité national des femmes de l’ADF/RDA

- 1ere secrétaire générale adjointe de la Fédération de la commune de Ouagadougou, région du Centre

- Secrétaire générale du secteur n°28, arrondissement de Bogodogo

Objet : Lettre de démission

Date : lundi 20 août 2007

Monsieur le président,

Par la présente, j’ai le regret de vous informer de ma démission du Parti à compter de ce jour, lundi 20 août 2007, pour convenances personnelles.

Veuillez agréer, Monsieur le président, l’expression de mes salutations distinguées.


* Axe Ouagadougou-Ouahigouya : Halte à la surcharge !

Lorsque certaines compagnies de transport en commun voient leurs affaires présenter des signes de prospérité, elles ne daignent plus penser à l’amélioration des conditions de la clientèle. Pis, elles ne se gênent plus de piétiner les principes du marketing pour disent-elles : "maximiser le profit" aux désagréments du voyageur. Kantigui a constaté que c’est le cas de cette société de transport bien connue du public, empruntant l’axe Ouagadougou-Ouahigouya qui est devenue la cible des critiques de ses utilisateurs.

Et pour cause, Kantigui qui a emprunté un des cars de la société, le 6 août dernier, a été mal à l’aise car bien que le véhicule soit surchargé dès la gare, il a fait des escales incessantes pour encore chercher des passagers tout au long du parcours. Et le car s’est retrouvé avec plus de cent (100) passagers pour soixante-quinze (75) places. Kantigui, bien coincé dans son siège, a remarqué que le surplus s’est tenu debout et le car, devenu comme une boîte de sardine, naviguait dans l’hypothèse la plus défavorable possible !

Kantigui, très décontenancé, cherchant à se renseigner sur les conditions de transport habituelles de la fameuse compagnie, a appris qu’une femme se serait une fois évanouie lors d’un voyage dans des conditions similaires, par privation d’air. Kantigui ne comprend vraiment rien de ce désordre. N’existe-t-il pas de contrôle policier afin de conscientiser ces transporteurs d’une autre époque ?

Kantigui espère que le responsable de cette société prendra des mesures adéquates pour vraiment reconquérir la confiance de sa clientèle qui a réellement besoin d’elle. Sinon qu’en marketing, conquérir n’est qu’une première étape. Deux autres restent à réaliser : gérer et maintenir. Et tant que l’on ne réussira pas ces deux, il vaudrait mieux de n’avoir pas investi.


* Le Burkina Faso à la "Sommerfest" de l’Académie diplomatique de Vienne

Kantigui qui a les oreilles partout a été informé que l’Académie diplomatique de Vienne a célébré, le 30 juin 2007, la "Sommerfest", fête d’été qui clôture l’année académique. Cette célébration qui a lieu chaque année, rassemble des invités de marque, des diplomates ainsi que les anciens étudiants de cette académie prestigieuse.

Cette année, à la grande joie de Kantigui, le focus a été mis sur son pays le Burkina Faso, et l’ambassade du pays des Hommes intègres à Vienne a été sollicitée pour prendre part à l’événement. Un stand mis à sa disposition a servi de vitrine de l’artisanat burkinabè, des vidéo et des images de promotion touristique invitant au voyage au Burkina Faso. Kantigui a relevé que les invités ont également eu l’occasion de déguster les saveurs du terroir telles les brochettes aux épices, les boissons de gingembre et le bissap. A cette occasion, un chèque de 5 000 euros a été remis par les étudiants actuels de l’académie à l’ONG "Hilfe direkt" pour la réalisation d’un forage dans le Kourittenga.

L’ambassadeur du Burkina à Vienne, Béatrice Damiba a remercié l’administration et les étudiants pour le choix porté sur le Burkina et le geste qui traduit l’intérêt qu’ils attachent aux problèmes de développement. Kantigui a constaté que le ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’Etat, Seydou Bouda qui séjournait à Vienne dans le cadre d’un Forum mondial sur la gouvernance, accompagné de sa délégation ont honoré la soirée de leur présence.


* Encore des faussaires de titres de transport burkinabè

Kantigui a été informé de l’arrestation, par le commissariat central de Ouagadougou, la semaine dernière d’une dizaine de personnes pour émission de faux documents de transport, notamment des cartes grises et des permis de conduire. Pour parvenir exécuter leur sale besogne, les faussaires ne manquent pas de subterfuges. Ils identifient des véhicules déjà immatriculés, retiennent leurs numéros et établissent de faux titres de transport pour des remorques.

Le réseau a ainsi utilisé ce créneau pour dissiper des marchandises chargées par ces remorques dans les ports du Ghana, du Togo, du Bénin ou de la Côte d’Ivoire. Des tonnes de ciment sorties également de la CIMAT pour de fausses destinations n’ont jamais été retrouvées. A chaque plainte de commerçant ayant constaté la disparition de ses marchandises, les enquêtes menées généralement en fonction des titres de transport aboutissent le plus souvent à l’identification d’un véhicule de petit gabarit, des poids légers.

C’est en redoublant d’efforts, de vigilance que les forces de l’ordre ont pu appréhender les méthodes des faussaires qui ont causé la faillite de nombreux opérateurs économiques. Kantigui a aussi ouï dire que les enquêtes ont relevé l’implication d’une grande imprimerie de la place dans la fabrication des titres de transport. Voilà qui relance le débat sur la sécurisation des titres de transport burkinabè. Il est parvenu à Kantigui que nombre de ces documents établis par les démarcheurs seraient des faux.


* Le curage des caniveaux salit la ville

Kantigui constate que le curage des caniveaux de la ville de Ouagadougou, entrepris ces derniers temps, contribue plus à salir les rues de la capitale qu’à les rendre propres. Il est incompréhensible que les autorités municipales aient choisi la saison pluvieuse pour lutter contre l’insalubrité des voies d’évacuation, transformées en de véritables dépotoirs d’ordures de toutes sortes.

Bien que l’initiative soit louable, elle demeure paradoxale dans la mesure où, le temps d’enlever les déchets sortis des caniveaux, une pluie vient les éparpiller sur la chaussée. Kantigui estime que le conseil municipal gagnerait à initier de telles opérations quelques semaines avant le début des pluies. La police municipale pourrait également être mise à contribution pour "réprimer" tout citadin qui obstrue les caniveaux de la ville. Autrement, les travaux actuels ne sont qu’un "retour à l’envoyeur", un "perpétuel recommencement".


* Des employés sans salaire à l’INSD

Il est parvenu à Kantigui que des contractuels de l’Institut national de la statistique et de la démographie (INSD), chargés du traitement des données issues du Recensement général de la population et de l ’habitation (RGPH) 2006, sont en train de boucler leur deuxième mois sans salaires ou indemnités.

Kantigui est d’autant plus outré par cette situation que des moyens conséquents ont été dégagés pour conduire à bien toutes les phases de l’opération, au point que des cadres de cette institution, non impliqués à cette étape de l’opération, touchent des émoluments avoisinant le demi-million par mois. Il est temps que l’on mette un peu de l’ordre dans cette maison où ce retard de paiement des contractuels et autres agents du bureau central de recensement n’est pas la pire des négligences constatées depuis le début du RGPH 2006. Kantigui en dira davantage en temps opportun.


* Les IP du Burkina bientôt en conclave à Ouagadougou

Kantigui a mis la main sur une correspondance adressée à tout instituteur principal (communément appelé IP) du Burkina Faso, invitant à une rencontre le 29 août prochain à Ouagadougou. Kantigui qui a voulu en savoir davantage s’est laissé dire que cette rencontre, d’un millier de personnes environ, a pour objectif de discuter des voies et moyens pour réhabiliter ce corps de cadres de l’enseignement du premier degré dans le système éducatif burkinabè.

En effet, selon les sources de Kantigui, les IP, considérés comme des encadreurs de proximité par excellence (directeurs d’écoles à 6 classes et présidents des groupes d’animation pédagogiques de leur CEB) sont mis à l’écart lorsqu’il s’agit des grandes rencontres des cadres du ministère notamment les conférences annuelles uniquement réservées aux inspecteurs et aux conseillers pédagogiques. Kantigui espère que cette discrimination prendra fin, surtout que le ministre actuel en a fait la promesse l’année dernière.


* Blocage des bourses de spécialisation : des médecins mécontents crient ou laxisme

Kantigui a appris qu’une dizaine de médecins admis au concours de recrutement de médecins pour des spécialisations en pédiatrie, gynéco-obstétrique, chirurgie générale attendent depuis octobre 2006 leurs bourses d’études. En effet, après 10 mois d’attente et de démarches infructueuses auprès de la Direction des ressources humaines du ministère de la Santé, ces médecins aujourd’hui mécontents et impatients ne savent plus à quel saint se vouer.

Selon les informations parvenues à Kantigui c’est le laxisme de certains agents de la Direction des ressources humaines (DRH) qui serait à l’origine du blocage de leur dossier. Pour preuve la même source indique que les médecins admis n’ont reçu leur formulaire de demande de bourse de l’Organisation mondiale de la santé, partenaire du ministère de la Santé que 7 mois après, soit en mai 2007. Kantigui, qui s’indigne de cette attitude laxiste à l’heure où il est de plus en plus question de valorisation du capital humain, espère que les uns et les autres prendront leurs responsabilités pour débloquer cette situation en vue de permettre aux médecins d’achever leurs études pour la santé des populations.


* Comités consultatifs CAMES : le CNRST réalise 88,88 % de taux de succès

Kantigui a reçu les résultats de la 29e session des Comités consultatifs du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) tenue du 16 au 21 juillet 2007 à Ouagadougou. Sur les dix-huit candidats présentés par le Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST) du Burkina Faso, seize (16) ont obtenu des grades supérieurs soit un taux de succès de 88,88%. Kantigui livre les noms des heureux lauréats dans leurs disciplines.

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 22 août 2007 à 12:51, par Serge D. En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

    que KANTIGUI franchisse le Rubicon ! Il s’agirait de N. A.BARRY(?) si l’on suit votre logique.
    Je suis contre cette façon de parler de cette affaire. Mon opinion est que vous auriez pu vous contenter de dire "le rédacteur en chef d’un journal de la place" . Autrement ce que vous avez fait flirte avec du cynisme. vous peinez à cacher votre joie de voir votre confrère dans ce pétrin ; encore que les éléments que vous fournissez ne sont pas suffisant. Vous devriez vous abstenir de donner ces éléments assez précis sur l’identité du journaliste mais insuffisantes pour salir son images." Rédacteur en chef d’un bimensuel de la place , l’une des grandes plumes de la place". Chacun sait qu’il n’ya que Mr NAB qui répond à cette description.
    C’est méchant de votre part. Attendez que l’on ait une idée claire de l’affaire avant de porter des accusation s aussi grave.
    A moins que....

    • Le 22 août 2007 à 17:54, par Passakziri En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

      Qu’il s’agisse de Newton ou de quiconque d’autre, une chose est sûr : Si aujourd’hui on réfléchit par deux fois avant de liquider et brûler ses adversaires,d’autres methodes existent pour les discrétiter avec l’apui de complices ;Serait-il possible que le journaliste soit tombé dans un piège avec la complicité d’un de ses confrères ?. En tout cas, affirmer que quelqu’un doté d’un Quotient Intelectuel normal essaye de fuir comme ca avec une voiture du Benin vers le Burkina,en étant connu par sa "victime",ca ne tient pas debout. Wait and see.
      Passakziri

    • Le 22 août 2007 à 18:10 En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

      Je dirais meme plus, c’est inamical, cynique, malveillant et en dernier ressort pas collegial du tout. donc pas professionnel. ca sent la manipulation de l ;’ information a vue de nez. croyez vous meme que l’ on puisse acheter un vehicule au Benin ou a Lome sans payer et puis tenter de fuir ? Pr ma part,je sais de quoi je parle car j’ai paye un vehicule moi- meme a Lome et je sais que si ce n’est pas paye , il est difficile de sortir du port. Peut-etre que notre Proprietaire de la Voix, Kantigui, devrait faire la meme experience car apparemment, il n’a pas encore connu cette douleur. mais ce n’est pas pr dire que NAB ne puisse avoir maille a partir avec la police, encore qu’ il faille faire attention a certaines manieres de se comporter de certaines polices sous-regionales. Moi mon cousin, paix a son ame, a failli prendre 5 ans de prison a Lome pr avoir cogne un arbre. OOn peut ne pas s’aimer en tatnt que journalistes mais attention a ce que cela ne degenrere pas en jalousie professionnelle—il y en a partout— car c’est tout le metier de journaliste qui prendra ainsi le coup.

      • Le 23 août 2007 à 18:27, par yéral dicko En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

        je suis tout à fait d’avis avec vous ,c’est inamical ,mieux je pense que kantigui devrait plutot encourager nos autorités à protéger tous les burkinabè sans distinction aucune en situation de détresse jusqu’à ce que le judiciaire s’en mèle.Ne dit-on-t dans ce pays qu’un suspect même sérieux n’est pas un coupable ?

      • Le 5 septembre 2007 à 10:23, par NASSO En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

        De quoi parle t-on ? Du devoir d’informer et du droit du public à l’information ou s’agirait-il de mesquineries et de manipulation ? Qu’ y a t-il "d’inamical, cynique, malveillant" dans l’écrit de KANTIGUI qui compromette Tartampion ou Lambda ? N’est-ce pas du délire pur sinon même une sorte de paranoia en phase terminale ?
        Vous devriez avoir honte de telles réactions qui ne visent que l’intimidation des professionnels de l’information. Au fait, naviez vous pas vous-même, l’intention de jeter l’intéressé en pâture, en revélant son indentité, SOUS LE PRETEXTE FALLACIEUX, GROSSIER ET ABSURDE, QU’IL EST LA SEULE "GRANDE PLUME" ( ???) DANS LA PRESSE DU FASO ? KANTIGUI, vous avez du mérite ! Ne vous laissez pas intimider par des inquisiteurs de petites vertus.

        • Le 5 septembre 2007 à 19:32 En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

          "Langue crapaud, trahit crapaud". Sagesse africaine.
          Nasso, une seule question : pourriez-vous demain dire le contraire d’aujourd’hui sur Kantigui et consort ? Si non, relisez cette sagesse africaine à satiété ; si oui, à très très bientôt, donc... Juste un peu de patience ! La précipitation est l’arme de ceux qui ont bien des choses à se reprocher, pensez-y. Votre étonnement en sera plus grand, si vous n’êtes pas crapaud...

          Hitéré.

        • Le 9 septembre 2007 à 00:33 En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

          Qui a dit qu’il était la "grande plume" du Faso, monsieur, je vous le demande ? Qui parle de "mythe", je vous le demande encore ? Il est assez bizarre et plutôt ’gonflé’ (comme le crapaud cité par Hitéré) que ceux qui inventent leurs propres mots les fassent ensuite porter par d’autres !!!!!! Non mais.

          Des bonnes plumes, il y en a, évidemment, malheureusement pas tant que cela, et probablement pas où vous puisez vos mots de "grande plume" et autres "mythe". Ceux qui ont du talent se reconnaitront, ils n’ont ni besoin d’encens ni de méchancetés. La seule jalousie, marque des médiocres, est là pour en témoigner, et paradoxalement leur rendre hommage... Un point un trait.

          Mamadou et Bineta.

  • Le 23 août 2007 à 02:11, par SA En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

    Notre presse est vraiment dangereuse. Deux problèmes ressortent de cet écrit. Il n’y a pas longtemps je me plaignais de la façon par laquelle le décès du fils de Idriss Deby avait été traité par un journaliste de l’Opinion. Sans preuve il annonçait que c’était du fait de son lien pègre et à la drogue alors que la police française était encore sur l’enquête. De même une garde à vue n’est pas une preuve de culpabilité.
    Le deuxième problème est que l’esprit de confraternité n’est vraiment pas lisible dans ce travail. Pensez-un peu que cela peut vous arriver à tout moment.
    Je ne suis pas journaliste mais je peux écrire ces bêtises aussi simplement depuis que j’ai quitté la classe de troisième.
    S’il vous plait faites preuve de professionnalisme ou à tout le moins de patience sinon tout le monde pourra prétendre faire ce travail.
    Et dire que ca prend un salaire pour de telles sottises et méchanceté ; et quand tout le monde dit que le salaire ne suffit pas, des gens comme celui qui a écrit de telle bassesses sont aussi de la partie (à moins d’être plutôt bien payé pour faire une telle connerie).

  • Le 23 août 2007 à 21:46 En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

    Petite info au bon souvenir des mémoires : un certain Norbert, Zongo de son nom, eut en son temps maille à partie avec les ’autorités’ togolaises du père Eyadéma... Je dis ça, juste comme cela ; sait-on jamais ?
    Frédéric Bacuez dit Fretback.

  • Le 18 septembre 2007 à 00:16 En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

    Cyriaque Pare,

    S’il vous plait, vous avez deja publie des accusations de Sidwaya sur l’arrestation de Newton Ahmed Barry au Togo. Pour les besoins justes d’equilibres, il serait bien que le Faso.net qui sert tout le Faso ( ce que nous croyons) puisse a son tour publier la version de l’Evenement.

    Vous etes un grand professionnel et nous n’avons aucune raison de douter que vous allez contribuer a la balance et a l’equilibre de l’Information sur votre site. Nous sommes des fideles de ce site et compter sur votre sens de l’ethique.

    Veuillez agreer, Monsieur, toute notre consideration.

    Ahmed Compaore, Issa Zan

    • Le 18 septembre 2007 à 07:56, par Lefaso.net En réponse à : > <I>On en parle </I> : Un journaliste burkinabè sous les verrous à Lomé

      Merci pour votre réaction.

      Il n’y avait pas de raison de s’inquiéter pour la publication de la version de l’Evénement. Je l’ai lu seulement ce matin et il est en ligne sur le site, tout comme la prémière réaction du journal qui a fait suite à cette affaire et qui a été reprise à la suite de l’article de l’Hebdo.

      Cordialement

      Cyriaque (18/09/07)

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