Depuis quelque temps, les bornes qui délimitaient leurs parcelles ont été nuitamment retirées et des personnes qui se présentent comme des agents de la mairie persistent à leur dire de se déplacer pour occuper d’autres parcelles au secteur 21.

Considérant que leurs parcelles ne relèvent pas des réserves publiques ni ne sont situées sur des routes, les habitants ne comprennent pas pourquoi ils devraient quitter les lieux. Très remontés en ce moment, ils entendent en découdre avec ces personnes qui, à leurs yeux, veulent les spolier. En tous les cas, ils disent attendre ces personnes de pied ferme à leur prochaine visite avec un accueil à la taille du complot ourdi.

Soum : des problèmes à l’hôpital de Djibo

Qui ne fait pas bien son travail à l’hôpital de Djibo ? L’insalubrité règne dans la cour et les salles d’hospitalisation où prolifèrent les toiles d’araignées. A cet état déplorable s’ajoutent des plaintes de malades relatives à la prestation d’un des responsables de l’hôpital.

Des évêques burkinabè en Israël

Depuis le 16 mai dernier, sept des évêques de la Conférence épiscopale Burkina-Niger sont partis pour un voyage qui les menera en Rome puis en Israël. Ce voyage est une initiative des responsables du néocathécuménat qui ont tenu à inviter des évêques africains pour davantage leur parler du néocathécumenat.

Les 7 évêques burkinabè (sur les 15 que compte la Conférence épiscopale) sont ceux de Ouagadougou, Koupéla, Dori, Koudougou, Banfora, Kaya et Nouna. Ils en ont pour une semaine.

Un championnat passé inaperçu

On ne pouvait pas imaginer que cela arriverait au judo burkinabè. Organiser un championnat national dans la plus grande discrétion, l’anonymat total. Il y a près d’une semaine, la Fédération burkinabè de judo (FBJ) organisait à Bobo Dioulasso, a-t-on appris, son championnat national de la saison 2006-2007. Qui sont les meilleurs judokas de la saison et quelles sont leurs performances ?
Quel est le niveau actuel du judo burkinabè au sortir de ce championnat ?

Difficile de savoir ce qui s’y est passé. Et pourtant, cette fédération de judo a, depuis quelques années maintenant, conquis ses lettres de noblesse et travaillé à être parmi les fédérations les mieux organisées au Burkina. Qu’est-ce qui a bien pu se passer pour que la FBJ dont les activités font partie des plus médiatisées décide de travailler dans la plus stricte intimité ?

Respecter les anciens et les nouveaux feux tricolores

L’indiscipline de quelques usagers en circulation est parfois contagieuse. C’est pourquoi chacun doit prendre conscience de la nécessité de corriger cette insuffisance en accordant un strict respect aux dispositifs de réglementation comme les feux tricolores. C’est ce qui ressort de ce communiqué de la direction de la Communication de la commune de Ouagadougou.

"Au moment où la circulation à Ouagadougou devient un casse-tête pour les usagers, le message des autorités communales interpelle davantage le sens du civisme de ceux-ci. Le premier magistrat de la ville l’a signifié de nouveau le vendredi 4 mai 2007 à l’occasion de la mise en service de deux nouveaux feux tricolores.

Au secteur 13 (Zogona) comme au secteur 7 (Samandin), Simon Compaoré a invité les bénéficiaires à leur accorder le plus grand respect : "Au rouge, à l’orange ou au vert, chaque usager doit se conformer." Selon lui, la discipline et le civisme restent des remparts efficaces contre le nombre élevé d’accidents dans une ville en pleine expansion comme Ouagadougou.

Les nouveaux feux tricolores implantés sont situés dans deux quartiers différents, mais ont les objectifs communs de mieux régler la circulation et d’amoindrir les soucis des Ouagalais, surtout aux heures de grande affluence :

 un dispositif de quatre feux tricolores sur l’avenue Komber-Pademba (route de Fada) face à la direction régionale des Eaux et Forêts (dans l’enceinte du parc urbain Bangr-Weogo). Son installation a coûté la somme de 11 millions de F CFA, acquis grâce aux efforts de la commune de Ouagadougou et au partenariat fructueux avec la ville de Lyon en France ;

 un dispositif de six feux sur l’avenue Bassawarga, devant la maternité de Samandin pour un montant de 12 millions de F CFA.

Les autorités communales, toujours en phase avec les populations, envisagent d’en faire de même bientôt au carrefour de la gare de l’Est. Elles comptent sur le sens du civisme des citoyens afin d’en prendre grand soin et d’y attacher un respect scrupuleux. C’est à ce prix, selon le maire de Ouagadougou, que "nous réduirons le nombre d’accidents dans cette ville".

Le premier Brésilien canonisé

Le pape Benoît XVI a canonisé, le vendredi 11 mai 2007, le premier saint brésilien, Antonio de saint’ Anna Galvào, moine franciscain né au Brésil en 1739 et vénéré pour son engagement en faveur des plus pauvres. Il avait la réputation d’être guérisseur, connu pour ses "pilules miracle". La messe de canonisation a été célébrée en plein air, devant plusieurs centaines de milliers de fidèles, à l’aérodrome du champ de mars, au nord de la ville de Sào Paulo.

Protection de l’environnement à Koudougou : le lycée provincial remporte le 1er prix

Le club anglais du lycée provincial de Koudougou a remporté le 1er prix 2007 du concours sur la protection de l’environnement, organisé les 23 et 26 avril 2007 par le centre américain de langues à l’intention des clubs anglais dans les lycées.

La remise de ce prix a eu lieu le 11 mai dernier au lycée provincial de Koudougou en présence des élèves du club, du personnel administratif et des enseignants. Composé d’un certificat, d’une somme de 50 000 F CFA, de documents en anglais et de posters, ce prix a été remis par la directrice du Centre américain de langues, Mme Lynne Hanson Ouédraogo. Pour la directrice du Centre, le concours avait pour objectif de promouvoir la protection de l’environnement, d’une part, et la langue anglaise, d’autre part. Et ce, dans le cadre de la Journée internationale de la terre, commémorée le 22 avril de chaque année et dont le but est de protéger l’environnement et les ressources naturelles.

Le concours a consisté, selon Boubacar Kodombo, un des animateurs du club, à concevoir un projet sur la protection de l’environnement et à l’appliquer par des actes, le théâtre, le sketch ou la poésie, et tout cela en anglais. Pour réussir le projet, une opération de nettoyage a été menée dans la cour du lycée et dans les classes, appuyée par une représentation théâtrale.

Promotion 2001 de l’ENAREF : un exemple de parrainage

Ce qui lie désormais la promotion 2001, cycle A comptabilité de l’ENAREF (Ecole nationale des régies financières), et le parrain de ladite promotion est bien solide. Depuis 6 ans, le parrain rencontre annuellement ses filleuls pour leur prodiguer des conseils utiles à leur carrière et profiter du même coup pour renforcer la fraternité et la solidarité entre eux. Lucien Marie Noël Bembamba, DG du Trésor et de la Comptabilité publique, et ses filleuls se sont donc rencontrés une fois de plus la semaine dernière.

A cette rencontre, les collègues des autres directions et cycles ont été associés. Ils sont venus des différentes provinces du Burkina où ils sont en poste, et un des filleuls, Ahmed Awad, est même venu du Tchad. Ce dernier a été entre-temps ministre tchadien des Finances et conseiller à la Cour des comptes. Les liens entre ces filleuls sont devenus tels qu’ils ont fini par créer l’amicale des agents du cycle A.

L’évènement Toastmaters est arrivé

Le samedi 26 mai 2007 à partir de 20h se déroulera, dans la salle des banquets de l’hôtel Sofitel Ouaga 2000, une soirée de gala. Cet événement inédit viendra couronner l’année Toastmasters. Toastmasters International est une organisation à but non lucratif de plus de 10 500 clubs à travers le monde, dont la mission est de faire de la communication une réalité mondiale. Son apport pour la qualité de la communication au sein de l’entreprise est déterminant. Une démonstration d’une séance Toastmasters vous sera servie à l’occasion.

Placée sous le parrainage de Haron Nikiéma, P-DG du groupe BBS-BURVAL, la soirée regroupera plus de 200 personnalités du monde diplomatique, politique et économique.

Cette soirée unique offre l’opportunité aux entreprises d’envisager des actions promotionnelles à travers :

 la réservation de table ;

 l’insertion publicitaire dans la brochure (300 exemplaires) ;

 la distribution de dépliants, plaquettes, gadgets publicitaires...

Une école supérieure d’entraîneurs gratuite à Cuba

Un centre international d’études supérieures dans le domaine du sport et de l’éducation physique existe depuis 1999 dans l’Île de Cuba. Cette jeune université située à une quarantaine de kilomètres au sud-est de la Havane est une initiative du président Castro, qui ambitionne de former des spécialistes capables de promouvoir la saine et noble activité qu’est le sport de par le monde.

Tous les services sont gratuits pour les étudiants (hébergement à la cité universitaire, alimentation, transport, services académiques, livres, uniformes scolaires et sportifs, soins médicaux, etc.).

Les études durent 5 ans et donnent lieu à un titre de licencié en sciences de l’éducation physique et du sport. Cette école qui a déjà à son actif 807 jeunes diplômés de 60 pays accueille essentiellement des jeunes du tiers-monde, mais aussi quelques Cubains.

Le Pays