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Une Burkinabè étudiante à Londres bannie par son père

Publié le mercredi 15 mars 2006 à 07h17min

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Kantigui a appris de bonnes sources, qu’une étudiante vivant à Londres a été frappée par le « Fatwa » de son papa, un homme d’affaires. Bannie elle est interdite de séjour au Burkina par son père, Âgée de 26 ans, A. B (la fille) était partie à Londres apprendre et approfondir les langues dont l’anglais.

Deux mois après son arrivée dans ce pays, elle se rend compte qu’elle était enceinte d’un étudiant en fin de cycle de l’Unité de formation et de recherche en sciences économiques de l’Université de Ouagadougou (Burkina Faso). Mlle A. B. informe aussitôt son papa de sa grossesse. Celui-ci furieux de cette donne, décide hic et nunc de renier sa fille.

Conséquence, AB ne bénéficie plus de la bourse que son papa lui accordait pour ses études, son logement, sa restauration.

Ainsi, selon une source proche de l’étudiante, celle-ci fut obligée de recourir aux services sociaux de Londres pour faire face à sa nouvelle situation. Son papa, lui, a fait savoir qu’il ne veut plus la revoir. « Elle n’a qu’à rester là où elle se trouve », affirmerait-il. De ce fait Mlle AB a engagé une action en justice pour avoir un droit d’asile afin de pouvoir élever son enfant et de mener à bien, ses études qui la tiennent à cœur.

Kantigui, tout en regrettant l’attitude du père de Mlle AB lui souhaite du courage et félicite les services sociaux de Londres à son égard. Ah, quelle affaire, quelle affaire : Kantigui la suit de près.


* Un élève de CM2 refuse de chanter l’hymne national...pour cause de religion...

La scène s’est passée à l’école primaire du secteur n°3 de Koupéla. L’élève en question aurait refusé de chanter l’hymne national « Le Dytanié » devant la classe. Excédé par l’attitude inexplicable de son élève (l’élève chantait avant), le maître aurait simplement prié l’enfant de sortir de la classe et de ne revenir que lorsqu’il consentira à chanter le Dytanie. Venu s’expliquer, le tuteur fera savoir à l’équipe enseignante que c’est pour un motif religieux que son enfant ne chante pas l’hymne national. Mais pourquoi chantait-il, les années passées ?

S’empressent de demander les enseignants ? C’est parce que l’enfant n’avait pas encore été pénétré par la doctrine de la religion, voilà pourquoi il acceptait chanter avant », répond sans sourciller le brave parent d’élève. Les maîtres ne s’en reviennent pas. Il est vrai que l’on entend parler de sectes qui refusent le service militaire dans certains pays comme les Etats-Unis. Mais l’on n’avait pas jusque-là appris qu’une religion refuse à ses adeptes, de chanter l’hymne national de leur pays.

Face à cette situation qui met à rude épreuve, l’autorité du maître et la législation scolaire en vigueur, et au moment où le pays prône la promotion du civisme, les enseignants de l’école ont décidé de ne pas fléchir : « Tant que l’élève ne s’exécutera pas, il ne réintégrera pas la classe ». Le parent promet de saisir les autorités. Affaire à suivre.


* Messieurs les maires...ne partez pas sans bilan...

Nous avons reçu le message suivant de la part d’un citoyen de la ville des cailloux blancs : « Messieurs les maires de Koupéla et Pouytenga, n’eût été la prorogation, vous ne seriez certainement plus là. Nous savons que ne pouvez plus rien réaliser pour nous les citoyens. Seulement, nous pensons que cette prorogation est une occasion qui vous a été offerte de pouvoir faire une chose pour nous, à savoir faire le bilan de vos mandats. Cela fera du bien et à vous et à nous et servira d’exemple à ceux-là qui viendraient à prendre votre place à la tête de la mairie. Alors ne partez pas sans bilan.. » Sans commentaire.


* Coopération Japon-Burkina : Une signature d’échanges de notes « feuillues »

Kantigui ne peut être que content après ce qu’il a vu du côté de la lagune Ebrié. Il a, en effet, été témoin d’un échange de notes concernant l’octroi du don japonais hors projet au Burkina Faso au titre de l’année fiscale 2005.

Les notes auraient été signées pour la partie japonaise par son Excellence M. Tetsuo Shioguchi, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Japon et pour la partie burkinabè, par son Excellence Emile Ouédraogo, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Burkina Faso en république de Côte d’Ivoire.

Kantigui aurait remarqué que le don s’élève à 600 millions de yens, soit environ 3 milliards de francs CFA.

Ce don serait le 6e du genre que le gouvernement japonais octroierait au Burkina Faso, ce qui élèverait le montant cumulé de ces dons japonais hors projet à 2 milliards 500 millions de yens, soit 13 milliards de francs CFA. Il aurait été signifié par la même occasion à Kantigui que le présent don devrait servir au bien-être du peuple burkinabè et au renforcement d’une amitié entre les deux pays.


* L’Association Farafina Culture, invitée au 3e Salon africain du livre, de la presse et de la culture

Kantigui vient d’apprendre la tenue du 3e Salon africain du livre, de la presse et de la culture. Cette 3e édition se tiendrait en marge du 20e Salon du livre et de la presse de Genève Palexpo, (en Suisse) du jeudi 27 avril au lundi 1er mai 2006. Kantigui se réjouit de savoir que le Burkina Faso sera représenté par l’Association Farafina Culture du Burkina.

L’Association Farafina Culture est un partenaire des Editions Sidwaya et à ce titre, prévoit au cours de ce salon, de consacrer une partie de ses expositions aux différents produits des Editions Sidwaya. Le Salon de Genève serait un événement multiculturel qui accueillerait, chaque année, plus de 120 000 visiteurs comprenant des journalistes, des auteurs, des personnalités et des éditeurs.

A ce 3e Salon africain du livre, de la presse et de la culture, Kantigui a ouï dire qu’il y aurait beaucoup de titres d’auteurs africains et de livres en lien avec le continent africain, édités en Afrique et en Europe. L’un des traits marquants de ce 3e Salon, serait la tenue de la 3e édition du prix Kourouma, prix qui récompense un ouvrage, un essai ou fiction consacré à l’Afrique noire et dont l’esprit d’indépendance, de lucidité et de clairvoyance s’inscrit dans le droit fil de l’héritage légué par Ahmadou Kourouma.


* Région du Centre-Est : 175 cas d’attaques à main armée en 2004 contre 89 cas en 2005

Kantigui, pour la première fois faisait partie des invités du personnel de la police nationale de la région du Centre-Est qui a présenté, le vendredi 10 février 2006 à Tenkodogo, ses vœux de nouvel an au directeur régional, le commissaire Oudou André Ouédraogo. A cette occasion, Kantigui a ouï dire que les attaques à main armée dans la région qui étaient de 175 cas en 2004 sont passées à 89 cas en fin 2005, soit une baisse de plus de 50%. Au niveau de la police administrative, 35 748 CIB ont été établies.

La direction régionale, au compte de l’année 2005, a recouvré en recettes, 16 536 200 F CFA au titre des amendes forfaitaires, 20 556 400 F CFA de timbres fiscaux, provinciaux et communaux ont été utilisés.

Kantigui espère que l’année 2006 connaîtra davantage une baisse des attaques à main armée dans la région.


* Tenkodogo : le chef de Fada N’Gourma paye 4 000 F aux Yadcés avant d’avoir accès à la ville

Kantigui a été témoin d’une scène de la parenté à plaisanterie bien orchestrée, le samedi 18 février 2006, jour de l’arrivée du chef de Fada, Koupiendieli à Tenkodogo.En effet, le cortège du chef de Fada a été surpris à son arrivée à l’entrée de Tenkodogo du blocage de la voie par les Yadcés résidant dans ladite ville. Koupiendiéli devrait payer, sinon pas d’accès à la ville où l’attendait Sa Majesté Naaba Saaga, chef de Tenkodogo. Il a vite fait de comprendre et a déboursé une somme de 4 000 F CFA. En retour, les Yadcés en guise de cadeaux lui a offert un bélier, deux coqs blancs et un sac de sable. Selon Kantigui, ce geste démontre une fois de plus que la parenté à plaisanterie est une richesse inestimable pour notre pays.


* CNSS : trop de bruit pour rien

A vouloir faire des médias des complices, des partenaires sociaux risquent de les transformer en des épouvantails qui ont perdu leur âme. L’affaire CNSS nous donne un exemple de dossier où les médias ont voulu être utilisés pour servir une cause inavouable. Il faut donc éviter de ruser avec des faits vérifiables. Des syndicats ont cru faire dans le faux pour susciter un émoi au sein de l’opinion nationale et internationale. En effet comment des dépenses de 79 157 194 F CFA TTC peuvent prendre une courbe ascendante et avoisiner près d’un milliard comme écrit par les syndicats dans leur déclaration ?

Si la cause défendue est juste, pourquoi faire dans l’exagération ? Cette forme de diabolisation a son côté boomerang lorsque les médias mènent des investigations. Kantigui constate ainsi que l’ombre de détournement à la CNSS n’est pas perceptible. Que de dilapidations et de malversations, on en recherche encore des traces. Alors pourquoi tant de bruit dans les médias ?

Comme le disait l’autre, nos syndicats ont manqué une occasion de se taire. S’il advenait que la direction générale de la CNSS était responsable ou coupable de ce qui lui est reproché, les syndicats sont tout aussi coresponsables et cocoupables. Il est trop facile, deux ans ou trois ans après la survenue des faits, de vouloir se donner bonne conscience et de livrer l’autre à la vindicte populaire. Ce n’est ni élégant, ni courageux, ni honnête.

Que font-ils ( les syndicats), représentants des travailleurs de l’article 10 du texte organique de la CNSS ? Toutes les décisions ou résolutions du conseil d’administration n’ont-elles pas été discutées et prises en leur présence ?

En toute chose, sachons raison garder. Kantigui constate que le placement de cinq (5) milliards dans l’esprit de la loi 13/72/AN du 28/12/72 portant code de la sécurité sociale est fait au nom de la CNSS et non du directeur général. Le numéro de compte est ouvert au nom de la CNSS. Faut-il pour une telle opération crier sur tous les toits ? Voilà une opération menée en toute intelligence, dans les règles de l’art avec toutes les garanties et la confidentialité qui doivent être de mise qui est réduite à zéro. Ce sont à présent, la CNSS et les travailleurs qui ont perdu par la faute de leurs représentants ( les syndicats).

Maintenant que le BCEAO exige de la CNSS à travers la BIB, le rapatriement des (5) cinq milliards avec une perte de près de 47 millions de F CFA car les échéances non pas été respectées, qui va rembourser le manque à gagner ?

Les travailleurs burkinabè veulent le savoir. Si la CNSS n’arrive pas à faire fructifier avantageusement les fonds immenses qu’elle manipule, c’est son avenir et partant, celui des travailleurs qui est hypothéqué.

Quant au dossier Planor Afrique S.A, Kantigui observe que la même volonté de faire fructifier a prévalu. Il ne s’agit pas d’un prêt pour un prêt. Ce n’est pas un prêt « cadeau ».

Si l’opération d’achat des actions à hauteur de 49% du capital de Lotény Télécom au nom de Planor Afrique S.A avait réussi, ce ne serait pas seulement le 1 800 000 000 F CFA du prêt principal plus les intérêts de 6,5% qui devaient être remboursés, mais aussi la possibilité de nantissement d’actions à hauteur de 2,7%. Les articles 6, 7, 8, 9 de la convention-prêt avec cautionnement solidaire et promesse de nantissement d’actions sont très explicites. Planor Afrique S.A est une société de droit burkinabè. L’affaire est concrétisée entre la CNSS et Planor Afrique S.A. Et pour se donner encore plus de garanties, la CNSS a exigé un cautionnement solidaire et personnel. En acceptant la caution de M. Apollinaire Compaoré, la CNSS a mesuré la solvabilité de l’intéressé. Malgré le fait que l’opération n’a pas connu un aboutissement heureux, la convention de prêt a été activée. Toute chose qui démontre que le risque pris par le DG ne s’est pas mué en péril pour la CNSS. M. Apollinaire Compaoré est un opérateur économique respecté au Burkina, en Afrique, en Europe voire en Asie... Pourquoi ne devrait-il pas bénéficier, en toute transparence, des fonds de la CNSS, si l’opération permet à chaque partie de tirer un bénéfice ? Le fait que la convention-prêt avec cautionnement solidaire et promesse de nantissement d’actions soit un acte notarié est la preuve de la confiance qui anime les deux parties : CNSS et Planor Afrique S.A.

Malgré tous les déboires, M. Apollinaire Compaoré essaie de respecter le protocole d’accord. Au jour d’aujourd’hui, il a remboursé la somme de 200 millions et compte respecter toutes les échéances. Evitons de chercher des protecteurs ou des bénéficiaires de ce qui est évident. M. Apollinaire Compaoré est PDG de plusieurs sociétés de la place. L’homme a pignon sur rue depuis des décennies et est dans les affaires depuis quarante ans. Certainement qu’il n’a pas attendu la CNSS pour être ce qu’il est. C’est seulement l’intelligence des affaires qui l’a conduit vers la CNSS.

Pour l’achat du terrain de 8000 m2 pour la Direction régionale de Ouagadougou (DRO), Kantigui constate tout aussi une volonté d’investir utile. Pour 8000 m2 à 1 700 000 000 F CFA, c’est peut-être cher payé, mais que vont valoir 8000 m2 dans dix ans ?

Si à la ZACA, le m2 du terrain nu dans certaines zones vaut plus de cent mille francs CFA (100 000 F CFA), il faut bien relativiser les choses. Une expertise n’a pas été commise pour rien. Le cabinet Gelpaz a évalué les 8000 m2 à environ 1 900 000 000 million de F CFA. La CNSS en commandant cette expertise a voulu s’assurer d’une garantie de crédibilité.

Maintenant, libre à chacun d’épiloguer. L’immeuble à six (6) niveaux, pourquoi faire ? Là encore, la direction générale souhaite occuper trois (3) niveaux et les (3) trois autres seront mis en location pour pouvoir supporter ou amoindrir les charges d’entretien. Des salles de conférences sont prévues dans ce même ordre d’esprit. La direction générale a fait preuve de vision.

On ne gère pas les lendemains des travailleurs en laissant les sous dormir dans les banques qui les exploitent et servent peu d’intérêts, mais en cherchant à les fructifier dans le respect des règles.

Certes que l’on peut opinier sur la moralité des investissements et des dépenses effectuées. Mais sur ce registre, l’autorité morale reste le conseil d’administration qui juge en fonction des intérêts exprimés et vérifie si les investissements et les dépenses respectent les instruments et textes organiques de la CNSS. Et dans ce cas le Conseil d’administration ne peut pas se dédire au risque de perdre toute crédibilité. Alors, pourquoi tant de bruit pour rien ?


* Décoration dans les Ordres burkinabè : le grand chancelier inquiet

Kantigui a vu circuler une lettre du grand chancelier des Ordres burkinabè. Une note circulaire dans laquelle le grand chancelier se ferait des soucis par rapport au choix des candidats à la décoration dans les Ordres burkinabè. Nous vous invitons à la lecture.

Circulaire

A tout président d’institution, tout ministre, tout gouverneur de région

Dans le souci de préserver la grande valeur des distinctions honorifiques décernées par son Excellence Monsieur le président du Faso, Grand maître des Ordres Burkinabè, j’ai l’honneur d’attirer votre attention sur la nécessité d’apporter le soin le plus scrupuleux au choix des personnes physiques ou morales que vous proposez à une décoration.

Cela évitera que des candidats peu méritants ne soient retenus, venant ainsi ternir l’image de ces distinctions.

Je sais pouvoir compter sur votre collaboration pour le respect de la présente circulaire.

Présidence du Faso
Pour compte rendu
Colonel Mamadou DERMA
Grand Croix de l’Ordre National


* L’école primaire de Poa fête ses 50 ans

Kantigui vient d’apprendre que dans la province du Boulkiemdé, notamment à Poa, il y aura la fiesta. Selon certaines sources bien informées et proches de Kantigui, l’école primaire de Poa célébrera son cinquantième anniversaire, le samedi 18 mars 2006.

Cet âge d’or (50 ans), les habitants de Poa ne voudraient pas le laisser passer inaperçu. Kantigui a même ouï dire que les anciens élèves de l’école primaire de Poa sont très mobilisés pour l’événement.

L’engouement serait même plus remarqué au regard de la posture du parrain de l’événement, le président de l’Assemblée nationale, M. Roch Marc Christian Kaboré.

Celui-là même qui aurait été un des élèves du deuxième directeur de l’école de Poa, M. Lingani A. Ernest.

Kantigui souhaite alors bon anniversaire à l’école primaire de Poa et espère qu’il sera l’un des heureux invités de l’événement.


* Kundé 2006 : 133 albums et 78 clips proposés

Dans le cadre de la 6e édition des Kundé, « Trophées de la musique au Burkina », prévue pour le mois d’avril, Kantigui a été approché par le commissariat général des Kundé. Il a ainsi pris connaissance de la liste des albums et clips sortis entre le 1er mars 2005 et le 28 février 2006. Cette période étant celle qui caractérise l’année culturelle au Burkina Faso. Les productions recensées pour les Kundé 2006 seraient énormes en quantité et en qualité.

Au titre des sorties d’albums, le nombre aurait atteint 133 et au titre des clips, 78. Kantigui constate, par ailleurs, que le réveil musical des femmes est de mise avec 15 albums et 16 clips. En attendant d’avoir la liste des nominés, Kantigui tient à saluer le réveil musical burkinabè et espère que l’événement Kundé sera réellement un cadre de promotion de la culture burkinabè.

Kantigui

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 15 mars 2006 à 23:36, par Sababou En réponse à : > Une Burkinabè étudiante à Londres bannie par son père

    C’est louable, votre travail de nous relater des faits divers. Mais de grâce, prenez des journalistes dignes de ce nom ; et non des personnes qui parlent approximativement le français. En bon français, on ne dit pas " des études qui la tiennent à coeur" ; mais "des études qui lui tiennent à coeur". Des fautes d’orthographes, ça passerait encore, mais pas celle-ci. Faut avoir du respect pour le travail de journalisme.
    Sans rancune ?

    • Le 16 mars 2006 à 17:12 En réponse à : > Une Burkinabè étudiante à Londres bannie par son père

      Bof, des fautes de français ne sont pas si inacceptables que ça, vu que le français n’est la langue maternelle de personne au BF. Nous maîtrisons le français mieux que rarement d’autres ne maîtrisent une quelconque langue étrangère. Nous devrons peut être en tirer des leçons et essayer de devélopper nos propres langues où nous ferons certainement moins de fautes et où la maîtrise de la langue nous dispenserait de gaspiller tant d’énergie , pour la mettre au service de l’apprentissage de la connaissance à proprement parler.

      • Le 19 mars 2006 à 17:07, par moi-meme En réponse à : > Une Burkinabè étudiante à Londres bannie par son père

        Bien dit. Je suis parfaitement d’accord avec vous. Prenez l’exemple de Taiwan que je connais bien, les etudiants parlent le chinois prennent les cours en chinois le plus souvent mais lisent des documents en anglais, langue qu’ils ne comprennent pas vraiment, et tout cela pour composer..... en chinois. A les voir faire on se demande pourquoi nous ne faisons pas pareil avec nos langues, qu’est ce que le francais nous apporte et comment pouvons nous esperer sortir de nos angoisses en utilisant une autre langue pour parler meme de notre culture.Une fois encore , je vous le dis, vous avez parfaitement raison.

        a bon entendeur.....moi meme

  • Le 16 mars 2006 à 16:03, par Sigry En réponse à : Affaire CNSS

    vous à sidwaya avec de tels articles ne méritez même l’existance. Publier des informations qui enseignent on vous demande pas d’être avocat des détourneurs de fond. Vous ne pouvez même convaincre le plus petit des Burkinabés. Est ce la CNSS une banque ? Ne trouves tu pas une concurrence déloyale quand la CNSS se permet de faire des prêts avec un intérêt au tour de 6%. Arrêter de désinformer. On en a assez.

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