Vos commentaires

• 1. Le 28 octobre 2018 à 12:19, par Medio En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

  C’est quoi ce salut nazi sur la première photo ?

• 2. Le 28 octobre 2018 à 12:43, par Alexio En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

  Ou ses promotionnaires ont-ils appris ce salut a la" Hei ! Hitler" ? Je suis panique de voir cette forme de salutation qui peut etre assosocier avec le salut naziste.

• 3. Le 28 octobre 2018 à 14:18, par caca En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

  Laissez ces personnes là, ils ne savent pas le "salut nazi". C’est une pure coïncidence,mais dite mois. J’ai connu le Burkina sous l’appellation d’une seule école de santé publique à Gaoua et aujourd’hui on parler des écoles. Est-ce que ces écoles ont étaient construites depuis l’avènement du MPP au pouvoir ou bien avant ? Plus de 3000 candidats en fin de formation c’est une bonne chose. Cela prouve que le Burkina est en avance par rapport la Cote d’ivoire dans un élan de couverture nationale de santé pour tous. C’est dommage que la gratuité des soins n’ont pas de financement pérennes.

• 4. Le 28 octobre 2018 à 15:48, par Calmons nous En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

  Pourquoi tant de réactions épidermiques chez les Burkinabè actuellement ? Informez vous avant de réagir toujours négativement. Ce geste que font ces nouveaux agents de la santé fait partie de leur engagement à bien servir. Pour une fois que des gens s’engagent avec beaucoup de conviction de départ de leur carrière saluons ce geste. Vraiment notre misère c’est dans nos têtes. Mettons nous au travail au lieu de nous plaindre de tout !

• 5. Le 28 octobre 2018 à 15:54, par Calmons nous En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

  Pourquoi tant de réactions épidermiques chez les Burkinabè actuellement ? Informez vous avant de réagir toujours négativement. Ce geste que font ces nouveaux agents de la santé fait partie de leur engagement à bien servir. Pour une fois que des gens s’engagent avec beaucoup de conviction de départ de leur carrière saluons ce geste. Vraiment notre misère c’est dans nos têtes. Mettons nous au travail au lieu de nous plaindre de tout !

• 6. Le 29 octobre 2018 à 08:58, par SAWADOGO En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

  BONJOUR A TOUS, A GAOUA CE UNE ECOLE DE L’ACTION SOCIALE PAS DE ECOLE DE SANTE, A MA CONNAISSANCE, MAIS JE VAIS ME RENSEIGNER VOIR.

• 7. Le 29 octobre 2018 à 09:23, par HUG En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

  Prestation de serment. c’est bien mais beaucoup mettent ce serment dans les tiroirs un fois sur le terrain en prenant injustement de l’argent auprès des malades. A ceux là ils faut qu’ils sachent que DIEU a entendu le serment d’Hippocrate qu’ils ont prononcé. Moi qui vous parle, j ’ai été victime deux fois : la première fois c’est au niveau de l’urgence traumatologique de yalagado où un agent de santé avait dans ses poches des produits qu’il m’a vendu. Je n’avais pas le choix car si je refusais de payer ses médicaments le malade et moi allons connaître le calvaire. La seconde fois c’est au niveau de laboratoire de yalagodo ou le laborantin de garde m’a pris de l’argent quand j’ai emmené le sang pour les examens. J ’étais très paniqué car j’ai emmené mon enfant très malade vers 2 heures du matin. Par contre, je sais qu’il y a des agents de santé très probes, consciencieux et qui bien faire leur travail . A ceux là, DIEU les protégera à jamais et les bénira.

  • ^ Le 29 octobre 2018 à 10:02, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

     HUG laisse-moi te dire ! Ce sont les médecins qui s’en fichent le plus de leur serment d’Hyppocrates. Les médecins devraient plutôt jurer : ’’Lorsqu’arrivera devant moi un malade, je jure que ma préoccupation majeure sera d’abord de lorgner le volume de sa bourse. Et lorsqu’il m’en donnera le contenu, seulement je prendrai soin de lui. Pour moi l’antichambre du commissariat est mon école ou mon service. Si Dieu possède tout il est évident que tout ce que nous avons lui appartient aussi, mais nous choisissons que l’argent lui, est le nôtre. Lorsque je parle d’argent, je ne pense pas seulement à des pièces, des billets de banque, chèques, cartes bancaires ou autre forme. Je veux dire aussi les richesses de la terre que l’argent permet d’acquérir, nos biens d’ici-bas, je le jure. Celui qui aime l’argent n’est jamais rassasié par l’argent, c’est pourquoi j’en cherche, j’en cherche tous les jours même s’il faut dépouiller un mort-vivant’’.

    Par Kôrô Yamyélé

• 8. Le 29 octobre 2018 à 09:42, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

   Quel salut nazi ? Vous aussi ! On lève la main droite et on dit : ’’Je le jure’’. Ces infirmiers prêtent le serment de Florence NITCHINGALE. Voici ledit serment : ‘’Je m’engage solennellement devant Dieu et en présence de cette assemblée, à mener une vie intègre et à remplir fidèlement les devoirs de ma profession. Je m’abstiendrai de toute pratique délictueuse ou malfaisante. Je ne prendrai ou n’administrerai volontairement aucun remède dangereux. Je ferai tout pour élever le niveau de ma profession et je garderai, avec totale discrétion, les choses privées qui me seront confiées et tous les secrets de famille que la pratique de mon service me ferait éventuellement connaître. J’aiderai de mon mieux le médecin dans son travail, et je me dévouerai au bien-être de ceux qui sont laissés à ma garde’’. Florence Nightingale ait été une infirmière anglaise, et a toujours travaillé en Angleterre, son serment est né aux Etats-Unis, dans le Michigan plus exactement.

   Leurs collègues médecins qui prêtent le serment d’Hyppocrate que voici aussi : ‘’Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l’engagement suivants : Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon savoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s’ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l’enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre. Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté. Je ne pratiquerai pas l’opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s’en occupent. Dans quelque maison que j’entre, j’y entrerai pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves. Quoi que je voie ou entende dans la société pendant, ou même hors de l’exercice de ma profession, je tairai ce qui n’a jamais besoin d’être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas. Si je remplis ce serment sans l’enfreindre, qu’il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire !’’.

  Et pourtant chaque jour la plupart de nos médecins eux, piétinent leur serment ! Beaucoup sont de vrais vautours qui s’agglutinnent autour des malades qui ne sont que des charognes pour eux. Y’a qu’à voir comment ils balancent au hasard les ordonnances et les bulletins d’examens aux malades ; à tel point que le malade se retrouve à payer deux fois la même ordonnance ou à faire deux fois le même examen de labo ! Et lorsqu’ils constatent que le malade ne peut plus leur tendre un billet parce que ayant épuisé ses ressources, ou encore que ce malade est désargenté, ils disparaissent tous comme par désenchantement. Ils ne sont pas différents des moineaux qui envahissent les champs et une fois le grain fini, ils s’envolent précipitamment à tire-d’aile. Et ils disent dans leur serment que ’’Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté’’, or c’est archi-faux car la lupart ne sont que vulgaires orpailleurs. Sur mon parcours, je n’ai connu que 3 médecins qui épousent ce critère. Tous les autres ne sont que de vils orpailleurs !!!

  CONCLUSION : Il est temps que l’État cesse de faire confiance aux médecins et crée une police de la médecine composée de quelques médecins, des infirmiers et assimilés pour faire venir l’ordre dans ce corps de gloutons et d’assoiffés d’argent. Il faut sanctionner aussi sans complaisance. Quand moi je vois à la télé le responsable du syndicat des médecins qui s’égosillent chaque jour, je le trouve ridicule et désoeuvré. Quel temps lui il a pour passer un tel temps dans le syndicat au lieu de s’occuper des malades ? Les plus grand voleurs se trouvent parmi eux, pas parmi les agents du MINEFID car on les forme cher et ils viennent et ne font pas le job !

  Par Kôrô Yamyélé

  • ^ Le 29 octobre 2018 à 11:25, par Mafoi En réponse à : Santé publique : 3 659 nouveaux agents prêts à servir

    Bien parlé mon Kôrô mais malheureusement si les problèmes de ce pays se résumaient à la seule voracité de ces médecins charognards,ça se saurait.En fait dans tous les corps de l’Etat et d’ailleurs du privé aussi,tout est affairisme à savoir la course à l’argent facile.De mémoire,je ne vois pas quel pays au monde bat la palme de la mal gouvernance que le Burkina Faso car même des pays comme le Cameroun ou l’Algérie où leurs présidents sont grabataires ou inexistants,des indélicats sont souvent arrêtés et punis,même chose dans certaines monarchies du golfe malgré leurs pétrodollars.Malheureusement chez nous,l’impunité est la norme la mieux partagée.Alors chacun peut jurer sur tel ou tel machin,c’est du pipeau,de la pure comédie