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Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

Publié le mercredi 13 juillet 2016 à 01h30min

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Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé  en Côte d’Ivoire

Ceci est un communiqué du service de presse de l’Ambassade du Burkina Faso en Côte d’Ivoire.

Sur invitation des autorités ivoiriennes, le Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Burkinabé de l’Extérieur, SEM. Alpha Barry, effectue du 12 au 14 juillet 2016, une visite de travail en République de Côte d’Ivoire.

Au cours de son séjour, le Chef de la Diplomatie burkinabé aura des entretiens avec les plus hautes personnalités ivoiriennes, à savoir, le Président de la République, SEM. Alassane Ouattara, le Premier ministre SEM. Daniel Kablan Duncan, le Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Monsieur Ahmed Bakayoko, le Ministre des Affaires étrangères, SEM. Abdallah Albert Toikeusse Mabri et le Ministre de la Construction et de l’Urbanisme, Monsieur Mamadou Sanogo.

Au menu de l’agenda du Ministre Alpha Barry, il est prévu une séance de travail entre les délégations des deux pays et une série de rencontres avec les responsables diplomatiques et consulaires du Burkina en Côte d’Ivoire, les membres de la communauté burkinabé vivant en Côte d’Ivoire dans ses différentes composantes socioprofessionnelles. Il s’agit des chefs et notabilités coutumières et religieuses, des opérateurs économiques, des associations et mouvements de jeunesse, des délégués consulaires et CSBE, etc.

Le Chef de la Diplomatie burkinabé mettra à profit cette visite de travail pour préparer la rencontre au sommet des deux Chefs d’Etat et de Gouvernement lors du prochain Traité d’Amitié et de Coopération (TAC) qui se tiendra les 27, 28 et 29 juillet 2016 à Yamoussokro, capitale de la Côte d’Ivoire.

Le Service Presse de l’Ambassade du Burkina Faso en Côte d’Ivoire

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Vos commentaires

  • Le 12 juillet 2016 à 22:04, par Nabiiga En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    Un traité d’amitié entre deux amis égaux et souverains n’est que cela : un traité d’amitié. Il ne faut pas au nom de ce traite que, primo, l’un abuse de ses prorogatives du traité pour mener des activités subversives chez l’autre et secundo, il ne faut non plus que l’autre, se soumette docilement, pour ne pas dire bêtement, aux jonctions et/ou des menaces voilées de l’autre au nom de ce traité d’amitié, puisque c’est un traité d’amitié et non pas un traité de cessez-le feu. Une seule main se lave très difficilement. Le Burkina a besoin de son voisin, l’inverse est aussi vrai. La Russie et la Turquie sont des voisines, partagent des frontières terrestres communes et entretiennent depuis des siècles, des relations pas tout à fait dignes des voisines. Récemment, La Russie a rompu ses relations diplomatiques avec la Turquie, a envoyé à quelques encablures de la frontière turque l’un de ses armements le plus puissant pour la menacer. La Russie a exigé des excuses de la Turquie, la Turquie n’a pas exécuté mais enfin, puisque les deux voisines ont des intérêts communs, la Turquie a fini par lâcher les mots d’excuses et la relation ont repris belles. Blanchir Soro Guillaume de ses activités subversives n’était pas fait au nom de ce traité mais bien au nom des intérêts personnels. Lambda Burkinabè a pris bonne note et attend impatiemment la suite en CI. Qui vivra verra !

  • Le 12 juillet 2016 à 22:46, par Cequejenpense En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    La reduction du train de vie de l’Etat passe aussi par la reduction des locations d’avion. Il y a air burkina et air cote d’ivoire qui vont tous les jours a Abidjan. On aurait compris s’il s’agissait d’une visite express aller-retour le meme jour. Mais non, pour 72h ? On peut forcement trouver un vol commercial. L’agenda du ministre doit etre cale chaque semaine (en dehors des urgences et imprevus).

  • Le 13 juillet 2016 à 06:09, par Papa En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    Quand on se refere au coup d’etat de Diendiere’ qui a occasionne’ de nombreux morts ,de veuves et d’orphelins, et de la reponse du ministre Barry au journaliste ( en Cote-D’ivoire ) ou il se disait tres satisfait de la levee du mandat d’arret contre Soro on se rend compte que ce ministre est inconscient . Je suis desole’ de le dire mais je suis abattu par les propos indignes du ministre Barry. Loin de moi d’etre un va-t-en guerre mais, le ministre Barry devrait penser aux nombreuses victimes du coup-d’etat et de ces familles meurtries avant toute reponse au journaliste.

  • Le 13 juillet 2016 à 08:18 En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    Voilà ce qui est clair, il part pour présenter les excuses du président Rock pour avoir sans son autorisation bloqué les deux tenors du CDP de prendre leur vol pour la Côte d’Ivoire.

  • Le 13 juillet 2016 à 09:11, par boka En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    C’est bien on revient a la réal politique n’en déplaise aux va en guerre.franchement pensez vous qu’on peut se passer du grand voisin ivoirien ?C’est le voisin le plus fiable selon moi.

  • Le 13 juillet 2016 à 10:55, par CHRIS En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    Bjr,
    Tout à fait d’accord avec boka (internaute 5) ; c’est le voisin le plus fiable. Lorsque vous lisez de telles âneries, il ne vous reste que de demander à Dienderé de sortir les armes du RSP et tuer un membre de votre famille et on lira votre réaction. Des Burkinabè sont morts, lui Alpha Barry était à Paris sur les chaines internationales en train de gueuler ; nous ne l’avons pas vu à Ouaga résister au RSP, nous comprenons donc que la préservation de son poste dépasse la vie de ces compatriotes et c’est vraiment bien pour lui. Un dirigeant digne de son père ne peut brader des vies humaines au motif qu’il faut qu’on s’entende avec son voisin. Une race de burkinabè est née depuis le règne du capitaine blaise compaoré, celle des mangeurs, des "tubes digestifs"
    Mais ne vous trompez guère, on prend le pari ce jour : d’ici octobre 2017, certains retournerons à leurs occupations , d’autres dirigeants intègres prendront place ; le Burkina et la Côte d’Ivoire vivront en paix mais Soro sera en prison, et Alpha Barry ne sera plus ministre. On ne tue pas impunément des BURKINABE
    UNE AUTRE PROPHETIE EST EN MARCHE.

  • Le 13 juillet 2016 à 11:10, par Koumbem Tipousga En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    Bonjour

    Barry est tout sauf un diplomate. Il peut aller parler amitié, mais dire qu’il est très content de la levée du mandat alors que beaucoup de gens sont morts pour que lui journaliste accède à ce poste est scandaleux et irresponsable. Il n’a pas besoin d’exprimer ses états d’âme sur la question comme s’il était étranger à la décision. C’est un monsieur que j’appréciais beaucoup pour la résistance, mais il faut avouer qu’il rentre trop en brousse. Il fait trop de sortie de piste. S’il était un vrai diplomate, il pourrait trouver d’autres mots pour répondre aux questions sans heurter la conscience des gens. Barry Alpha, vous n’êtes pas obligé de répondre à toutes les questions si vous n’avez pas les mots justes pour les exprimer. Que les relations reprennent, c’est bon et à saluer, mais aller chaque fois faire le larbin n’est pas bien. Qui a raison, qui a tort. Ce sont les ivoiriens qui doivent être contents que le mandat soit levé et non le contraire.

    Ce ministre déçoit et le président Roch doit songer au prochain remaniement trouver une personne de retenue.

  • Le 13 juillet 2016 à 12:01, par Sidpasata Veritas En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    L’amitié entre les peuples ivoiriens et burkinabè ne devrait pas être utilisée comme un alibi pour les dirigeants des deux nations pour se renvoyer mutuellement l’ascenseur de l’impunité. Car nous Ivoiriens et Burkinabè ne sommes pas prêts à nous laisser abuser une fois de plus. Nous savons que les clans Ouattara et Compoaré sont complices et tentent de faire en sorte que - Guillaume Sorro et Blaise Compaoré n’aient pas à répondre à la justice.
    - 1- Guillaume Sorro poursuivi par la Justice n’aurait pu prétendre facilement à la réélection au poste de député et de président de l’Assemblée. Redevenu citoyen ordinaire, il pourrait alors être inquiété par l’opposition politique ivoirienne qui demande depuis longtemps que lui et tous autres ex-rebelles répondent enfin de tous leurs crimes dans la crise ivoirienne, car le clan Gbagbo n’était pas seule à commettre des exactions.
    - 2- Les chefs (RSS) de l’exécutif burkinabè sont issus du clan Compaoré dont ils font toujours partie. Rappelons-nous que quand ils ont démissionné du CDP, ils ont dit clairement dans leur déclaration qu’ils "n’ont rien contre Blaise Comparoré", mais qu’ils en voulaient au parti CDP dont le bureau politique les avait relégués au rang de simples militants. Ce n’est donc pas étonnant de constater que leur parti le MPP est toujours à couteau tiré avec le CDP, alors qu’ils sont mollement engagés à exiger l’extradition de Blaise Compaoré. Leur complicité (du clan Comparé dont ils font partie) avec le clan Ouattara explique leur empressement "diplomatique" à obtenir l’abandon par la justice Burkinabè du mandat d’arrêt contre Sorro, le protégé d’Alassane Ouattara. Cet exécutif burkinabè actuel aurait fait preuve de la même clémence envers Blaise Compaoré n’eut été la relative indépendance de la Justice Burkinabè et la mobilisation de la société civile. Malgré les prétendues "protestations" de l’exécutif burkinabè prononcées du bout des lèvres et sans aucune conviction ni action décisive, il ne sera pas étonnant que Blaise Compaoré ne soit jamais extradé au Burkina Faso tant que leur clan Complice sera au pouvoir en CI. Si la Société civile du Burkina Faso venait à baisser la garde (ce qu’espèrent les deux clans complices) l’indépendance de la justice du BF sera de nouveau confisquée par les mêmes voyous de l’ère Compaoré et ce dernier et tout son clan ne rendront jamais compte de leurs crimes économiques et de sang.

    Moralité de l’histoire : Les peuples Burkinabè et Ivoirien ont un même combat à mener, celui de se débarrasser de clans politiques complices et experts en prédation interne et transfrontalière. Notre amitié ne doit pas servir d’autel d’impunité sur lequel sera sacrifiée la justice que l’on doit aux citoyens des deux nations et cela uniquement pour la quiétude des criminels transfrontaliers qui, n’eut été l’apparente légalité de leur fonction, n’ont rien à envier aux djihadistes fous-de-dieu.

  • Le 13 juillet 2016 à 12:04, par Sidpasata Veritas En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    L’amitié entre les peuples ivoiriens et burkinabè ne devrait pas être utilisée comme un alibi pour les dirigeants des deux nations pour se renvoyer mutuellement l’ascenseur de l’impunité. Car nous Ivoiriens et Burkinabè ne sommes pas prêts à nous laisser abuser une fois de plus. Nous savons que les clans Ouattara et Compoaré sont complices et tentent de faire en sorte que - Guillaume Sorro et Blaise Compaoré n’aient pas à répondre à la justice.
    - 1- Guillaume Sorro poursuivi par la Justice n’aurait pu prétendre facilement à la réélection au poste de député et de président de l’Assemblée. Redevenu citoyen ordinaire, il pourrait alors être inquiété par l’opposition politique ivoirienne qui demande depuis longtemps que lui et tous autres ex-rebelles répondent enfin de tous leurs crimes dans la crise ivoirienne, car le clan Gbagbo n’était pas seule à commettre des exactions.
    - 2- Les chefs (RSS) de l’exécutif burkinabè sont issus du clan Compaoré dont ils font toujours partie. Rappelons-nous que quand ils ont démissionné du CDP, ils ont dit clairement dans leur déclaration qu’ils "n’ont rien contre Blaise Comparoré", mais qu’ils en voulaient au parti CDP dont le bureau politique les avait relégués au rang de simples militants. Ce n’est donc pas étonnant de constater que leur parti le MPP est toujours à couteau tiré avec le CDP, alors qu’ils sont mollement engagés à exiger l’extradition de Blaise Compaoré. Leur complicité (du clan Comparé dont ils font partie) avec le clan Ouattara explique leur empressement "diplomatique" à obtenir l’abandon par la justice Burkinabè du mandat d’arrêt contre Sorro, le protégé d’Alassane Ouattara. Cet exécutif burkinabè actuel aurait fait preuve de la même clémence envers Blaise Compaoré n’eut été la relative indépendance de la Justice Burkinabè et la mobilisation de la société civile. Malgré les prétendues "protestations" de l’exécutif burkinabè prononcées du bout des lèvres et sans aucune conviction ni action décisive, il ne sera pas étonnant que Blaise Compaoré ne soit jamais extradé au Burkina Faso tant que leur clan Complice sera au pouvoir en CI. Si la Société civile du Burkina Faso venait à baisser la garde (ce qu’espèrent les deux clans complices) l’indépendance de la justice du BF sera de nouveau confisquée par les mêmes voyous de l’ère Compaoré et ce dernier et tout son clan ne rendront jamais compte de leurs crimes économiques et de sang.

    Moralité de l’histoire : Les peuples Burkinabè et Ivoirien ont un même combat à mener, celui de se débarrasser de clans politiques complices et experts en prédation interne et transfrontalière. Notre amitié ne doit pas servir d’autel d’impunité sur lequel sera sacrifiée la justice que l’on doit aux citoyens des deux nations et cela uniquement pour la quiétude des criminels transfrontaliers qui, n’eut été l’apparente légalité de leur fonction, n’ont rien à envier aux djihadistes fous-de-dieu.

  • Le 13 juillet 2016 à 19:35, par assi En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    pauvre internautes du fasonet qui ne savent pas que diriger un pays cest tout un programme debarasse de tout apriori.je voudrais dire a ossibis que son ministre est venu rendre visite aux enfants de ses compatriotes nulards qui ont fuient la mere patrie pour se refugies en cote d’ivoire

  • Le 14 juillet 2016 à 11:16, par eh En réponse à : Visite de travail de 72 heures du Chef de la Diplomatie burkinabé en Côte d’Ivoire

    Pourquoi vous partez làbà deux fois deux fois comme çà. Président comme ministres et eux ils n’effectuent pas de mission ici. Rock doit encore aller làba ? Pourquoi pas l’autre qui doit vient ici cette fois-ci pour se rappeler de son passé au zinda et va lui donner une pensée de plus pour le burkina.

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