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Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

Publié le mardi 7 juin 2016 à 00h00min

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Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

Des contre-expertises exigées par trois des familles concernées par le dossier de l’assassinat du capitaine Thomas Sankara, président du Faso (1983-1987), ont ralenti la procédure judiciaire dudit dossier, a déclaré le commissaire du gouvernement près du tribunal militaire de Ouagadougou, le commandant Allioun Zanré.

Selon le commandant Zaré qui a effectué sa première sortie face à la presse depuis sa nomination, le mois dernier, en tant que commissaire du gouvernement, ‘’ce dossier est pratiquement clos’’.

Il a précisé qu’un rapport d’expertise a été remis aux partis par le tribunal militaire.

‘’Trois familles concernées par le dossier, après avoir reçu l’expertise du tribunal, ont émis des réserves et demandé des contre-expertises’’, a expliqué le commissaire du gouvernement, ajoutant que ‘’le Tribunal militaire est en train de gérer cette exigence posée par ces familles’’.

De l’avis du commandant Zaré, s’il le faut, le gouvernement est même disposé à accompagner les veuves de ces familles pour effectuer les contre-expertises demandées.

L’animateur principal de la conférence de presse a indiqué qu’en prenant ses nouvelles fonctions, courant mai 2016, il a tout de suite procédé à une évaluation de la situation des procédures au niveau de la justice militaire.

Il a cité les quatre dossiers majeures dont le premier concerne ‘’le ministère public et les héritiers de feu Thomas Sankara contre X connu après Kafando Tousma dit Hyacinthe Kafando et 13 autres inculpés d’attentats, assassinat, recel de cadavre, complicité de ces infractions ou de faux en écriture publique ou authentique’’.

A l’entendre, sur les 13 inculpés, sept sont en détention préventive, quatre non détenus, deux recherchés (Kafando Hyacinthe et Compaoré Blaise).

Le capitaine Thomas Sankara, considéré comme le père de la Révolution burkinabè, a trouvé la mort le 15 octobre 1987, lors du coup d’Etat qui a conduit l’ex-président Blaise Compaoré au pouvoir.

Il a fallu la chute de Blaise Compaoré, suite à l’insurrection populaire de fin octobre 2014, pour que le dossier soit relancé durant la période de la Transition que le pays a traversé.

Agence d’Information du Burkina

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Vos commentaires

  • Le 7 juin 2016 à 13:21, par ziguehi En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    je donne un conseil au politique ; tout se paie ici bas me disait un sage de chez nous. si on disait qu’un jour on allait exhumé mon président Thom Sank et que le terrible blaise compaore et frere allaient fuir le burkina tu allais que la personne a la raison troublé. simplement fou. et voila tout cela est arrivé et le bon dieu tout puisssant suit d’un oeil attentif le regime actuel et ses agissements. qu’on nous les 9 mandats anullés ce sont quels mandat et quel mandat. que le MPP arrete de se moquer du peuple vaillant du pays de Thom Sank. simon parle d’augmenter le prix de la contravention et de punir sévèrement l’incivisme ; ahhaa simon ce meme incivisme vous a conduit au pouvoir et ce que la bible dit tu le sais tres bien puisque tu te dis pasteur croyant. la bible dit : " qui règne par l’épée périra par l’épée". mess chers citoyens lambda la justice burkinabè ne pas faite pour nous les pauvres et ce n’est les RSS qui dirontle contraire.
    Que dieu protege le burkina faso

  • Le 7 juin 2016 à 13:26 En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Il y a un témoin qui devrait être bien entendu

  • Le 7 juin 2016 à 13:28, par yelkaye En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Tous reconnaissent l’effort du président KAFANDO pour la relance du dossier SANKARA ;
    Mais depuis, l’avènement du MPP on a l’impression que nous reculons à tous les niveaux.
    Des témoins proches des dossiers en suspension on les laissent on s’en prend à ceux qui sont loin du continent (suivez mon regard)
    Des juges militaires qui se contredisent. Des magistrats et avocats qui se contredisent. Les meilleurs avocats publics sont allez à la soupe !
    Finalement ,qui va nous sauver une fois de plus !!!!!!!!!!!

  • Le 7 juin 2016 à 13:29, par Bangrenoma En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Y a wooto ! C’est bon les gars. Continuer seulement, vous etes sur la bonne voie et du courage surtout. Seule la verite peut triompher. comme le dit Koffi Olomide, "la verite monte par l’escalier tandis que le mensonge prend l’ascenseur".

  • Le 7 juin 2016 à 13:33, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Il s en trouve pour crier au blocage sans chercher à comprendre.Pauvre MPP victime du préjugé dû au passé de ses fondateurs.

  • Le 7 juin 2016 à 13:44 En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Je n’ai plus aucune confiance à aucune autorité dans ce pays et surtout pas à ces RSS.En effet nous sommes gouvernés par des voyous.
    Honneur à Thomas Sankara
    Vive Thomas Sankara for ever
    La patrie ou la mort,nous vaincrons !

  • Le 7 juin 2016 à 13:55, par Direct En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Le commandant Allioun Zanré va aussi se casser les dents dans le dossier Thomas Sankara et autres dossiers. Wait and see. Ce qui est sur la verite est connu de tous. Quelque soit les changements operes a la tete de la justice militaire, quelque soit les strategies utiliser pour ralentir le dossier, un jour tous cela va finir. Inn Challah. Pour l’instant Thomas Sankara continue de se reposer en paix en attendant la veriter.

  • Le 7 juin 2016 à 14:04, par L’INTERNATIONAL En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    YES SANKARA le CHE de l’Afrique mérite que justice lui soit rendu.La patrie ou la mort nous vaincrons !

  • Le 7 juin 2016 à 14:17, par L’Oeil du peuple En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Tôt ou tard, le peuple connaitra la vérité sur l’assassinat du père de la révolution Burkinabè. L’être humain constitue un mystère. Cette vérité tant attendue, le peuple la saura un jour.

  • Le 7 juin 2016 à 14:20, par L’Oeil du peuple En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Que Blaise vienne répondre aux accusations portées contre lui pour l’assassinat de son frère THOM SANK, digne fils du BURKINA et de L’Afrique.

  • Le 7 juin 2016 à 14:24, par ou allons nous ??? En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Si quelqu’un a écouté Rock au tout début de la transition sur OMEGA FM il devrait être sure que le MPP fera tout pour étouffer le dossier de SANKARA.Ce que beaucoup ignorent c’est qu’on ne peut rien contre la volonté du TOUT PUISSANT ! Un autre nom de DIEU c’est "LA PATIENCE". Personne n’échappera au tribunaux du MAITRE DES TEMPS.

  • Le 7 juin 2016 à 14:38, par Neekré En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Le Mouta Mouta, la nouvelle danse qui fait fureur au Burkina Faso. Continuez à danser, mais toute chose a une fin. Patience seulement.

  • Le 7 juin 2016 à 14:52, par Reel En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    On vous avait bien dit de voter utile. Nous allons tous pleurer par les narines et nous moucher par les yeux. Allons seulement !

  • Le 7 juin 2016 à 14:58, par Time Will Tell En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Rien ne m’étonnera, même un non lieu.
    il ne restait que ça. Nous savons tous que si on doit jugé d’une vraie justice le dossier de Thomas Sankara, la France va être citée au passage. Malgré tout on donne l’expertise à un Français. Si on voulait la vérité il fallait donner l’expertise au Cuba ou à la Russie. ils allait vous sortir même les empruntes digitales de ceux qui ont le corps (du prétendu Sankara) dans fosse dite tombeau.
    Blaise est parti mais ses racines sont là. c’est une plante qui pousse par bourgeonnement !

  • Le 7 juin 2016 à 15:15, par le patriote balma En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    On veux même plus vos explications.ce qui est évident c’est que vous êtes les plus corrompus au Bf.supprimer même la justice si vous voulez.Grâce a vous on assiste a un pandémonium(un ETAT ou règne le désordre,la violence,la loi du plus fort et du plus riche .où la justice protege les riches même des riche etranger au detruiement de la verite et justice des pauvre compatriote,)

  • Le 7 juin 2016 à 15:39, par Djodaï En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Un gars acquis a ceux qui ont profité du crime de Thom Sank pendant 27 ans peut faire quoi ? N’oublier pas que le Burkina est devenu un département de la Côte d’Ivoire. Les chef de département sont allé rendre compte au président, le seul (ADO) la semaine passée. Voyez-vous depuis que le MPP est arrivé au pouvoir quel notable ivoirien est arrivé Burkina. Mais les chefs de département du nord de la côte d’ivoire (le Burkina) sont déjà allés on ne sait combien de fois. Le monde en l’envers : SORO complice de coup d’état qui a fait des morts au Burkina ne s’excuse pas ; mais c’est le MPP qui va vers lui pour lui demander de ne pas se fâcher, ils vont sanctionner ZIDA pour le venger. Drôle de président des Burkinabè

  • Le 7 juin 2016 à 16:10, par TIENFO En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Des contre-expertises exigées, mon œil. Stoppons de nous caresser le nombril. Réveillons-nous et arrêtons de pleurnicher comme des bambins pour leur toute première journée à la maternelle. Salif DIALLO et ses compagnons n’ont pas changé et ne changeront pas de manières de diriger (accaparement des différentes institutions d’Etat et économiques, nomination des hommes acquis dans les postes stratégiques, affaiblissement de partis politiques d’opposition, piétinement et ridiculisation de la dignité du « faible », compromission suite aux services rendus, etc.). Leur langage a changé mais pas leurs actes. C’est le même soleil que nous avons connu sous le CDP de Blaise COMPAORE qui continue de briller et de nous réchauffer sous le MPP des RSS. Le soleil se levait à l’Est et continuera de se lever à l’Est. Nous leur avons donné cinq (5) ans de nous gouverner en démarrant les différentes « machines » du pays avec un quart (1/4) de tour. Et c’est ce qu’ils viennent de faire avec la nomination à la CNSS et l’affaire SORO. Donc où se situe le problème ? Du silence, les RSS travaillent. D’ailleurs ce n’est que le début du commencement. On est ensemble pour le meilleur et pour le pire pendant au moins cinq (5) ans. Un contrat est un contrat. Nous leur avons fait confiance et il est trop tôt pour remettre en cause ce contrat fraichement signé. La parole donnée du moins les voix données le 29 novembre 2015 et le 22 mai 2016 ne peuvent plus être reprises. Ce qui est dit est dit. Quand on ne peut courir laisser un homme derrière, il ne sert à rien de manger médicament de course le laisser. Accompagnons et aidons-les. On n’y peut plus rien. Peuple insurgé courage. Allons seulement.

  • Le 7 juin 2016 à 16:32, par Valea En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Donc le président Rock veut sanctionner ZIDA pour venger SORO. Padre mia. Quel monde à l’envers ? Punir celui qui t’a fait roi pour venger celui qui était prêt à t’ôter la tête. Je pense que le président Rock a besoin d’être beaucoup plus pondéré quand il veut parler de ZIDA, sinon, il ne s’en sortira pas gagnant avec son comportement épidermique au sujet de ZIDA.

  • Le 7 juin 2016 à 17:38, par vérité no1 En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Vive le capitaine Thomas Sankara ! Vous n’êtes pas mort ! Celui qui n’aime pas Sankara, qu’il se jette dans un puit, point barre !

  • Le 7 juin 2016 à 17:40, par Justice pour Thomas Sankara En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Thomas Sankara était une montagne, son assassinat était un tremblement terre. Le dossier de son assassinat est une flèche empoisonnée pour l’ancien régime et le nouveau régime. Pourquoi ne pas citer les noms des familles qui veulent la contre-expertise ? La Famille de Thomas sankara est prête depuis son assassinat pour que la vérité soit sur la table, même sans ses compagnons, et en ayant les vrais coupables qui ont commandités et tuer le monument, il sera facile de connaitre la vérité sur ses compagnons dont on nous ment que leurs familles demandent des contre-expertises. On connait tous les compagnons de Thomas Sankara canardés en même temps que lui devant le pavillon du conseil de l’Entente, on connait leurs familles, que celle qui est plus placé que Mariam et ses enfants sorte et dire au peuple qu’elle demande la contre-expertise et le peuple la suivra avec raison. Mr. Zanré, c’est de la foutaise, oubliez ces mensonges du contre-expertise et mettez le dossier sur la table en présence du peuple et la famille Sankara, ainsi que celles de ses compagnons, que de jouer le chat et la Sourie. Oui Mr. Tiendrebeogo avait raison de dire que le dossier de l’assassinat de Thomas Sankara est une flèche empoisonnée pour Blaise Compaoré et son entourage, et j’ajoute que ce dossier est un couteau à double tranchante pour Salif Diallo et sa justice militaire. Oui vous aviez tout pouvoir de l’étouffer a votre guise ce dossier de Thomas Sankara, mais aucun d’entre vous ne dormira tranquille, ce dossier vous hantera a vous et a vos enfants, a leurs enfants, jusqu’à l’éternité.

  • Le 7 juin 2016 à 17:44, par vérité no1 En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    On va présenter maman Sankara aux prochaines présidentielles ! On va balayer toute cette racaille et rocaille dans nos administrations.

  • Le 7 juin 2016 à 17:50, par peres bebeto En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Sankara est mort et bientot Blaise mourra . Et tout le monde trouvera la paix et la justice économisera de l’argent . On est fatigué . Blaise et consorts sont devenu Ivoiriens et Ouattara ne le livrera jamais donc économisons de l’énergie pour autre chose . Dans ce même dossier Salif Diallo est impliqué donc à 18 ans croire encore au père Noel c’est ce qu’on appelle être bête .

  • Le 7 juin 2016 à 18:08, par Libération pour raison de santé En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Pour les questions d’évacuations sanitaires de détenus, il convient de confier les dossiers à un collège de médecins spécialisés pour examen et suite à donner. Et c’est le médecin personnel ou traitant du détenu qui introduit le dossier, exactement comme on procède pour les évacuations sanitaires hors du Burkina. Ce collège de médecins spécialistes sera en mesure de situer les cas réels de pathologies comme entre autres, les problèmes cardiovasculaires, le diabète dont l’état de gravité nécessite que le détenu obtienne une libération provisoire pour des soins dans un cadre approprié. Au Burkina, le CHU Yalgado qui est l’hôpital de référence avec tous les médecins spécialistes, serait bien indiqué pour l’examen des dossiers sanitaires de détenus politiques ou ordinaires. Les médecins spécialistes de Yalgado étant souvent sollicités pour des autopsies, ils pourraient aussi être mis à contribution pour éviter des erreurs et complaisances dans les libérations provisoires pour raison de santé. L’avis d’un médecin généraliste dans une clinique privée pourrait ne pas bien présenter les diagnostics avec des détails nécessaires et donner lieu à des libérations de complaisance. Le risque pour cette éventualité est amenuisé dans le cadre d’un collège de médecins spécialisés. Cependant, le service public ayant des tares de lenteurs administratives, il faudrait que ce collège de médecins spécialistes travaille avec diligence pour plus de célérité avec de résultats avérés.

  • Le 7 juin 2016 à 19:12, par Alexio En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Les politiciens du Faso ne sont pas integre. Chacun est dans politique pour ses interets egoistes. La verite est obstruee par des hommes sans honneurs. Comment gerer un pays comme sa famille ? La transparence est devenue une farce, unjeu dedu chat el la souris. Pourquoi l on ne nomme meme pas les familles des contre-experises par leur nom ? On en fait toujours des tabous qui nous conduisent dan l obscurite judiciaire. Au moins en France la justice est libre, elle peut consigner un ancien President pour avoir bruler la loi de son pays. Mais ,chez nous on se fou de la republique tant qu on est au pouvoir. Et bien sur les rapports de force dans son camp. La DEMOCRATIE n est pas seulement les votes, mais les droits universels doivent sejournes sans influences politique. Par la on peut parler d un ETAT de droit. L affaire acouler beaucoup d encre. Et le peuple burkinabe est reste dans sa soif, dans sa faim pour que la verite soit etalee au grand jour. Le temps passe et la justice militaire est entrain de se disqualifier par son manque de pragmatisme.

  • Le 7 juin 2016 à 21:38, par SOME En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Pourquoi on ne donne pas les familles concernées : de quoi a –t-on peur ? Pourquoi proposer aux familles de les aider ? C’est pour mieux les induire en erreur pour ensuite classer le dossier.

    A l’intervenant n°1 : rassure toi que tu n’es pas fou (on se comprend). On te dirait cela pour te dissuader de croire qu’un autre avenir est possible : en dehors de blaise, pas de salut. Alors que c’est eux qui tremblent dans leurs culottes Quand le peuple s’est mis debout, on a vu qui avait peur.

    Comme l’a dit n° 14 Time Will Tell et je l’avais fustigé dans mes interventions : Pourquoi avoir donné ce dossier a la France ? C’est a la limite du crime. C’est incompréhensible. Est ce le deal des sankaristes pour aller diner ? On me dira ce qu’on veut , mais ceci est incompréhensible : même un enfant ne ferait pas une telle erreur , alors je suis en droit de ne pas croire a une erreur. Des pays comme Cuba dispose ‘une expertise sanas faille et moins chere.

    A Djodaï N°16 le Burkina region nord de la cote d’ivoire de Ouattara se voyait même quand Bassolet a cherché à savoir quelle est le point de vue du grand maitre (de la franc maçonnerie) sur le plan de déstabilisation de Sorø : soro, blaise, Ouattara, les RSS, Djendere, etc. bien d’autres sont des freres francs macons. Ce grand maitre est Hamed Bakayoko ministre des affaires étrangères de cote d’ivoire. Bassolet grand maitre pour le Burkina étant enfermé, il fallait le remplacer au plus vite afin que le nouveau prenne les choses en main et donner les ordres. On l’a remplacé avec Alain coeffé. Ce n’est pas anodin : sa première mission c’est de sortir ses frères de enterrer les dossiers comme l’avait indiqué M Roch lorsqu’il a choisi de solutionner ce mandat d’arrêt par la voie diplomatique. Roch a reçu à paris les instructions à appliquer dans les délais qu’on lui a donnés. Comment voulez vous que l’on ne dise pas que la franc maconnerie est quelque chose de mauvais ? Si c’est ca la fraternite maconnique, non, merci !
    SOME

  • Le 7 juin 2016 à 22:38, par Dikiélté En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Sankara Thomas disait qu’ "il n’ y a pas de de plus grand fétiche que le peuple. Le fétiche le plus puissant, celui qu’on ne pourra jamais vaincre, c’est le peuple". Ce fétiche a fait fuir tout un régime, ce fétiche a su faire échec au coup d’état du général Diendéré Gilbert. Ce fétiche sera en action si toutefois le dossier Thomas Sankara et les autres dossiers en instance de jugement ne trouvent pas de solution ; en effet, nous assistons à des libérations à gogo, des mandats d’arrêt annulés ou encore la dernière trouvaille, "la dénonciation" d’Alioun Zanré qui est dans son rôle. La France ne pourra jamais se faire harakiri en faisant une expertise claire des restes de Thomas Sankara. La France n’ouvrira jamais le dossier également de feu capitaine Moumouni Ouédraogo. Sinon, nous savons qu’il existe des experts en ADN qui peuvent examiner les restes des rois d’Egypte qui sont morts il y a des centaines d’années ou des faucilles qui datent des millions d’années. Comment font ils pour parvenir aux résultats ? Réfléchissons un peu. Nous ne connaitrons jamais la vérité si d’autres boîtes noires sont au pouvoir. Que Dieu sauve le Burkina Faso.

  • Le 7 juin 2016 à 22:46, par Manwo En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Agitateurs de tout bord par ci et par là. On veut l’ordre au Faso. On ne veut plus de la pagaille quelque soit le motif. Que le gouvernement prenne ses responsabilités pour que l’ordre règne à tout prix. « Sankara, Sankara ! criez-vous ». Laissez Sankara en paix, n’utilisez plus son nom pour bouffer sur le dos du peuple. VIVE L’ORDRE ET LA PAIX AU BURKINA.

  • Le 8 juin 2016 à 05:36, par YIRMOAGA En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Tout ça là, l’erreur vient de ZIDA ? Il aurait dût ,dès les premières heures de sa déclaration de prise du pouvoir après l’insurrection, être ferme ? S’investir pour une rectification de 2 ans fermes. Garder le pouvoir, balayer la vieille classe politique, ne pas faire de concession aux hommes politiques sauf les OSC, rajeunir l’armée et la rendre active, dynamiser les FDS pour tenir la population en éveil tout en combattant l’incivisme, éviter les religieux tout en gardant sa foi, inviter le politique à s’organiser ans de nouvelles structures au lieu les anciens décadents, en finir avec les dossiers pendants etc etc , une nouvelle constitution et des élections où il ne sera pas partant. Il aurait sauvé le peuple Burkinabè.

  • Le 8 juin 2016 à 10:51, par Ali Maiga En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    C’est de bonne guerre que toutes les expertises de ce genre sont demandées à la France . On a vu le cas du juge Nebié , tout cela permet à la France de protéger ses intérêts en manipulant les résultats à sa guise .

  • Le 8 juin 2016 à 11:00, par pataamleukré En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Il faudra enlever le nom de Compaoré Blaise de la liste des personnes "recherchées".Si vous ne savez pas où le trouvez ,nous,nous le savons.Allez en Cote d’Ivoire et renseignez vous avec un certain Kigbafori il vous montrera sa cachette.
    A moins que "recherché" en droit facile veux dire : "inatteignable"

  • Le 8 juin 2016 à 16:06, par Alexio En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    Yirmoaga. ZIDA etait entre marteau et l enclume. Le RSP a qui le peuple burnabe lui doit sa dissoltion par la resistance avec abnegation. Sino les RSS aujourdhui etait dans un trou au cimentiere. Ou bien a fui le pays sile coup d Eta de Diendiere avait abouti. Notre malheur c est nous -meme. Nous voulions un vote democratique. Et n oublier pas la pression des bailleurs de fonds aussi veillaient la graine. Zida ne pouvait pas s eriger en dictateur, car ce n est pas l Armee qui fait fuir Blaise Compaore mais le peuple, la jeunesse. Zida etait un opportuniste propose par le RSP. Donc une marrionette dont les files manipulatrices dans la coulisse etait Diendere, dont l ambition n a pas tarder de faire surface. Le coup d Etat manque est la conclusion. Chaque a son temps, Et les RSS ne sont pas eternels. Si Blaise est tombe avec ses armes sophistiquees du RSP, ce nest pas ces bureaucrates qui pourrons faire face, en cas d un soulevement populaire. L histoire du Faso n est pas Close.

  • Le 8 juin 2016 à 19:11 En réponse à : PAS D’ADN ! THOMAS SANKARA ÉTAIT-IL UN EXTRA-TERRESTRE ?

    Il a été étonnant et déconcertant d’apprendre, par le quotidien "Burkina Online.com", en son N° du 21 décembre 2015 que, je cite : "des tests ADN pour l’identification formelle des restes prélevés dans les 13 tombes (celles de Thomas Sankara et de ses compagnons)…", avaient été commandés par la justice militaire burkinabé au, je cite : "laboratoire de Police scientifique de Marseille, une référence mondiale dont l’expertise, la compétence et la renommée qui ont largement dépassé les frontières de l’Hexagone, ne souffrent d’aucune contestation, et qui avait en charge la réalisation desdits test…", n’ont pu identifier de façon incontestable les supposés restes du Président du Faso… C’est, à en croire les résultats de ces expertises, comme si les restes de Thomas Sankara et de ses 12 compagnons d’infortune étaient totalement dépourvus d’ADN… C’est invraisemblable !!!

    Le journal français "Le Monde", en son N° du 05 décembre 2013, nous révèle que, je cite : "… de l’ADN humain vieux de 400 000 ans a été reconstituée à partir d’un os découvert sur le site préhistorique espagnol d’Atapuerca, a annoncé une étude publiée jeudi 5 décembre par la revue Nature. Il s’agit d’un véritable exploit scientifique qui pourrait permettre de remonter suffisamment dans le temps pour suivre l’évolution génétique de nos ancêtres." Le même N° du journal "Le Monde" précise, je cite : "Le plus ancien génome humain séquencé jusqu’alors était âgé de 70 000 à 80 000 ans et appartenait à une fillette membre d’un groupe d’hominidés connus sous le nom d’hommes de Denisova, cousins de Neandertal et de l’humain moderne."

    Nous sommes en droit d’exprimer notre étonnement en apprenant que le prestigieux "laboratoire de Police scientifique de Marseille", de renommée internationale, ait été dans l’impossibilité, par l’analyse des ADN, d’identifier les restes de 13 personnes assassinées lors du Coup-d’État perpétré 28 ans auparavant, alors que d’autres scientifiques (de l’étude "Nature") ont, à partir de deux grammes de poudre d’os provenant d’un fémur, reconstituer l’ADN de la mitochondrie d’un humain décédé 400 ans auparavant… À moins que Thomas Sankara et ses compagnons aient été d’origine extra-terrestre de nature physiologique totalement différente de l’humain… Soit les experts du "laboratoire de Police scientifique de Marseille" ont usurpé une renommée internationale imméritée, soit la Direction de ce laboratoire a reçu l’ordre de ne rien trouver… Mais par qui ? Un éclairage pourrait nous être transmis par le journal "AFRIK.COM" en son N° du 15 juillet 2015 précisant, je cite : "Le Réseau international - Justice pour Thomas Sankara, Justice pour l’Afrique - a indiqué dimanche que le président de l’Assemblée nationale française, Claude Bartolone, avait refusé l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire en France sur les conditions sur l’assassinat de l’ancien président Thomas Sankara." Pourquoi un tel refus ? Claude Bartolone, par ce refus, ne risquait-t-il pas de renforcer les soupçons d’une frange importante de Burkinabés forgeant fermement leur opinion quand à l’implication de la France dans le coup d’État qui a coûté la vie à Thomas Sankara et à ses douze compagnons, et qui a permis à Blaise Compaoré d’accaparer le pouvoir ?

    Le journal "NetAfrique.Net", en son article du 07 juin 2016, nous apprend que, je cite : "Trois familles parmi lesquelles celle de Thomas Sankara avaient émis des réserves sur les expertises des tests ADN et ont demandé conformément à la loi des contre-expertises. Ce que le juge a accepté en leur fixant un délai" (cf. Alioune Zanré, commissaire du gouvernement [procureur] au tribunal militaire qui instruit le dossier.) Quelle est la durée du délai imposé ? Il semble apparaître que ces trois familles soient soumises à une certaine pression limitant leur temps de recherche des "bons experts généticiens"… Peut-être sont-elles contraintes de chercher rapidement, mais sans précipitation… En raison de ce qui précède, il est peut-être utile de leur conseiller de ne pas avoir recours à des experts français…

  • Le 9 juin 2016 à 17:23, par yabsoré En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    1)que les archéologues nous instruisent sur les possibilités qui peuvent conduire à une non identification de l’ADN de TOM SANK
    2) pourquoi les familles persistent sur l’ADN pendant que tous ces internautes font face à l’évidence ? quel mythe veut entretenir ?

  • Le 23 août 2016 à 10:56, par Ida En réponse à : Des contre-expertises exigées par trois familles ralentissent le jugement du dossier Thomas Sankara

    personne comme disait un grand homme burkinabè, n’échappera à toutes les justices. il ya aura tjrs un marteau et pas le moins lourd qui sanctionnera les crimes. Imaginez vous que ce dossier reste sans suite....quel conseil ceux qui chante jour civisme, démocratie, justice, .....donne ???????????????????????

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