Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Le ministre de l’économie, des finances et du développement, Rosine Coulibaly/Sori était face à la presse ce mardi 10 mai 2016. Objectif, montrer l’apport du ministère dans les 100 jours du président du Faso, Roch Kaboré et aussi aborder le budget de l’Etat, gestion 2016.
Le Ministère de l’Economie, des finances et du développement (MINEFID) est un ministère transversal, qui intervient dans les différentes actions du gouvernement. Il s’occupe du financement des projets et programmes du gouvernement. Pour les 100 jours du président Roch Kaboré, le ministère s’est impliqué sur plusieurs plans. « le MINEFID a réalisé d’importantes contributions dans le domaine du pilotage de l’économie, de la mobilisation des ressources, de la programmation et la gestion budgétaire, de la rationalisation de la dépense publique et du contrôle et de l’audit des finances publiques », a affirmé Rosine Coulibaly/Sori. En cette matinée du 10 mai 2016, le ministre a pris le soin de détailler chacun de ces points cités plus haut, afin de permettre à son auditoire de mieux cerner les actions menées.
Une croissance plus forte en 2016
En effet, le ministère accompagne le programme de société du président du Faso depuis son investiture. De ce fait, il s’est impliqué dans le domaine du pilotage de l’économie, en accompagnant la mise en œuvre du Plan national de développement économique et social (PNDES). D’un coût global 12 008,2 milliards de francs FCFA, le PNDES va apporter une croissance moyenne de 7,3% par an au Burkina Faso. Le projet de document de mise en œuvre sera soumis au plus tard le 25 mai 2016 en conseil des ministres, a expliqué Rosine Coulibaly/Sori. Le plan couvre la période de 2016-2020, et vise à favoriser le développement durable du Burkina Faso. Pour l’année 2016, le taux de croissance économique attendu est de 5,2% contre 4,0% en 2015.
Rationaliser la dépense publique
Afin de respecter ses engagements, le gouvernement doit dégager des économies. Pour ce faire, le ministère entend rationaliser les charges de fonctionnement c’est-à-dire réduire le train de vie de l’Etat. Cela consiste à optimiser la gestion des parcs automobile et immobilier de l’Etat, la rationalisation des dépenses de consommation d’eau, d’électricité, de téléphone des administrations publiques et la révision des classes de voyage des personnalités de l’Etat et des agents publics.
Audits de la gestion de la transition
Au cours de ce face à face avec la presse, le ministre a décliné les actions qui seront exécutées en amont pour une réussite des actions du gouvernement. Il s’agit du lancement des audits de la gestion de la transition, la mise en place d’un comité interministériel chargé d’examiner les conditions d’attribution, d’octobre à décembre 2015, de 18 marchés pour un montant total de plus de 70 milliards FCFA. La cellule nationale de traitement des informations financières, elle, sera chargée de lutter contre le blanchiment des capitaux.
En cette matinée, la ministre a tenu à joindre l’utile à l’agréable. Autour d’un déjeuner de presse, Mme Rosine Coulibaly/Sori a abordé la question du budget de l’Etat, gestion 2016.
Les recouvrements en nette progression
Le budget annuel prévisionnel de l’Etat pour l’année 2016 se chiffre à près de 1 804 milliards de FCFA. Pour le ministre, le recouvrement des recettes a une tournure positive. Les régies ont pu mobiliser 272,07 milliards de FCFA sur une prévision de 247,83 milliards de FCFA, soit un taux de réalisation de 109, 78% par rapport à la prévision de la période. Comparé à l’objectif annuel de 1 256,83 milliards de FCFA, le taux d’exécution est de 21,65%. En fin mars 2015, les réalisations étaient de 248,31 milliards de FCFA sur des prévisions de 1 148,04 milliards, soit un taux de réalisation de 21, 63%. En glissement annuel, les recouvrements enregistrent une progression de 9,57% (+23,76 milliards de FCFA).
La mobilisation des fonds pour le budget annuel se fait à partir des ressources internes mais aussi des ressources extraordinaires. En termes de ressources extraordinaires, il y a les prêts, les dons de projets, les appuis budgétaires et emprunts obligataires. Les prévisions annuelles pour les prêts sont de 141,31 milliards et 213,77 milliards de FCFA pour les dons.
« Le trésor n’a pas d’arriéré de paiement »
Lors de cette conférence, le ministre est revenu sur les missions du trésor public. Cette institution est chargée d’encaisser et de décaisser les fonds. A la fin du mois de mars 2016, les opérations d’encaissements et de décaissements de trésorerie se chiffraient respectivement à 389,15 milliards de FCFA et à 432,64 milliards de FCFA. A la date du 22 avril 2016, le montant de ces opérations d’encaissements et de décaissements atteignent respectivement 496,45 milliards et 536,43 milliards de FCFA. Pour cette même période, les instances de paiements sont estimées à 68,06 milliards de FCFA dont 32,21 milliards de nouveaux besoins exprimés. Le ministre a également montré que le trésor public n’enregistre aucun mandat ou ordre de virement en arriéré de paiement (mandat de paiement ou ordre de virement de plus de 3 mois).
Ses priorités pour le trimestre prochain de l’année 2016 est le recouvrement des créanciers, la lutte contre la fraude fiscal pour la mobilisation de ressources intérieures, la finalisation du PNDES et l’amélioration des performances dans la gestion des projets et programmes.
Le ministère compte aussi prendre en compte des factures impayées du programme socio-économique d’urgence de la transition PSUT, le soutien financier à hauteur de 20 milliards à la filière coton et la mise en place d’un fonds de lutte contre le terrorisme. Les engagements du gouvernement de la transition vis-à-vis des partenaires sociaux et qui n’avaient pas été budgétisés et la prise en charge de l’incidence financière liée à la gratuité des sons pour les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes.
Wendkuni Diane Kagambèga (stagiaire)
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 11 mai 2016 à 06:03, par gangobloh En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Hummmhhh ok mais les burkinabé voulant toujours une chose et son contraire et dans la précipitation, que faire ??? Lutter contre le blanchiment d’argent est une bonne chose mais cela diminue la circulation de liquidité . Les actions fortes contre la corruption la fraude et autres sont louables mais est ce que la même population est prête pour se serrer la ceinture aider le gouvernement quand on voit comment des gens jugent les 100 jours des RSS ??? Tout ce qu’on n’a pas pu réaliser ou avoir durant les 27 ans de règne de Blaise , on le veut en 100 jours de reigne avec Rock et avec des mauvaises manières (sit-in , grèves, saccages des édifices publics). Que Dieu nous donne la patience et la sagesse afin que nous puissions porter un jugement objectif après les 5 ans de mandat de reigne Rock. Tout jugement prématurée entraînera des réactions aussi prématurées et nous conduira inéluctablement à des instabilités de régimes. Que Dieu le Tout Puissant nous épargne cette étape.
2. Le 11 mai 2016 à 06:18, par dakonta ereke En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Pour le secteur informel revoir la facturation de SONABEL. Supprimer les primes fixes jugés trop élevés
3. Le 11 mai 2016 à 07:43, par wenlasida En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
L’assistance technique que nos partenaires nous donne ne doit pas être de la substitution mais aller dans le sens du renforcement des capacités. Un des programmes de votre ministère est sous le coup d’être exécuté par un partenaire technique et financier, ce qui serait un grave recul. Cela a été orchestré par l’ancien directeur de cabinet et une dame qui est sous contrat avec le partenaire technique(un duo d’enfer), qui vendrait son âme au diable pour gérer ce programme. Nous comptons sur votre vision pour que ce recul n’aie pas lieu.
Au delà de ce programme, il faut aller dans le sens de rationaliser les projets. la multitude n’est pas une bonne chose pour une meilleure atteinte des résultats du PNDES.
Courage à vous
4. Le 11 mai 2016 à 08:28, par Nikiema En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Tout à fait d’accord avec l’internaute n°1 : Que Dieu nous donne la patience et la sagesse afin que nous puissions porter un jugement objectif après les 5 ans de mandat du régime Rock.
5. Le 11 mai 2016 à 08:43, par Yamitiore En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Bien dit dernier auditeur luttons pour la suppression pure et simple de la redevance sonabel et onea c’est du vol de l’arnaque et donnons un peu de temps au pouvoir de rock pour le juger parce que le régime criminel de compaoré blaise a laissé trop d’antécédent mais notons aussi que les rss sont aussi responsable de cette situation ils ont eu le pouvoir qu’ils assument
Merci bien à fasonet longue vie à vs et bon courage
6. Le 11 mai 2016 à 09:13, par Le Fair Play Citizen En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
LA SCADD SE TRANSFORME T-ELLE DONC AU PROGRAMME PRÉSIDENTIEL PNDS ?
7. Le 11 mai 2016 à 09:41, par Raogo En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Madame le Ministre des Finances et de l’Économie, vous êtes une ex éminent cadre du PNUD a ce titre vous savez belle et bien que l’évasion fiscale est un fléau pour nos économie sous développer.
Madame le Ministre des Finances ! Parlant d’incivisme fiscal ! Que dites-vous du faite que certains de vos collègues Ministres contribuables Burkinabé dans leurs déclarations individuelles de patrimoine sont détenteurs de revenus non imposé (Hors UEMOA aussi !) tranquillement logés dans des comptes à l’étranger et ne sont pas imposé fiscalement parlant ?????????
8. Le 11 mai 2016 à 09:47, par Raogo En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Madame le Ministre des Finances et de l’Économie, vous êtes une ex éminent cadre du PNUD a ce titre vous savez belle et bien que l’évasion fiscale est un fléau pour nos économie sous développer.
Madame le Ministre des Finances ! Parlant d’incivisme fiscal ! Que dites-vous du faite que certains de vos collègues Ministres contribuables Burkinabé dans leurs déclarations individuelles de patrimoine sont détenteurs de revenus non imposé (Hors UEMOA aussi !) tranquillement logés dans des comptes à l’étranger et ne sont pas imposé fiscalement parlant ?????????
9. Le 11 mai 2016 à 09:51, par Raogo En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Posté in Zoodomail.com le 10 mai 2016, par Warrior
45% des ressources propres allouées aux salaires au lieu de 35% selon l’UEMOA. Le Burkina Faso est-il le seul pays à dépasser la norme ?Si oui, les raisons sont elles connues et maîtrisées ?La solution est toute simple : si on augmente les ressources propres sans augmenter les salaires nous serons dans les normes ; si la répartition géographique des travailleurs du public est bien faite il y’aura moins de recrutement et nous serons dans les normes ; si l’Etat encourage le secteur privé à employer des travailleurs nous serons dans les normes ; ou bien madame la ministre ? En tout cas nous attendons une augmentation de salaire d’ici à fin juin 2016.Plutôt que de pleurnicher pour dire que la proportion des salaires est élevée il faut par contre travailler à identifier les sources potentielles de mobilisation des ressources (endogènes, exogènes) .Ce serait mieux.
10. Le 11 mai 2016 à 09:57, par Dama En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
J’invite les autorités au vrai changement dans la stratégie de développement. Il faut éviter de se focaliser sur la croissance économique au détriment de l’essentiel. Car la croissance économique n’est pas un objectif de développement, mais c’est plutôt l’un des moyens (nécessaire mais non suffisant) du développement économique et social d’un pays. De 1994 à 2015, le Burkina Faso a enregistré un taux moyen annuel de croissance supérieur à 5%, cependant les conditions de vie se sont dégradées. Alors, pour le PNDES, il ne faut pas se focaliser sur ce "faux objectif de développement" qui est la croissance économique.
11. Le 11 mai 2016 à 11:14, par ELKABOR En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Bien que 100 jours ne soient pas suffisants pour juger de l’action d’un gouvernement surtout pas sous nos cieux, j’ai envie d’applaudir cette dame. Car j’avais dit que la condition sine qua none de la réussite du nouveau Gouvernement à la suite de la période post-transition était de placer l’homme (ou la femme) qu’il faut à la place qu’il faut. Un des bons acquis de ce premier Gouvernement Paul Kaba Thiéba est cette dame au Ministère de l’Economie des Finances et du Développement. Elle est bien à sa place (même si elle parle trop). Elle semble savoir où elle va, comment elle veut y aller et avec qui. A la différence de certains ministres qui semblent surpris d’être là où ils sont actuellement et dont on ne voit rien poindre en matière de vision pour l’amélioration de notre quotidien, si ce n’est la course à des nominations d’amis de parents et de connaissances qui n’ont pas l’étoffe nécessaire pour enclencher la dynamique attendue. Certains même courent présentement à la faveur des élections municipales pour aller chercher des postes de maire car sait-on jamais ? Quand au taux de croissance projettés (7,3% en moyenne par an pour les 5 ans à venir), faut-il en rire ou en pleurer ? C’est tellement maigre pour notre cas que l’espoir de nous voir nous en sortir à cette allure ne sera pas avant 50 ans ! Et pourtant Thomas Sankara nous a démontré qu’on pouvait aller plus vite que cela ! Il y a au moins cela de gagné qu’on ne nous rabache plus les oreilles avec des slogans pitoyables du genre "Burkina émergent en 2020", ce qui ne s’appliquait en réalité qu’à nos dirigeants et à leur famille, convaincus qu’ils étaient que ce temps était suffisant pour une bonne prédation de notre économie à leur seul profit !
12. Le 11 mai 2016 à 12:04, par chahid En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
courage aux autorités dans leurs differentes tâches.
13. Le 11 mai 2016 à 12:12, par l’éteincelle En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Monsieur Dama,aucun pays ne peut se developper sans la croissance. La croissance signifie l’accroissement des richesses ou bien. Pendant que les besoins augmentent et avec eux la population,peut on avancer sans la croisance ?. maintenant on sait que la croissance en elle meme n’est pas l’objectif mais un moyen. Il fo l’utiliser pour satisfaire les besoins,assurer une meilleure repartition entre les auteurs et non auteurs car meme ceux qui ne participent pas à la croissance doivent beneficier d’elle(les non actifs par exemples) Donce en un mot comme en mille sans créer des richesses suplémentaires il n’y aura rien a se partager et c’est la regression totale. Vous parlez de l’essentiel,c’est quoi l’essentiel selon vous alors. La distribution vient apres la croissance.
14. Le 11 mai 2016 à 12:38, par Hèrèmougou En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
On ne peut s’apercevoir des impacts en matière de développement que lorsque la croissance est à deux chiffres. Dans l’étude prospective Burkina 25 on table sur une croissance d’ordre de 1O%. Quand on prendre cette étude, l’un des meilleurs référentiels dans sa conception, ses orientations et les résultats parvenus, je suis enclin de dire que les autres référentiels de développement devraient être inspirés de cette étude prospective. Malheureusement, nous constatons avec amertume qu’il n’y a aucune logique agencielle entre cette étude prospective Burkina 25 et les autres vectoriels de développement CSLP puis la SCADD.j’ose espérer, je reste dubitatif au vue des délais d’élaboration du PNDES que les leçons seront tirées de leur mise en œuvre. Je n’y crois pas. Madame le Ministre, la corruption est le maitre mot dans votre ministère. Le contrôle à priori effectué par vos CF cupides et souvent très incompétents est un frein au développement des communes du Burkina. Il y a nécessite de supprimer ce contrôle qui est en réalité à montrer toutes ses limites, dirais-je qu’il constitue un moyen, un instruments de corruption dans la main de vos véreux et cupides contrôleurs financiers. La France a supprimé il y a 27 ans de cela et le Sénéga 9 ans pourquoi pas le Burkina. Sinon in fine votre département constitue en lui même un frein pour la mise en œuvre correcte des différentes politiques sectorielles de développement. L’intelligence économique permet de nos jours de déceler, avec un système fiable de collecte et de traitement des informations de votre ministère, utilisez la et vous verrez ce qui se passe réellement la bas. Vous serez édifiez .
Parole de Hérèmougou
15. Le 11 mai 2016 à 12:40, par Le vigilant ! En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Du n’importe quoi qu’elle croissance de 5.2% ? Dû fanfaronnade ! De l’escroquerie économique . Aucune statistique fiable dans nos ministères. Mon œil c’est attrape nigo ou quoi ? Tant que la corruption ne sera pas éradiqué , tant que la gestion de nos ministère sera bancale , personne pourra parler de çroissance. En 2015 le pays était arrêté . Immobile , avec une dette intérieur incroyable . 2016 un budget inapproprié , Racolé . Un budget à vue.
Nous devons arrête la démagogie et travaille à répondre aux problème des jeunes.
Madame le ministre soyez sage. Il N’ A qu’au Burkina on croit qu’on peut faire un mur sans fondement.
16. Le 11 mai 2016 à 13:14, par le frustré En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Je retiens ceci : l‘amelioration des performance de la gestion des projets et programmes. Mais c‘est tout le contraire au projet Filets Sociaux où les agents de terrain n‘ont pas reçu une goutte de carburant pour travailler depuis plus de deux mois.
17. Le 11 mai 2016 à 13:30, par le frustré En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
On assiste a des véleïtés de patrimonialisation et de caporalisation du projet Filets Sociaux par sa coordonnatrice voire un desir puéril d‘un culte de la personnalité. A quoi sert des spécialistes si elle veut tout faire elle même ? Le projet se meurt....
18. Le 11 mai 2016 à 17:16, par OCy En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Internaute 9 Raogo, on n’augmente pas les ressources propres par magie. Sachez que ce que vous gagnez dépasse la norme alors ce que vous gagnez est injuste, or la loi, illégal, un détournement ...
19. Le 11 mai 2016 à 22:24, par TAMBOURA En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
LES GENS N‘HESISTENT PAS A ACCEPTER DE FAIRE DES SACRIFICES QUAND LA CAUSE EST NOBLE. MAIS LA RETICENCE DES BURKINABE EST LIEE A LA GABEGIE DU REGIME DECHU. ON DIT : TU TE SACRIFIE POUR RIEN, POUR ENRICHIR DAVANTAGE LES RICHES.LE CHANGEMENT SERA LENT.
20. Le 17 mai 2016 à 16:47, par RAWA En réponse à : Développement du Burkina : 5.2% de croissance économique attendue en 2016
Bravo pour ces interventions. Ce forum doit être animé ainsi. Des interventions constructives qui informent les gens. Mais le plus souvent, ce sont des interventions d’aigris qui passent le temps à insulter les autres. Je suis surpris que le webmaster laisse passer ceratins posts.