Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Parce que « l’alternance » au Burkina Faso serait une situation « à risques », Hermann Yaméogo, président de l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD), souhaite une « transition constitutionnelle » résultant d’une « démocratie consensuelle » et s’exprimant au sein d’un « gouvernement du Front républicain ». Un « Front républicain » rendu possible (et nécessaire) aujourd’hui par le départ du CDP des fondateurs du MPP. Il doit permettre une « prolongation de mandat » de deux ans. C’est Hermann qui développe cette théorie.
Inattendu de la part d’un homme qui n’apparaissait plus sur le devant de la scène politique et dont on avait gardé le souvenir d’un opposant affirmé même si, au long de sa carrière, il a fait le « yoyo » entre pouvoir et opposition. Il revendique, d’ailleurs, avoir été un opposant en un temps où cela avait une signification. Rien à voir, dit-il, avec la « floraison » d’opposants que connaît aujourd’hui le Burkina Faso alors que « faire de l’opposition est devenu une promenade de santé ».
Il n’y a, dit-il, que Soumane Touré (figure de la « Révolution » sankariste, aujourd’hui secrétaire général du Parti de l’indépendance, du travail et de la justice/PITJ et lui aussi partisan d’une « transition politique, pacifique, démocratique ») qui lui en impose « par le nombre et la durée de ses incarcérations, son courage, la fermeté dans ses engagements… » (au passage, on s’étonnera d’ailleurs de cet hommage de Hermann à Sankara : « Les prouesses humaines ne sont-elles pas à l’origine de la plupart des utopies ? Un nommé Thomas Sankara en faisait la démonstration au jour le jour dans ses propos et actions »).
CDP-UNDD même combat ? On pourrait le croire. Mais Hermann rappelle que, depuis son congrès de 2005, son parti est « un parti social démocratique […] qui se situe dans l’opposition depuis l’avènement de la IVè République ». Vous avez dit opposition ? Difficile de trouver moins radical que Hermann. « Du point de vue de la gestion au plan économique, le Burkina s’en tire relativement bien », affirme-t-il. Et quand on lui rétorque les « mesures sociales » décidées par le gouvernement le 24 mars 2014 n’ont guère d’impact sur le niveau de vie des populations, il vole aussitôt au secours du gouvernement en affirmant : « Il est bon de savoir que pour ces dernières mesures, il y a eu des problèmes avec les bailleurs de fonds. Ils ont failli fermer le robinet. Il faut toujours jouer de persuasion pour leur montrer la nécessité d’aller plus en avant ».
Il est même O.K. en ce qui concerne la médiation menée par Blaise Compaoré au Mali : « Il n’a pas eu tort pour plusieurs raisons » : expérience, sollicitation internationale, voisinage… Il dit même : « Actuellement, aucune médiation, même si il y avait transfert de médiation vers d’autres pays, ne peut se faire dans la méconnaissance du rôle du Burkina Faso. Même si c’est en arrière-plan, il faudrait toujours tenir compte de notre expertise et de notre point de vue ». Cependant, il souligne : « Mais je trouve peut-être qu’il [Blaise Compaoré] aurait mieux fait de prospecter la voie d’une médiation domiciliée à Bamako. Il l’a déjà fait au Togo, moi j’y étais, je suis resté quelques mois là-bas pendant la crise en tant que président du comité de suivi ».
On se souvient que lors de la « crise ivoiro-ivoirienne », Hermann avait eu fortement tendance à jouer Laurent Gbagbo contre Blaise Compaoré et, certains aiment à le dire, la Côte d’Ivoire contre le Burkina Faso (ce qui avait été, aussi, une tendance chez son papa !).
Aujourd’hui, Hermann reste préoccupé par la situation qui prévaut en Côte d’Ivoire. « Sachez que je me réjouis que ce pays-frère gagne en stabilisation. Pour autant, je n’ai jamais beaucoup approuvé que la communauté internationale nous impose ses choix politiques » faisant référence au coup de pouce donné à Alassane D. Ouattara pour qu’il accède au pouvoir face à Gbagbo. Il ajoute : « Il y a toujours une tentation de certaines puissances occidentales de croire qu’elles ont le monopole de la vérité, de la démocratie et d’encourager en sous-main peut-être des crises et même des guerres qui se révèlent désastreuses ». Il illustre ses propos par ce qui se passe en Libye, en Syrie et en Ukraine.
Pour en revenir à la Côte d’Ivoire, il pense que « la libération de Gbagbo pourrait lui permettre effectivement d’emboîter le pas de la reconstruction nationale dans la réconciliation ». Il dit d’ailleurs que le pouvoir ivoirien « n’est pas opposé » à la « réconciliation » avec le FPI et assurre en « parler souvent directement » avec Affi N’Guessan, actuel patron du FPI, « ou par l’entremise de notre représentant en Côte d’Ivoire, Dominique Gnissi ». Autant dire que cette réconciliation qu’il prône, et qu’il dit possible, entre le RDR au pouvoir à Abidjan et le FPI dans l’opposition, après une « guerre des chefs » particulièrement longue et meurtrière pour les populations ivoiriennes, l’est bien plus encore entre le CDP au pouvoir à Ouagadougou et l’UNDD dans l’opposition. C’est tout l’enjeu du « Front républicain » qui vise à « stabiliser » la vie politique par la négociation bien plus que ne peuvent le faire les élections. Exemple : le Sénégal. « Quand Abdou Diouf devait partir du pouvoir, il y a eu des choses qui se sont négociées avec Wade et la communauté internationale. Il faut intégrer cette dimension dans nos Etats et ne pas croire que par le simple fait des élections, les choses vont se stabiliser ». La présidentielle de 2010 en est l’expression : son bon déroulement n’a pas empêché le drame des « mutineries » de 2011 puis l’implosion du CDP.
« Même si c’est avec des bleus à l’âme, j’ai survécu » clame Hermann Yaméogo devant la rédaction de Sidwaya. Ces « bleus à l’âme » sont essentiels. Ils inscrivent Hermann et l’UNDD dans la continuité historique, de la Haute-Volta jusqu’au Burkina Faso, sans faire l’impasse, d’ailleurs, sur la « Révolution » sankariste, la « Rectification », le « Front populaire »… autant d’étapes dans la longue marche politique et sociale de ce pays auxquelles Yaméogo a participé ; même si ce fut parfois à son corps défendant. Nous assistons aujourd’hui à une reconfiguration politique du monde contemporain.
Les démocraties occidentales, présentées comme « le » modèle, sont en panne ; parfois même totalement déglinguées. La France, « le » modèle au sein du modèle, le pays de la « grande révolution », des « droits de l’homme », ne sait plus à quel parti se vouer et fini par choisir le plus anti-démocratique, le plus anti-européen et le plus xénophobe. L’Afrique du Nord n’a pas encore accouché, après le « printemps arabe » de 2011, d’un nouveau mode de production politique et le cherche encore, souvent dans la douleur et la souffrance. L’Afrique de l’Ouest est confrontée à la plus grave crise collective depuis les indépendances : aucun pays n’est épargné même si de Dakar à Niamey et de Nouakchott à Abuja ces crises prennent des formes différentes et ont des ampleurs sans commune mesure. L’Afrique centrale, que l’on pouvait croire épargnée ces dernières années, sombre à son tour dans le chaos, minée par la crise centrafricaine, la piraterie dans le golfe de Guinée, Boko Haram… sans oublier le cancer que représentent l’Est de la RDC et la région des Grands Lacs.
Dans ce contexte, Hermann Yaméogo propose autre chose, en rupture avec les pratiques politiques habituelles. C’est très dérangeant. D’autant plus dérangeant que dans cette affaire, Hermann met en cause « les médias, les réseaux sociaux, les intellectuels… ». Sidwaya d’ailleurs ne s’y trompe pas. Il a choisi de titrer sur cette mise en cause ce long entretien de douze pages. « Il y a là une dérive grave qui peut porter préjudice à notre système de gouvernance » estime Hermann. C’est vrai à Ouagadougou comme ailleurs, Paris, Londres, Berlin, New York…
Dans ce monde contemporain dont on nous affirme qu’il est « globalisé », « mondialisé » et « connecté », il est des mots dont on ne sait plus ce qu’ils signifient : peuple et politique. Je ne suis pas certain que Hermann ait la réponse à nos interrogations. Il a le mérite de s’interroger et de proposer une réponse qui s’appuie sur une réflexion qui ne manque pas de cohérence.
Jean-Pierre BEJOT
La Dépêche Diplomatique
Vos commentaires
1. Le 12 juin 2014 à 15:31 En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
" Il revendique, d’ailleurs, avoir été un opposant en un temps où cela avait une signification. Rien à voir, dit-il, avec la « floraison » d’opposants que connaît aujourd’hui le Burkina Faso alors que « faire de l’opposition est devenu une promenade de santé ».
Ce Hermann, un errant(errer est le verbe)se prend pour ce qu’ il nest pas, hein. Qui l’ a mandate pour decider des temps ou etre opposant est plus lourd qu’a un autre temps. Je crois qu’ il a maintenant des hallucinations, preuve que la fin est proche. Etre opposant n’a pas son age de printemps, monsieur l’ orfevre des most vides de sens parce que ne venat jamais du coeur. S’ opposer a un regime, surtout a un regime dynastisant aura toujours une signification, en 1991 comme en 2015. Et si je n’etais pas ne au temps de Hermann, comment voulez - vous que je m’ oppose a un regime, qui somme toute, n’a jamais change sa dehontee maniere de tuer ces citoyens ? Errer, est humain, Hermann, mais persister dans les errements poliotiques conduit a l’ egarement politique au point ou vous n’ avez plus de personnalite politique aujourd’ hui. Je ne sais pas si a l’ article de votre mort, si vous avez encore la force de dire deux mots, ce que vous direz avoir realise ici- bas. Nul.
Le 14 juin 2014 à 12:59, par ERIC PATRON En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Me Herman est un homme qui politiquement est mûr,c’est quelqu’un de courageux que je respecte beaucoup,pourquoi donc parce qu’il a eu le courage de reconnaître que la politique qui est en train d’être mener par le président est une bonne politique et en tant que fils de ce pays,voulant bien sûr le bien commun de tous il a décidé de soutenir le président du Faso.
2. Le 12 juin 2014 à 15:37, par UNINTELLO En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
La conclusion surprend, car on a du mal à voir la cohérence dans les propos et l’attitude du personnage qui reste un grand comique, un charlot : le peu de sérieux et de crédibilité qu’il a, il le doit à son seul NOM
Le 13 juin 2014 à 02:43, par Tonnerre En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Il n’est pas comique. Rectificatif. C’est un cabotin, c’est a dire un mauvais acteur qui croit seduire.
Le 14 juin 2014 à 13:11, par cogito ergo sum En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Ce qu’il faut comprendre ici c’est que me Herman n’a pas épouser Blaise mais ces idées,quand tu es engager pour le bien commun si tu vois quelqu’un qui oeuvre dans ce sens tu ne fait que tu n’a qu’a toi aussi portée mais forte a cette personne pour la bonne marche des choses,en tout cas bravo a ce type que je salut au passage.
3. Le 12 juin 2014 à 15:44, par Ka En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Herman, rentrez au placard et laissez la place aux intellectuels bâtisseurs de demain pour que le Burkina avance. Vous accrochez depuis longtemps a la politique qui n’est pas votre vocation, les barreaux avec ses mensonges et son système de caméléon vous va bien. Reprenez votre robe afin que les délinquants vous respectent. Vous n’avez pas votre place parmi les leaders politiques.
Le 14 juin 2014 à 13:33, par commando invisible En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Me Herman c’es un chef,il connait ce c’es que la politique et y’a longtemps qu’il est dedans.S’il a agi comme ça c’est parce que les raison sont bien fondé et il faut que les uns et les autres comprennent cela.
4. Le 12 juin 2014 à 16:10 En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Plus je vois ce guignol,plus j’ai envie de lui crever les yeux s’il se trouvait à mes côtés tellement ce mec vaut que rien.
Le 14 juin 2014 à 13:51, par la vie d’un sage En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Tes excitation ne te conduira nul part si ce n’est dans le décor,il faut souvent te poser toi même la question pourquoi les choses se passent comme ça,comme je le veut pas.Tu doit mettre en tête que tu es le seul responsable de ta vie.
5. Le 12 juin 2014 à 16:13, par l’enfant du pays En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Dans le Burkina actuel, pour sortir de crise de façon démocratique et légale, soit on adopte la consultation populaire (le référendum)soit on adopte un gouvernement d’union nationale pour gérer une transition démocratique. La situation est telle qu’il n’ya pas d’autres solution.
Le 12 juin 2014 à 17:25, par burkintinga En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
ecoutez le burkina n’a pas de probleme, c’est blaise qui veut nous en créer, qu’il respecte les textes c’est tout mais c’est des gens comme les hermann qui ont mit a sa tete qu’il est le dieu du burkina et que sans lui le burkina n’existera plus, mais il partira, meme celui qui a proclamé l’independance est parti et le burkina a continué d’exister et existera tjrs
Le 13 juin 2014 à 15:35, par Celestine En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Moi personnellement je n’en veux pas à Blaise Compaoré, mais plutôt à ceux qui ont écris notre constitution et ceux là aussi qui l’on voté pour la rendre légitime. Blaise ne fait que profiter des failles de la constitution et ce qu’on peut le reprocher c’est peut être la morale et sa conscience.
Le 12 juin 2014 à 19:36, par Margouillat sacre Roi et desacralise au rang de lezard qu’ il est En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Qu nenni ya qu’a aller honnetement a la democratie en presentatant un candidat autre que Blaise. Il ne peut plus se presenter. Vous connaissez l’ histoire du margouillat sacre roi et les enfants, n’estce- pas. Les intellctuels qui disent a blaise de ne pas toucher a la constitution sont comme la femme du margouillat qui lui ddemandait AVEC INISISTANCE SI LES ENFANTS AVAIENT ACCEPTER CETTE CONSECRATION.nous les enfants, Blaise ne nous aps encore consultes. Donc, son plan reste tellement virtuel.
Le 12 juin 2014 à 23:33, par YIRMOAGA En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Un Gouv.d’union nationale pourkoi faire ? fourer les HERMAN pour un bout de temps ? Nous sommes à un an et demi des consultatioons, on va attendre une bonne fois pour en finir.....? Que Mr FRANçois se prépare au compte du CDP /FDAP-BC s’il tient toujours à la chose. Si le peuple cotionne sa candidature, okkk ? Si c’est non,qu’il se prépare pour 2020 encore.Ceux qui sont sans avenir en déhor de BC,qu’ils ayent ailleur,on s’en fou. SEM BC ne va pas se réprésenter malgré leur douleur.Ceux qui rêvent d’un GOUV.de transition ou de koi, à moins un, coup d’état de la part de leur champion ?Sinon que leur ambition,on les comprend, quitter une table garnie,pas facil dèèèhhh ? Mais hélas, même la vie qui est agréable, on fini par la quitter malgré......
6. Le 12 juin 2014 à 17:07, par l’As Noir En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
herman ne pèse pas plus lourd qu’un poil de rat sur l’échiquier politique du Burkina.après avoir soutenu Gbagbo contre les burkinabè vivant en Côte d’Ivoire,ce minable énergumène sait ce que nous lui réservons.il faut que le cdp soit réelement aux abois pour faire appel à ce don quichotte à renfort d’écrits à la con d’un âne dénommé béjot.
Le 13 juin 2014 à 15:48, par Caro En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Il n’est pas toujours nécessaire d’avoir assez de militants avant de peser sur la scène de la politique nationale. Les conseilles de Kossyam tu les connais ? pourtant c’est eux qui dirigent le pays, c’est eux qui montrent la direction à suivre. Donc Hermann ne fait que donner sa vision des choses
7. Le 12 juin 2014 à 17:33, par TIENFOLA En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
eh Hermann ! que veux tu à la fin ? floue, sombre, tordu, plat, profond, tu réponds à tous les qualificatifs négatif. ça fait pitié
8. Le 12 juin 2014 à 18:18 En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
On sait qui tirent les ficelles de cette prétendue crise. Il n’y a cependant qu’une seule boussole pour sortir de là : la constitution sans tripatouillage.
9. Le 12 juin 2014 à 19:37, par Margouillat sacre Roi et desacralise au rang de lezard qu’ il est En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Ou sommes nous avec l’ enquete sur l’ empoisonnement de la femme de Hermann ? Juste une question.
Le 13 juin 2014 à 08:36, par Tonton En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Margouillat sacre Roi et désacralise au rang de lézard qu’ il..., cette enquête n’intéresse personne. Même pas Hermann lui-même. C’est pour que vous vous fassiez une idée de l’homme. Parole de tonton
Le 13 juin 2014 à 11:25, par l’éveillé En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
il a lui mme déclaré qu’il est le plus grand bandit du Burkina !il faut ajouter qu’i est le plus grand escroc politique de notre pays,effectivement il a contribué à pervertir la politique par ses errements incessants,tantôt à droite,tantôt à gauche,au centre ou nulle part.où pouvait-il aboutir avec ce comportement déroutant ???
10. Le 13 juin 2014 à 08:27, par N’dabi En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Monsieur,cette photo avec Laurent Bgabo en toile de fond n’a aucun rapport avec votre article. Et il aurait été préférable d’en trouver une autre photo que celle là.
Merci !
11. Le 13 juin 2014 à 12:47, par Ibrahim En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Ce Herman à sali le nom Yameogo.Il fait honte à son père et il n’ai pas un digne fils de Koudougou.Si c’était lui qui était mot à la place de Nebie ça allait être un ouf de soulagement mrd
12. Le 13 juin 2014 à 12:57, par LAGAGATO FASO En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
MAURICE TU VOIS DEPUIS 66 ON SE BAT ,TU VOIS MEME EDUQUER TON FILS TU N’AS PAS SU......
MANQUE DE BURKINDI,EGOISME,AVIDITE....HEY
13. Le 13 juin 2014 à 15:55 En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Excusez-moi ,il ne fait pas la honte à son père ???
Pas du tout son père a vendu le Burkina à Ivoiriens d’houphouet.
Hermann est une peste pour le pays capable de vendre la BF de nouveau
à qui lui donnera un peu de sou
14. Le 14 juin 2014 à 11:09, par Ka En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
Herman, rentrez au placard et laissez la place aux intellectuels bâtisseurs de demain pour que le Burkina avance. Vous accrochez depuis longtemps a la politique qui n’est pas votre vocation, les barreaux avec ses mensonges et son système de caméléon vous va bien. Reprenez votre robe afin que les délinquants vous respectent. Vous n’avez pas votre place parmi les leaders politiques.
15. Le 15 juin 2014 à 10:33, par gouem mpagouin En réponse à : Hermann Yaméogo, président de l’UNDD, un « survivant » avec des « bleus à l’âme » (3/3)
chaque candidat de kossyam doit savoir qu’il ne peut y rester plus de 10 ans.herman na jamais fait que la politiq de son ventre.conscien quil nest pas un bon candidat en 2015 il propose une transition pr etre ministr.