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On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

Publié le mercredi 7 septembre 2011 à 02h17min

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Kantigui a appris de sources sûres, que les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon du secteur n°21 de Bobo-Dioulasso ont été déférées, le lundi 5 septembre 2011, devant le procureur du Faso, aux environs de 11 heures. Ces femmes sont accusées de manque d’attention à l’endroit de Minata Traoré, venue pour accoucher dans cette structure sanitaire, le 1er septembre dernier et qui y a laissé la vie. Suite au décès de la patiente, la population du secteur n°21 avait manifesté son mécontentement, en incendiant la maternité. Le ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité, Jérôme Bougouma, qui a présenté la compassion du gouvernement à la famille éplorée, avait promis qu’une enquête sera ouverte et que les coupables seraient traduits en justice. C’est chose faite, car le dossier est déjà dans les mains du procureur du Faso.


Les responsables des services déconcentrés et centralisés de la région du Centre-Est invités à communiquer

Il est parvenu à Kantigui qu’une circulaire datée du 19 août 2011et signée du secrétaire général de la région du Centre-Est a été envoyée à tout directeur régional. A travers cette circulaire, les autorités régionales invitent les responsables des services déconcentrés et centralisés de l’Etat et les autres acteurs du développement de la région, cela, dans le cadre de la visibilité des activités de leurs directions ou services, à approcher désormais, les organes de presse de la région. Kantigui demeure convaincu que cet appel des autorités de la région va susciter un intérêt et apporter un plus dans la collaboration entre les acteurs politiques et les organes de presse pour un développement harmonieux de la région du Centre-Est en général et des populations, en particulier !


Le jubilé d’or de l’école de Mahon pour bientôt

Kantigui a appris que les ressortissants de Mahon, village situé à environ 120 km à l’Ouest de Bobo- Dioulasso, sur l’axe Bobo-frontière du Mali, en passant par Orodara, veulent célébrer le Jubilé d’or de leur école primaire. Selon les informations de Kantigui, l’école primaire publique de Mahon a ouvert ses portes en octobre 1952. Le jubilé est prévu pour fin novembre. Kantigui a ouï dire que le comité d’organisation déjà mis en place, compte sur l’ensemble des filles et filles de Mahon ainsi que sur toute la communauté éducative pour mobiliser les moyens. Ceux qui veulent soutenir le comité d’organisation peuvent s’adresser à Kalifa Albert Traoré, policier à la retraite, au 71 60 48 15. Kantigui qui est pour la promotion de l’éducation pour tous, souhaite bonne chance au comité d’organisation et est prêt à prendre part au jubilé de cette école dans ce village du nouveau premier président de la Cour des comptes.


Un nid de poule sur l’échangeur, route de l’Ouest ?

Kantigui a constaté depuis quelque temps, l’apparition d’un nid de poule sur l’échangeur de l’Ouest, sur la nationale N°1. Ce nid est situé à la fin de la partie gauche, en venant de Pissy pour le centre ville. Au regard de la situation, Kantigui se pose la question de savoir si celui-ci a été volontairement fait ou si c’est la détérioration de l’infrastructure qui commence déjà. Si tel est le cas, Kantigui s’étonne de la dégradation rapide de ce joyau dont l’inauguration date de si peu de temps. Kantigui interpelle les uns et les autres à agir diligemment, afin que ce trou de quelques diamètres ne devienne un nid d’Autruche.


Le Réseau des compétences électorales francophones est né

Il est parvenu à Kantigui, la création du Réseau des compétences électorales francophones (RECEF) dont le siège est au Québec au Canada. Selon les sources de Kantigui, le Burkina Faso est membre fondateur du réseau et à ce titre, il a été représenté à l’assemblée constitutive du RECEF, tenue du 22 au 24 août 2011, par le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Me Barthélemy Kéré. Les informateurs de Kantigui font savoir que le RECEF ambitionne de renforcer les capacités des organismes électoraux, en vue de l’organisation d’élections libres, fiables et transparentes dans les pays membres de la Francophonie. A l’issue de l’assemblée générale constitutive, les membres fondateurs ont élu un bureau avec comme président le général Siaka Sangaré, délégué aux élections du Mali.


L’Express du Faso en deuil

Kantigui a été consterné d’apprendre que le seul quotidien d’informations générales paraissant à Bobo-Dioulasso, l’Express du Faso, a perdu ce mardi 6 septembre 2011, un de ses agents commerciaux. Né en novembre 1964 en Côte d’Ivoire, Jean-Baptiste Toé faisait partie de l’équipe du journal depuis 2001. Il est décédé des suites de maladie, au Centre hospitalier Sanou Souro, laissant derrière lui, une veuve et deux orphelins. A sa famille éplorée, les Editions Sidwaya présentent leurs condoléances les plus attristées.


Les remerciements de la Fondation Blaise Compaoré pour la paix
aux Editions Sidwaya

Kantigui a reçu une lettre de remerciements du président de la Fondation Blaise Compaoré pour la paix, adressée aux Editions Sidwaya pour leur contribution à la réalisation de la troisième phase du programme « Une famille, un arbre fruitier » et la 1re édition de la Semaine nationale du développement durable (SNDD). Le président de la structure exprime sa satisfaction, en ces termes : « M. le directeur général des Editions Sidwaya, j’ai le plus grand honneur de recevoir, au nom de la Fondation Blaise Compaoré pour la paix, ce si noble geste que vous avez bien voulu nous accorder pour la réalisation et la réussite de la troisième phase de son programme « Une famille, un arbre fruitier » et la 1re édition de la Semaine nationale du développement durable (SNDD) qui s’est tenue le 4 août 2011 au site du SIAO » et suivie de la remise officielle de kits d’arbres fruitiers à son Excellence M. Blaise Compaoré au palais de Kosyam, en présence du chef d’état-major particulier de la Présidence du Faso, le général Gilbert Diendéré et de bien d’autres personnalités . Cet acte symbolique et fort de sens témoigne une fois de plus, l’intérêt que vous accordez aux valeurs de paix, de solidarité, de tolérance si chères à son Excellence le président du Faso, valeurs qui constituent le socle du développement durable pour un Burkina Faso émergent et je vous en remercie énormément ».


Les jeunes femmes de l’UNDD
se forment

Il est parvenu à Kantigui que le mouvement des jeunes femmes leaders de l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD) ont organisé une activité, le 3 septembre 2011, dans le cadre des réformes politiques. Selon les informations de Kantigui, il y avait à l’ordre du jour de cette activité, une communication animée par la présidente nationale du Mouvement des jeunes femmes (MJF) sur la situation politique nationale, l’installation du bureau régional, section du Kadiogo et une communication faite par la présidente du bureau régional, section du Kadiogo sur le quota genre et la parité. Selon les sources de Kantigui, à la sortie de cette activité, les femmes ont recommandé que soit instauré par le gouvernement, un mécanisme d’octroi de primes aux organismes professionnels et politiques, en vue d’inciter à une meilleure application du système de quota et de parité. De même, Kantigui s’est aperçu que le mouvement des jeunes femmes de l’UNDD recommande que soit créée un conseil national de contrôle de la parité.


Belle moisson pour les étudiants burkinabè au Maroc

Le Royaume du Maroc, à travers son Agence de coopération internationale (AMCI), place le capital humain au cœur de sa stratégie de partenariat et de coopération Sud-Sud en faveur d’un développement économique et social durable. Ce faisant, selon les sources de Kantigui, le Maroc octroi, chaque année, des bourses d’études aux candidats étrangers désireux de s’inscrire dans les établissements publics d’enseignement supérieur et de formation professionnelle au Maroc. Au titre de l’année académique 2011/2012, les offres de bourses au profit des candidats « bacheliers » du Burkina Faso désireux de poursuivre leurs études supérieures au pays du Roi Mohammed VI sont au nombre de quarante (40). Kantigui a ouï dire que les dossiers de candidature sont déposés auprès des autorités compétentes burkinabè, seules habilitées à juger de l’opportunité de les transmettre aux autorités marocaines, conformément aux accords bilatéraux et dans le cadre des quotas des places pédagogiques qui leur sont notifiés. La formation universitaire au Maroc est assurée à travers le Royaume, par 14 universités. Ces formations sont dispensées en arabe et/ou en français dans diverses filières. Pour l’année académique 2010/2011 qui vient de s’achever, la moisson a été belle pour les étudiants burkinabè au Maroc. En effet, ce sont 23 étudiants qui ont raflé le titre de major de leur classe dans diverses disciplines, avec des moyennes allant de 17,75 à14 sur 20.

Kantigui

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 7 septembre 2011 à 03:01, par Un observateur de la sante En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

    Dans un system serieux quelqun de la chaine politique administrative ou technique doit demissionner pour rupture grave et fatale a la continuite du service public. Mr le Ministre de la Sante, Mr le DR de la sante des HB ou Mr le MCD du district concerne vous tenez la une occasion unique au Burkina pour prouver votre peine, votre regret , votre remord et votre repentir en presentant publiquement et par pedagogie vos condoleances et surtout votre demission ....SVP faites ce geste qui sauve si non vous verez que apres cette crise on vous remplacera avec le sentiment du devoir inacheve. rentrez dans l,histoire SVP

  • Le 7 septembre 2011 à 09:56, par waricotèsongoyalo En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

    He bien Une très bonne initiative à encourager et en plus il faudra que les autorités du ministère de la santé ouvrent l’oeil et le bon en interdisant immédiatement l’utilisation des postes téléviseurs dans les structures de soins pour les gardiens. Leurs télévision c’est les malades et seulement les malades. J’espère que mon cri de coeur sera entendu par le professeur Adama TRAORE à qui j’adresse toutes mes félicitations et encouragements

    • Le 7 septembre 2011 à 16:57 En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

      SI CE N’ÉTAIT DU FAIT D’UN DRAME, J’EN RIRAIS À GRANDE GUEULE. AHH QUELLE HYPOCRISIE DE NOS DIRIGEANTS !

      ALORS QUE TOUT LE MONDE SAIT DANS QUELLE SITUATION EST NOTRE HÔPITAL SANOU-SOURO, ON FAIT SEMBLANT DE SE PRÉOCCUPER DU SORT DE LA POPULATION EN TRAINANT CES INFIRMIÈRES SEULES DEVANT LA JUSTICE.

      C’EST TOUT LE POUVOIR QU’ON DOIT JUGER CAR CE QUI CE PASSE À BOBO NOTAMMENT DU CÔTÉ DE L’HÔPITAL EST CATASTROPHIQUE.

  • Le 7 septembre 2011 à 10:14, par le bon citoyen En réponse à : On murmure : La moission a été bonne

    Je deplore que l’octroie de ces bourses au niveau du Burkina il n’ya pas de transparence dans la selection des bacheliers. Je vous informe que pour l’année 2011/2012 la liste a été publiée sans mention des moyennes des admis donc il ya fraude car il y aurait des admis qui ne remplissent pas les conditions de moyenne. Le tocsin au devant du MESSRS et voila le resultat.

  • Le 7 septembre 2011 à 11:17, par Burkimbila En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

    Cet incident malheureux vient mettre à nu les défaillances réelles de notre système de santé. En effet, on constate que le ministère en charge de la santé navigue à vue, plus préoccupé par le partage des perdiems de séminaires et ateliers que de s’affronter avec courage et conviction aux aspirations profondes de nos braves populations pour lesquelles l’état contracte des prêts énormes pour finance des programmes de santé.

    Loin de moi l’idée de déculpabiliser ces pauvres accoucheuses, je pense que notre système de santé doit être revu dans son ensemble afin d’éviter que d’autres drames similaires ne se reproduisent dans l’avenir. Ceci concerne non seulement l’organisation technique mais aussi administrative. Cela passe nécessairement par le renouvellement du personnel dirigeant (DG, DR, MCD etc.) a fin de permettre aux médecins de mieux s’occuper ses malades pour laquelle il sont formés et laisser les administrateurs s’occuper de l’administration.

    Sur le terrain, on ne sait pas qui fait quoi ? Comment et avec quelles ressources ? Sur le terrain, on ne perçoit la limite réelle d’intervention des différentes catégories d’agents e santé (médecin, infirmiers etc .). En raison de l’insuffisance du personnel médical, les infirmiers dans les CHR jouent en même le rôle de médecin et d’infirmier (consultation aux urgences et soins.) mais ne perçoivent que le salaire d’infirmier. Cette situation non seulement joue sur la qualité des soins offerts car il s’agit d’un centre de référence au niveau régional, mais peut avoir un impact négatif sur la motivation du personnel infirmier qui pourrait se sentir abusé, exploité. Ainsi, depuis la mort du gouverneur de la région du nord qui aurait été reçu aux urgences du CHR de Ouahigouya avant de rendre l’âme, une question me revient chaque fois à l’esprit : A-t-il bénéficié de la consultation d’un médecin ?

    Pour ce faire, je pense que l’état faire l’effort de doter suffisamment les CHR en médecins ; ce qui va de décharger les infirmiers afin qu’ils puisent pleinement leur rôle, et qui contribuera à améliorer la qualité des soins dans ces centres de référence.
    C’est l’occasion pour moi de féliciter les infirmiers du BF pour leur disponibilité, leur engagement, leur dévouement, leur promptitude à répondre aux détresses de nos populations, surtout rurales. Quant aux médecins, des hôpitaux surtout, je leur conseille de se ressaisir. N’enviez pas vos collègues des districts qui ont perdu le statut de médecin et sont devenus de véritables orpailleurs déguisés. Remettez-vous au travail. Les avantages matériels des districts vous rejoindront dans les hôpitaux. Vous pourrez en même temps profiter de ces avantages et conserver votre statut de médecin.

    Revenant au drame de Bobo, au-delà du manque d’assistance dont on accuse les accoucheuses, l’on devrait se poser entre autre les questions suivantes : La compétence de ces accoucheuses leur permettait-elle de prendre en charge efficacement cette parturiente ? Quelle politique le district a mis en place pour prévenir ces genre de drame ?

    • Le 13 septembre 2011 à 22:38, par Nedka En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

      Cher Burkinbila,
      je doute fort de ton bukindloum.
      dans toute cette histoire, on ne reproche pas à ces dames d’être incompétentes pour diriger un accouchement. ce qui est ahurissant, voire choquant, c’est le fait d’avoir une pierre à la place du cœur. en dehors du serment qu’elles ont prêté, elles sont des femmes c’est à dire, sensibles aux douleurs dont souffrirait leur semblable. comment des femmes qui ont déjà accouché peut être, peuvent laisser une autre femme sans assistance toute la nuit, conduisant ainsi à sa mort ?
      les mots me manquent pour qualifier un tel comportement à l’ère de la promotion de la maternité sans risque à travers les SONU ( Soins Obstétricaux et Néo natals d’Urgence). c’est simplement cruel et inhumain.

  • Le 7 septembre 2011 à 11:46, par NELO En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

    Ces femmes ne doivent pas être accusées simplement de Manque d’attention à l’endroit de la défunte. Il faut ajouter Négligence, Non assistance de personnes en danger, et même de potentielles criminelles.
    Et il ne faut pas s’arrêter là, il faut davantage des enquêtes pour les autres autres femmes qui sont décédées aussi. Il ne faut pas adoucir les mots pour ne pas les condamner sévèrement. Dans tous les cas, le verdict est très attendu par la population, si on s’amuse avec les humeurs ça peut tourner au vinaigre.
    Il faut plus d’enquêtes pour cette maternité que toute la population bobolaise dénigre tant à cause de ses sages femmes et accoucheuses indélicates et bon à rien.
    A bon attendeur, salut...

    • Le 7 septembre 2011 à 17:31, par LE QUIDAM En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

      Oui c’est une bonne nouvelle que d’apprendre que les coupables de cette forfaiture sont devant la justice.
      Mais, il convient de préciser un certain nombre d’élements afin que la justice et les initiatives de rendre justice aillent jusqu’au bout.
      La defunte est la 4ème de ce genre (Il semblerait que c’est le 4è cas et c’est ce qui a revolté les populations). Ceci appel en moi des précisions pour mieux se situer :
      - Le système de santé au BF est organisé par niveau de sorte qu’à chaque niveau il y a une supervision et des monitoring pour relever entre autres les insuffisances et à apporter les corrections necessaires parce qu’avec la santé humaine il n’ y a pas d’essai. Qu’est ce que le Medecin chef de district sanitaire et les sages femmes dont rélève cette maternité ont fait pour corriger ces erreurs constatées et consignées sans nul doute dans le cahier de la maternité. En effet ce cahier indique les statistiques et les cas de maladies et de décès reçus... et plus qu’est-ce la Direction Régionale de la santé qui assure aussi la supervision à travers son SLM a aussi fait suite aux infoirmations relatives aux trois premiers cas décès de femmes en travail ?. Ne sont-ils pas complisses de cette faute professionnelle ? Je s’insurge et d’indigne contre ces PSEUDO agents desormais de la santé.
      Ainsi, je pense qu’il serait important ded’élargir la responsabilité de cette faute à tous les niveaux.

      Et enfin, j’espère qu’il en sera de même pour les agents de santé de la région de KAYA qui auraient retiturés les files des SUTURES d’un patient après que ce dernier ait declaré qu’il n’avait pas de quoi payé les 2.000 FCFA qu’ont coûté les soins admistrés par les agents de la santé payés par nos impôts. Notez qu’il s’est agit de retirer les SUTURES d’un patient après avoir reçu les soins et ayant constaté que le malade n’avait pas de quoi payé, les agents de santé l’aurait obligé à se mettre à table avant de proceder purement simplement aux retraits des files des sutures déjà posées. Dans quel pays sommes nous !!! Il semblerait que cela s’est pas dans l’air sanitaire de KAYA et il n’y pas eu de sanctions. Ainsi va le Faso, le Faso que nous prétendons aimer tous !!!!!!!!!

      • Le 14 septembre 2011 à 00:14, par winson En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

        Je suis d’accord avec vous concernant la situation a bobo ; mais la verité éclatera, mais concernant ce qu’on fait les agents de Kaya peut s’expliquer ; soit le patient est de nature a tromper les agents de santé ; soit c’est quelqu’un qui dupe les gents pour avoir gain de cause. Il vous suffit d’être dans le domaine pour comprendre une telle réaction ; si le patient s’explique clairement au depart il y aura des agents qui l’aideront. Vous voyer des gents qui partent à des bals se saouler la gueule et ils declenchent une bagarre et arrivés au centre de santé ils jurent qu’ils n’ont pas 5francs ; mais ils n’en manquent pas quand il s’agit de boire. Surement ce monsieur est un arnarqueur. Mais tout cela c’est la faute de nos dirigeants ; c’est à eux de disponibiliser des produits dans nos centre de santé pour la prise en charge gratuite des cas urgents ; et le malade payera la suite de son traitement. Le poisson pourit toujour en commencant par sa tête...

  • Le 7 septembre 2011 à 15:04, par justice En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

    JE PROPOSE QUE LE MINISTERE DE LA SANTE CHANGE DE STRATEGIE ET RECRUTE MAINTENANT DE PLUS EN PLUS DES HOMMES C’EST A DIRE DES ACCOUCHEURS AUXILIAIRES AU DETRIMENT DES ACCOUCHEUSES. L’EXPERIENCE RACONTEE PAR LES FEMMES MONTRE BIEN QUE LES HOMMES SONT LES MEILLEURS ACCOUCHEURS QUE LES FEMMES. DE PLUS EN PLUS LES FEMMES PREFERENT ETRE ACCOUHEES PAR DES HOMMES QUE PAR DES FEMMES. ELLES DISENT QUE LES HOMMES SONT PLUS SENSIBLES A LEUR DOULEURS, ET PRENNENT BIEN SOINS D’ELLES QUE LES ACCOUCHEUSES. SI CELA EST VRAI, ALORS QU’ON AUGMENTE LE POURCENTAGE DES HOMMES ACCOUCHEURS. C’EST TOUT DE MEME DOMMAGE ET INCOMPREHENSIBLE QU’UNE FEMME NE SOIT PAS SENSIBLE AUX SOUFFRANCES D’ACCOUCHEMENT D’UNE AUTRE FEMME ; PARCE QU’ELLES SONT DANS LA MEME SITUATION.

  • Le 7 septembre 2011 à 16:05, par le peuple En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

    le système sanitaire au Burkina est à revoir, c’est sûr. Ici la responsabilité des accoucheuses peut être remise en cause parce qu’apparemment elles n’ont pas bien reçu et suivi la Dame (Paix à son âme). On peut ne pas avoir les moyens pour bien faire son travail mais il faut qu’on sente de la motivation dans notre comportement. Quant on passe le temps à insulter et négliger les femmes venues pour accoucher, en cas de pépin, vous n’aurez que vos yeux pour pleurer. Même dans les cliniques où l’on paye des sommes faramineuses, les hospitalisés sont souvent dans l’imposibilité de voir le personnel de garde. Chacun cherche un lieu pour bien dormir, autant rester chez soi. Bref, il faut que chacun de nous prenne conscience de ses obligations vis-à-vis de notre Société car nous sommes les seuls gagnants ou perdants.

  • Le 7 septembre 2011 à 16:45, par Ice En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

    C’est la démission du gouvernement. on devait tout simplement livrer ces deux dames à la population.
    jusqu’à quand la rue continuera t elle à faire le travail des dirigeants à leur place ?
    Il est temps qu’on réfléchisse sur les insuffisances du système sinon ce pays est condamné à mort.
    Il est temps que prennent fin les politiques aveugles de recrutement.
    Que le burkina se dote d’un système éducatif efficient capable de produire des hommes de valeurs au lieu de l’alphabétisation de masse avec des enseignants parfois analphabètes. Cela permettra de relever le niveau de recrutement des agents. sinon nous avons trop d’analphabètes dans l’administration. Des personnes qui sont admises par coup de chance aux concours car les épreuves relèvent de l’aléatoire. C’est l’une des conséquences de cette situation qui a causé ce drame à bobo.

    Toutes mes condoléances à la famille éplorée.

  • Le 7 septembre 2011 à 19:12, par Le Gonze En réponse à : On murmure : Les deux accoucheuses auxiliaires de la maternité Sylla Sanon déférées devant le procureur du Faso

    M. Bougouma et le Gouvernement devront égaalement promettre de tout mettre en oeuvre pour déférer à la justice :

    1. Les médécins qui consultent dans le privé à leurs heures normales de service dans les hopitaux publics

    2. Les urgentistes qui se constitutent des kits personnels parallèles de produits de premières nécessité avec les ordonnances salées administrées à dessein aux patients qui arrivent

    3. Les 90% de sages-femmes qui au lieu d’être en province là où elles sont le plus utiles utilisent tous les raccourcis possibles pour chômer dans la capitale sous le falascieux prétexte du regroupement familial, et finissent dans les ONG et autres associations d’arnaque des bailleurs de fonds

    4....sans compter les avorteurs en tout genre, sans scrupules ou états d’âme !

    Et la liste n’est pas finie..

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