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On murmure : 950 000 F CFA pour vivre la CAN en Angola

Publié le mercredi 9 décembre 2009 à 02h41min

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Suite à la qualification des Etalons du Burkina pour la Coupe d’Afrique des Nations 2010 (CAN 2010) en Angola, les supporters sont en train de s’organiser pour être de la partie. A cet effet, Kantigui a reçu un communiqué de presse de la Coordination nationale de soutien aux Etalons dirigée par El hadj Mahamadi L. KOUANDA qu’il vous livre en intégralité.

La Coordination nationale de soutien aux Etalons (CNSE) a le plaisir d’informer l’ensemble du peuple burkinabè qu’elle organise un voyage en Angola en vue de soutenir les Etalons à la CAN 2010. A cette occasion, elle met à la disposition du public sportif un avion MD83 d’Air Burkina de 126 places dont 11 en classe business. Les frais de participation sont de 950 000 F CFA composés comme suit :
- le billet d’avion aller-retour Ouaga-Pointe Noire ;
- le transport aller-retour en car Pointe Noire-Cabinda (sous escorte policière) ;
- les visas d’entrée au Congo et en Angola ;
- l’établissement d’un document de séjour collectif ;
- les billets d’entrée au stade pour les 2 premiers matchs (gradins) ;
- le billet en business coûte 1 500 000 F CFA et donne accès à une place VIP au stade.

NB : le transport à l’intérieur de la ville de Cabinda, l’hébergement et la restauration ne sont pas du ressort de la CNSE.

Les inscriptions et les versements se font au nom de la Coordination du lundi 7 décembre 2009 au mardi 5 janvier 2010 à 12 heures TU, aux guichets de Coris Bank (compte n°0345982410128) et de la BIB (compte n°42-10-30-01-17-55).

Le départ de Ouagadougou aura lieu le 8 janvier 2010. Convocation à 17 heures, départ à 19 heures. Le retour est fixé au vendredi 22 janvier 2010. Le poids limite de bagages autorisés est de 30 kg. Les supporters inscrits seront informés en temps opportun des modalités pratiques du départ.

Tous mobilisés pour la victoire finale des Etalons !


Une chambre des mines en gestation

Une nouvelle équipe préside aux destinées du Groupement professionnel des miniers du Burkina (GPMB). Selon les sources de Kantigui, le nouveau bureau a été mis en place à l’issue d’une assemblée générale extraordinaire tenue à Ouagadougou. C’est le directeur national de SEMAFO Burkina SA, Elie Justin Ouédréogo qui a été porté à la présidence. Il sera épaulé par six (6) autres membres.

Pour le GPMB qui nourrit l’ardent espoir d’évoluer vers une chambre des mines, le nouveau bureau aura, sans nul doute, pour principale mission d’œuvrer à cette mutation qui devient indispensable compte tenu de l’évolution du secteur minier burkinabè. Le GPMB est une association à but non lucratif créée en mars 1996 pour représenter les acteurs du secteur minier et promouvoir l’industrie minière renaissante du Burkina Faso.

Il regroupe la plupart des sociétés évoluant dans l’exploration et l’exploitation minières et dans les géoservices au Burkina Faso. Statutairement, le GPMB a pour objectif de défendre les intérêts de ses membres, de promouvoir l’industrie minière au Burkina Faso, de promouvoir les bonnes pratiques dans l’activité minières, de renforcer la coopération entre les membres du secteur minier burkinabè et avec les partenaires du secteur.


L’ISTIC prend une dimension internationale

L’ambition du premier responsable du département ministériel chargé de la Culture, du Tourisme et de la Communication de faire de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC) une école de référence est en passe de devenir réalité. Kantigui a en effet appris que l’ISTIC, ces dernières années, enregistre une arrivée massive d’étudiants étrangers désireux de se former dans la pratique du journalisme et de la communication.

Le dernier acte majeur en date à l’ISTIC est l’inscription groupée de 10 étudiants gabonais. A l’instar d’autres grandes écoles, ou instituts du Burkina Faso qui se sont imposés grâce à la qualité de leurs prestations, l’ISTIC, lentement mais sûrement est en train de se faire une place au soleil.


Jubilé d’or de Ouessa

Il est parvenu à Kantigui que l’école primaire publique de Ouessa, dans la province de la Sissili, célèbre les 18 et 19 décembre prochain son cinquantenaire. Ouverte le 1er octobre 1959, cette école selon les sources de Kantigui, a contribué à former des cadres évoluant aujourd’hui dans toutes les sphères de l’administration publique ou privée de notre pays.

Les organisateurs ont voulu donc faire de ce jubilé d’or, un grand événement qui restera gravé dans les mémoires. Ce cinquantenaire est placé sous la présidence du ministre en charge de l’Enseignement de base, Mme Marie Odile Bonkoungou et sous le parrainage du ministre délégué chargé de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Maxime Somé.

Les festivités consisteront en une cérémonie commémorative, à des conférences, à des compétitions culturelles et sportives ainsi qu’à l’organisation d’un bal de clôture dont les recettes serviront à appuyer la réhabilitation des infrastructures de l’école de Ouessa. Il est aussi revenu à Kantigui que cette célébration servira d’occasion pour la mise sur pied de l’amicale des anciens élèves de l’école de Ouessa dont les objectifs principaux seront, entre autres, d’aider au développement de la commune à travers un soutien à la scolarisation dans la zone.

Le spirituel tient une place importante dans cette fête. Kantigui a appris que le lancement des festivités sera précédé de cérémonies d’actions de grâce (messe, doua et prêche) dans les différents lieux de culte de Ouessa. Kantigui souhaite bonne fête à tous les anciens de l’école de Ouessa et espère que leurs différentes initiatives au cours de ce cinquantenaire feront tache d’huile.


Bruit de sabots à la fédération des sports équestres

Kantigui a vu circuler ces derniers temps une lettre dénonçant un dysfonctionnement à la Fédération des sports équestres. Selon cette lettre signée par six membres de cette même structure sportive, l’espoir suscité par la Fédération burkinabè des sports équestres à son élection et installation le 28 décembre 2008 a été déçu. Selon les mécontents, "de sa validation à nos jours, aucune réunion du bureau n’a été tenue malgré quelques activités importantes menées".

Et d’ajouter que : "le président fédéral de son seul fait s’est arrogé le droit de manager à sa façon toutes les activités hippiques sans en référer aux membres du bureau". Le groupe de mécontents, face à ce qu’il a appelé une "gestion solitaire et cavalière" de la fédération exprime son ras-le-bol et appelle à un changement rapide pour que de tels agissements ne constituent pas un frein au rayonnement du sport national au plan international.


Ziniaré célèbre l’élimination des violences faites aux femmes

Kantigui a reçu un courrier l’informant de la célébration en différé le 15 décembre 2009 de la Journée internationale de lutte pour l’élimination des violences à l’égard des femmes à Ziniaré dans la province de l’Oubritenga. Le thème retenu cette année est : "Les conséquences des violences faites aux femmes, sur les victimes, sur la famille et sur la communauté".

La cérémonie officielle est placée sous le patronage de l’épouse du chef de l’Etat, Chantal Compaoré. Kantigui salue l’engagement de la Première dame pour l’épanouissement et le bien-être des femmes, ainsi que toutes les personnes qui œuvrent au quotidien dans ce sens. Il espère surtout que cette commémoration contribuera à un changement de comportement et à un éveil des consciences sur la nécessité de mettre fin aux violences faites sur les femmes.

Celles-ci étant la mère de l’humanité et à la base de toutes les réussites individuelles et sociales, chacun devrait mettre du sien pour le succès de cette fête. Mais au-delà, donner à la femme la place et la considération qu’elle mérite.

Kantigui

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 9 décembre 2009 à 19:59, par Panglos En réponse à : On murmure : 950 000 F CFA pour vivre la CAN en Angola

    D’abord, il n’ ya pas de visa entre le BF et le Congo Brazaville, si tant est que Pointe Noire fait partie de ce pays.
    De deux, il serait bon de situer les gens sur les couts de logements à Cabinda (je précise que l’Angola est le pays le plus cher d’Afrique).
    De trois, pourquoi ne pas se preparer pour le cas où les etalons franchiraient les 8è de finale ?
    Bref c’est tout sauf de la préparation

  • Le 11 décembre 2009 à 12:33, par Emmanuel Somé En réponse à : On murmure : 950 000 F CFA pour vivre la CAN en Angola

    Jubilé d’or de Ouessa

    Apparemment, l’information la moins bien parvenue à Kantigui semble etre celle sur l’actuelle découpage adminstratif du Burkina Faso qui veut que Ouessa soit un Département de la Province du Ioba et non plus, comme de par le passé, une entité administrative relevant de la Province de la Sissili. Ou bien Kantigui serait-il resté si nostalgique des temps anciens ? Les choses vont vite au Faso là. Vous journalistes devriez pouvoir vous "update" quotidiennement.
    Amicalement

  • Le 17 décembre 2009 à 14:42, par asalfo En réponse à : On murmure : 950 000 F CFA pour vivre la CAN en Angola

    franchement ça fais des fois honte quoi ce pays là. les organisateurs nous font savoir deja à travers leur reservation que notre pays n’ira pas plus loin qu’au premier tour . retour prévus pour le 22 janvier apres notre elimination quoi ! autant ne meme pas se deplaçer . franchement faut qu’on aprenne a se respecter, c’est pas bien c est pas du tout bien ! ailleur on affecte des transport gratuis au supporter a défaut de ça ayons au moins un sens d’espoir et de courage... c’est abuser !!!!!
    bonne chance au étalon on vous aime !!!! merde

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