Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Kantigui a constaté depuis un certain temps que le ministère en charge de la Fonction publique diffuse des communiqués sommant des admis aux concours directs doublement inscrits dans des écoles professionnelles à rejoindre au plus tôt, leur établissement premier. Les principaux concernés sont des élèves-fonctionnaires déjà en stage à l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (ENAM), l’Ecole nationale des régies financières (ENAREF),l’Institutdes sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC), l’Ecole nationale de la santé publique (ENSP)... dont les résultats des concours d’entrée ont été proclamés en premier lieu. Ils n’ont pas hésité à rejoindre par la suite l’Ecole nationale des douanes (END).
La plupart a abandonné leur cycle C1 (BEPC + 2 ans de formation), B1 (Baccalauréat + 2 ans de formation), A3 (Baccalauréat + 3 ans de formation) pour celui de D1 (CEP + 2 ans de formation) soit l’équivalent de préposé des douanes.
“Ces attitudes donnent une lecture limpide des mobiles réels des nouveaux aspirants à notre administration publique”, note un observateur.
C’est face à ces choix “incompréhensibles et inexplicables” de la part des élèves-fonctionnaires en cours de formation que le ministère en charge de la Fonction publique leur a adressé individuellement des correspondances pour rappeler l’illégalité d’un tel acte tout en les invitant à retourner à leur formation antérieure. Kantigui s’est entendu expliquer que cette sommation s’inscrit dans l’esprit de l’article 16 du Decret n° 2008-52 portant modalités d’organisation des examens professionnels et concours directs : “Tout candidat qui renonce à son admission après épuisement du délai d’appel de la liste d’attente, sera astreint au remboursement des frais et dépenses engagés à sa formation le cas échéant et son admission à tout autre concours de la fonction publique, sera annulée.
En outre, il se verra interdit de participation à tout autre concours directs pendant une période de trois (3) ans à compter de son admission au concours concerné” qui vise un souci d’équité et une possibilité de réussite à la majorité des postulants aux emplois publics de l’Etat. Kantigui se rappelle que l’option de diffuser les résultats sur le net a déjà contribué à réduire les marchandages entre les admis à plusieurs concours et ceux sur la liste d’attente. Maintenant l’heure est à la culture de l’égalité des chances et à la gestion efficiente des opportuintés d’accès aux emplois publics. Cette bataille risque d’être ardue si tous les Burkinabè ne prennent pas conscience de la nécessité d’assainir l’Administration. Car Kantigui a ouï dire que les “admis hirondelles” frapperaient à toutes les portes pour faire surseoir ce rappel à l’ordre du ministère de la Fonction publique
Une veuve de Tintoulou (Kokologho) appelle au secours
Les complaintes d’une veuve de Tintoulou dans la commune rurale de Kokologho sont parvenues à Kantigui. Celle-ci a confié s’être remariée, après le décès de son mari, à un veuf qui ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales. La fondation de ce deuxième foyer va empirer sa situation de misère. C’est avec les larmes aux yeux que la pauvre femme d’un âge un peu avancé a expliqué à Kantigui qu’elle ne dispose plus de case au village à Tintoulou pour se loger. Son abri se serait écroulé pendant la saison pluvieuse. Cette situation l’aurait réduite elle et trois enfants dans un état d’indigence, sans nourriture ni logement. Pour prouver sa bonne foi, la veuve remariée a même invité Kantigui dans son village à Tintoulou pour constater son calvaire. Emu par ce pathétique récit, Kantigui appelle à toute bonne volonté et au premier rang, aux habitants de Tintoulou à trouver un logis et une pitance à cette pauvre dame qui ne sait à quel saint se vouer.
Des honneurs à un "Kolokolo"
Il est parvenu à Kantigui que Ben Idriss Zoungrana, grand photographe devant l’Eternel et les hommes, sera à l’honneur au FESPACO. En effet, le ministère de la Culture, du Tourisme et de la Communication (MCTC), sous la houlette du ministre Filippe Savadogo va rendre un vibrant hommage à ce photographe infatigable encore appelé "Kolokolo". Cette fois-ci, celui qui "passe le temps" à valoriser ou à mettre les gens en relief à travers ses photos sera à la Une. Kantigui se demande alors qui va immortaliser cet événement étant donné que le Kolokolo sera occupé à autre chose. On attend de voir… En tous les cas, bravo en MCTC d’y avoir pensé !
Foire de l’Indépendance à Fada N’Gourma : le président de la commission entre le marteau et l’enclume
L’événement majeur qui a marqué la fête de l’indépendance à Fada N’Gourma a été la foire de l’indépendance qui a mobilisé toute la région de l’Est. Il est parvenu à Kantigui que l’idée de l’organisation de cette foire est venue d’un promoteur d’événementiel pour accompagner et soutenir le gouvernement dans sa politique de délocalisation de la commémoration du 11-Décembre dans les provinces. Belle initiative, mais l’adage qui dit qu’après la pluie, c’est le beau temps n’est pas du tout une réalité dans la structure promotrice.
Car le promoteur serait actuellement débordé par des convocations des fournisseurs dans des brigades de gendarmerie et autres commissaires-priseurs.
Kantigui espère qu’une issue heureuse sera trouvée à ces “tracasseries”
Gendarmerie de Pabré : Et la lumière fût !
Kantigui qui était allé fêter la Saint-Valentin du côté de Pabré le 14 février 2009, a été agréablement surpris de voir de la lumière à la gendarmerie de cette localité. La surprise était d’autant plus grande que Kantigui, qui connaît bien la région, sait que depuis l’installation de ce poste de gendarmerie en 2006, le problème du branchement d’électricité se posait avec acuité. Renseignement pris, Kantigui a appris que ce changement notable chez les pandors de Pabré est l’œuvre de Ablassé Ouédraogo. Cet homme avait pris le problème à bras le corps. Il en avait fait sa propre préoccupation.
Grâce à sa détermination et son engagement, il a pu franchir le parcours du combattant, à la satisfaction générale des populations de Pabré. La direction générale du matériel de l’Etat, Chef d’Etat-major de la gendarmerie, ministre de la Défense, SONABEL, sont des endroits où il s’est rendu à maintes reprises pour que le poste de gendarmerie de Pabré soit enfin électrifié. Outre ces démarches, cet ancien ministre des Affaires étrangères, très connu à travers “la diplomatie du développement” à dû mettre la main à la poche. De certaines indiscrétions, Kantigui a appris qu’il a dépensé plus de 400 mille francs CFA. Voila qui en dit long sur la conviction de cet homme quant au développement de son pays. Kantigui salue ce geste de Ablassé Ouédraogo
Une semaine nationale de la femme en vue
Il est parvenu à Kantigui que la Journée internationale de la femme, le 8 mars 2009, sera célébrée à Dori, province du Séno, dans la région du Sahel. Le thème national retenu est : “Investir dans les femmes et les filles pour un développement humain durable : priorités et stratégies régionales”. Le thème international de cette année est : “Partage dans les conditions d’égalité, des responsabilités entre les femmes et les hommes, en particulier des soins dispensés dans le contexte du VIH/Sida”. En prélude à cette célébration, une grande marche lancera la Semaine nationale de la femme, le lundi 2 mars 2009 à 9 heures à Ouagadougou. De la place de la Nation au rond-point des Nations unies, les acteurs et actrices de la promotion de la femme vont marcher pour demander plus d’investissements en faveur des femmes et des filles pour un développement humain durable. Kantigui souhaite, d’ores et déjà, une bonne fête à toutes les femmes du Burkina Faso.
L’étude prospective sur la défense nationale en marche
Il est revenu à Kantigui que la commission interministérielle chargée de mener l’étude prospective sur la défense nationale, sera officiellement installée le jeudi 26 février 2009 à 10 heures au CBC, sous la présidence du Premier ministre, Tertius Zongo.Inscrite dans la dynamique de l’étude prospective nationale “Burkina 2025”, l’étude prospective sur la défense nationale permettra de dégager les tendances majeures de ce secteur spécifique, en définissant les stratégies cohérentes et réalistes pour améliorer son ancrage institutionnel et ses performances.
Kantigui
Sidwaya
Vos commentaires
1. Le 25 février 2009 à 01:20 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
c’est normal que les gens rejoignent la douane car c’est labas seulement que la corruption est tolérée par la communauté. Quand un infirmier deal un comprimé c’est un scandale, quand un administrateur deal un sac de céreales destiné aux ’bayiri’ c’est un scandale mais le douanier il a tous les droit. Avec le niveau CEPE ou BEPC à la fonction publique, il es mieux logé que les Professurs tutililaire d’université employé par la meme fonction publique et là tous les voisins du douanier trouve que c’est normal. Quoi de plus normal que les gens déserte les autres corps au profit de la douane.
Le 25 février 2009 à 17:14, par B.L En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Mr, vous qui avez réagit ce 25 février à 01h20.
Vous avez absolument tord de vouloir soutenir cette sordide idée. Tout simlement parce que en si peu de tps, nous tous, Burkinabé que nous sommes, souhaitons au mieux l’équité de chance de tt citoyen. Il est inconcevable d’admettre que malgré ce que chacun de ns recherchons, que ns trouvons des gens comme vous qui êtes là juste pour intimider les efforts de notre peuple. Notre peuple a besoin de changement et il faut notre contribution à tous. Alors, cher Mr, ouliez vos rencoeurs et allez dans le sens du développement. Hier était hier et aujourd’hui nous allons faire notre possible pr construire demain. Aucun peuple n’a été parfait dans son histoire, alors que soit punis les auteurs de tels ignobles actes. Sans vous offensez, changer un jour votre vision qui est négative en ce jour.
2. Le 25 février 2009 à 01:42 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Bonnes gens, qu’ y a- t- il d’" inexplicable et d’ incomprehensible" que des bacheliers "s’ abaissent" a passer le concours de la douane ? Et moi qui croyais savoir que rechercher son bonheur faisait partie des droits fondamentaux de l’ homme, chose reprise par la Declaration Universelle des Droits de l’ Homme. Pourquoi j’ aurais honte si je sais qu’ en devenant douanier j’ y serai plus heureux ? Quels mobiles a priori y a t- il a aller dans un corps ou les privileges sont enormes si cela rencontre ma definition du bonheur ? (Tout le monde le sait, tous les douaniers ne sont pas pourris mais tous au moins a un certain moment sont plus a envier que le commun des fonctionnaires burkinabe sans qu’ il ne soit besoin de voler. Rien que les fonds communs font la difference. Pourquoi voyez- vous necessairement des "mobiles" ? Est- il illegal de passer un concours ou on est surqualifie ?Est-ce le seul corps ou cela arrive ? Ces jeunes ont compris au moins en regardant les profs d’ universite qui enseignent a la hauteur de leur diplome. Moi j’ enseigne depuis 16 ans a l’ UO. J’aime mon travail mais j’avoue qu’ il y a des jours ou j’ai le moral a terre quand je suis limite dans mes deplacements pour aller sur mon lieu de travail juste pour une question de carburant. Comment commettre la betise de vouloir travailler a la hauteur de son diplome dans ce facheux Faso. Ou alors que l’ on interdise a ceux qui sont deja surqualifies de passer certains concours. Sinon, vous n’allez pas tabler sur le fait que des gens qui ont le bac et qui passent des concours d’ un bas niveau sont d’ ores et deja vos coupables. Recherchez vos coupables ailleurs puisque vous aimez tant les coupables. Les enfants ont pose des problemes clairs par rapport a leurs droits en s’ appuyant sur les textes de la fonction publique. Toute autre manier de voir n’est que proces d’ intention. Alors que comme le disait Alain, "nos jugements nous jugent". Examinez les faits, rien que les faits. Les proces ad hominem n’ ont de place dans notre espace legal.
LOP.
Le 27 février 2009 à 10:48, par L.B En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Mr LOP, je crois que vous ne savez pa ce qe vous racontez. Cela m’étonnerai que vous ayez vous-même plus du niveau DEUG à plus forte raison être enseignant à l’UO. Vous voulez nous faire ressortir les péripéties du corps enseignant au Faso dt ns tous le regrettons mais évitez au max de vous identifier à eux. Aucun encadreur ne s permettra de raconter des ignares comme vs le faites. C’est vrai il faut chercher son bonheur, mais soyons responsables. J’imagine quel encadrement vous pouvez faire rien que ds votre propre famille !!!!!!!!!!!!
Le 1er mars 2009 à 20:00 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Je n’ai meme pas le cepe si ca peut faire ton bonheur mais sur le plan strictement du droit, qu’ y a t- il d’ anormal a ce qu’ un individu recherche la ou il aura le maximum de bonheur. Il va falloir que des individus au cerveau constipe comme le tien, commencent a se remetre en cause avec leur fausse conception de la moralite. Les textes peremettent a ces enfants de reclamer ce qui leur revient. Si maintenant une fois dans le corps , ils veulent piller le tresor public, que des mechanismes soient en place pour leur faire rendre gorge. Mais si on les laisse s’ enrichir illicitement, c’est que cette situation profite a plus d’ un. Crois- tu que tous ces douaniers corrompus qui construisent villa sur villa et qui achetent voiture sur voiture le fassent a l’ insu de la hierarchie ? A l’ insu de l’ etat qui dispose de sa police des renseignements ? Si l’etat voulait que tous ceux qui vivent au dessus de leurs moyens soient envoyes a la MACO, cela ne prendrait meme pas 2 mois. Ce n’est pas difficle qd meme. Meme si tu es ministre, on peut suivre a peu pres combien tu gagnes dans l’ annee. Supposons que tu aies un salaire regulier de 800.000 en tant que ministre. Arrondissons avec tous les avantages possibles a 2 millions par mois. Mais si chaque annee tu montes un bunker de 50 a 100 millions comme c’ est le cas et qu’ on ne fait rien, que voulez- vous ? On veut seulement nous distraire avec cette affaire de jeunes qui voudraient s’en retourner a leur cycle c de la douane apres admission a un cycle A. ce faisant on refuse de reconnaitre la realite que ce n’est pas les categories qui nourrissent leur homme dans ce Facheux Faso. Tu peux meme mourir de faim si tu ne comptes que sur ta categorie au Faos. On se connait, bong sang. Ce qui n’est pas interdit par la loi est permis. Ne vous trompez pas de combat. Jusqu’a ce que ce soit interdit, foutez la paix a ces jeunes qui ont trop compris le systeme. Je sais que toi meme qui parles ainsi, tu as une haine viscerale contre tout douanier et cette haine te consumes d’autant plus que tu ne peux y acceder. Combien de gens ne haissent pas la douane mais poussent leurs parents a y entrer ? Moi je suis tres fier la ou je suis en tant qu’enseignant a l’ Uo, quelque chose que des retardes comme toi ne peut m’enlever mais je refuse les conditions materielles miserables a nous faites, juste pour amener la queue a diriger la tete. Ca va changer car cette maniere d’ asservir les cerveaux de la nation pour le bonheur des medicocres n’est pas soutenable.
3. Le 25 février 2009 à 10:09, par Hermann En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Oui, cette triste réalité dépeint fidèlement la nature de notre société d’aujourd’hui. Ces "déserteurs" savent bien qu’à quelquechose près, le salaire est correlé au niveau du diplôme. Mais ne voyons nous pas des agents de douanes avec seulement le cep construire des duplex et conduire des voitures de luxes ? C’ést à cela aussi que ces derniers aspirent, d’où le pourquoi de leur choix incompréhensible. Pour quoi ne pas combattre le mal par la racine, en assainissant la douane ?
4. Le 25 février 2009 à 12:06 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
La rationnalité veut qu’on opère des choix qui nous procurent plus de satisfaction.N’importe qui ira à la douane.je pense que le problème doit être posé autrement. Etant donné que les concours ne sont pas sortis au meme moment (admission définitive par ci et admissibilité par là) est ce que ces candidats avaient le choix ? Il faut des textes claires et cohérents.
Le 1er mars 2009 à 20:05 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
L’ etat n’a qu’ apublier les concours en meme temps. la, si quelqu’ un deserte une formation pour aller a une autre maintenant, il sera responsable de sa propre turpitude. Sinon pour l’ instant, tout le monde a droit a faire les choix qui sont susceptibles d’assurer son bonheur. J’ai l’ impression que certains intervenants ne font que deverser leur bile sur le fait que ces jeunes veulent aller a la douane. Arretez d’ etre si bilieux.
5. Le 25 février 2009 à 14:35, par Soul En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Pitié pour les professeurs de l’UO le temple du savoir. Ils sont devenus le symbole de la pauvreté au Faso, eux qui ont sacrifié leur jeunesse entrain de bosser pendant que leurs copains s’amusaient.
Le 28 février 2009 à 18:08, par MAITRISAR CHOMEUR En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
ce leur probleme tt facon on ne peu plu rien pr eux dayeur il passe leur tps a mater les etudiants au campus.en dehor des magistrats ils sont les mieux payes au pays que veulent til enfin ?NS NE SOMME PA A COMPARE AU AUTRES PAYS
6. Le 25 février 2009 à 14:38, par FIDELE LECTEUR En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
VOTRE MANIERE DE POSER LE PROBLEME DES CONCOURS EST VRAIMENT A REVOIR, NON SEULEMENT LES TERMES CYCLES UTILISES NE SONT PAS JUSTES MAIS AUSSI LA REFERENCE FAITE A LA LOI EN LA MATIERE TRES SUPERFICIELLE. LA LOI BURKINABE INTERDIT A TOUS PERSONNE DEJA ADMIS A UN CONCOURS OU EN COURS DE FORMATION DE PASSER D’AUTRES CONCOURS DE LA FONCTION PUBLIQUE. EN AUCUN CAS LA LOI N’INTERDIT DE PASSER PLUSIEURS CONCOURS, ET SI UN CANDIDAT PASSE PLUSIEURS CONCOURS DANS LA MEME PERIODE ET QUE LES RESULTATS NE SORTENT PAS ENSEMBLE, IL VA S’EN DIRE QU’IL NE POURRA FAIRE SON DEFINITIF EN CONNAISSANCE DE TOUS SES RESULTATS. LA OU EST DONC LE PROBLEME ? AU LIEU DE VOIR LES CHOSES EN FACE, LE JOURNALISTE SE PRECIPITE POUR SOUTENIR CE QUE LE MINISTERE DIT.LE JOURNAL EST POUR TOUS LES BURKINABE, REVOYER VOS MANIERS DE POSER LES PROBLEMES. QUE QUELQUIN LAISSE UN POSTE D’AGENT DE MAITRISE SECTTION PROGRAMME(JOURNALISTE)POUR UN POSTE D’AGENT DE LIASON A SIDWAYA, MOI JE NE VOIS AUCUN PROBLEME A CELA.CEST SON CHOIX. SOYEZ PRO.
Le 25 février 2009 à 17:00 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Bonjour,
Je voulais tout simplement dire merci à Kantigui pour l’appel lancé pour la veuve de Tintoulou, et en tant que ressortissant de la grande province du boulkiemdé exprimer ma grande déception face à cela parce que des situation de genre de doit pas aller dans des appels à secours. Nos chefs de village peuvent dans des cas de ce genre mobiliser les habitants pour la confection de briques qui à demander de l’aide aux enfants de la localité pour l’acquisition des tôles. Vraiment j’ai mal quand on pose des cas aussi facile à résoudre dans la place public quand on sait que de nos jours avec internet on est lu par tout.
Je dirai tout simplement à la dame de se référer à son chef.
7. Le 25 février 2009 à 16:51 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
MOI QUI CROYAIT QUE LE NIVEAU OU LE DIPLOME SUFFIT POUR ETABLIR L’EGALITE DEVANT L’EMPLOI. IL Y A CONCOURS ET CONCOURS.AU LIEU DE S’ACHARNER SUR LES ENFANTS VOYEZ COMMENT CORRIGER CETTE INJUSTICE ENTRE LES MEMES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE ET CE PROBLEME DE NOMADISME SERA REGLEE.
8. Le 25 février 2009 à 20:49, par Ben Goum En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Malheureusement, notre pays regorge de bien de pauvres d’esprit qui n’ont encore rien compris d’une loi. Elle a un caractère général et s’impose à tous.Il ne s’agit pas là d’une question de passer plusieurs concours. Cela est permis parce que l’idéal est d’offrir plusieurs chance d’accès à l’emploi. Mais ce qui est abominable, c’est la malice et l’égoïsme dont font montre certains candidats admis à plusieurs concours au point d’escroquer ou d’estomper les chances de leurs camarades sur la liste d’attente. Peu importe que les résultats ne soient pas publiés en même temps puisqu’ils n’ont pas tous lieu en même temps. Pourquoi,les candidats admis dès les premiers résultats accourent-ils pour s’inscrire dans les écoles professionnelles concernées ? Pourquoi n’attendent-ils pas la publication de tous les résultats avant de se décider étant donné qu’ils ont pris part à plusieurs concours ? C’est tout simplement parce qu’ils savent qu’il y a un délai de validation aussi bien de leurs admissions que de la liste d’attente. Est-ce de la bonne moralité de compromettre les chances d’appel de la liste d’attente en se bloquant une place et puis se frayer plus tard un chemin vers d’autres cieux que l’on juge radieux ? C’est donc malhonnête de feindre ignorer les autres aspects du texte relatif aux examens professionnels et aux concours directs.La fonction publique reste le plus gros employeur du pays et partant constitue l’espoir de tous ses chômeurs. Chacun doit faire preuve de patriotisme et de solidarité en permettant aux autres d’y accéder. Et la boulimie du bien-être ne doit pas faire perdre cela de vue. C’est aberrant ce qui advient dans notre cher Faso. Des cadres préfèrent descendre à la place de subalterne pour avoir le bonheur alors que le salaire est proportionnel au diplôme. Cette attitude invite à ausculter profondément cette société qui perd de jour en jour ses repères et sa population, sa dignité.Suis tout à fait d’accord avec tous ceux qui croient qu’il faut sévir contre l’enrichissement illicite des douaniers afin d’éviter ces types d’attitudes de la part des nouveaux postulants. Laurent Bado a émis l’idée d’une loi consacrée aux délits d’apparence, celle ci n’a ému personne. Il s’agit maintenant pour tout Burkinabé de faire en sorte que ce pays ne parte à la dérive. Car il est aberrant que les professeurs d’université qui sont les plus diplômés du pays soient vus comme des loques humaines. Autant il faut lutter pour que chacun soit rétribué à la hauteur de son apport dans le développement du pays, autant il faut couper le mal à la racine en empêchant les louveteaux d’accéder à un domaine qu’il faut impérativement assainir, la douane. Pour ce qui est de la sommation du ministère, elle ne s’inscrit que le respect strict de la loi dont l’application reste une autre faiblesse de notre pays. Autres temps, autres mœurs. Le ministère de la Fonction publique a changé de main et rien ne semble allé comme avant. Tel est le message que Kantigui a voulu transmettre à tous ceux qui ont pendant longtemps violé en toute impunité les textes relatifs aux emplois publics. La loi est dure mais c’est la loi.Tout journaliste aguerri soucieux de prévenir tout péril moral dans l’administration de son pays doit le savoir et n’a rien à attendre surtout pas de leçon de professionnalisme d’un plumitif déjà aux dents bien longues.
Le 28 février 2009 à 00:25 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Vous avez conduit une argumentation assez solide que je respecte mais je pense qu’ il revient aussi a l’ etat qui administre les concours presqu’ au meme moment, de les publier au meme moment afin que les meritants choissent reellement ou ils veulent partir. la faute ne reside pas seulement en les candidats. Mais je reconnais que c’est cruel de gater la chance des autres parce qu’ on cherche mieux. Je ne suios pas contre le principe de chercher ce que l’ on pense etre mieux. On m’ opposera la specificite de cdertains concours ou il y a des enquestes de moralite qui finissent par retenir des candidats terchniquement integres avec des corpos de plus en plus pourris. Ce n’est pas une ironie. Mais l’ etat doit prendre toutes ses dispositions a temps. C’est faisable.
9. Le 26 février 2009 à 00:25, par MIDAK En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Je crois qu’on fait un faux procès à ces pauvres candidats "multiheureux". Ce n’est pas maintenant que des candidats admis à un concours désertent après avoir commencé les cours pour un autre. C’est leur droit. Pourquoi n’a t on pas interdit à un même candidat de passer plusieurs concours ? Pourquoi ne pas publier tous les résultats au même moment ? Il ne faut pas se voiler la face ; aujourd’hui les gens cherchent leur gagne pain, chômage oblige. Ils ne trient plus les concours, peu importe leur niveau d’études.On veut multiplier les chances de gagner du travail en passant plusieurs concours. Le Ministère de la fonction publique trouve t il cela normal ? Qu’on laisse donc ces candidats qui on bataillé dur bénéficier du fruit de leur labeur. n’ont ils pas le droit de choisir le métier qu’ils espèrent assurer leur épanouissement ? Alors, arrêter de trouver des poux sur un crâne rasé. Publiez tous les résultats des concours au même moment et vous verrez...
Le 1er mars 2009 à 20:03 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Et puis en plus, letat est heureux de vendre ses timbres, n’est-ce pas ? Imaginez ce que l’ etat engrage sur le compte des timbres pour multiconcours. C’est apres admission maintenant que des journaleux vont avoir leur trouvail malheureux de multiheureux ?
Le 1er mars 2009 à 22:03 En réponse à : Concours directs de la Fonction publique : des candidats “multiheureux” rappelés à l’ordre
Oui, c’est comme si l’etat interdisait la prostitution mais levait des impots sur les prostituees. Il ft eviter les inconsistances et les contradictions.