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CEP 2023 : La secrétaire générale de la Boucle du Mouhoun au contact des candidats pour les exhorter

Publié le mardi 6 juin 2023 à 22h20min

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CEP 2023 : La secrétaire générale de la Boucle du Mouhoun au contact des candidats pour les exhorter

Comme dans les autres localités du Burkina Faso, la région de la Boucle du Mouhoun a vu débuter, ce mardi 6 juin 2023, l’administration des épreuves du Certificat d’études primaires (CEP). La Secrétaire générale de la région Adjara Kientega/Ouédraogo, accompagnée des autorités éducatives régionales, a procédé au lancement de l’examen à Dédougou, dans la matinée.

22 863 candidats prennent part, au nom de la région de la Boucle du Mouhoun, aux examens du Certificat d’études primaires (CEP) et au concours d’entrée en classe de sixième de la session 2023. Tôt le matin du mardi 6 juin 2023, les 12 858 filles et 10 005 garçons ont investi les salles de composition, au nombre de 478 réparties entre 44 jurys et 112 centres d’examen sur toute l’étendue du territoire régional, pour attendre l’ouverture de la première enveloppe par l’autorité.

L’école primaire Betsaleele au secteur n°6 de Dédougou a été le lieu choisi par les responsables administratifs et éducatifs locaux pour lancer l’administration des épreuves au niveau régional. Cette école abrite le centre délocalisé de composition qui accueille les élèves de la circonscription d’éducation de base de Sanaba, commune rurale située dans la province des Banwa, chef-lieu Solenzo. Et la secrétaire générale de la région de la Boucle du Mouhoun, Adjara Kientega/Ouédraogo, de justifier ce choix par le désir d’encouragement des acteurs pour la résilience.

Ici, des candidats s’impatientent de découvrir les épreuves

« Je suis là au nom de monsieur le gouverneur pour encourager, surtout, les élèves de Sanaba. Je voudrais en tout cas féliciter ces enseignants-là qui n’ont ménagé aucun effort pour pouvoir regrouper ces élèves dans un centre à l’école ici. Ils ont mis tous les moyens pour que ces élèves ne perdent pas l’année scolaire », a-t-elle déclaré. A l’en croire, il n’est pas évident pour des élèves de quitter leur localité d’origine et être dans une autre localité sans leurs parents et pouvoir suivre convenablement les cours. [ Cliquez ici pour lire l’intégralité ]

Yacouba SAMA
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