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Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

Publié le jeudi 16 mars 2023 à 22h20min

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Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

(Ouagadougou, 16 mars 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a reçu en audience, cet après-midi, le ministre malien de la Défense, le Colonel Sadio CAMARA, porteur d’un message de son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, Chef de l’Etat du Mali, à son frère et ami, son Excellence, le Capitaine Ibrahim TRAORE.

Le ministre malien a échangé avec le Chef de l’Etat sur des questions d’intérêt commun aux deux Nations. « Nous avons passé en revue toutes les questions qui intéressent nos deux Etats. La préoccupation actuelle est la situation sécuritaire. Sur ce plan, nous avons reçu des instructions de nos Chefs d’Etat, de mutualiser nos efforts », a déclaré le Colonel CAMARA.

Le ministre malien de la défense a aussi expliqué que la situation que connaît le Burkina Faso depuis quelques mois, est une situation qu’a vécu le Mali dans le passé, et « aujourd’hui, le Mali est prêt à partager le peu d’expérience, le peu de moyens que nous avons acquis récemment ».

Pour Sadio CAMARA « nous savons que la situation actuelle est difficile pour nos Etats, quand nous choisissons la voie de l’indépendance, il y a le prix à payer mais nous sommes confiants et nous savons qu’ensemble, nous allons réussir », a-t-il souligné avant de préciser que la délégation va en retour transmettre le message du Président Ibrahim TRAORE à son frère, le Président Assimi GOÏTA.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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Vos commentaires

  • Le 17 mars 2023 à 08:04, par LE FORGERON En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Bonjour,

    Bravo à vous !!! Car la victoire est proche.
    L’impérialisme craint que nous ayons notre indépendance mais nous sommes prêts à payer le prix pour l’avoir et pour toujours.
    Pour cela nous vous demandons de verrouiller toutes les lois qui serviront de garder notre indépendance que vous avez acquise par cette lutte.
    Un Président politicien et impérialiste ne doit plus venir remettre cet acquis en cause.

    La Patrie ou la Mort nous Vaincrons !!!!!!!!!!!!!

  • Le 17 mars 2023 à 08:31, par Yovis En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    La fédération ou la confédération est en marche non ? Alors, les affaires du Mali sont les affaires du Burkina et vis-versa ! Plus besoin de "partager des expériences" !

  • Le 17 mars 2023 à 09:04, par porto En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    De quelle experience parle t-on ?Notre armée na pas besoin des conseils de poltrons terrer a Bamako et qui ont transformer leur échec en combat anti-français. Jai une question qui me taraude l’esprit. Qui peut me dire. Combien la Russie nous a donné depuis notre rapprochement avec elle ?

    • Le 17 mars 2023 à 20:07, par goulgoulé En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

      @Porto, pour la question qui vous taraude l’esprit, sur combien nous avons eu de la russie, est l’indicateur d’une forme de mendicité installée dans les esprits que Sankara Combattait. Quand l’on vit au dépend des aides ou dons , il est difficile dans l’esprit de concevoir que les choses peuvent être autres. Le Burkina est riche et compte se faire respecter en achetant ce dont il a besoin (en or, en diamant ou en autre chose), et avec qui il veut. Pendant ce temps, continuez à croire et à espérer d’un sauveur qui viendra vous distribuer des billets de banques pour mieux vous asservir. Le Mali que vous critiquez n’a pas eu besoin de financement pour s’équiper face aux terrorisme, et mieux, ils utilisent ce équipement pour nous aider dans notre lutte. Allez plutôt demander aux politiciens qu’est qu’ils ont fait des financements réçus pour l’armée, ? Il y a n’en qui ont le luxe de construire un châlet, pendant que nos FDS étaient mal équipés sur le terrain...

  • Le 17 mars 2023 à 09:44, par Gomkoudougou En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    C’est ça l’Afrique qui gagne. Même vision, même combat contre l’impérialisme et leurs suppôts terroristes pour le bien de nos peuples.
    N’en déplaise au béni oui-oui de la France-Afrique. Nous y arriverons parce que il y’a un temps pour toute chose, pour une véritable souveraineté de nos états, nos pays sont engagés définitivement sur la voie de l’indépendance totale, et sommes prêts à en payer le prix pour la patrie. Ensemble, nous allons réussir et toute l’Afrique suivra cette voie que nous sommes en train de tracer.

  • Le 17 mars 2023 à 11:13, par kwiliga En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    "la situation que connaît le Burkina Faso depuis quelques mois, est une situation qu’a vécu le Mali dans le passé"
    Ha ouais, dans le passé...?
    Parce qu’aujourd’hui, au Mali, tout va bien ?
    Mais c’est qu’ils essaieraient de nous le faire croire !
    La seule leçon que le Mali peut donner au Faso, le seul exemple qu’il incite à suivre, c’est comment instaurer une dictature militaire durable et urbaine, en abandonnant les populations de 70% du territoire au djihadisme... et éventuellement, pour pérenniser et se protéger d’éventuels contre-coup d’état ou de tout soulèvement populaire, comment embaucher des mercenaires étrangers, qui, grassement payés commettront des massacres dans la population.
    Je suis impatient de lire le rapport sur le massacre de Moura.
    Junte militaire, musèlement de toute voie discordante, incitation à l’auto-censure, incarcération de journalistes et d’influenceurs, populisme forcené, manipulation des foules haineuses et revanchardes,... tous les éléments sont réunis pour l’instauration de la dictature.
    Et pendant ce temps, des gens croient encore à la construction d’un néo-panafricanisme, en traitant les autres de naïfs...

  • Le 17 mars 2023 à 12:36, par Jacques En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Quelle experience ces militaires maliens ont a partager avec le Burkina ? Les jihadistes paradent aujourdhui dans les faubourgs de Bamako. Les autres parties du pays, les Iyad Ag Gali et autres Amadou Kouffa et leurs hommes regnent en maitres absolus.

    Alors quelle experience cette armee incapable du Mali peut partager avec Burkina ? Vraiment !!!

  • Le 17 mars 2023 à 13:44, par IBRA LOP En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    BONNE INITIATIVE LE BURKINA ET LE MALI ONT BIEN BESOIN DE PARTAGER LEUR EXPERIENCE PARCE QU’ILS ONT BESOIN DE PAIX POUR LES POPULATIONS.SVP PRIONS TOUS POUR QUE LA PAIX REVIENNE DANS CES ETATS.

  • Le 17 mars 2023 à 14:34, par Lobilo En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Dans tous les cas, la situation est mieux gérée que sous barkhane au Mali.
    Ici aussi, on sent un engagement net de nos FDS et VDP, et cette collaboration soutenue entre ces deux etats face au terrorisme va soulager nos populations de cette guerre par procuration que nous fait le néocolonialisme pour leurs seuls interets geostragiques et economiques sous le couvert de bandits armés dit terroristes et parfois qualifié par eux pompeusement de groupes armés non étatique.
    Il est temps que les valets locaux comprennent que la danse du singe qu’eux et leur menthor nous servaient ne nous fait plus marrer. Ceux qui pensent toujours que les africains sont des grands enfants et oeuvrent à toujours exploiter nos peuples et nos ressources seront depassés par cette revolution de conscience de la jeunesse africaine qui sans l’ombre d’un quelconque complexe veut avoir les mains libres pour choisir qui il veut pour partenaire dans le processus de developpement durable du continent.

  • Le 17 mars 2023 à 14:56, par Juste En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    L’arrivée de politiciens pourris dépend de nous même ; j’ai toujours dit que nos pays sont pauvres et nous n’avons pas besoin de grosse tête pour les gérer. Nous avons juste besoin d’hommes pragmatiques, patriotes et sincères. Qu’est ce que la démocratie à l’occidentale nous a apporté depuis quelques temps ? Corruption, malgouvernance, favoritisme et que sais je encore. Nous ne voulons plus de système démocratique pourri ; la situation actuelle nous convient comme ça.

  • Le 17 mars 2023 à 15:17, par boss En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Vive la coopération sud-sud ! Vive la vrai liberté de décider et tracer son propre chemin ; d’emprunter et d’essayer autre chose. Et surtout de ne plus gouverner son pays par injonction des occidentaux qui en ont l’habitude. Essayer votre propre chemin comme le font la plupart de ceux qui ont réussi ; vous corrigerez ce qui ne marchera pas. Tout le temps passé dans leurs mains n’a rien produit de bon, ça c’est connu ! Alors la logique est d’essayer autre chose.

  • Le 17 mars 2023 à 17:46, par SPOK O1 En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Et à part cela, tout va bien et on parade qui avec ses gants de commando, qui avec ses beaux treillis !!!! Pauvres enfants !!!!

    "DÉSASTRE Les enfants du Burkina Faso, du Mali et du Niger sont victimes des conflits armés qui déchirent la région

    20 Minutes avec AFP
    Publié le 17/03/23 à 16h15 — Mis à jour le 17/03/23 à 16h15
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    Dix millions d’enfants vivant au Burkina Faso, au Mali et au Niger ont besoin de toute urgence d’aide humanitaire, deux fois plus qu’en 2020, face à l’intensification des conflits, a indiqué l’Unicef vendredi. Le Burkina Faso, théâtre de deux coups d’Etat militaires en 2022, est pris depuis 2015 dans une spirale de violences djihadistes apparues au Mali et au Niger quelques années auparavant et qui s’est étendue au-delà de leurs frontières. Près de quatre millions d’enfants sont menacés dans les pays voisins du Burkina Faso, du Mali et du Niger, estime l’Unicef dans un rapport.

    « Les conflits armés touchent de plus en plus d’enfants, lesquels sont victimes de l’intensification des affrontements militaires ou pris pour cibles par des groupes armés non étatiques », observe la directrice régionale de l’Unicef pour l’Afrique de l’Ouest et centrale, Marie-Pierre Poirier, dans un communiqué. « L’année 2022 a été particulièrement violente pour les enfants du Sahel central. L’ensemble des parties au conflit doivent de toute urgence cesser les attaques perpétrées contre ces derniers, mais également contre leurs établissements scolaires, leurs centres de santé et leurs foyers », poursuit-elle.

    Le nombre d’enfants tués multiplié par trois au Burkina
    Selon l’agence onusienne, les groupes armés opposés au système éducatif géré par l’Etat brûlent et pillent les établissements scolaires, mais aussi menacent, enlèvent ou exécutent les enseignants. Plus de 8.300 écoles ont fermé leurs portes dans les trois pays (Burkina Faso, Mali et Niger), soit parce qu’elles ont été prises pour cible, soit parce que les parents ont été déplacés ou ont peur d’y envoyer leurs enfants.

    Au Burkina Faso, des données recueillies par les Nations unies ont montré que le nombre d’enfants tués au cours des neuf premiers mois de 2022 avait triplé par rapport à la même période en 2021. La plupart de ces enfants ont succombé à des blessures par balles durant des attaques menées contre leur village, ou ont été victimes d’engins explosifs improvisés ou des munitions.

    Hausse de l’insécurité alimentaire
    Cette crise a lieu dans l’une des régions de la planète les plus touchées par les changements climatiques, avec une hausse des températures et des précipitations plus irrégulières à l’origine d’inondations. Parallèlement, certains groupes armés recourent à des tactiques consistant à bloquer les villes et les villages et à saboter les réseaux d’approvisionnement en eau.

    Autant d’éléments qui alimentent l’insécurité alimentaire. D’après l’Unicef, plus de 20.000 personnes vivant dans la zone frontalière entre le Burkina Faso, le Mali et le Niger atteindront d’ici au mois de juin un niveau d’insécurité alimentaire qualifié de « catastrophique ».

    Mais les interventions humanitaires sont sous-financées. En 2022, l’Unicef n’a reçu qu’un tiers des 391 millions de dollars demandés pour financer ses activités dans la région. Pour 2023, elle demande 473,8 millions de dollars."

  • Le 18 mars 2023 à 07:53, par kwiliga En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Bonjour SPOK O1,
    Merci de publier de vrais infos sourcées et de prioriser les faits plutôt que de complaisantes superstitions.
    Constatant les choix diplomatico-politique de nos deux pays, doit-on penser que l’aide va augmenter dans les mois et les années à venir ?
    Bon, mais les "nous autres", bien planqués à Ouaga, avec nos vins et nos bières, on est prêts à accepter la mort des enfants, pour accéder à la souveraineté,... enfin, la mort des enfants des autres.

  • Le 18 mars 2023 à 08:38, par LE FORGERON En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Bonjour,

    Quand les hommes pensent qu’ils sont intouchables ou qu’ils sont plus malins que les autres c’est cette situation qui les arrivera.
    En mooré on dit que : "Si une perdrix est plus grande que les autres perdrix c’est qu’elle est montée sur un caillou, sinon les perdrix ont toutes même taille." Cela veut dire que les grands du pays qui roulent avec les V8 et autres voitures de LUXE ne sont toujours pas honnêtes.
    S’ils sont fonctionnaires alors ils sont les probables voleurs d’argent des projets et autres. S’ils sont des opérateurs économiques alors ils sont les probables personnes qui ne paient pas leurs impôts et taxes donc les véritables corrupteurs des douaniers et des agents des impôts. Ils ne paient pas correctement leurs salariés etc..
    Un fonctionnaire de l’Etat qui effectue bien son travail sans corruption ne peut pas construire un immeuble R+2 par exemple.
    Un opérateur économique qui paye tous ses impôts et taxes et paye bien ses employés ne peut pas être immensément riche c’est à dire avoir plus de 10 milliards dans son compte. Si un opérateur économique a plus de 10 milliards dans son compte c’est qu’il a mal fait quelque chose dans tout le processus.
    C’est pourquoi pour lutter efficacement contre la corruption il faut tout informatiser, plus de contact physique entre corrupteur et corrompu. Car on saura qui a fait quoi et quand dans le système.

    La Patrie ou la Mort, Nous vaincrons !!!!!!!!!!!!!

  • Le 18 mars 2023 à 10:48, par Bajazet En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    C’est de l’humour Malien ?
    Le Mali ne contrôle plus que 1/3 de son territoire, et il se permet de donner des leçons ? Et certains burkinabè écoutent ça comme des enfants sages ?
    Au fait, sachez que Bamako ne sera plus accessible en avion, car les compagnies d’assurances refusent d’assurer les avions. Pourquoi ? Parce que Wagner est connu pour lancer des missiles contre les avions civils...

  • Le 19 mars 2023 à 14:09, par Sacksida En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Comme beaucoup d’autres Burkinabe, c’est le Peuple Burkinabe et le Burkina Faso qui ont des Experiences Politique, de Gouvernance Vertueuse a partager avec le Mali et d’Autres pays. Quand le President Rwandais Kagame dit qu’il s’est Inspire de la Revolution Democratique et Populaire d’Aout avec Thomas Sankara pour contextualiser la conduite des affaires de son Peuple Rwandais, cela veut tout dire en Aval et en Amont. Donc il faudrait bien sur quitter les questions hypotetiques pour les realites concretes, et experimenter des choses concretement..Thomas Sankara et sa Revolution Democratique et Populaire d’Aout sont une source Intarissable et il faudrait s’organiser pour une meilleure mise en Oeuvre operationnels et actuellise. Salut

  • Le 19 mars 2023 à 16:46, par Salvatore En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Avec l’aide tangible de la Côte d’Ivoire et les promesses maliennes, espérons que les voisins du sud éviteront l’évolution de la zone des trois frontières !

  • Le 20 mars 2023 à 13:02, par pfff En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    L’expérience du Mali... Ca tombe bien car en matière de sécurité, c’est officiel, les pilotes d’Air France ne veulent plus desservir Bamako car c’est trop dangereux, ils appellent à faire valoir leur droit de retrait. Et en parallèle certains pensent que dans les 3 ans le Mali va ressembler à l’Afghanistan.

    Du coup l’expérience du Mali, c’est « comment faire pour qu’une situation pas brillante se transforme fissa en catastrophe ».

    Cela étant, ça peut être une expérience intéressante à partager : « Vous êtes au bord du gouffre ? Bamako vous montre comment faire un grand bon en avant ».
    .
    Quitte à suivre l’exemple d’un voisin, mieux vaut laisser tomber le Mali tout au fond de son puits et regarder du côté de ceux qui s’en sortent part le haut, en Côte d’Ivoire par exemple.

  • Le 22 mars 2023 à 00:49, par Mali-dé En réponse à : Situation sécuritaire : Le Mali disposé à partager son expérience avec le Burkina Faso

    Effectivement, les militaires des salons du palais de Koulouba ont beaucoup d’expérience à faire partager avec IB et ses compagnons
    par exemple, comment porter des masques, des gangs, des armes de guerres pour ensuite parader en ville dans des vehicules de guerre puis retourner au palais sous les climatiseur en attendant l’arrivée des méchouïs.
    Comment faire des communiqués pour insulter la France, interdire les medias et les ONG
    Egalement, comment payer des mercenaires criminels pour aller tirer sur des civils qui circulent à moto ou de simples berger en les qualifiant de terroriste.
    Comment assurer une totale impunité aux mercenaires sur tout l’étendu du territoire. Bref, comment instaurer une dictature sous les applaudissement des badauds. Mais aussi comment remplir les prisons avec toutes les personnes qui ont une opinion differente de la junte de Bamako. En effet, les porteurs de gang du Faso ont d’innombrables leçons à apprendre auprès des colonels sous climatiseur de Bamako. Au moins, les militaires burkinabè saurons comment régler le climatiseur à la bonne température.
    Bon courage !!

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