Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Comme un couperet, la décision tant attendue du Conseil constitutionnel dans l’affaire du procès de l’ancien gouvernement de Blaise Compaoré, est tombée le 12 juin dernier. Les sages ont jugé les articles 21 et 33 de la loi organique portant composition et fonctionnement de la Haute Cour de justice, contraires à la Constitution. Décision curieuse selon Me Bénéwendé Stanislas Sankara qui rappelle qu’en 1995 et en 2015, la même juridiction supérieure n’avait rien trouvé d’anticonstitutionnel dans la loi organique. Mais l’avocat se réjouit de ce que la loi n’a pas été remise en cause, et de ce que les réaménagements à faire permettront enfin d’aller sereinement dans le fond du dossier. Mais n’est-ce pas là une victoire d’étape pour l’accusation ? Non pas vraiment, la poire a été coupée en deux, et rira bien qui rira le dernier, nous a répondu le député-avocat qui nous a reçu dans son cabinet dans l’après-midi du 13 juin 2017. Interview.
Lefaso.net : Comment avez-vous accueilli la décision du Conseil constitutionnel ?
Me Bénéwendé Stanislas Sankara : En tant qu’auxiliaire de justice, avocat, toute décision de justice avec loyauté, on ne peut que prendre acte et aviser comme on le dit couramment. Mais ma première surprise c’est que je m’attendais beaucoup plus à une décision d’irrecevabilité de la part du Conseil constitutionnel parce que le même conseil en sa même composition s’est déjà prononcé sur la loi organique le 1er juin 2015.
J’ai été surpris que les mêmes juges, les Sages, aient le 1er juin 2015 déclaré que la loi organique portant composition, organisation et fonctionnement de la Haute Cour de Justice est conforme à tout point de vue à la constitution, et les mêmes magistrats reviennent deux ans après pour dire que malheureusement la même loi contient deux articles qui sont contraires à la constitution. C’est comme si on disait une chose, deux ans après on dit autre chose.
Venant de ce qu’on appelle des Sages, on observe. Pour moi, c’est quand même une curiosité juridique. Il y a ce qu’on appelle l’autorité de la chose jugée comme ils le disent dans leur décision. De ce point de vue, le Conseil constitutionnel devrait purement et simplement dire aux avocats des accusés que leur demande, même si elle est fondée, est irrecevable. Voilà ce que j’attendais.
Deuxièmement, le Conseil constitutionnel a sélectionné dans la loi deux articles et laissé la loi organique en l’état. Je peux dire que le Conseil a coupé la poire en deux. Je trouve donc motif de satisfaction. Si aujourd’hui ce que les accusés à travers leurs avocats dénoncent comme étant inconstitutionnel, à savoir la question du double degré de juridiction (les articles 22 et 33), il est loisible à l’exécutif et même à l’Assemblée nationale par une proposition de loi, de corriger ces prétendues incohérences pour que la loi qui n’a pas été remise en cause retrouve sa cohérence avec le pacte relatif aux droits civils et politiques avec tous les traités que nous avons souscrits et qui exigent un procès équitable.
Il s’agit donc de mettre la loi portant composition, organisation et fonctionnement de la Haute Cour de Justice en phase avec la constitution et reprendre la procédure là où la haute cour l’a laissée. Je suis donc soulagé de savoir premièrement que la loi organique n’est pas attaquée, deuxièmement que la mise en accusation qui a été faite par le CNT (Conseil national de la transition) reste intacte, donc les poursuites n’ont pas été touchées. Si cette loi est corrigée, les poursuites vont reprendre de la belle manière.
Justement de façon concrète, quelle est la suite qui sera donnée à cette faire…
Je pense que la voie idéale et royale, c’est de retourner à l’Assemblée nationale. Parce qu’au regard des dispositions constitutionnelles, il faut une majorité absolue pour légiférer en matière de loi organique. C’est vrai, c’est un débat politique entre députés, mais de mon point de vue, il y a toujours une majorité pour légiférer. Je pense d’ailleurs que même les députés de l’opposition ne vont pas aller contre le fait de pouvoir juger des crimes abominables comme ce qu’on a vu les 30 et 31 octobre 2014 avec des morts et des blessés.
Je pense qu’on ne peut pas laisser impunis de tels crimes. Maintenant la question est de savoir s’il faut le faire à travers la Haute Cour de Justice, ou à travers une autre juridiction. En attendant, depuis 1995 sous le régime de Blaise Compaoré, la Haute Cour de Justice en tant que juridiction existe dans l’ordonnancement juridique. Ce n’est pas nouveau. On ne peut pas reprocher à nous autres juges de cette juridiction, une connivence quelconque parce que le législateur de 1995 a voulu qu’il y ait cette juridiction. On peut, peut-être au regard de notre histoire, de l’avènement de la 5e république, discuter de l’opportunité ou de l’inopportunité d’une telle juridiction.
C’est cela aussi la question de discuter de la rétroactivité ou la non rétroactivité de la loi. Il faut être clair, l’article 5 de la constitution parle de la loi pénale. Il ne s’agit pas des lois de forme. Une infraction a été commise, il faut trouver les auteurs, il faut situer les responsabilités et tirer les conséquences sur la base du droit pénal qui existe. La loi pénale existe, tout ce que nous sommes en train de faire, c’est la forme. Comment arriver à situer les responsabilités pour l’histoire, pour notre peuple, pour que ces victimes soient dans leurs droits et que le peuple soit fier de sa justice. C’est ce combat que nous menons.
Ce blocage n’était-il pas prévisible ? Dès l’ouverture du procès, les débats ont porté sur les articles 21 et 33 de la loi organique qui manifestement n’étaient pas en phase avec la constitution et certains textes ratifiés par le Burkina Faso…
Ce n’était pas aussi prévisible que cela. N’oubliez pas qu’il y a le dilatoire que jouent mes confrères (Ndlr. avocats). Autrement dit, ils auraient pu, In liminelitis saisir le Conseil constitutionnel. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ? C’est cela la vraie question. Une juridiction fut-elle la Haute Cour de Justice n’a pas pour rôle de critiquer la loi elle-même. Le juge a pour rôle de juger, dire le droit en fonction de la loi qui existe.
Dans notre cas, la loi elle-même dit que vous avez la possibilité de saisir le Conseil constitutionnel pour lui dénoncer l’inconstitutionnalité. Si les avocats étaient tellement convaincus que la loi est anticonstitutionnelle, ils n’avaient même pas besoin d’attendre deux semaines de débat avant de se raviser pour aller vers le Conseil constitutionnel. Vous aurez remarqué que c’est parce que la Haute Cour de justice est restée sereine que les avocats ont compris.
Mais au début les avocats de la défense ont souhaité que ce soit la Haute Cour de Justice qui saisisse le Conseil constitutionnel…
Justement, c’est pourquoi la Haute Cour de Justice a rendu un arrêt pour dire à ces accusés que leur demande est sans objet. Vous nous demandez en tant que Haute Cour de Justice de saisir le conseil constitutionnel, c’est sans objet parce que le 1er juin 2015, le même conseil constitutionnel a dit que la loi organique est conforme à la constitution ; donc nous connaissons la position à priori du Conseil constitutionnel.
Mais si vous avez intérêt, c’est à vous d’y aller. Ils ont fait leur cinéma pour dire qu’ils se déportaient. Nous avons donné une semaine aux accusés de se trouver d’autres avocats. A la reprise, les mêmes avocats sont revenus, sans excuses, mais avec des recours qu’ils ont eux-mêmes déposés devant le Conseil constitutionnel. C’est là que la Haute Cour de Justice a pris acte et a pris la décision de surseoir et attendre la décision du Conseil constitutionnel. C’est tellement clair comme de l’eau de roche.
Depuis 2014 que les événements ont eu lieu, et maintenant avec ces différents blocages on imagine que le jugement du dossier ne sera pas pour demain…
Si, ça sera pour demain. Je pense que le peuple a toujours été dépositaire de sa justice et la justice est rendue au nom du peuple burkinabè. Nous n’allons pas nous laisser trimballer dans des dédalles de mauvaise foi. Je plaide pour l’Etat de droit, pour la règle de droit, pour les droits de la défense parce que moi-même je suis avocat.
La présomption d’innocence est un principe sacro-saint. Nous sommes tous d’accord qu’il faut un procès équitable, ce n’est pas pour rien que le Burkina en tant que pays démocratique a ratifié tous ces instruments au plan international. En revanche, il faut éviter ce que j’appelle la mauvaise foi ; ce qui est têtu, évident, qu’on veuille trouver des arguties pour se dérober de sa responsabilité.
Pour des gens qui ont géré un Etat, ils devraient faire face à leurs propres responsabilités. C’est en ce moment qu’il faut faire la part des choses. Un avocat défendra toujours son client, bec et ongle parce que c’est son métier ; mais le juge tout comme les institutions joueront leurs partitions. A savoir, faire en sorte que ce procès puisse se mener dans la sérénité, mais au plus vite parce que comme vous le dites, ça fait déjà trois ans que le peuple burkinabè attend. Quand ça commence à être de trop, ça peut amener d’autres types d’interprétations que nous ne souhaitons pas.
Mais je pense que les Burkinabè suivent depuis octobre 2014 de façon sereine ce qui se fait au niveau de la justice. Les victimes ne baissent pas les bras, notre peuple est solidaire parce que ce sang qui a été versé c’est pour que la justice ne soit pas chimérique au Burkina Faso. C’est une des valeurs, aspirations cardinales de notre peuple dans sa lutte et sa quête de tous les jours pour une démocratie véritable. Si cela est bien compris de tous, personne n’a intérêt à vouloir jouer la duplicité avec la loi.
Ça interpelle aussi les autorités, les décideurs, les journalistes, tous les démocrates de ce pays, mais aussi ceux qui aujourd’hui sont poursuivis et qui ont toutes les garanties pour se défendre. En revanche, on leur demande aussi d’assumer leur responsabilité devant l’histoire. Autrement dit, le faux fuyant ne fera ni honneur à ce gouvernement, et à ses camarades.
On peut quand même estimer que c’est une victoire d’étape pour l’accusation non ? Elle a eu gain de cause devant le Conseil constitutionnel dont la décision lui est favorable…
A ce stade, je pense plutôt que c’est une victoire pour la démocratie burkinabè et pour la justice. Cette victoire ne profite même pas aux accusés. Je ne vois pas pourquoi la défense va s’enorgueillir parce que la vraie victoire c’est au bout du jugement. C’est si à la fin, il y a un verdict qui est rendu et qui est en phase avec la justice burkinabè, les aspirations de notre peuple, et qui contribue à réconcilier tout le monde ; parce que la décision aura mis à nu toute la vérité et rien que la vérité. C’est cela l’attente des Burkinabè.
Dans le mot procès, tout tourne autour de la procédure, le cheminement que vous suivez pour aboutir à la vérité. Quand on parle de victoire d’étape, il faut simplement se féliciter de l’attitude de la Haute Cour de Justice qui a entendu raison. Dès lors qu’eux-mêmes (Ndlr. Les avocats de la défense) ont fait preuve de sagesse et ont accepté de saisir le Conseil constitutionnel, la Haute Cour de Justice a décidé de sursoir au jugement. Le problème c’était eux ; s’ils l’avaient fait dès le début, on n’aurait pas tiré en longueur. Pour moi, c’est une autosatisfaction des avocats, il faut simplement espérer que la procédure puisse aller jusqu’au bout. Comme on le dit, rira bien qui rira le dernier.
La balle est-elle désormais dans le camp de la Haute Cour de Justice ou de l’Assemblée nationale ?
La balle est aujourd’hui en réalité dans le camp du gouvernement qui a la possibilité de saisir tout de suite et maintenant l’Assemblée nationale pour lui demander de revoir la loi organique, notamment les dispositions querellées. Mais je précise que quand le gouvernement envoie un projet de loi à l’Assemblée, les députés ont la possibilité de faire des amendements. C’est-à-dire qu’on peut améliorer la loi pour éviter de se retrouver encore devant la Haute Cour de Justice et que les gens disent que la loi est bancale, ou pas conforme à tel traité. Pour moi c’est une très bonne chose de revenir à l’Assemblée avec la loi, ce que le CNT (Conseil national de la transition) n’a pas pu faire, que l’Assemblée nationale corrige et rattrape les imperfections.
Malgré tout, sera-t-on à l’abri de blocages. A l’Assemblée comme à la Haute Cour de Justice, il y a des députés issus de l’opposition qui ne verront certainement pas les choses comme leurs collègues de la majorité…
Même les avocats ne sont pas neutres, on se connait. Non ce ne sont pas des blocages en tant que tel. Les exceptions de procédure qui sont soulevées par les avocats sont des moyens de défense. De toutes les façons, on multiplie ce que vous appelez blocages quand, au fond on n’a pas d’arguments. On se dit qu’il faut jouer le tout pour le tout pour qu’on n’ouvre même pas le dossier.
C’est pour cela qu’ils développent ce qu’on appelle en droit, les moyens dilatoires pour faire perdre du temps. Vous avez vu qu’au début, ils ont même récusé un membre de la Haute Cour de Justice ! C’était la première tentative. Quand ils ont échoué, ils sont revenus avec d’autres arguments pour dire que la loi n’est pas conforme à la constitution.
C’est un ensemble d’obstacles qu’ils posent pour ‘’caler’’ la procédure afin qu’on n’ouvre pas le vrai problème pour leur demander, « pourquoi des gens sont morts, qu’est-ce que vous en savez ? » C’est cela le débat de fond. Ces blocages n’ont pour effet que de retarder l’échéance du procès. Ils ne pourront jamais faire obstacle à la manifestation dela vérité. Ce n’est pas possible.
Voilà pourquoi je demande au peuple burkinabè d’avoir confiance en la justice, aux institutions, et surtout à cette volonté politique de faire dire le droit. De toutes les façons nous avons un peuple mature, qui depuis 2014 suit, comprend, analyse. De ce point de vue, on ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer.
Interview réalisée par Tiga Cheick Sawadogo
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 14 juin 2017 à 14:38, par Bonus vivendus En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Comment faire pour donner un caracter scientifique au droit de telle sorte qu’il ne soit pas manipulable ? On a l’impression que nous vivons un droit bourgeois ou ceux qui ont les moyens arrivent a influencer facilement les decisions.
Le 14 juin 2017 à 16:42, par VISION En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Je vous comprends, seulement, il fallait que le journaliste lui demande, comment Lui, Maitre SANKARA, "opposant" au gouvernement COMPAORE, et dans la rue "parmi" les insurgés en 2014, peut- il être au perchoir en 2017 comme juge, pour juger le Meme Gouvernement COMPAORE ? Et penser que ce sera un procès équitable ? On voit même à travers les mots qu’il utilise, qu’il connait déjà le verdict QUI LUI BRÛLE DÉJÀ LES LÈVRES !!! C’EST QUAND MÊME FOU CE PAYS ! NON ?
Le 15 juin 2017 à 08:07, par LE JUSTE En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Parce que Juliette Bonkoungou du CDP y est aussi mon frère . . .
Et les decisions de la haute cour sont prises de façon consensuelle.
Le 15 juin 2017 à 17:59, par Ali Diallo En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Un juge doit juger en function du DROIT justement et non de maniere consensuelle. D’autant plus que le consensus ici c’est 5 deputes MPP et allies face a un depute CDP (qui est Juliette Bonkougou).
Le 15 juin 2017 à 16:29, par Jubal En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Mon ami Vision, vraiment je te félicite. Moi-même j’avais l’impression de lire un avocat de l’Etat dans cette affaire. Djaaa c’est un juge même qui parle comme ça et qui condamne déjà les ministres avant leur jugement ! Incroyable ! Quel merveilleux "pays des hommes intègres" ! Walaye moi j’ai honte pour la suite de ce procès !
Le 15 juin 2017 à 16:52, par Yamwaya Pierre En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
le droit est scientifique. Ce sont les personnes chargées de dire le droit qui sont fausses. La même structure qui dit oui aujourd’hui et qui dit non demain. On devrait nettoyer, balayer le conseil constitutionnel. C’est tout simplement scandaleux et ne méritent pas l’appellation "Sages". Ce sont des médiocres, des cancres. Pitié !
Le 16 juin 2017 à 12:32, par FIRE En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Le droit n’est pas une science exacte, c’est dommage. Mêmes les juristes se contredisent dans leurs démarches de conformité entre les articles ; les traités. Ils doivent vraiment bosser à donner une image à leur discipline. Chez nous, les mêmes causes dans les mêmes conditions produisent les mêmes effets. Soit c’est A soit c’est B.
2. Le 14 juin 2017 à 14:47, par Amara En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
La haine lui obscurcit la vue. Il manque de retenue et en tant que juge de la Haute Cour de Justice, il sera récusé
3. Le 14 juin 2017 à 15:03, par KPATA En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
ES CE UN PROBLEME DE SUPPRIMER CETE HAUTE COUR DE JUSTICE COMME VIENT DE LE FAIRE LE PERE DE LA DEMOCRATIE( la france ) ?ET D’AILLEUR CELA EMPECHERA D’autre humiliation des soi_disant hommes de droit qui viennent de prouver a l’opinion nationale et internationale leur carence et manque de serieux dans le traitement et verification de nos lois.
4. Le 14 juin 2017 à 15:24, par a tocsda siida En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
quant on a un tube digestif qui est large, un estomac qui est insatiable et qu’on est avocat ou un défenseur d’une cause. On ne peut que exposé à des situations pareilles.
5. Le 14 juin 2017 à 15:40, par SIDNABA En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Dans tout ça la moi je n’ai confiance qu’en la seule justice de Dieu. Ces gens dans le box des accusés aujourd’hui, anciens ministres de l’homme très fort dirigeant d’un pays très faible à tout point de vue et qui ont donné l’ordre assassin de tuer de compatriotes à mains nues manifestant contre la violation de la constitution de leur pays et qui se cachent à travers les règles de droit et des juges, payerons au centuple leur forfaiture car Dieu regarde et suit tout le monde. A bon entendeur, salut !
Le 14 juin 2017 à 16:37, par CHACUN SON TOUR En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Chez Dieu, il n y a pas celui là qui ne paiera pas pour ses fautes (vols, mensonges, escroqueries, tricheries,tueries,violences etc)
Que chacun regarde la paille qui est dans ses yeux
6. Le 14 juin 2017 à 16:03, par Toutdemême En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Difficile de ne pas réagir face des arguties populistes, tendant à faire de prévenus des coupables avant même le procès. Les victimes de l’insurrection (les morts, les blessés, ceux qui ont été vandalisés) méritent justice. Il y a trois catégories d’acteurs qui doivent comparaître : ceux qui étaient au pouvoir, ceux qui ont organisé l’insurrection et ceux qui ont organisé la violence pendant l’insurrection.
Le 14 juin 2017 à 16:49, par A quand la réconciliation En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
De ces trois catégories dont vous parlez, à la prochaine élection présidentielle, le président sortir de l’un de ces catégories.
En clair, il faut attendre au moins 20 ans sinon plus, pour un renouveau et la plupart auront quitté ce monde. Vous même aurez vieilli et la jeune génération montante va vous accuser tous.
Le 15 juin 2017 à 07:57, par ???? En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Tout à fait daccord avec vous. Ceux qui ont organisé l’inssurection doivent répondre aussi. C’est trop facile.
Le 15 juin 2017 à 11:26, par Tino En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Tu peux demander à ce qu’on s’intéresse à ceux qui ont organisé les violences pendant l’insurrection mais de là à parler des organisateurs de l’insurrection. Bon ! Depuis quand on peut organiser une insurrection populaire ? Quelles sont les conditions qui doivent être réunies pour qu’il y ait insurrection populaire ?
Le 16 juin 2017 à 15:28, par Tenga En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Le président du groupe parlementaire du mpp a avoué qu’il ont organisé votre insurrection coup d’état.
Le 22 juin 2017 à 23:10, par bangrenoma En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Justice pour nos morts c’est tout. Vous êtes vivants c’est pourquoi vous divaguer sur la toile chaque fois qu’il y a un procès. Regarder bien le film intitule ’’la nuit des juges’’. Que vous êtes borgnes. On va les juger ne serait que pour respecter leur mémoire !
7. Le 14 juin 2017 à 16:07, par éé En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Quand je vois cet homme, je suis écoeuré ! toi tu n’est plus crédible : tu defends qui au juste !
Mange mil, , ,
8. Le 14 juin 2017 à 17:02, par substance grise En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Triste pour le Burkina
Maitre Sankara ,tu as decu le peuple burkinabe depuis des annees.
Tu t’es servi du nom de Thomas Sankara pour t’enrichir c’est tout.
On doit vous vous balayer tous si nous voulons que ce pays ait de l’avenir.
Mlaheureusement vous avez aussi pourri la jeunesse et une bonne partie de la population vous tous hommes politiquesreligieux coutumueux.....
only God can save this country
9. Le 14 juin 2017 à 17:20, par KOGLWEOGO NATIONAL En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
SIDNABA(poste 5) on dirait que nous avons la même vision des choses. Seul DIEU peut calmer le cœur meurtri des Burkinabè. Voilà pourquoi je demande aux Burkinabè de toujours continuer à prier. Plus tu veux que ton pays soit heureux, plus tu souffre. Plus tu honnête, plus tu souffre. Plus tu veux de la transparence dans ton service, plus tu souffre. Plus tu travaille dignement dans ton service, plus tu as des problèmes financiers. DIEU est le seul juge et ce dont je sais personne ne quittera cette Terre sans justice. Chacun paiera avant de partir. Soyez- en sûr.
10. Le 14 juin 2017 à 17:41, par Ad wé En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Heureuka
le juge a déjà condamné les coupables.
Economisez maintenant les sous destinés à la farce.
Mais tôt ou tard ceux qui nous ont fait sortir et financé les violences pour retrouver leur table du D seront également jugés.
En attendant on observera leur comportement lorsque les mêmes causes qui reviennent de plus belles produiront les mêmes effets chez le peuple.
11. Le 14 juin 2017 à 17:41, par lagitateur En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Ce interview est très riche et très instructif. Au lieu de bien la lire pour comprendre, certains se livrent sans retenue à des propos haineux et tendancieux. Je ne vois pas en quoi Maître tient des propos" tendant à faire de prévenus des coupables avant même le procès". Il ne parle que de justice. Toutdemême dit que "les victimes de l’insurrection (les morts, les blessés, ceux qui ont été vandalisés) méritent justice". C’est de cette justice là que parle Maître SANKARA. Le faso.net n’est pas allé vers lui par hasard. C’est bien dit Maître. Bravo.
Le 15 juin 2017 à 08:29, par Sako En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Il a dit : RIRA BIEN QUI RIRA LE DERNIER.
Il connaît déjà le verdict.
Le 15 juin 2017 à 13:11, par tièkadiye En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Relisez bien l’interview et vous comprendrez qu’il a déjà condamné les accusés. C’est inacceptable. Il oublie que là il a qualité de juge et non d’avocat. Il fait trop d’amalgames à dessein. ’’Mes confrères...’’, non, c’est pas sérieux. Enfin, sauf si tout ça n’est pas une orchestration entre coquins.
12. Le 14 juin 2017 à 22:12, par Zawbie En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
A mon humble avis sans être un as du droit, je sens de le rancune tenace dans les propos de maître ou devrais-je dire de monsieur le vice président de notre auguste assemblée nationale ou de monsieur le JUGE à la haute cour de "JUSTICE". Quand il dit sans coup férir que"rira bien ou rira le dernier",je suis abasourdis. Si le verdict est déjà fixé, pourquoi cette comédie finalement ?
Le 15 juin 2017 à 09:04, par sideyasida En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Je suis d’accord avec vous cette citation que maître a utilisé porte confusion et beaucoup interrogation. La rancune est très claire dans propos.
Le 15 juin 2017 à 12:57, par zz En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
c’est toujours comme cela, c’est trop facile pour vous de jouer aux victimes. ya un adage ki di que si tirer sur les autres c’est bon, que la foudre s’abatte aussi sur le chasseur. Nous on s’en fout du verdict on parle de situer la vérité et chacun commence à pleurnicher. On n’est homme ou on ne l’est pas.ya n’en marre !
13. Le 15 juin 2017 à 00:15, par sasa En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Maitre je vous respecte. Mais pensez vous que c’est legitime que vous en tant que opposant a u gouvernement de Blaise et manifestant pendant l’insurection, vous disais je puissiez etre juge au proces du meme gouvernement ? Certainement non car ya conflit d’interet. De grace siit nous somme dans un etat de droit on respect les exigences allant dans ce sens soit c’est un etat d’exception et chacun fera les frais un jour. Donc oeuvrons pour la justice, la reconciliation et le pardon veritable.
14. Le 15 juin 2017 à 04:04, par Sidbéwendé Zoungrana En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Pourquoi le Webmaster s’oppose catégoriquement à la publication des avis de certains internautes ? Oui qu’il faille limiter autant que possible les écarts de langages qui porteraient atteinte, au titre civique, aux personnes. Mais il n’en demeure pas moins que les avis et idées reconnus vrais doivent être connus des lecteurs, des internautes ? Aussi, nous inviterons ce dernier à ne pas être drastiquement et systématiquement "censurant" lorsque dans les débats et fora sur sa toile, des avis, des réponses et des idées semblent toucher "des personnages et personnalités" qu’il semble clairement cautionner, voir, soutenir car, lorsqu’on parle de débats, d’échanges et de partages, aucun sujet ne doit être tabou ; exception faisant des citations nominatives bien précises de noms qui pourraient vexer. C’est cela aussi la Démocratie. Liberté de critiquer, liberté de proposer ; l’essentiel étant et devant rester d’atteindre nos objectifs qui sont de gagner les batailles de Développement et d’avancement de notre Démocratie. Nous espérons qu’il nous comprendra et se rectifiera dans ses actions futures.
15. Le 15 juin 2017 à 05:45, par abzi En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
On se demande bien si c’est l’avocat des victimes , le procureur ou le membre de haute cour de justice(procureur) qui parle ici.J’aurais mieux compris que Maitre SANKARA intervienne en tant qu’avocat à ce procès., parce qu’il lui est difficile d’être juge impartial( en tant qu’être humain, cela se comprend).....
16. Le 15 juin 2017 à 07:53, par ???? En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
"Je pense d’ailleurs que même les députés de l’opposition ne vont pas aller contre le fait de pouvoir juger des crimes abominables comme ce qu’on a vu les 30 et 31 octobre 2014 avec des morts et des blessés". Vous êtes aussi comptables de ces morts et de ces blessés, vous qui avez poussé les jeunes dans les rues. Ceux qui se vantent d’avoir fait l’insurrection sont les seuls responsables de ces tueries. Encore qu’il faut voir ceux qui sont vraiment morts par balles et ensuite est-ce que ces balles ont été tirées par les forces de défenses et de sécurité. Dans votre élan de haine et de volonté de récupération du pouvoir par la courte échelle vous avez pu être capable de tout.
17. Le 15 juin 2017 à 11:02, par Zangoté En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Il faut absolument qu’on parvienne à paramétrer les décisions de justice sur Excel ! Là il suffit d’introduire les griefs et le logiciel te donne la sanction à appliquer. Et comment ça tout le monde sera sauvé !
18. Le 15 juin 2017 à 11:06, par Le véridique En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Je pense qu’il est même dans l’intérêt des membres du gouvernement TIAO de se faire juger maintenant. Certains anciens ministres qui pourraient être acquittés dans ce procès, sont devenus otages de leurs camarades qui sont convaincus de leur culpabilité. On ne peut pas comprendre que certains, à l’image de TIAO qui ont parcouru des centaines et des centaines de kms pour venir se mettre à la disposition de la justice soient là à regarder des avocats faire de la diversion pour retarder le procès. A quoi aura servi finalement leur courage s’ils ne sont pas jugés ? Comment un membre de cet ancien gouvernement peut-il se blanchir sans jugement ? Soyons sérieux, allons au procès, ceux qui n’ont rien fait seront relaxés et ceux qui ont tué seront condamnés. C’est ça la justice.
Le 15 juin 2017 à 13:16, par Ka En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Le Véridique, je confirme : Parmi ceux qui sont devant la haute cour de justice il y a des innocents qui doivent remercier le Dieu tout puissant pour avoir échappé le lynchage du peuple qu’ ils ont opprimé durant plusieurs années. Ils doivent remercier Dieu que c’est Roch Kaborè, beau de leur mentor qui a fui, et ce même Roch au pouvoir avec laxisme et humanité, les laisse encore dans la prétention d’insulter le peuple. Ils doivent remercier le bon Dieu que tout a été fait au départ de l’introverti pour qu’ils aient une chance, avec une jeunesse qui a dit que rien ne sera plus comme avant. Ils doivent remercier Dieu de ne pas être au moment de la révolution et aux mains des CDR. Ils doivent remercier Dieu, par ce que le peuple Burkinabé pardonne, mais n’oublie pas. ‘’’’Les 30 Octobre 2014 le peuple était à leurs genoux en les demandant d’avoir le courage politique d’accepter une alternance politique, pour que la nouvelle génération puisse s’autoriser d’autres nouvelles voies susceptibles à faire avancer le pays dans la paix : Les 31 Octobre 2014, ils ont fait tuer quelques-uns de nos enfants pour s’imposer. Normalement ils ne méritent aucun pardon ni par le peuple, ni par la justice. Je leur demande de se prosterner et de remercier le Dieu tout puissant que ça soit leurs amis criminels qui sont au perchoir, avec un statut de gouvernants, pour avoir pris la victoire de la jeunesse et devenir des héros, mais pour combien de temps ? La décision du conseil constitutionnel a mon avis, et ça ne regarde que moi, est un crime contre la vraie justice Burkinabé. Quelques-uns parmi ceux qui sont devant la haute cour de justice ne sont pas des agneaux, ni blanc comme la neige, mais des personnes qui ont ordonné de tirer et de tuer nos enfants. La seule chance qu’ils aient, c’est que nous n’avons pas de justice au pays des hommes intègres : Si c’était au temps de leur mentor Blaise Compaoré, tout ce monde était fusillé un matin avant le lever du jour. Mais avec un régime et une justice Mouta- Mouta de Roch Kaboré, on juge les vrais criminels en fonction de la volonté des politiques. Mais ce que je peux confirmer, c’est que les soulèvements populaires ont toujours pris le dessus des prédateurs au Burkina, et le prochain soulèvement pour l’injustice est proche : Car, lorsqu’un individu ou un groupe d’individus monopolisent le pouvoir étatique au nom de leur égoïsme personnelle en oubliant le peuple, ce pouvoir finira toujours par être éjecté, et ce n’est pas Blaise Compaoré qui me dira le contraire.
19. Le 15 juin 2017 à 11:48, par Show En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
« On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer »
SANS MEME LIRE LE CONTENU, JE TROUVE QUE LA NEGATION EST DOUBLE ;
MERCI
20. Le 15 juin 2017 à 12:00, par Alexio En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Si la Haute cour de justice er incompetante notre survie seait d instaurer un tribunal populaire du peuple pour le peuple. Car nos juristes bouffons ne sont pas dans leur logique d implementer la volonte du peuple qui se veut la restauration des responsabiltes de cet acte barbare du 30-31 Octobre 2014.
Ces apatrides infiltrant la Haute cour de notre justice est une honte pour toute l afrique et en particulier le Burkina- Faso. On ne peut laisser les articles bidons, incommodes contres sur les bon sens naturel du peuple.
Des incapables de la Haute cour de la justice doivent etre remplacer pour cette trahison ourdie pour favoriser ces assassins du droit commun. Tous ceux qui ont donner l ordre de tirer sur une foule a main nue, a commencer par le premier commanditaire Blaise Compaore la source de d asservissement de notre peuple ne peut etre sans vain sans que la justice ne soit dite.
Les plaies ne serons jamais cicatriser tant que les truands et obstructeurs de notre justice trainerons le verdict final.
La loi elle n est pas faite pour les gens d en bas, mais pour tous sans favoritisme arrogant des nigauds de la justice, qui sont ennemis de la democratie, donc du peuple qui leur paye leur pitance quotidienne sans contre-parti digne de ce nom.
Une horreur judiciaire et une insulte vis-avis des familles victimes de l inssurection du 30-31 2014.
21. Le 15 juin 2017 à 12:14, par MOREBALLA En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Ils ont ordonné de tirer sur les manifestants. Assurément des morts violents et rapides. D’autres ont ordonné les manifestants de sortir en prenant le soin de mettre leurs proches en lieu sûre. Tous ces deux assassins, je préfère le premier car au moins il est honnête avec sa décision.
22. Le 15 juin 2017 à 14:12, par Pol En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
C’est parce que ce gouvernement n’a pas donné l’ordre de tirer sur les manifestants que des gens font le malin aujourd’hui.ne prenez pas les gens pour bête on fait tomber un gouvernement qui disposait de tous les moyens pour se maintenir mais ne l’a pas fait et on l’accuse d’avoir fait tirer sur les manifestants avec des kalach, dca, chars,etc.. avec tout cet arsenal il n’y a eu que 7 morts dont 2 à la TNB le 01/01/2014 après sa chute, A bas !!!!
23. Le 15 juin 2017 à 14:26, par sidzabda En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Monsieur le juge faites attention avec ses sorties médiatiques parmi les 9 vous êtes le seul à gesticuler et à rependre la haine sans mesure.Il n’ya qu’au burkina qu’on voit un juge qui condamne les accusés sans procès.N’oublie pas aussi que tu est le premier vice président de l’Assemblée un peu de retenue ça vous grandira.Si j’étais les avocats je vous recuserais purement et simplement
24. Le 15 juin 2017 à 15:19, par lina En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Maitre mangez et taisez vous. Resaisissez vous ! le peuple n est pas dupe. Vous avez trop de rancoeur, demontrez plutot la sagesse.
25. Le 15 juin 2017 à 17:38, par makena SEDEGO En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
cette soi disant insurrection était bien sur un coup d’état déguisé, un règlement de compte politique animé d’une haine tenace. Le peuple mouton n’a rien compris. C’est leur mentor Issoufou du Niger qui a contribué financièrement à cette insurrection qui n’est pas aussi légale, puisque sans autorisation. Si le gouvernement de Blaise avait riposté aux provocations des organisateurs de cette insurrection débile, où l’on chante le courage et le merite, on ne serait pas à ce nombre de morts. Soyons serieux et disons nous la vérité, rien que la vérité. tot ou tard, tout sera dit, tout sera connu. et certains vont ravaler leur sale fierté. quittons dans ça et mettons nous plutot au travail, au lieu de chercher à divertir le peuple mouton que nous sommes. On va aussi juger des gens pour les sévices et les tueries que provoquent leurs kogléweogo et aussi l’insuffisance de moyens aux FDS qui ont amené les terroristes à oter la vie à des Burkinabè.
26. Le 15 juin 2017 à 19:05, par Henriette kouassi En réponse à : Procès du dernier gouvernement Tiao : « On ne pourra ni manipuler la vérité, encore moins la masquer », dixit Maitre Bénéwendé Sankara
Me vous deviez etre mis en examen. Il y a trop de choses contre vous. Problemes de travailleurs deflate,problemes de villas des 1200 logements...
Ne vous en faites pas ,il y aura des plaintes contre vous .A tres bientot.