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ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

Publié le mercredi 23 mai 2012 à 03h15min

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Les riverains de "la place du paysan" à Kaya ont vécu une scène ignoble tôt ce matin du 10 mai 2012. Entre 5 heures et 6 heures du matin, la ville se réveille peu à peu à Kaya. Les matinaux prenaient le petit déjeuner comme c’est le cas pour bon nombre à un coin de la route menant au CHR de la ville quand un taxi, visiblement en provenance du CHR, s’immobilisa non loin de là. Après de longues discussions avec les passagers, le conducteur vida son véhicule de ses occupants et démarra en trombe. Parmi les occupants, se trouvait un corps sans vie que les autres venaient de perdre au CHR et comptaient sur le taxi pour le ramener au village. Vraisemblablement, ils ne se sont pas entendus sur le prix à payer. Voilà que les accompagnants se sont retrouvés avec le corps de leur proche dans les bras et en pleine rue.

Des questions fusent de cette scène hors du commun : le taximan a-t-il le droit de jeter le corps dans la rue ? Ne pouvait-il pas, par respect pour le mort, retourner le corps à la morgue ? Dans un monde où l’argent prime sur tout, où allons-nous ?


La radio rurale de Dori reprend de plus belle

Dans la livraison de Sidwaya n° 7171 du mercredi 16 mai au jeudi 17 mai 2012, en sa page n°5, Kantigui s’était fait l’écho de l’arrêt des émissions de la radio rurale de Dori, causé par la défectuosité de son émetteur. Conséquence, la population était coupée des programmes durant un mois environ. Une bonne nouvelle parvenue à Kantigui fait état de la reprise des émissions, le vendredi 18 mai 2012. Une mission dépêchée de Ouagadougou aurait remis l’émetteur en marche et redonné ? vie à la radio. Selon les sources de Kantigui, la puissance nominale de l’émetteur est passée de 300 W à 500 W, avec la couverture d’un ?rayon estimée à plus de 70 km. Kantigui salue la promptitude et la diligence des responsables qui ont permis aux auditeurs du Sahel d’avoir accès à l’information.


Une accoucheuse auxiliaire déclarée persona non grata à Pelga

Il est parvenu à Kantigui que le village de Pelga, dans la commune de Tougouri, a connu un vendredi chaud, le 18 mai 2012. Selon les sources de Kantigui, une accoucheuse auxiliaire a été déclarée persona non grata dans le CSPS de la commune. Accusée de non-assistance à une parturiente, les autorités régionales et les forces de l’ordre ont dû intervenir pour sauver le CSPS et la présumée coupable de la colère d’une partie de la population. Kantigui a ouï dire que la population en furie contre le comportement de l’accoucheuse en question, menaçait d’incendier le CSPS et de molester l’infortunée. Selon les témoignages, la femme enceinte a accouché sans assistance de l’accoucheuse. Cette dernière aurait interdit l’accès de la salle d’accouchement aux accompagnantes et vaquait à d’autres occupations quand la femme était en travail. Il a été confié à Kantigui qu’alertées par les appels et les cris du bébé, les accompagnantes, à travers les persiennes, ont trouvé le nouveau-né dans le pot destiné aux écoulements vaginaux.

En attendant les conclusions du parquet qui s’est déporté sur les lieux pour établir les circonstances de la mort du bébé, l’agent de santé a été embarqué manu militari à Kaya où elle est mise à la disposition de la justice.
Affaire donc à suivre.


10 millions de FCFA pour l’USY

Kantigui a été informé que l’Union sportive du Yatenga (USY) vient de bénéficier d’un appui consistant de la somme de 10 ?000 000 de FCFA. Selon les informations parvenues à Kantigui, cette somme est destinée à régler des arriérés de salaire de 2 à 3 mois. Le donateur n’est autre qu’un opérateur économique qui évolue dans le domaine du transport qui n’a pas voulu faire du bruit autour de son geste malgré l’insistance de certaines personnalités et des amoureux du ballon rond.
Une chose est sûre, dans la région du Nord, cet homme au grand cœur est bien apprécié dans tous les milieux.
Kantigui encourage ce vaillant Burkinabè et invite les autres à cultiver l’esprit du partage.


Des incompréhensions à Perkoa

Kantigui a ouï dire qu’au niveau de la mine de zinc de Perkoa, dans le Sanguié, des travailleurs seraient mécontents de la direction. En effet, la direction aurait fait venir des formateurs, mais le hic est qu’ils ne parlent pas français, mais plutôt portugais. Il est donc difficile pour les travailleurs d’acquérir des connaissances dans le domaine minier. En outre, selon les sources de Kantigui, le fret constituerait un autre sujet de préoccupation dans le milieu des miniers. Pour certains, le transport des matériaux à partir du port aux sites miniers et vice versa ne respecterait pas le quota imparti aux routiers des différents pays…

Affaire à suivre.


Le Yagha se meurt par manque d’eau

Il est parvenu à Kantigui que la population de la province du Yagha souffre énormément de grave insuffisance d’eau potable. De sources proches de la localité, le petit nombre de forages existants, fournit une faible quantité d’eau et la production quotidienne du tiers est évanescente. Il a été confié à Kantigui que dans la région, les nappes phréatiques d’eau sont disparates, l’ensemble des eaux de surface et des retenus tarissent avant la saison pluvieuse. La situation est en passe de devenir alarmante. Les sources de Kantigui lui font savoir qu’ à Sebba, par exemple, le chef-lieu de la province, le bidon d’eau de 20 litres coûte 50 FCFA. Les habitants se ruent très tôt les matins sur les pompes, en rang serré, dans l’espoir de faire le plein de leurs récipients. Ce serait judicieux et de bonne guerre pour la nationale de l’eau, de jouer les premiers rôles dans la perspective de solutionner le problème.


Ouahigouya, la ville la plus chère du Burkina ?

Kantigui a été ?déboussolé ?de constater que la barrique d’eau se vend à 1 000 FCFA dans certains secteurs de Ouahigouya. Cela s’est passé dans les secteurs où l’eau est rare comme les larmes de crocodile. Outre le coût élevé de la barrique d’eau, le poulet ?coûte ?3 500 FCFA à certains endroits, chez des grilleurs de Ouahigouya. Les prix des boissons sont aussi hors de portée des Ouahigouyalais. Le produit burkinabè de marque Dafani, prisé par les Ouahigouyalais, est ? vendu comme du diamant. N’en parlons pas des sacs de riz et autres produits de première nécessité. Qu’est-ce qui expliquerait cette cherté de la vie ? Selon certaines explications parvenues à Kantigui, les mines d’or seraient à l’origine de la situation, mais aussi le manque de ?contrôle ?des prix qui amène certains commerçants à faire à leur tête. Que c’est dure de vivre à Ouahigouya !


Boulevard Tensoba ou boulevard de la mort

Le boulevard Tensoba aurait été appelé ‘’boulevard de la mort’’ qu’il aurait mieux répondu à son nom comme on le vit au jour le jour. En effet, constat de Kantigui, il ne se passe plus de semaine sans que les populations ne soient témoins, quand elles ne sont tout simplement pas victimes, d’accidents mortels sur cette voie qui passe devant l’hôpital pédiatrique Charles-de-Gaulle et le SIAO. Des témoignages rapportés à Kantigui, il revient que les gros camions chargés de sable, de bois ou même vides et des citernes semblent rivaliser dans le décompte macabre des victimes. Ce qui laisse penser qu’il n’existe aucune réglementation sur les horaires de passage de ces gros engins. Le peu de connaissance et de logique qui reste à Kantigui lui renseigne que pour des voies aussi étroites que celles de Ouagadougou, les camions-remorques et autres citernes ne peuvent partager la route aux mêmes heures que les motocyclistes et autres cyclistes.

Ces camions sont connus pour leur système de freinage défectueux, leur surcharge, leur manque d’éclairage et leur excès de vitesse, rendant la circulation périlleuse. Kantigui estime qu’il est impératif de sécuriser les routes par le respect de la réglementation routière. Les situations passées sont déplorables et il faut œuvrer à ce que les jours à venir, l’on ne voit plus un tel gâchis sur des vies humaines.


Un grand ?retard de paiement des salariés de la structure "Bâtisseur du Sahel" à Dori

Il est parvenu à Kantigui, que « Bâtisseur du Sahel », une filiale de l’Organisation catholique pour le développement et la solidarité (OCADES) a accusé un grand retard de paiement de ses ouvriers, qui ont dû tirer le diable par la queue durant 18 jours après la fin du mois d’avril. Beaucoup se sont endettés. Pour d’autres, n’eut été leur moral de fer, ils auraient jeté l’éponge, a-t-on confié à Kantigui. En tout état de cause, Kantigui, la voix des sans-voix, en appelle au bon sens de l’employeur, pour que de telles situations ne se reproduisent plus.


Cinquantenaire de l’école primaire publique mixte de Namsiguia

Il est parvenu à Kantigui que l’école primaire publique mixte de Namsiguia, dans la commune de Tangaye, province du Yatenga, région du Nord, célèbre son cinquantenaire, du 25 au 27 mai 2012, sous le thème :« Une école au service d’un véritable développement socio économique ». La cérémonie, selon la source de Kantigui, est placée sous la présidence du ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation et sous le parrainage de Karim Ouédraogo, consul honoraire de la République démocratique du Congo (RDC), au Burkina Faso. Selon la source de Kantigui, pendant les trois jours, nombre d’activités sont prévues. Pour la journée du vendredi 25 mai 2012, de 9 heures à 12 heures 45, il est prévu un atelier de réflexion sur le thème :« Une école au service d’un véritable développement socioéconomique ». Un match de football est prévu de 15 heures 30 à 17 heures et à partir de 20 heures, une nuit culturelle. Quant à la journée du samedi 26 mai, elle sera consacrée à une course cycliste à partir de 9 heures.


Décès d’un douanier dans le Boulgou

Kantigui a ouï dire que dans la localité de la province du Boulgou, I.B, un douanier en poste à la frontière, a perdu la vie dans la matinée du mercredi 16 mai 2012.
Il est parvenu à Kantigui que le constat du décès a été fait par un médecin.
Cependant, celui-ci n’en dit pas plus sur les causes du décès. Selon les informations recueillies par Kantigui, la victime, âgée de 26 ans, se serait donné la mort.
Pourquoi cet acte désespéré ? Les raisons restent encore non déterminées.
En attendant qu’une enquête soit ouverte afin d’élucider ce décès qui fait déjà jaser les gens dans la localité, la victime a été inhumée sur place. I.B laisse derrière lui une fillette...


Un fils de la région du Centre-Sud laisse parler son cœur

Kantigui a été informé d’une action salvatrice d’un fils de la région du Centre-Sud évoluant dans le monde des affaires. En effet, selon les sources de Kantigui, ce bienfaiteur qui n’est pas à son premier geste, vient de doter la préfecture de Pô, d’un ordinateur, d’une imprimante et d’un onduleur. Son geste qui s’est passé dans la plus grande discrétion est à saluer, car la préfecture de Pô qui utilisait toujours une machine mécanique en panne depuis trois mois, vient de voir ses conditions de travail améliorées.

Kantigui

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 23 mai 2012 à 09:36, par Pierros En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    Et oui, incroyable mais vrai ! Vous n’avez rien vu d’abord, ce n’est que le début. Dans un monde enclin à l’individualisme, à la course effrénée à l’argent facile, à la corruption, à l’estime du plus riche, au dédain du pauvre, à l’émergence de classes bourgeoises et en proie à la pauvreté, à la vie chère, à la famine, à l’augmentation démesurée des prix de grandes consommations surtout des hydrocarbures, une telle réaction est salutaire. C’est ainsi que le peuple prendra conscience de son mal et cherchera à le soigner. Ouvrez donc grandement les yeux et l’esprit, libérez le génie créateur et osez lutter contre l’adversité dans toutes ses formes.
    Comment pouvez appeler un chauffeur, déplacer lui et son véhicule à la morgue, puis sur la voie du village et enfin au village et vouloir qu’il prenne le NASONGO (argent de condiments) de femmes pour satisfaire au nom d’une éthique morale virtuelle. Vous aussi. On dit souvent que « Si tu soignes un impuissant, il essaie sa virilité sur ta femme ». Retourner à la morgue c’est du temps, sa prestation et du carburant en perte. Qui payera cela ?

  • Le 23 mai 2012 à 09:41 En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    En ce qui concerne le Taximan de Kaya et le cadavre, je dirai que nos freres Burkinabe pour la soif de l´argent deviennent de vrai monstres.

  • Le 23 mai 2012 à 09:44 En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    Le cas qui s’est produit à Kaya dénote d’une situation malheureuse dans notre pays.De plus en plus les taxis sont utilisés comme des vehicules corbillards,ce qui dénote d’un manque criarde de vehicules de ce type dans notre pays.Meme quand ils existent ils ne sont pas à la portée de tout le monde.Il est indispensable que l’autorité publique dote les différentes morgues de vehicules corbillards et accessibles à tous.

  • Le 23 mai 2012 à 10:58, par Pierros En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    Et oui, incroyable mais vrai ! Vous n’avez rien vu d’abord, ce n’est que le début. Dans un monde enclin à l’individualisme, à la course effrénée à l’argent facile, à la corruption, à l’estime du plus riche, au dédain du pauvre, à l’émergence de classes bourgeoises et en proie à la pauvreté, à la vie chère, à la famine, à l’augmentation démesurée des prix de grandes consommations surtout des hydrocarbures, une telle réaction est salutaire. C’est ainsi que le peuple prendra conscience de son mal et cherchera à le soigner. Ouvrez donc grandement les yeux et l’esprit, libérez le génie créateur et osez lutter contre l’adversité dans toutes ses formes.
    Comment pouvez appeler un chauffeur, déplacer lui et son véhicule à la morgue, puis sur la voie du village et enfin au village et vouloir qu’il prenne le NASONGO (argent de condiments) de femmes pour satisfaire au nom d’une éthique morale virtuelle. Vous aussi. On dit souvent que « Si tu soignes un impuissant, il essaie sa virilité sur ta femme ». Retourner à la morgue c’est du temps, sa prestation et du carburant en perte. Qui payera cela ?

  • Le 23 mai 2012 à 11:19, par DOS En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    ça c’est kaya

  • Le 23 mai 2012 à 11:26, par Pierros En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    Et oui, incroyable mais vrai ! Vous n’avez rien vu d’abord, ce n’est que le début. Dans un monde enclin à l’individualisme, à la course effrénée à l’argent facile, à la corruption, à l’estime du plus riche, au dédain du pauvre, à l’émergence de classes bourgeoises et en proie à la pauvreté, à la vie chère, à la famine, à l’augmentation démesurée des prix de grandes consommations surtout des hydrocarbures, une telle réaction est salutaire. C’est ainsi que le peuple prendra conscience de son mal et cherchera à le soigner. Ouvrez donc grandement les yeux et l’esprit, libérez le génie créateur et osez lutter contre l’adversité dans toutes ses formes.
    Comment pouvez appeler un chauffeur, déplacer lui et son véhicule à la morgue, puis sur la voie du village et enfin au village et vouloir qu’il prenne le NASONGO (argent de condiments) de femmes pour satisfaire au nom d’une éthique morale virtuelle. Vous aussi. On dit souvent que « Si tu soignes un impuissant, il essaie sa virilité sur ta femme ». Retourner à la morgue c’est du temps, sa prestation et du carburant en perte. Qui payera cela ?

    • Le 23 mai 2012 à 14:25, par kiswend En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

      Merci Pierros, j’avais eu la même réaction quand j’ai parcouru l’article ce matin. Il ne faudrait pas que le journaliste incrimine d’office le chauffeur du taxi. Il ya longtemps que les questions d’éthique et de morale ont foutu le camp au Burkina .Recherchez les causes donc de ce comportement ailleurs, notamment dans la peinture de Pierros !

  • Le 23 mai 2012 à 13:37 En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    si cette affaire dfrai la chronique c’est peut etre poarceque comment enlever nos cadavres est devenu un problème dans notre société et le cas de Kaya n’est pas singulier.
    la communalisation intégrale a mis au centre des prérogatives des communes, la promotion du developpement local. ce qui s’sentend prise en main de la gestion des affaires de la cité par le commune.

    de ce fait, au lieu de s’en prendre au pauvre taximan, il est temp que nos conseils municipaux prennent réellement en compte le rapatriement des dépouilles vers les villages.

  • Le 23 mai 2012 à 13:39 En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    hé oui,de plus en plus le respect des morts passé aux oubliettes.c’est vraiment alarmant !!!!

  • Le 24 mai 2012 à 14:06, par Citoyen du monde En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    hé oui ! la morale agonise dans notre pays. il ne faut pas en vouloir au taximan. les conditions de vie criarde dans notre pays poussent souvent les citoyens a poser des actes immoraux. mais que dire de ces agents de santé qui décrochent le tuyau de perfusion du bras du malade au risque de sa vie, tout seulement parce-que ce dernier n’a pas les moyens pour payer les prestations et les produits.

  • Le 29 mai 2012 à 11:23 En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    Je ne suis pas totalement d’avis avec vous !
    Si le taximan va passer son temps à jouer au coeur doux, il sera le prochain à srtir d’une morgue.
    Qui vous dit que la victime n’est pas morte par simple manque de comprimés que CHR ne lui a pas offer gratuitement ?
    Combien de personne meurt pas manque de 1000 F CFA ?

  • Le 30 mai 2012 à 17:26, par DLM En réponse à : ON MURMURE : Incroyable, mais vrai à Kaya…

    Le socialisme ne peut subsister dans une societe capitaliste vwr imperialiste !!!!vs vouler plus de resperct pour les valeurs morales ?changeons tous notre facon de penser !!!d sorte a accorder d la place au socialisme !!ainsi nous trouverons un stade intermediaire entre capitalisme et socialisme du fait k lon ne p8sse pour notre epanouissemen evoluer avec lun d’eux pour retrouver une situation plaisible commune.
    L’etat de notre societe actuelle ne revele ke les consequences des comportemen de la majorite de ses population !...

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