C’est une belle œuvre qui malheureusement, manque d’éclairage public, occasionnant ainsi de nombreux accidents. Des négociations sont en cours pour doter cet axe de lampadaires. En attendant, des voix s’élèvent à Bobo-Dioulasso pour déplorer que la question n’ait pas été exposée publiquement au Premier ministre lors de la cérémonie d’inauguration du tronçon Bobo-Boromo

Pénurie de sucre à Bobo-Dioulasso

Le sucre, surtout en poudre, manque à Bobo-Dioulasso. Cette pénurie a entraîné sur le marché une hausse du sucre, qu’il soit en poudre ou en carreaux. Ainsi le prix du kilogramme du premier est passé de 450 F à 650 F CFA et de 500 F à 600 F CFA pour le paquet de sucre en carreaux dans certaines boutiques. En attendant d’en savoir plus, la pénurie de sucre serait liée au blocage de son importation. Or le sucre importé était vendu moins cher que celui produit localement. En tout les cas à la SN-SOSUCO, on rassure que le sucre est disponible dans les magasins et que des livraisons sont même en train d’être faites, depuis hier

Des invités sans scrupules

Dans le cadre de la IXe rencontre gouvernement/secteur privé, un déjeuner a été offert aux convives, au gouvernorat des Hauts-Bassins, en l’honneur du Premier ministre, Tertius Zongo. Mais pendant que le chef du gouvernement prenait son repas en privé avec les autres personnalités, il se passait des choses pas très catholiques sous le grand appartement, réservé au public. Certains invités, sans se gêner, se sont rués sur la nourriture à un moment donné et ce, dans une bousculade monstre .On ne cessera jamais de le répéter : de telles attitudes, dignes de petits esprits, sont à bannir

SN GMB : les travailleurs en plaidoyer à Bobo-Dioulasso

Affectés par les menaces qui pèsent sur la survie de leur entreprise, le personnel de la Société nouvelle, les Grands moulins du Burkina (SN GMB) ne ratent aucune occasion pour attirer l’opinion sur leur sort. Ainsi, le 28 septembre dernier, ils se sont infiltrés au forum gouvernement -secteur privé et, de façon discrète, ont fait circuler un mémorandum dans lequel, non seulement ils pointent du doigt la gestion du repreneur, mais aussi interpellent les autorités et le monde des affaires pour le sauvetage de leur outil de travail

Encore ces femmes du CDP Houet

Les journées parlementaires du groupe CDP se sont achevées la semaine dernière à Bobo-Dioulasso. Si dans l’ensemble selon son président Mahama Sawadogo, tout s’est bien déroulé, il n’en demeure pas moins que certains détails ont entaché la sérénité des débats lors de la rencontre avec les structures de base du CDP Houet. Les membres de l’Union provinciale des femmes du CDP ne se sont pas fait de cadeaux et se sont livrés à leurs petites guéguerres politiciennes. Si les unes reprochent à la présidente de faire entrer des inconnues et des indécises dans l’union, d’autres dont la présidente elle-même ne sont pas allées du dos de la cuillère en traitant les premières « d’analphabètes politiques n’ayant reçu aucune formation ». Mais très avertis de la discorde des femmes au sein du CDP Houet, Mahama Sawadogo, Achille Tapsoba et Fatou Diendéré se sont interposés en indiquant que la discipline, l’unité et la cohésion doivent être les vertus de tout bon militant.

Sidwaya