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CONFIDENCES DU WEEK-END : Un malade mental blesse grièvement son père

Publié le lundi 23 février 2009 à 02h13min

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Un malade mental a blessé grièvement son père le 18 février 2009 au marché central de Dédougou.

Muni d’une machette, il a administré un coup au ventre de son propre géniteur qui a eu la vie sauve grâce à l’intervention rapide des commerçants du marché. Ces derniers, aidés de certains usagers de la route, ont réussi à désarmer le forcéné, pour le remettre par la suite à la police.


La colère d’une "majesté"

La première autorité d’une province se rend à une rencontre de prise de contact avec les populations d’un département de sa province. Mobilisation des grands jours. Le 18 février, à l’heure dite, la cérémonie commence. Le maître de céans annonce le programme et sacrifie au rituel protocolaire. Seulement, s’étant contenté de la formule générale « autorités coutumières et religieuses », il commet un crime de lèse-majesté en ne spécifiant pas « majesté un tel …. » à l’endroit d’un responsable coutumier du village. Pris par une colère noire, ce dernier rua dans les brancards. Il veut, arme blanche au poing, "terminer" cet impénitent. Il injurie abondamment et invoque l’ethnie du présentateur.

La scène se passe devant une foule médusée et en présence de l’autorité figée. Le "MC" abandonne micro, papier et autre, et quitte la cérémonie en catimini en vue de sauver sa peau. Alors que les uns et les autres s’attendaient à une réplique qui rappelle à l’ordre ce coutumier, qui traîne une réputation sulfureuse, c’est plutôt à un déplacement de courtoisie en son palais que l’on assiste de la part de l’autorité à l’issue de la cérémonie. Les questions qui fusent sont celles de savoir si l’autorité est allée de façon responsable et civilisée « rappeler » à l’ordre le coléreux ou s’il s’y est rendu pour trinquer en l’honneur de Sa Majesté. L’autorité a-t-elle mesuré les conséquences des propos xénophobes du coutumier lorsque celui-ci a évoqué avec mépris l’ethnie du présentateur en présence d’une aussi nombreuse foule ? La seule excuse que l’on puisse lui accorder, c’est d’avoir peut-être été prise de court et d’avoir elle-même subi les événements. Toujours est-il que depuis lors, les populations ne décolèrent pas contre l’attitude de l’autorité qu’elles jugent tout simplement malheureuse, sinon pusillanime.


Un policier amputé d’une jambe

Un policier municipal de Dédougou a été amputé de la jambe gauche le 23 janvier 2009 à Ouahigouya. Cette amputation serait consécutive à une blessure contractée lors de sa formation en 2004, à l’école nationale de police. Malheureusement, dit-on, les différents traitements n’auraient pas connu de succès. Il a fallu recourir à cette solution pour sauver ce policier qui se retrouve unijambiste à 27 ans.


Ecobank Burkina change de directeur

Le changement à la tête de Ecobank Burkina est désormais un secret de Polichinelle. Puisque dans le système de cette multinationale de la banque, les responsables font une sorte de roulement selon des périodes bien déterminées. C’est ainsi que Aboubacar Youssoufou, le directeur général de Ecobank Burkina, a été appelé à de nouvelles fonctions dans le groupe Ecobank. Du Cameroun où il déposera incessamment ses bagages, il pourrait être amené à couvrir d’autres pays voisins où le groupe Ecobank étend ses tentacules. Le remplaçant du Nigérien Youssoufou dont les services ont été bien appréciés au Burkina n’est autre que le Béninois Roger Dah-Achinanon. A l’occasion du départ du premier et de la prise de fonction du second, le conseil d’administration et le directeur général de Ecobank Burkina organisent un cocktail le jeudi 26 février prochain à l’hôtel Laïco Ouaga 2000.


La BIB comme un laboratoire

Tout se passe bien à la BIB. C’est ce qui nous revient de la cuisine de cette banque, désormais avalée par la puissante machine de UBA. De source proche de la nouvelle direction, c’est toute une équipe d’experts qui a été mise en place, et travaille comme un laboratoire qui doit élaborer un nouveau produit à même de répondre aux exigences toujours plus grandes des populations burkinabè. Comment rendre la banque encore plus accessible aux Burkinabè, quelles que soient leurs couches socioprofessionnelles, par le biais de produits encore plus affinés ? C’est la principale préoccupation des nouveaux responsables qui donnent rendez-vous à la presse sous peu, en vue de mieux se faire connaître.


Un accident à Poa

Le 20 février vers midi, un car de transport ralliant la ville de Koudougou a heurté un enfant qui tentait de traverser la voie. L’enfant a été transporté d’urgence en charrette vers le centre de santé le plus proche en attendant l’arrivée de pompiers. Les forces de l’ordre qui sont arrivées sur les lieux, ont procédé aux constats d’usage.


Décès dans un car

Ce week-end , à l’entrée de la ville de Ouagadougou, un car de transport de passagers a dû s’arrêter pour cause de décès d’un des occupants. Un corbillard est venu évacuer le corps du défunt après les constatations de la gendarmerie. L’homme était malade et venait à Ouagadougou pour des soins.


SONABEL Cissin : guichets ou guichet Cissin ?

Dans sa politique de rapprochement de sa clientèle en vue de mieux la satisfaire, la SONABEL a multiplié, comme on le sait, ses guichets à travers Ouagadougou. Pour savoir que cette politique produit des résultats, il suffit de compter le nombre de guichets dans la capitale, qui, si le compte est bon, est passé à 37. Seulement voilà, dans l’un des nouveaux bâtiments flambant neuf de la nationale de l’électricité, en lieu et place des « Guichets Cissin » comme l’indique fièrement l’enseigne placée à l’entrée de la bâtisse, on est plutôt face à un seul guichet, une fois entré à l’intérieur. C’est le constat fait à notre passage, où un seul bureau servait de guichet, les autres bureaux placés tout autour donnant l’impression de salles en attente d’un futur aménagement. Des salles presque vides, où pratiquement rien n’a encore été installé. Avec un seul guichet, inutile de dire combien le règlement des factures se fait lentement. Et pour ne pas arranger les choses, le système des tickets n’est pas encore installé. Toute chose qui crée les conditions d’un certain désordre. Il n’était pas rare d’entendre, à notre passage, des clients hausser, par moments, le ton, en posant des questions du genre : « Qui était là avant qui ? »


Grève du personnel judiciaire : 92, 30% de participation à Koudougou

La grève de 72 heures du Syndicats national des agents de la justice (SYNAJ) et du Syndicat des greffiers du Burkina (SGB) s’est achevée le vendredi 20 février dernier. Selon le coordonnateur de la grève à Koudougou, Me Adama Nikièma, la grève a été bien suivie car le taux général de participation est de 92,30%. Ce qui témoigne, selon lui, de la détermination des travailleurs à lutter pour l’amélioration de leurs conditions de vie.


Le pandore de la honte

Tombé en disgrâce en début d’année, un gendarme de Dédougou qui bénéficiait du soutien incommensurable d’un opérateur économique de la place, n’a trouvé mieux que la calomnie, au point d’être indésirable dans la cité de Bankuy. La semaine dernière, un membre du gouvernement a failli être victime de ses allégations mensongères. Pire, le gendarme en question, qualifié de gendarme de la honte par certains de ses frères d’armes, en raison de son comportement peu orthodoxe, doit jusqu’au plus petit commerçant de la place. Toute la semaine dernière, ses créanciers ont fait le pied de grue devant la banque, sans qu’il ne s’y rende.


Fin de mission pour l’ambassadeur des Etats-Unis

Arrivée il y a trois ans au Burkina, Jeanine Jackson, ambassadeur des Etats-Unis au Burkina, est en fin de mission. Cela, conformément à la règle de rotation propre aux pays développés. Avant de quitter notre pays, Mme Jackson rencontre la presse le mardi 24 février pour faire le bilan de son séjour et évoquer les relations entre Ouagadougou et Washington.


Les crocodiles sont du parc Bangr-wéogo

Dans notre édition du vendredi 20 février dernier, nous faisions cas de crocodiles en plein Ouagadougou, en train de se balader dans le canal sous le pont situé entre le quartier Zone du bois et le Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo. Sur ce sujet, nous avons reçu une réaction de la direction de l’Environnement et du cadre de vie qui relève que ces crocodiles sont du parc Bangr-wéogo qui les élève. C’est quand ils ont besoin d’un peu de soleil ou de la lumière qu’ils se permettent une ballade. Mais cela ne veut pas dire que ces crocodiles sont inoffensifs.


Boulangeries 2000 : le procès reporté, Elie Riskalla à la MACO

Alors que les travailleurs des Boulangeries 2000 attendaient leur patron, Elie Riskalla, à l’audience du tribunal du travail (le vendredi 20 février dernier), celui-ci avait décidé de prendre la poudre d’escampette. Mais son projet est tombé à l’eau, puisqu’il aurait été arrêté le jeudi 19 février dernier à l’aéroport international de Ouagadougou et déféré. On se demande si Elie Riskalla n’est pas sous le coup d’une autre procédure. L’audience au tribunal du travail a été aussi reportée à cause de la grève lancée par le SYNAJ et le SGB. En rappel, les travailleurs ont attrait leur patron devant le tribunal du travail pour règlements d’arriérés de salaires, entre autres.


Discorde entre veuve Bamouni / M’Po Célestine et le centre d’accueil APAIL

Mme Bamouni/M’Po Célestine est actuellement en froid avec le centre d’accueil APAIL du Burkina dont elle est la directrice. Cette dame qui a été depuis 2001, selon ce qu’elle révèle, la pièce maîtresse dans la mise en place effective de cette association au Burkina et créée en France, est aujourd’hui mise sur la touche. Veuve Bamouni rappelle que c’est elle qui a entrepris, au nom de l’association, la recherche d’un terrain au secteur 30 pour le siège, puis les démarches afin d’obtenir le PUH. Elle loge au siège de l’association où des enfants en difficultés sont pris en charge sous forme de parrainage. Elle dit être payée présentement en monnaie de singe après s’être sacrifiée pour la bonne marche de APAIL. En effet, Mme Bamouni est chargée de la gestion quotidienne de toutes les activités de l’association et exécute toutes les courses avec son moyen de déplacement personnel. Tout cela pour une indemnité mensuelle de 30 000 F CFA, plus 60 000 F CFA par an pour les frais médicaux, et le logement gratuit dont le loyer est estimé à 40 000 F CFA.

Pendant tout ce temps, elle n’a jamais été déclarée à la CNSS, ni bénéficié d’un salaire au sens propre du terme de congé, confie-t-elle. Elle déclare avoir servi avec suffisamment de dignité et de loyauté l’association pour être traitée présentement de veuve nécessiteuse. Les fondateurs de APAIL la considérant comme une employée et non comme membre, veuve Bamouni/M’Po Célestine souhaite que son contrat de travail soit soumis à la législation en vigueur au Burkina et visé par la législation du travail. Toutes les démarches qu’elle a entreprises sont jusque-là infructueuses, puisque la nouvelle direction du bureau et les fondateurs ne répondent pas aux différentes convocations. Elle est même menacée d’être vidée du logement qu’elle occupe.


Les USA aux côtés de l’Armée burkinabè

Dans le cadre de la coopération militaire entre le gouvernement du Burkina Faso et de celui des Etats-Unis d’Amérique, Jeanine Jackson, ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, va procéder le lundi 23 février 2009 à la remise symbolique de matériels et équipements militaires pour les opérations de soutien à la paix au ministère de la Défense du Burkina Faso. Cet important don du gouvernement américain est estimé à quelque dix-sept (17) millions de dollars américains, soit environ huit (08) milliards de F CFA. Ces matériels et équipements vont être utilisés par les trois bataillons formés par les Etats-Unis d’Amérique et participeront pleinement ainsi à la mission hybride des Nations unies et de l’Union africaine au Darfour, au Soudan. Le premier bataillon appelé Laafi, est prévu pour être déployé en mai 2009. Ces matériels et équipements militaires ont été acquis à travers le programme Africa contingency operations training assistance (ACOTA) et le Groupe de Programmation du Soudan, qui est un programme du Département d’Etat américain.

En plus de ce don de matériels et d’équipements, les personnels des bataillons burkinabè engagés dans les opérations de soutien à la paix au Darfour continuent de recevoir une formation de familiarisation sur les nouveaux matériels et bénéficient également d’une remise à niveau de pré-déploiement. L’objectif du gouvernement des Etats-Unis est d’accroître la capacité du Burkina Faso à contribuer à la paix et à la sécurité dans la sous-région. L’Ambassade dit se réjouir également du professionnalisme des militaires du Burkina Faso et espère continuer ce programme et développer bien d’autres.


Un fou retrouvé mort dans la rue

Un fou de nationalité nigérienne a été retrouvé mort dans la matinée du 16 février 2009 au secteur 6 de Dédougou, non loin du siège de la police municipale. Après le constat d’usage de la police nationale, les détenus de la maison d’arrêt et de correction de Dédougou lui ont donné une sépulture. Malgré ses crises hystériques, le défunt fou, surnommé rasta en raison de ses dreads, habitait la cité de Bankuy depuis plus de 5 ans et était considéré comme un fou moderne par les Dédougoulais. Il partageait ce qu’il gagnait avec ses compères fous et était inoffensif. Il a, d’ailleurs, fait l’objet de la rubrique « Arrêt sur image » dans "Le Pays" du 22 août 2008.


UO : une association provoque un bouillonnement d’idées

L’Association jeunesse espoir d’Afrique (AJEA) a organisé samedi dernier, à l’université de Ouagadougou, un panel sur le thème "processus démocratiques et participation électorale au Burkina : bilan et perspectives". Pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître qu’a réussi cette jeune association. L’amphi A600 qui a abrité les débats était plein à craquer avec une ambiance surchauffée propre à l’énergie et à la passion de la jeunesse. Le public, en tout cas, n’a pas été déçu puisque les panélistes parmi lesquels le député Achille Tapsoba (CDP), Abdoul Karim Sango (PAREN), des professeurs de l’UO, des membres de la société civile, ont été à la hauteur des débats. Bien sûr, les critiques furent virulentes contre le CDP, mais ses représentants ont su apporter les réponses qui, sans doute, manquent souvent à la compréhension de la politique du pouvoir. L’unanimité s’est en tout cas faite sur l’intérêt de renouveler de tels débats qui établissement la culture démocratique au sein surtout de la jeunesse estudiantine. Le panel a été organisé avec l’appui du MAEP (Mécanisme africain d’évaluation par les pairs) dont le secrétaire permanent, Jean-Baptiste Natama, en était le parrain.


Médias et Internet : la CIL dans la danse

La presse écrite burkinabè est, à l’image de celle des autres pays, engagée dans des mutations liées à l’avènement d’Internet. Ainsi est apparue la discussion en ligne, sur des sujets évoqués dans les supports en papier des organes de presse. Cette nouvelle forme d’expression ne va pas sans danger. Certains internauutes abusent de la liberté qu’offre Internet, violant parfois les règles d’éthique et de déontologie. D’où la nécessité de mettre en place des chartes pour une bonne administration des discussions en ligne. La Commission de l’informatique et des libertés s’intéresse au sujet, et des rencontres sont prévues dans les prochains jours avec les organes de presse pour rappeler les principes qui doivent guider le fonctionnement des sites webs, en particulier les forums de discussion. La CIL a, pour ce faire, une recommandation qu’elle soumettra aux médias, édictant les conditions d’une saine administration de leurs espaces interactifs réservés aux internautes.


Une journée de salubrité au CMA du secteur 30

L’Association Bud-noama des ressortissants du Ganzourgou à Ouagadougou a organisé le samedi 21 janvier 2009, une journée de salubrité au CMA du secteur 30. Le président de l’association, Boukary Tiemtoré, et une cinquantaine de membres ont retroussé les manches pour le désherbage de la cour de cette formation sanitaire, le nettoyage de salles toute la journée. Le secrétaire général adjoint de l’association, Issa Kaboré ,et les autres entendent renouveler pareille activité qui devrait inspirer tous ceux qui souhaitent venir en aide aux malades. La journée était placée sous le thème, "soyons propres autour des malades".


BBC forme les journalistes de Horizon FM

Charles Bambara, journaliste émérite de la radio BBC, est arrivé à Ouagadougou en provenance de Londres avec pour mission d’aider les journalistes de Horizon FM à renforcer leurs connaissances dans la profession. C’est le fruit du partenariat entre les radios du P-DG Moustapha Laabli Thiombiano et la célèbre chaîne britannique. Dans la dynamique de ce partenariat qui fait le bonheur du Laabli national qui s’appuie sur l’importance de la formation des hommes de médias, une conférence de presse est prévue le 26 février prochain, afin de procéder au lancement officiel des activités de BBC Horizon FM Fada qui émet sur 95.5 et a été inauguré le 6 décembre 2008 par Paramanga Ernest Yonli, ex-Premier ministre et actuel ambassadeur du Burkina à Washington. La conférence de presse est placée sous le parrainage de Filippe Savadogo, le ministre en charge de la Communication


Une Pierrette Adams nous est née

Une dame qui a accouché d’une fille la semaine dernière à Dédougou, lui a donné le prénom de Pierrette Adams. Ceci, dit-elle, pour garder le souvenir du passage de la star congolaise à Dédougou, le 31 décembre 2008. « Je suis fan de la star congolaise et j’ai toujours souhaité avoir une fille qui portera son prénom. Lorsque sa venue a été annoncée, j’étais aux anges et ce jour-là, malgré mon état, j’ai esquissé quelques pas de danse à la gare de Liza transport », a-t-elle dit. Pour rappel, Pierrette Adams s’appelle Pierrette Duarte à l’état civil.


Coup d’envoi de la 2e édition de la coupe du maire de Kassoum

Le top de départ de la 2e édition de la coupe de football du maire de Kassoum a été donné le 14 février 2009 sur le terrain départemental de Kassoum. Neuf équipes de village prennent part à cette compétition. En match d’ouverture, l’équipe de Kassoum a été battue sur ses propres installations aux tirs au but par Tombila. La finale est prévue pour fin mars ou début avril.


Dick Marcus a perdu sa femme

Suite à son dernier accouchement par césarienne et à un problème de fibrome, la femme de Dick Marcus, le "reggae-maker" burkinabè, a subi 3 interventions chirurgicales. Malheureusement, elle n’a pas survécu à la 3e opération. Mme Dick Markus est décédée le jeudi 19 février dernier à 3h du matin au Centre hospitalier et universitaire Yalgado Ouédraogo de Ouagadougou. L’enterrement a eu lieu le même jour à 15h au cimetière situé sur la route de Kamboincé. Les Editions "Le Pays" présentent leurs condoléances à l’artiste et à toute la famille de la disparue.


Kongoussi : le lycée provincial en fête samedi prochain

Du 27 février au 1er mars 2009, la vile de Koungoussi sera prise d’assaut par ses fils et filles et surtout les anciens élèves du lycée provincial qui fête son jubilé d’argent (25 ans d’existence). Le Pr Joseph Paré, ministre des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique, présidera la cérémonie officielle du 27 février. Le parrain de cet anniversaire est, quant à lui, le Pr Filiga Michel Sawadogo. Au menu des activités : conférences, match de football entre anciens élèves et professeurs du lycée, nuit culturelle et un grand dassandaaga.

Le Pays

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