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Vrai ou faux : Des présidents de CVD contre le découpage de Bobo en 7 arrondissements

Publié le vendredi 12 décembre 2008 à 02h33min

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Des présidents de Comités villageois de développement sont contre le découpage de la ville de Bobo-Dioulasso en 7 arrondissements. L’information a été portée à la connaissance du Conseil municipal le mardi 26 novembre 2008 au cours d’une session. Les conseillers dans leur majorité ont condamné la démarche adoptée par ces présidents de CVD pour exprimer leur refus du découpage en cours.

En effet, selon des informations concordantes, c’est dans une cour à Bobo-Dioulasso que ces derniers se sont retrouvés pour écrire une lettre au ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation pour exprimer leur refus. Alors qu’ils étaient tous présents au moment de l’adoption de ce projet de découpage lors du conseil municipal qui l’a validé. Et à certains conseillers et autres, ou même observateurs de s’interroger sur les motivations réelles d’un tel comportement. En tout cas, le conseil municipal de Bobo ne semble pas cautionner ce genre de comportement. Il aurait été plus civilisé si les présidents de CVD" refusards " avaient exprimé leur désaccord au cours du conseil qui a adopté le projet de découpage. A moins que les intentions ne soient carrément ailleurs.


Dix ans de L’Express du Faso : " Je peux vous aider avec 1000 F CFA ? "

Depuis que nous avons annoncé officiellement et par la voix des ondes la célébration du dixième anniversaire de notre journal, L’Express du Faso, les mots de soutien nous parviennent de partout. Que ce soit directement par téléphone ou dans un détour dans la ville, ou même par courrier, le comité d’organisation est aujourd’hui heureux de cet engouement autour de la chose. C’est le cas par exemple de cet ami, lecteur et très fidèle au journal depuis sa naissance qui nous dit ceci : " est-ce que je peux vous aider ne serait-ce qu’avec 1000 F CFA ? ". C’est tout dire que si les moyens avaient suivi, ce fidèle ami de notre quotidien allait tout faire pour que vive le dernier né des quotidiens burkinabé. Et, c’est ainsi qu’ils sont nombreux le plus souvent dans l’ombre, à nous exprimer leur soutien. Soyez-en remercié. Ceci témoigne de l’importance que vous accordez à la presse dans son ensemble et du rôle qu’elle joue dans le pays tout entier. L’Express du Faso est le dernier né des quotidiens, mais il est le doyen dans la Presse quotidienne régionale (PQR). Ce qui n’est pas peu. Il sait toujours compter sur le soutien de ses lecteurs, des bonnes volontés et de tous ceux qui aiment la presse pour poursuivre ce chemin.

En tous cas, les 5 et 6 décembre prochains, ce sera le clou des manifestations de ce 10e anniversaire que nous plaçons sous le thème : " Presse, démocratie et développement ". Cet anniversaire comme vous le savez déjà sans doute sera placé sous le haut patronage de son Excellence le Président de l’Assemblée nationale, Roch Marc Christian Kaboré et le parrainage de Filippe Savadogo, notre ministre de la Culture, du Tourisme et de la Communication. Le programme officiel sera connu dès le début de la semaine. D’ores et déjà retenez qu’il sera organisée une cérémonie officielle.


Soixante-deux Burkinabè expulsés du Gabon

Soixante-deux Burkinabè ont été expulsés du Gabon, depuis le jeudi 20 novembre 2008, selon Clément Somé, délégué du Conseil supérieur des Burkinabè de l’étranger (CBSE) dans ce pays, qui a contacté la rédaction de Fasozine par téléphone.

Ces Burkinabè, qui résidaient, pour la plupart, à Oyem et Bitam (Nord du Gabon), auraient par la suite été embarqués dans un navire pour le Bénin, d’où ils ont rejoint, ce 25 novembre, le Burkina par la route.

"Les Burkinabè qui seraient tentés par une aventure au Gabon doivent tirer un enseignement de ce qui s’est passé", affirme Clément Somé, qui conseille aux candidats à l’immigration de "chercher d’abord à connaître les conditions d’immigration au Gabon, avant de tenter l’aventure". Selon M. Somé, ce sont les délégués et les ressortissants burkinabè vivant au Gabon qui ont dû se mobiliser, en l’absence du consul, pour venir en aide aux expulsés, dont certains auraient été blessés dans les courses poursuites avec la police.


Commune de Bobo : Les habitants des secteurs 6 et 17 souffrent

Les secteurs 6 et 17 dans l’arrondissement de Dafra sont dans la poussière chaque matin et soir que Dieu fait. Le maire de Dafra doit faire quelque chose pour les sortir de ce calvaire.

Manger dehors est un risque sanitaire non négligeable car la poussière est partout, surtout le soir au moment où les habitants rentrent de la ville pour le repos du guerrier bien mérité. A défaut de pouvoir arroser les voies chaque jour, il serait judicieux de confectionner des "gralentisseurs" sur les principales rues.

Toute chose qui, pensons-nous pourrait réduire la poussière pour le bonheur des habitants de la zone. C’est du moins le sens du cri de cœur qu’un administré de Dafra nous a adressé. Cri du cœur que nous nous faisons le devoir de relayer.


Journées de la commune burkinabé : la sécurité est au top

Dans le cadre des 11e journées de la commune burkinabé, la commission chargée de la sécurité a pris des dispositions importantes pour sécuriser tous les participants.

C’est ainsi qu’en plus de la police municipale, il est fait appel à la gendarmerie nationale, question de parer à toute éventualité. Si en plus on ajoute les prières et les bénédictions des coutumiers et des différentes confessions religieuses, on peut dire que tout va se passer sans accros majeurs.

L’express du Faso

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