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Une Lettre pour Laye : La salle des banquets mangent les gens

Publié le vendredi 28 novembre 2008 à 00h52min

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C’est un secret de polichinelle, les récoltes en cette fin de campagne agricole nous autorisent le rêve, après l’excédent céréalier enregistré sur le plan national. Maintenant, quel bilan pluviométrique tirer de la saison hivernale ? Voici ce que nous révèle le service Exploitation de la météo de l’ASECNA.

Tu en prends en tout cas bonne note, si jamais tu t’amuses à faire la comparaison avec la saison 2007 : Bobo-Dioulasso = 1058 mm ; Bogandé = 604 mm ; Boromo = 1136 mm ; Dédougou = 743 mm ; Dori = 504 mm ; Fada = 1074 mm ; Gaoua = 980 mm ; Ouagadougou = 772 mm ; Ouahigouya = 759 mm ; Pô = 977 mm.

Et maintenant, à nous deux. Peut-être l’as-tu déjà appris, cher cousin, le dernier Conseil des ministres, qui s’est réuni ce mercredi 26 novembre, sous la présidence du grand sachem, a, entre autres, examiné et adopté un décret portant fixation des conditions de location des salles de conférences ou de réunions des administrations publiques.

Selon les termes de ce décret, les conditions de location des salles appartenant aux administrations publiques, de même que les procédures de gestion des recettes issues desdites locations seront réglementées par un arrêté conjoint du ministre chargé des Finances et du ministre de tutelle.

Dans l’attente de ce garde-fou, cher Wambi, l’impression qui se dégage est que le Conseil des ministres n’a point balayé du revers de la main l’odeur de mauvaise gestion qui se dégageait des salles des banquets et du centre international de conférences de Ouaga 2000, et véhiculée par Dame rumeur. Que s’y est-il passé réellement ?

Je ne suis pas mieux renseigné que toi, cher cousin, mais à ce que l’on dit, ces deux infrastructures de la cité futuriste de la capitale seraient devenues la caverne d’Ali Baba. En tout cas, on a beau taper du poing sur la table pour un minimum de transparence, rien n’y fit.

Mais n’est-ce pas dommage que c’est seulement maintenant que ce décret s’invite dans la gestion des salles de conférences ? Ne fallait-il pas y penser avant leur inauguration pour n’avoir aujourd’hui jouer les médecins après la mort ? Bien malin qui oserait y répondre car, quelque peu repus, certains rotent en se frottant les mains. Hélas !

Encore une histoire de timbres ? Oui, cher cousin, l’affaire n’en finit pas de faire grand bruit dans la capitale depuis qu’elle s’est révélée au grand jour, après l’interpellation d’agents du Trésor et d’une certaine imprimerie de renom installée au secteur 1.

J’ignore, pour l’instant, le montant exact de ce deal, mais, pour sûr, de grosses légumes pourraient y perdre des feuilles. Comment cela a-t-il pu se produire malgré les multiples scandales des timbres qui avaient endeuillé Simonville dans les années 90 ?

Dans tous les cas, cher cousin, en bonne République, l’Etat aurait ouvert sa propre imprimerie, pour l’impression des timbres, et dont la gestion serait confiée à un officier assermenté. Sinon, même imprimés dans une sacristie, nos timbres fiscaux ou municipaux n’échapperont jamais à l’appétit des rongeurs de la République.

Reste à souhaiter, cher cousin, que la procédure suive son cours normal, et que les fautifs soient punis à la hauteur de leur forfait, pour l’exemple. Mais, demain n’est certainement pas la veille, car notre Trésor est au centre de la polémique ces jours-ci, du fait d’une nouvelle race de fonctionnaires qui y ont installé leurs pénates. A peine deux années d’ancienneté, et les voilà érigeant des tours ; faisant étalage de leurs richesses, évidemment mal acquises, et bénies par ceux qui les y ont installés.

Ce n’est donc pas étonnant si certains ont déjà rejoint leurs postes d’affectation à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO). Le cocotier a besoin d’être secoué, avouons-le, et le plus tôt serait le mieux. L’on se rend maintenant à l’évidence que la bonne gouvernance, prônée par Tertius, ne fait pas recette dans les services centraux de son ancien département de l’Economie et des Finances. N’est-ce pas, messieurs des marchés de l’Etat ?

Finies donc les supputations, cher Wambi, Tertius Zongo et son staff du Premier ministère seront les futurs locataires de l’ancienne Présidence du Faso, sise à Koulouba, depuis que le nom Kossyam s’inscrit en lettres d’or dans l’histoire récente de notre pays. Ce ne serait plus qu’une question de jours ; et l’on parle même de janvier pour que l’enfant de Doudou s’installe dans ses nouveaux bureaux, dès que l’édifice colonial aura été remis au goût du jour.

Les travaux y relatifs sont en cours, en tout cas, et viennent battre en brèche les mille et une rumeurs selon lesquelles la Présidence de Koulouba serait transformée en musée, en bibliothèque... ou taillée sous forme de l’Arc de triomphe pour s’ouvrir sur l’avenue Charles-de-Gaulle. En attendant, les travailleurs du Premier ministère peuvent se féliciter d’avoir enfin un cadre spacieux et commode, qui pourrait réunir toutes les intelligences, et propice à la cogitation. Nan Laara An Saara !

Hélas, cher cousin, la lumière d’où a germé ce slogan de la lutte contre l’impunité, le professeur Joseph Ki-Zerbo, s’est-il à peine éteinte que son parti est réduit à sa plus simple expression. Le dernier congrès, qui s’est réuni le week-end dernier à Ouaga, n’a pu que confirmer les divergences qui auraient cours au sein du Parti pour la démocratie et le progrès/Parti socialiste (PDP/PS), et qui avaient contraint un certain Etienne Traoré à la démission il y a peu.

Le professeur Ali Lankoandé, qui avait hérité du fauteuil de l’éminent Ki-Zerbo, vient de passer le témoin à François Kaboré, appelé, lui, à trouver un remède miracle à ce parti jadis leader de l’opposition. L’on imagine déjà la lourdeur de la tâche qui, désormais, est la sienne. Quel visage nous présentera donc le PDP/PS aux prochaines consultations électorales ?

En tout cas, François Kaboré répondra. En attendant, Ki-Zerbo devrait se retourner dans sa tombe, lui dont des camarades d’hier ont boycotté l’hommage que lui ont rendu les historiens d’ici et d’ailleurs lundi dernier, à l’université de Ouagadougou. Où étaient-ils donc passés, ces héritiers politiques, au nombre desquels Hassan Werem, qui n’avait de guide que lui. L’histoire, c’est sûr, retiendra.

Cher Wambi, ces derniers temps, j’ai fait un tour à Fada, et j’ai été agréablement surpris par les infrastructures qui sortent, ou du moins sont sorties de terre. Depuis la désignation de la capitale du Gulmu pour abriter les cérémonies du 11-Décembre, cette ville a vraiment changé de look, à telle enseigne qu’on se demande bien pourquoi n’y avoir pas pensé à temps pour ces commémorations tournantes de ces festivités !

Pour être optimiste, disons qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire ; car, après Fada, c’est la capitale du Yatenga qui sera le pôle d’attraction pour le 11 décembre 2009. Mais avant, tout semble aller pour le mieux afin que Fada accueille, dans de meilleures conditions, ces centaines de personnes qui s’apprêtent à être de ce rendez-vous.

Tout semble aller, en effet, sauf que, dans cette organisation, on déplore une concentration excessive du côté de Ouagadougou. A titre d’exemple, à seulement 13 jours de l’événement, les pagnes imprimés à cet effet ne sont pas encore disponibles dans la capitale du Gulmu, où chaque habitant veut mettre un point d’honneur à être habillé ce jour aux couleurs du 11-Décembre. Et vraiment, si ces pagnes ne viennent pas à temps, cela risque de rejaillir négativement sur la qualité de cette fête.

Alors, responsables des festivités du 11-Décembre, à vos marques ! Un sursaut d’orgueil s’impose. Mais, en attendant, et avant de violer le secret de Tipoko l’Intrigante, cher cousin, je t’invite à lire ce droit de réponse émanant de ton ami de Ténado, Mathias Bayili, qui réagit à une nouvelle que je t’avais rapportée en décembre 1993. Trêve de commentaire :

« Dans votre édition n° 3571 du 29 décembre 1993, vous aviez rapporté que nous aurions été impliqué dans un braquage et arrêté par la Brigade spéciale de gendarmerie du Kadiogo. A l’époque, nous n’avions pas accordé beaucoup d’importance à cet écrit qui ne reposait pas sur des faits me concernant effectivement. Curieusement, cette information a été exploitée en 2007 contre ma personne.

Ces attaques sur ma personne m’ont fait beaucoup de tort. Malgré le préjudice social et moral que m’a causé cette exploitation qui visait à discréditer, à tout prix, les actions de l’Association des donneurs de sang bénévoles du Burkina (ADOSABB), dont j’assure la présidence, je me suis tu, je me suis contenu pour faire confiance à la Justice qui, seule, pouvait tirer cette affaire au clair.

Ainsi, après 14 ans de patience, ô combien éprouvante, tout le monde sait désormais à quoi s’en tenir. Le cabinet d’instruction du Tribunal de grande instance de Ouagadougou a fini par me notifier une ordonnance de non-lieu. Aussi, j’aurais pu garder cette information pour moi, si des esprits méchants ne s’en étaient pas servis pour entacher ma réputation et mon honneur. J’estime donc que personne d’autre ne viendrait me rendre justice, si ce n’est moi-même. C’est vrai que cela n’efface pas totalement la souffrance morale que j’ai subie pendant toutes ces années.

Toutefois, je crois que la presse doit dorénavant faire plus attention pour ne pas compromettre l’honorabilité des citoyens contre qui elle publie parfois des informations sans même prendre le temps d’en établir la véracité. C’est pourquoi je viens par ce droit de réponse vous prier de porter à l’attention de vos lecteurs que Monsieur le juge d’instruction m’a rendu, à la date du 10 novembre 2008, une ordonnance de non-lieu.

Cette décision peut être consultée sous le dossier n° 24/1994 du Parquet et n° 02/1994 du cabinet d’instruction. A cet effet, je considère que les ragots tendant à faire de moi « quelqu’un qui a endeuillé des familles » n’engagent que les auteurs de ces élucubrations. Merci des dispositions que vous prendrez pour publier ce droit de réponse dans votre journal ».

- C’est dans 24 heures que l’ADF/RDA tiendra son 14e Congrès statutaire sous le thème : « Développement économique et paix sociale au Burkina Faso : le rôle des partis politiques ». Les préparatifs vont bon train, et, déjà, certains invités de marque sont dans notre capitale : Il s’agit de l’US-RDA du Mali, du PPN-RDA du Niger, du PDCI-RDA, du RDR d’Allassane Dramane Ouattara, du PDS de Me Abdoulaye Wade.

L’UMP, représenté par Patrick Druhand, et le PDG-RDA de la Guinée sont attendus. Cependant, force est de constater que des actions souterraines, tendant à donner du fil à retordre au Parti de Me Gilbert Noël Ouédraogo, sont orchestrées par-ci et par-là, puisque, depuis quelques jours, circulent sous le manteau des tracts sur le pachyderme, qui dit pourtant ne pas vouloir dévier de sa trajectoire.

- Qu’a-t-il, le député Norbert Michel Tiendrébéogo ? De sources concordantes, l’enfant terrible de Saint-Léon, qui avait fait les beaux jours du Front des forces sociales (FFS), serait mal en point. A en croire certains, il serait interné au service de néphrologie du Centre hospitalier universitaire Yalgado-Ouédraogo. Meilleure santé à vous honorable !

- Le calumet de la paix a été fumé ce 25 novembre 2008, au lycée départemental de Bérégadougou, aux environs 23h, après une rencontre marathon entre la direction régionale de l’Enseignement secondaire des Cascades, la direction de l’établissement et les professeurs. Depuis le 17 novembre 2008, ces derniers refusaient de dispenser les cours aux élèves du fait des effectifs pléthoriques. Pour arriver à cette paix qui a marqué la reprise des cours ce 26 novembre 2008, la direction régionale, selon certaines sources, a dû consentir de rencontrer les grévistes avec leurs représentants de Banfora.

La première sortie, effectuée par le directeur régional à Bérégadougou le 24 novembre 2008, n’avait pas porté fruits. Les grévistes, selon les mêmes sources, avaient exigé la présence de leurs représentants à Banfora. Aux termes des accords, les professeurs devront composer avec les effectifs pléthoriques qui étaient l’objet du litige et du débrayage.

- Après un coup d’essai qui fut un coup de maître en juillet 2007, la styliste Ida Marie Géraldine réédite cette année « Image Fashion Show ». Concept à vocation culturelle, cette deuxième édition se tiendra du 27 au 30 novembre, à l’hôtel Sofitel Ouaga 2000, avec comme point d’orgue le grand défilé des stylistes et créateurs africains ainsi que de la diaspora, demain samedi 29 novembre, à partir de 20 heures 30.

Parrainé par Pathé’O, qu’on ne présente plus, ce cru 2008, véritable symbiose de tradition et de modernité, rassemblera, sur le même plateau, des icônes de la mode continentale telles Kira Création et Image du Sénégal, Olivia Ervi de France, Djamila Lafqir du Maroc, Anderson D de Côte d’Ivoire, Koro du Burkina Faso. Jolie femme au cœur d’Or, Ida compte faire don d’une partie des recettes de la soirée à l’Association des jeunes malvoyants et aveugles pour la production (AMAP).

- La Foire internationale du livre de Ouagadougou (FILO), qui s’est déroulée du 18 au 24 novembre 2008, sous le thème « Rémanence de l’Afrique dans la Littérature antillaise et caribéenne », sur le site du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou, aura tenu toutes ses promesses. On retiendra que la FILO nouvelle formule, qui a rendu un vibrant hommage à Aimé Césaire, chantre de la Négritude, a été plus que visible au niveau du site du SIAO, car ayant enregistré une fréquentation populaire record.

Autre innovation, c’est la visite d’éminents écrivains dans des écoles, des lycées et à l’université, histoire de motiver davantage les futures élites à porter un intérêt particulier à la foire, mais également à lecture. Il y a également le bel arrimage institutionnel de l’événement.

- Novembre 1988 - novembre 2008, voilà 20 ans que des résidents du secteur 14 ont été déguerpis et réinstallés au secteur 28. L’association Bao-Beog-Néré s’en souvient, et organise une série d’activités commémoratives au cours de ce week-end, avec le programme suivant : vendredi 28 novembre à 7 heures, Doua à l’intention des regrettés ; samedi : Dassandaga au 14 yaar, compétition de pétanque et bal populaire au Kundé du secteur 28. Le dimanche, dans la matinée, une messe sera dite à l’église Saint-Pierre pour le repos des âmes des regrettés, suivie d’une course cycliste des femmes du secteur.

- Depuis hier, la belle cité de Naba Kango, Ouahigouya, vit au rythme des manifestations commémoratives du 60e anniversaire du lycée Yamwaya, dont la cérémonie officielle aura lieu demain samedi. Les manifestations sportives et culturelles promettent d’être palpitantes, avec la participation de l’orchestre national. Du monde, il y en aura dans le chef-lieu de la région du Nord, où aussi se joue ce week-end la coupe de l’espoir en football.

Guillaume Soro, Premier ministre de Côte d’Ivoire et parrain de cette compétition sportive, y est très attendu aux côtés de Boureima Badini, l’initiateur et représentant du facilitateur pour la résolution de la crise ivoirienne. Une succession de fête dont le top de départ aurait été donné la semaine dernière par la célébration du jubilé du cinquantenaire du diocèse de Ouahigouya.

- « Promouvoir la citoyenneté et cultiver le civisme des Burkinabè dans la bonne gestion et la sauvegarde du patrimoine national ». Tel est l’objet de la création d’une association à laquelle le ministère de l’Administration territoriale a délivré son acte de naissance, le 3 septembre 2008. « Réflexe citoyen », ou en abrégé « RECI », c’est le nom de baptême de ladite structure, dont les concepteurs entendent lutter contre l’utilisation abusive des biens publics.

Ses membres prévoient, à cet effet, un certain nombre d’activités, dont le but est de mettre fin à « la diarrhée des robinets qui coulent inutilement à longueur de journée », par insouciance ; la monopolisation du téléphone à des fins privées dans l’Administration, qui entrave le fonctionnement des services ; l’utilisation abusive de l’électricité avec les climatiseurs, les lampes et les climatiseurs fonctionnant souvent sans discontinuer…

Le bureau du réseau, basé à Ouagadougou, est présidé par Aly Tibila Gansoré, un fonctionnaire des Douanes et ancien compagnon politique d’Ernest Nongoma Ouédraogo, l’actuel maire de Téma-Bokin. Il est composé d’une douzaine de membres issus de l’administration publique comme du privé. Les engagements de l’association, s’ils sont respectés, feront le bonheur des Burkinabè, pourvu que chacun ait le « Réflexe citoyen ».

On ne doute pas que cette structure bénéficiera du soutien de nombre de ministères, surtout celui du département de l’Energie, des Mines et des Carrières, qui lutte actuellement pour la maîtrise de la consommation de l’électricité dans l’administration publique.

- L’association Song Koaadba, très active dans les provinces de l’Oubritenga, du Kourwéogo, du Sanmatenga et du Ganzourgou, a 15 ans d’existence ; de 1993 à 2008, elle a réalisé avec le soutien de ses partenaires 2040 ha de cordons pierreux dans 65 villages et 1750 fosses fumières ; les 28 au 29 novembre, elle célèbre son anniversaire à Donsin , dans la commune de Loumbila.

- Comment se présente donc le calendrier de l’année scolaire 2008/2009 ? C’est à cette question que répond ci-après la Direction de la communication et de la presse ministérielle des Enseignements. Réponse qui s’inspire de l’arrêté interministériel n° 2008-0119/MESSRS/MEBA : Premier trimestre : du mercredi 1er octobre 2008 au mercredi 31 décembre 2008
- Jeudi 11 décembre 2008 : Fête nationale (férié) ;
- Du mardi 23 décembre 2008, après les cours de l’après-midi, au samedi 3 janvier 2009 inclus : congés du premier trimestre.

Deuxième trimestre : du lundi 5 janvier 2009 au mardi 31 mars 2009
- Lundi 5 janvier 2009 : reprise des cours
- Du samedi 21 mars 2009, après les cours, au mardi 31 mars 2009 inclus : congés du deuxième trimestre.

Troisième trimestre : du mercredi 1er avril 2009 au mercredi 15 juillet 2009
- Mercredi 1er avril 2009 : reprise des cours
- Vendredi 1er mai 2009 : Fête du travail (férié)
- Samedi 30 mai 2009 : fin des cours au secondaire
- Mercredi 03 juin 2009 : début des examens et concours scolaires
- Vendredi 10 juillet 2009 : fin des cours au primaire
- Mercredi 15 juillet 2009 : fin de l’année scolaire 2008/2009.

Rentrée scolaire 2009/2010

- Mercredi 15 septembre 2009 : rentrée administrative
- Jeudi 1er octobre 2009 : rentrée pédagogique.

- L’Amicale des anciens séminaristes de Pabré (AASP) consacre ce dimanche 30 novembre 2008 à sa traditionnelle journée des anciens séminaristes. Un seul lieu, le Petit séminaire de Pabré, où la messe solennelle d’action de grâce sera dite à partir de 9h00, suivie de l’Assemblée générale ; des agapes fraternelles et d’un match de football qui opposera les anciens aux séminaristes.

Tipoko l’Intrigante n’apprend rien d’elle-même, elle n’invente jamais rien. Tipoko l’Intrigante est un non-être. Elle n’est ni bonne en elle-même, ni mauvaise en elle-même. Elle fonctionne par intuition, car "l’intuition c’est la faculté qu’a une femme d’être sûre d’une chose sans en avoir la certitude..."

Ainsi va la vie. Au revoir. Ton cousin, Passek Taalé.

L’Observateur Paalga

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