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<I>Confidences du week-end</I> : Un nouveau phénomène à Ouaga, attention à vos portières

Publié le lundi 9 juin 2008 à 12h35min

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Les gens ont de l’imagination. Surtout la gent féminine. Il n’est plus prudent de s’arreter à un feu sans condamner les portières de sa voiture.Certains le faisaient déjà , mais en prévision des malfrats et autres bandits. Cette fois, il faut le faire à cause d’une certaine catégorie de filles adeptes du gain facile.

En effet, un Ouagavillois qui a marqué un arrêt une nuit à un feu de signalisation a été surpris de recevoir une visiteuse indélicate dans sa voiture. La fille est venue sagement ouvrir la portière du véhicule du monsieur et s’est confortablement installée avant de lancer au conducteur : "On y va !" "Où ?" demande ce dernier. " A la maison", reprend la fille. Devant le refus dudit conducteur de respecter la volonté de son "invitée", cette dernière prévient : "Si tu ne m’amènes pas chez toi, tu me donnes de l’argent sinon je vais crier pour dire que tu as abusé de moi sans vouloir payer". Troublé par de tels propos et voulant surtout se débarasser d’un tel danger, il fouille ses poches et lui tend le premier billet qu’il trouve : 10 000 F CFA. Heureuse, la fille ressort de la voiture et le malheureux rebrousse chemin et rentre chez lui pour aller méditer sur sa mésaventure.


Conflit entre agriculteurs et éleveurs : deux morts au commissariat de Tiankoura

Le conflit agriculteurs- éleveurs a encore fait des morts dans le département de Tiankoura, localité située à 25 km de Diébougou. Parmi les victimes il y avait deux agriculteurs qui, quelques jours auparavant, avaient été gardés à vue au commissariat de Tiankoura . Un d’entre eux est de Timbeo dans le département de Nako, et l’autre de Koulo à 5 km de Tiankoura. Les parents des victimes qui avaient refusé de récupérer les dépouilles de leurs parents ont finalement procédé à leur inhumation le 7 juin.


Un passager bien indésirable

Il y a quelques semaines, sur l’avenue Charles de Gaulle, un motocycliste qui avait marqué un arrêt aux feux tricolores a eu la désagréable surprise de voir un malade mental monter à l’arrière de son engin. Le passager indésirable s’est solidement cramponné, résistant ainsi aux injonctions et aux efforts du propriétaire de l’engin pour le faire descendre. Finalement, le malade mental s’est décidé tout seul à descendre. Seulement, il a continué à monter la garde au même carrefour, probablement pour rejouer le même tour à un autre usager de la route. Heureusement que la scène s’est arrêtée au stade de l’amusement dont ont profité les autres usagers hilares. Le malade mental aurait pu être plus violent.


Deux exemples de pardon entre agriculteurs et éleveurs

Lors d’une des rencontres de sensibilisation des producteurs organisées par le haut-commissaire du Zoundwéogo, un producteur a fait un témoignage sur des dégâts de champs, qui n’ont nullement affecté la cohabitation entre agriculteurs et éleveurs. D’abord ce sont 50 boeufs que l’agriculteur a trouvés dans son champ un beau matin. L’agriculteur les a reconduits à leur propriétaire et n’a demandé ni constat ni dédommagement. Comme on dit, il a "laissé passer." Ensuite c’est au tour du même éleveur de voir un jour son champ de maïs envahi par 11 boeufs. Leur propriétaire ? L’agriculteur tolérant. A son tour, l’éleveur a refusé de se faire dédommager. Les deux producteurs vivent toujours ensemble et se regardent d’un bon oeil ; exemples de pardon mutuel et de cohabitation pacifique entre des producteurs qui dépendent l’un de l’aure.


BEPC 2008 : un candidat retardataire refoulé

Cela s’est passé au lycée provincial Naba Baonga de Manga où sont basés les deux jurys de la province. Le jeudi 5 juin, premier jour de composition, tout s’est bien passé dans la matinée selon les présidents. C’est dans l’après – midi, au moment où ses camarades subissaient l’épreuve d’anglais, qu’est arrivé le candidat malheureux, "à 15 h23 minutes exactement", a laissé entendre Adama Konaté, président du jury I dont il relève. Malheureusement pour le candidat, les textes disposent que 20 minutes après le début d’une épreuve, aucun retardataire ne doit être admis en salle. Il a donc été simplement éconduit et n’a pas composé les épreuves en question. Signalons qu’au Zoundwéogo ils sont 856 candidats (476 garçons et 380 filles) dont 127 candidats libres à partir à la conquête du précieux parchemin. Les deux jurys ont enregistré 14 absents. Par ailleurs, les 85 candidats du lycée départemental de Gon – Boussougou subissent les épreuves dans le jury de Zabré (région du Centre - Est), ce qui ne manque pas de poser quelques difficultés pour l’établissement des statistiques.


CEP 2008 : le message de la ministre de l’Enseignement de base

Demain 10 juin, débute sur toute l’étendue du territoire national, les épreuves du Certificat d’études primaires (CEP) et du concours d’entrée en 6e. A cette occasion, la ministre de l’Enseignement de base et de l’Alphabétisation, Odile Bonkoungou, a adressé le message ci-dessous.

"Chers enseignantes et enseignants ;

Chers encadreurs ;

Chers partenaires sociaux de l’éducation de base ;

Chers parents d’élèves ;

Chers enfants.

La fin de l’année scolaire 2007-2008 s’annonce avec la préparation de la session des examens et concours scolaires.

En effet, les 10, 11, 12 et 13 juin 2008, 147 851 candidats et candidates prendront d’assaut les différents centres d’examens pour subir les épreuves du Certificat d’études primaires et du concours d’entrée en classe de sixième.

A cette occasion, je voudrais renouveler toute ma gratitude aux parents d’élèves, aux mères éducatrices, aux encadreurs pédagogiques et aux enseignants, pour leur précieux accompagnement multiforme.

J’apprécie hautement, leur disponibilité, leur unité et leur synergie d’actions, indispensables pour garantir une bonne année scolaire.

Je leur adresse mes sincères félicitations et tous mes encouragements.

A vous chers enfants, n’ayez aucune crainte. Travaillez bien et vous serez admis à vos examens et concours.

Courage et bonne chance !"


Enfance en difficulté : le désarroi de Léa Tapsoba

Nous avons reçu à notre rédaction, une dame répondant au nom de Léa Tapsoba. Elle est ménagère et, pour se rendre utile, elle a décidé de collaborer avec Home Kisito comme nourrice. Depuis lors, elle a eu à s’occuper de plusieurs enfants qui lui ont été confiés par cette structure et jusque-là il n’y a pas eu de problème. Cependant, le neuvième enfant dont elle a la garde (actuellement) semble ne pas avoir le même destin que les autres, selon Léa Tapsoba. Celle-ci raconte qu’en temps normal, avant de lui confier un enfant, Home Kisito lui faisait appel pour qu’elle remplisse certaines formalités. Mais , pour cette enfant, une fille, cela n’a pas été le cas. L’enfant lui a été amené directement chez elle à la maison. De plus, la petite n’avait qu’un mois et quelques jours "alors qu’habituellement ce sont des enfants âgés d’un à trois ans que l’on me confie", raconte Léa Tapsoba. Elle a ajouté que la petite a été amenée du Ghana par une femme du nom de Somé Bénéwendé Amandine Marie Dora et qui dit être sa maman. "Quand le bébé est arrivé, il était très malade, les cheveux remplis de poux. Ce sont deux femmes, madame Yaméogo de Home Kisito et celle qui prétend en être la mère , qui me l’ont amené, il y a de cela quatre ans," raconte Mme Tapsoba, entre deux larmes. "Elles m’ont fait comprendre qu’il n’y avait ni registre à remplir, ni papier à signer", ajoute-t-elle. Léa affirme s’être occupée de l’enfant et, en bonne chrétienne, elle l’a fait même baptiser. Elle déclare aussi que personne ne venait voir l’enfant, pas même celle qui dit être sa mère. "Aujourd’hui, se lamente-t-elle, on veut me la retirer pour en faire je ne sais quoi", dit-elle en sanglotant. "La femme ghanéenne m’a fait savoir que si j’accepte de remettre l’enfant, des Blancs vont s’occuper financièrement de moi, jusqu’à mon dernier soupir", nous confie Léa Tapsoba qui explique avoir compris, dès lors, que la petite avait certainement été "vendue".

"Aidez-moi", dira cette femme, après son récit. Et d’ajouter : "J’ai été voir la religieuse de Home Kisito et la gendarmerie, mais sans succès. A l’Action sociale et à la Justice, j’ai essuyé le même échec. Tous m’ont dit de remettre l’enfant à la dame qui, pensent-ils, en est la mère. Je vais peut-être lui rendre la petite mais à la condition que je sache comment et pourquoi un bébé malade m’a été rammené de façon illicite du Ghana et quelle sera sa destination prochaine. Je me suis attachée à cette fillette avant et après le décès de mon époux et, pour rien au monde, je ne voudrais qu’il lui arrive malheur." Léa Tapsoba précise également que, de tous les enfants dont elle a eu la garde (8 au total), aucun n’est resté avec elle pendant quatre ans et plus. Les enfants lui étaient confiés pour quelques mois, voire une année et ensuite, Home Kisito les reprenait et auparavant, ils étaient inscrits sur le registre de ladite structure où Léa Tapsoba laissait ses empreintes digitales avant de s’en occuper, nous a-t-elle confié.


Prix Albert Londres : fierté partagée de Ramata Soré

"C’est une fierté pour moi". Ce sont les premiers mots prononcés par Ramata Soré lorsqu’elle a été déclarée 2e de la 70e édition du prestigieux prix Albert Londres. Cette fierté de la journaliste du bimensuel "L’Evénement", l’ambassadeur de France au Burkina, François Goldblatt et ses collaborateurs, la partageaient également. C’est dans cette logique que le diplomate français a offert un déjeuner en l’honneur de Ramata le mardi 3 janvier dernier à sa résidence. Plusieurs journalistes ont été associés à ce repas convivial à souhait. Et, tout autant que Benjamin Barthes, le lauréat du prix en presse écrite, Ramata Soré peut s’enorgueillir d’être montée sur le podium des vainqueurs. Dommage que pour un prix d’aussi grande envergure, les 2e et 3e places ne soient pas dotées.


OMD : de jeunes leaders bientôt en concertation

De jeunes leaders représentant une trentaine d’associations du Burkina seront en concertation à Ouagadougou dans la dernière semaine du mois de juin dans le cadre du Réseau des jeunes leaders pour l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Cette rencontre organisée par l’Alliance des jeunes leaders du Burkina pour les OMD, va préparer la mise en place de l’organe du réseau national des jeunes leaders et de celui du réseau sous-régional à Bamako. Auparavant, l’Association trait d’union des jeunes Burkinabè (ATUJB), qui coordonne les actions du réseau au niveau national, mettra son expertise au service du Centre municipal polyvalent de Ouagadougou qui organise en fin de semaine prochaine, un atelier sur la prise en charge des personnes vivant avec le VIH/sida. Il s’agit d’améliorer les références et contre-références d’une quinzaine d’associations de Ouagadougou.


Le geste du Moro Naaba à l’endroit de Irissa Kaboré

Après avoir réuni la famille de la boxe à son palais le 5 juin dernier pour offrir une réception dédiée la ceinture internationale obtenue par le boxeur Irissa Kaboré, le Moro Naaba a mis du baume au coeur du pugiliste. En effet, avant que les convives ne quittent le palais, l’empereur des Moossé a remis la somme de 2 881 000 F CFA à Irissa Kaboré. C’est le fruit des dons qu’il a collectés pour encourager et soutenir cet espoir de la boxe burkinabè. Un geste qui a tellement ému Irissa Kaboré qu’il était aux anges.


Police de proximité : la presse de l’Ouest initiée

Une cinquantaine de journalistes de l’Ouest du Burkina, c’est-à-dire des régions des Hauts-Bassins, des Cascades, et du Sud-Ouest, ont pris part le 6 juin dernier à Bobo Dioulasso à un atelier organisé par le ministère de la Sécurité sur le concept de la police de proximité. Les travaux ont permis aux participants, issus de la presse audiovisuelle ou écrite, de bien appréhender le concept de la police de proximité, le rôle des acteurs, et de proposer des activités à même de renforcer la contribution des médias dans la vulgarisation du concept de police de proximité ainsi que dans sa mise en oeuvre. Le ministre de la Sécurité, Assane Sawadogo, a exprimé toute sa satisfaction à la clôture de l’atelier qui met un terme à la campagne de sensibilisation entreprise par son département en direction des hommes de médias. Il s’agit, à travers eux, a expliqué le ministre Sawadogo, de faire en sorte que la population soit informée du concept de la police de proximité et des modalités de sa mise en oeuvre. La proximité est un autre modèle de gestion de la sécurité publique axée sur la communauté. Elle consiste à intégrer au mandat opérationnel des forces de sécurité intérieure, la participation des communautés dans la gestion de la sécurité par la prévention de l’insécurité.


Danger des armes légères : le RASALAO sensibilise à Bobo

Proche de la Côte d’Ivoire qui sort progressivement d’un conflit armé, la région des Hauts-Bassins est une zone potentiellement dangereuse en matière de circulation des armes légères et de petit calibre (ALPC). Et c’est pour contribuer à déminer la région et ses environs, que le Réseau d’action sur les armes légères en Afrique de l’Ouest (RASALAO), section du Burkina, a organisé le 5 juin dernier à Bobo Dioulasso, un atelier d’information sur les risques liés à la circulation des armes légères et de petit calibre. Le gouverneur de la région, par la voix du secrétaire général du gouvernorat des Hauts Bassins, Ahmed Sory Ouattara, a félicité et exprimé son soutien au RASALAO/Burkina pour son option de s’attaquer à la problématique des armes par la promotion de la convention CEDEAO sur les ALPC dans sa région. Une soixantaine de personnes ont pris part à l’atelier de sensibilisation sur le danger des armes légères et de petit calibre..


Première édition des Journées de la vie associative

Sous l’égide du Réseau des organisations de jeunes pour le développement (ROJD) s’est tenue à Ouagadougou, du 3 au 6 juin dernier, la première édition des journées de la vie associative. La rencontre aura permis de créer un cadre d’échanges, de formation et de réflexion entre les acteurs de la société civile. Ainsi, des ateliers de formation ont été organisés sur la gestion administrative et financière des organisations , la planification et le suivi des activités et les techniques d’élaboration des micro-projets. En plus des conférences sur la santé de la reproduction des jeunes, les droits des enfants , etc, il y a aussi des activités récréatives. Les organisations de la société civile sont décidées avec l’appui de leurs partenaires comme le PNUD, le PAMAC, les ministères en charge des Sports, de la Jeunesse et de la Santé, à pérenniser cette initiative qui permet de renforcer leur coopération et leur partenariat.


Droits des handicapés : la convention internationale en vigueur depuis le 3 mai

Après son adoption en janvier 2006 par l’Assemblée générale des Nations unies, la Convention internationale sur les droits des personnes handicapées est entrée en vigueur le 3 mai 2008. Et cela après sa ratification par 25 pays (le nombre minimal requis était de 20) contre plus de 120 signatures. Le Burkina fait partie des pays qui ont signé la convention et son protocole facultatif sans toutefois l’avoir ratifiée pour le moment.

L’objectif de la convention est de promouvoir, de protéger et d’assurer la pleine et égale jouissance de tous les droits de l’Homme et de toutes les libertés fondamentales par les personnes handicapées et de promouvoir le respect de leurs valeurs intrinsèques. Elle couvre des domaines clés comme l’accessibilité, la liberté de mouvement, la santé, l’éducation, l’emploi, l’adaptation et la réadaptation des personnes handicapées. Sans oublier la participation à la vie politique, l’égalité et la non-discrimination de ces personnes. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la convention ne crée ni de "nouveaux droits", ni de "droits particuliers" mais exprime plutôt des droits existants, en prenant en compte les besoins et la situation des personnes handicapées.

Le Burkina n’ayant pas encore ratifié la convention, une campagne de plaidoyer est menée en interne pour l’amener à en être un Etat-partie. Celle-ci se fait sous la houlette d’ONG de défense des droits des personnes handicapées ADD (Action on disability and development), créée en 1985 pour appuyer les organisations de personnes handicapées (OPHs) dans les pays pauvres d’Afrique et d’Asie. Et cela dans l’optique d’aider à l’émergence d’un mouvement fort et représentatif capable d’oeuvrer pour la promotion des droits des enfants et adultes handicapés en vue de leur pleine inclusion dans la société.


Lutte contre l’analphabétisme : pour une meilleure gestion des ressources forestières

Dans le domaine de la gestion des ressources forestières, l’analphabétisme participe pour une grande part à la mauvaise gestion de ces ressources et à l’accélération du phénomène de la désertification.

C’est pour lutter contre le phénomène de la désertification et accroître les revenus des populations que la Direction régionale de l’Environnement et du Cadre de vie du Centre-Nord, en partenariat avec les Groupements de gestion forestière (GGF) des sous –zones de Korko –Barsalogho et de Malou, a organisé une formation sur une période de deux mois en alphabétisation initiale.

60 membres des Groupements de gestion forestière (GGF) qui ont bénéficié de cette formation se sont montrés très réceptifs, ce qui s’est traduit par l’assiduité des auditeurs, les résultats atteints, mais surtout le souhait d’étendre cette formation à d’autres villages et à d’autres groupes spécifiques comme les femmes.

A la cérémonie de clôture des sessions de formation dans les deux centres de Barsalogho et de Malou, le Directeur provincial de l’Environnement et du Cadre de vie du Sanmatenga, représentant le Directeur régional, n’a pas manqué de manifester sa satisfaction quant aux résultats obtenus.

Pour le directeur régional de l’Environnement et du Cadre de vie du Centre-Nord, une gestion durable des ressources forestières n’est pas possible sans une participation responsable des populations elles-mêmes.


Salif Kaboré derrière les Etalons à Tunis

Profitant d’une mission de la SONABEL à Tunis où il était en compagnie de son directeur de la communication, le directeur général da la Nationale de l’électricité, El Hadj Lamoussa Salif Kaboré figurait parmi les supporters des Etalons dans les tribunes du stade de Radès. C’est en supporter comblé qu’il est rentré de Tunis où les Etalons ont remporté une superbe victoire devant les Aigles de Carthage.


Le duel de la mairie de Bogodogo

Ambiance particulière à la mairie de Bogodogo le samedi 7 juin dernier. Après la désignation du candidat du CDP pour l’élection du maire (Mme Zénabou Drabo ayant démissionné) à savoir Henri Kaboré, on croyait que le vote serait une formalité. Contrairement à ce que nous avions annoncé dans notre édition du vendredi cela n’avait pas eu lieu. Mais, un autre candidat du même parti s’est signalé en l’occurrence, le premier adjoint au maire, Mustapha Ouédraogo. Finalement, Henri Kaboré s’est imposé aux élections avec 18 voix contre 12 pour son challenger.

Le pays

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