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<I>Pot-Pourri </I> : Les loueurs de véhicules crient à la concurrence déloyale

Publié le vendredi 5 octobre 2007 à 08h30min

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Dans le SOS ci-dessous, le secrétaire adjoint aux relations extérieures de l’ALPVB, Moussa Gnégné, évoque des cas de concurrence déloyale.

"En ma qualité de Secrétaire adjoint aux relations extérieures de l’Association des loueurs professionnels de véhicules du Burkina (A.L.P.V.B.), je lance un cri d’alarme, au nom de tous les membres de notre association, à l’attention des autorités compétentes.

En effet, depuis un certain temps, notre secteur d’activité est envahi par des individus de tous genres qui nous font une concurrence déloyale alors que nous avons des papiers pour exercer notre métier et payons l’impôt. Toutes ces gens que je ne nommerai pas et qui font le travail à notre place nous empêchent de gagner notre vie et de nourrir nos familles.

En plus de ces gens, s’ajoute le Parc automobile de l’Etat (PAE) qui loue les véhicules aux étrangers qui sont de passage pour des réunions, séminaires et autres sommets. Il arrive de voir tout un car pour un seul passager. Tout cela n’est pas normal. Parlant de lutte contre la pauvreté, comment y parvenir si des gens qui occupent d’importants postes se mettent à concurrencer de petits débrouillards comme nous ?

Je tiens à attirer l’attention du public burkinabè et des autorités compétentes pour que cessent de tels agissements et que chacun reconnaisse sa place et y reste.

Il y a de nombreuses réunions en vue dans notre pays, et nous souhaitons qu’il soit mis fin dans de brefs délais à de tels agissements pour nous permettre de payer les impôts, car nous tirons vers la fin d’année."


A quand le procès des fraudes aux concours professionnels ?

Amadou Moussa Ouédraogo, "représentant d’un groupe d’agents intègres à la Direction générale des Impôts", s’indigne, ici, des cas de fraudes dans les concours professionnels.

"En 1999, nous avons dénoncé des fraudes massives qui ont émaillé l’organisation du concours professionnel de l’ENAREF. Après des enquêtes, la gendarmerie a conclu que la situation n’était pas alarmante. Pourtant la dénonciation était appuyée de preuves tangibles. Nous avons même été convoqué à la gendarmerie, mais nous ne sommes pas allé au bout de nos idées, si bien que la même situation s’est reproduite cette année avec plus d’ampleur. Les mêmes qui avaient fraudé cette année-là et qui ont fait l’objet de dénonciation rentrent par la même porte à l’ENAREF. Pourtant, l’administration sait que nous n’avons pas eu tort.

Une dame, après avoir construit un château à Ouaga 2000, des célibateriums disséminés dans la ville de Ouaga, a pu s’acheter une place à l’ENAREF.

Une autre a chanté à Kadiogo 4 qu’on l’avait enlevée du bureau PUH, mais qu’elle irait à l’école pour revenir. Son mari et elle-même avaient utilisé les mêmes chemins pour accéder à l’ENAREF en 1999. D’ailleurs, à en mesurer par la multitude de villas, de voitures et de taxis dont ils disposent, on se demande si ces agents ne viennent pas d’une autre planète que celle qui supporte la DGI.

Un monsieur qui avait milité dans le SNAID, syndicat des Impôts, est encore dans le système de la fraude. En 1999, il s’était déplacé à Bobo pour traiter les épreuves avec un groupe de fraudeurs .

On connaît un autre aussi qui a parachuté comme SAF et a pu s’octroyer une place à l’ENAREF comme ce qu’il avait réussi en 1999. La liste est longue.

A quelques jours du concours, les sujets se communiquaient comme des arachides à Ouaga, et surtout à la DGI siège. De grâce, préparez des cadres propres et honnêtes. Epargnez le pays des cancres et des corrompus pour le bien de la nation."


Université de Ouagadougou : retour des étudiants au SIAO ?

Selon des sources proches de l’université, il est fort probable que certains étudiants suivent leurs cours sur le site du SIAO, à la rentrée prochaine. Ce serait le dernier recours qui reste à la présidente Odile Nacoulma pour faire face provisoirement au flux d’étudiants de plus en plus incontenable, en attendant la solution définitive de l’université Ouaga II. On se rappelle que cette solution avait déjà été expérimentée, il y a quelques années, lors de la refondation de l’UO. Cela avait suscité des gorges chaudes au sein des étudiants qui avaient longtemps protesté, au motif notamment qu’ils n’étaient pas "des objets d’arts pour aller s’exposer au SIAO". Après un long bras de fer entre étudiants et autorités, les premiers avaient fini par capituler et les cours se sont déroulés sur ce site durant plusieurs années, avant que le SIAO ne décide de retirer son local. Osons croire que cette fois-ci les choses se passeront autrement.


Des partis de la mouvance présidentielle dans la désillusion

La période postélectorale des législatives de mai 2007 laisse voir des dissensions et désillusions au sein de certains partis de la mouvance présidentielle. C’est pourquoi des vélleités de partition et des cas de démissions se manifestent au niveau de quelques formations politiques de cette mouvance. Des cadres de certains de ces partis qui espéraient des confortables récompenses politques par des postes électifs ou administratifs, se retrouvent à present désillusionnés et crient à la trahison et au mépris. Certains même se demandent s’ils ont fait le bon choix en allant à la mouvance présidentielle plutôt que de rester dans l’opposition.


Djibo : quand le maire fait enfermer des conseillers

Des conseillers municipaux de Djibo ont été enfermés au commissariat de police pour avoir voulu s’informer sur un hameau que le maire voulait ériger en quartier ou en village, et aussi sur la question du déguerpissement qui a déçu plus d’un.

Apparemment, le maire n’aime pas les critiques, les reproches ou les propos contradictoires. En tout cas, à Djibo, il se murmure au sein de la population que des manifestations se préparent. En un an, le bilan ne semble pas reluisant. Ecouter, échanger et accepter certaines critiques, c’est ce que les citoyens et conseillers de Djibo attendent de leur édile.


Des militaires retraités et en activité revendiquent leurs droits

Les anciens militaires et miliaires en activité se sont retrouvés le 30 septembre dernier en assemblée générale à Ouagadougou. A l’ordre du jour, le compte rendu à la base de la 4e rencontre du bureau avec la commission ad hoc créée par le ministère de la Défense pour examiner un certain nombre de revendications des anciens militaires et militaires en activité. Celles-ci ont pour noms la prise en compte des admis à la retraite en 2006 dans le bénéfice de l’indemnité de départ à la retraite et d’installation, la correction des années de service en ce qui concerne la pension et la restitution des 4 ans restants sur les 5 années qui avaient été ôtées de l’âge de départ à la retraite. La principale information livrée au cours de l’assemblée générale est que la dernière rencontre n’a rien donnée de satisfaisant.

Selon ce qui est ressorti de la rencontre, les participants en ont pris acte et ont décidé de se retrouver à nouveau le 9 octobre prochain pour une autre assemblée générale à la Maison du combattant à Ouagadougou. Et cela, pour adopter la conduite à tenir en vue d’obtenir la satisfaction de leurs points de revendication.


2 mois de retard de salaire pour des agents

Des agents d’une brasserie de la place craignent pour leur avenir. Depuis deux mois, ils n’ont pas reçu de salaire. La direction de la société semble désarmée puisqu’elle-même serait dans la même situation.

Le dernier recours reste le P-DG de l’entreprise qui a promis de faire quelque chose au cours de ce mois d’octobre. Les travailleurs sont accrochés à cet espoir. En attendant, le travail continue.


Marchés publics : controverse sur la procédure du moins-disant

Le débat récurrent sur la procédure d’attribution des marchés publics selon le principe du prix le moins- disant a encore refait surface à la rencontre gouvernement/secteur privé la semaine dernière à Bobo Dioulasso. Les opérateurs économiques ont dénoncé ce principe qui pousse de plus en plus les entrepreneurs à proposer des prix exagérément bas dans l’optique d’obtenir des marchés tout en étant convaincus que ces prix bas ne permettent pas l’exécution correcte des marchés. Ce qui a amené les opérateurs économiques à proposer qu’une solution médiane soit adoptée, qui consiste à n’attribuer les marchés publics ni aux prestateurs dont les offres de prix sont les plus bas ni à ceux dont les offres de prix sont les plus élevés, mais à ceux qui sont les mieux-disant et dont les prix se situent entre les deux niveaux. Cela devrait éviter des travaux de mauvaise qualité ou des travaux inachevés.

En plus de cette question importante, les opérateurs économiques ont proposé la baisse de la pression fiscale qui asphyxie les entrepreneurs.


Des écoles publiques défectueuses ou en chantier après la rentrée scolaire

Au secteur 16 de Ouagadougou, une école primaire est toujours en réfection pendant que la rentrée solaire est effective depuis le 1er octobre 2007. Une partie de cette école attend toujours la réfection de sa toiture. Les parents d’élèves se demandent pourquoi ce retard, et si c’est l’école qui doit assurer sur fonds propres les travaux de réparation ou le ministère de tutelle, le MEBA. Toujours dans le même secteur, la toiture du hangar d’une maternelle est fendue, ce qui inquiète les parents d’élèves qui craignent que la chute éventuelle des tôles abimées de ce hangar fasse des victimes parmi les enfants. Si les parents d’élèves saluent la mesure novatrice de la gratuité des fournitures scolaires au primaire, ils déplorent le manque d’entretien de certaines écoles publiques et pensent que le gouvernement devrait veiller aussi sur la qualité des infrastructures scolaires.


Corruption : le PF interpellé

Dans cette correspondance adressée au père Jacques Lacour, ce citoyen se lamente du niveau atteint par les fraudes et la corruption au Burkina.

"Si je tiens à vous écrire, c’est pour vous féliciter de la franchise de vos propos diffusés par le journal "Le Pays". Vraiment, notre Burkina va mal, et c’est très grave, car à ce rythme, je me demande que sera l’avenir de nos enfants (...). Si nous revenons aux fraudes des concours passés et les jugements qui se sont suivis, ça me fait rire, car c’est du chantage. Si on prend l’exemple d’un candidat qui est admis à un concours sans avoir composé. D’où vient la fraude ? des sujets tirés par- ci ou par-là ? On connaît des gens qui ont payé 400 000 F CFA pour leurs fils ou leurs frères pour des concours. Donc, il est temps pour nous d’interpeller notre président et son gouvernement de faire un effort et de réduire la corruption, même de 25% par rapport à la situation actuelle. Je vous remercie beaucoup."


Le Burkina Faso à la 62e session ordinaire de l’Assemblée générale de l’ONU

La 62e session ordinaire de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies s’est ouverte le 18 septembre 2007 à New York sur le thème de la lutte contre le réchauffement climatique. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale, Djibrill Bassolé, qui conduit la délégation burkinabè, a prononcé le 2 octobre dernier, un discours dans lequel il a abordé le thème officiel de la session, qui lui a permis d’évoquer les inondations dont ont été victimes plusieurs régions du Burkina.

L’engagement du Burkina Faso dans l’instauration de la paix et de la sécurité dans la sous- région, la question du nucléaire et des armes légères, la candidature du Burkina Faso à un siège de membre non permanent du Conseil de sécurité pour la période 2008-2009, ont été développés par le chef de la diplomatie burkinabè. Il a aussi appelé à la reconnaissance des droits des vingt-trois (23) millions de Taïwanais. L’intégralité de ce discours est à lire dans nos prochaines éditions.


Halte à l’occupation abusive de la chaussée !

Tizane Daho, un de nos lecteurs, a observé une scène sur la voie publique qu’il décrit dans l’écrit ci-dessous qu’il nous a fait parvenir.

"Je suis un fidèle lecteur de votre journal. Je n’ai pas besoin de dire que vous faites un travail fabuleux, ça se constate sur le plan international. Je souhaiterais attirer votre attention sur un

fait. Il arrive à Ouaga qu’un véhicule tombe en panne ou fasse un accident ; ce véhicule peut rester sur la voie publique pendant plusieurs jours. A titre d’exemple, j’ai remarqué sur la voie que j’emprunte pour rentrer chez moi, la route de Fada, au niveau de l’ENAREF, un véhicule visiblement victime d’un incendie. J’ai remarqué le véhicule depuis le 23 septembre, et jusqu’au 2 octobre, il y était encore. Quand on sait les dangers sur cette route. Vous avez certainement relevé une fois cet état de fait, je ne me rappelle plus. Je suggère que vous rappeliez à nouveau aux autorités l’urgence de prendre des mesures pour éviter des situations malheureuses."


Inondations dans les Cascades : les ressortissants se mobilisent

A la suite des inondations enregistrées dans la région des Cascades, une première somme de 850 000 FCFA, déduction faite des frais de collecte et d’envoi, et huit colis d’habillements et de chaussures viennent d‘être expédiés au profit des sinistrés de Kouéré, Niofila et d’autres localités. Cette contribution provient d’une quête spontanée, organisée récemment à Ouagadougou par la section locale de l’Association pour le développement économique et socio-culturel de la Région des Cascades (ADESCA).

Lors d’une grande rencontre à la maison des jeunes et de la culture, et sous une pluie battante, les frères et sœurs de la région résidant dans la capitale ont tenu à marquer leur solidarité à l’égard des sinistrés. Ils traduisent dans les faits l’engagement pris lors de la tenue à Banfora en décembre dernier, du forum de concertation pour le développement qui a donné naissance à l’ADESCA.

Selon les responsables, l’organisation confirme ainsi qu’elle a véritablement amorcé son nouveau départ, qu’elle pousse des racines et étend progressivement sa toile sur l’ensemble du pays et hors du Burkina, partout où se trouvent les ressortissants des Cascades. Ils précisent également que la quête se poursuit (voir "Le Pays" du mardi 11 et du jeudi 13 septembre 2007 pour la liste des personnes habilitées à recevoir les dons).


Chapeau au père Jacques Lacour !

Nous avons reçu ce mail de Brigitte, qui se félicite de l’animation de la rubrique "Droit dans les yeux" par le père Jacques Lacour, après le départ de père Balemans.

"J’espère que vous allez bien. Je m’appelle Brigitte, je suis de Kindi/Koudougou. Je viens vous féliciter pour ce que vous faites pour mon pays. Depuis le départ de père Balemans, j’étais inquiète. Je me suis demandé qui allait le remplacer un jour. Et comme un don du ciel, juste après, je voyais toujours "Droit dans les yeux" qui continuait de paraître. C’est la seule partie qui m’intéresse et que je peux lire sans m’énerver dans le journal(...).

Que Dieu vous donne la santé, la force et la foi pour que vous continuiez à écrire pour éveiller la conscience des gens. Heureusement qu’il y a encore des gens comme vous : digne, honnête et intègre. Merci et bonne journée, mon père."


Les Etats-Unis donnent de la nourriture au Burkina Faso

Suite à une analyse des besoins nutritionnels au Burkina Faso, effectuée par le Bureau d’assistance de l’USAID en cas de désastre (OFDA), les Etats-Unis ont fait 2 dons importants de nourriture d’une valeur totale, à ce jour, de 3 112 000 dollars US en cette année 2007. Ces dons ont été faits à travers le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies. Le premier don, d’une valeur de 1 995 000 dollars US, a été fait en janvier et comprenait 2 000 tonnes de farine de soja/maïs et 500 tonnes d’huile végétale enrichie à la vitamine A. Le deuxième don, d’une valeur de 1 117 000 dollars US, a été fait en septembre et comprenait 890 tonnes de farine de soja/maïs et 230 tonnes d’huile végétale enrichie à la vitamine A.

Les deux dons permettront au PAM de venir en aide à 65 000 enfants âgés de moins de trois ans et 56 000 femmes enceintes ou allaitant, atteints de diverses formes modérées de sous-alimentation.

Ces dons font des Etats-Unis le principal donateur de l’opération du PAM lancée en janvier 2007 pour s’attaquer au problème croissant de la sous-alimentation au Burkina Faso.

Par l’ensemble de cette opération, le PAM vise à venir en aide à 668 500 enfants et femmes enceintes ou allaitant, sous-alimentés, sur une période de deux ans.


Semaine commerciale de Taïwan

L’ambassade de la république de Chine (Taïwan) organise, en collaboration avec L’Office du commerce extérieur de Taïwan (TAITRA), une semaine commerciale à Ouagadougou du 8 au 14 octobre 2007 dans la salle Dimako de Azalaï hôtel Indépendance.

Cette semaine commerciale qui mettra l’accent sur les secteurs de l’informatique, la communication, la biotechnologie, l’énergie solaire et le matériel didactique pour la formation technique, scientifique et professionnelle, sera l’occasion pour les Taïwanais de montrer un pan des nombreuses opportunités d’affaires qu’ils peuvent offrir à leurs partenaires dans les secteurs économiques à forte valeur ajoutée.

L’ambassade de la république de Chine (Taïwan) invite donc les professionnels des secteurs concernés par l’exposition à saisir cette occasion pour établir et/ou renforcer leurs contacts commerciaux avec leurs partenaires taïwanais.


Distribution des vivres à Yako : la tradition est respectée

Depuis le samedi 22 septembre, le richissime Oumarou Kanazoé a encore ouvert les vannes de ses gigantesques magasins au profit des populations de Yako. On le sait, même si la pluviométrie présage de bonnes récoltes, le mois de septembre est une période de soudure connue pour ses difficultés alimentaires. C’est justement pour soulager un tant soit peu l’indigence de ces populations que cette distribution est organisée. Avec une tine de maïs par chef de ménage, c’est une grosse épine de moins des pieds de milliers de personnes qui ne tarissent pas d’éloges et de bénédictions à l’endroit du donateur. Il faut rappeler que ces dons sont régulièrement organisés depuis plusieurs années et s’inscrivent dans une logique traditionnelle impatiemment attendue par les indigents chaque année.


Lutte contre le Sida, le CPLS/Passoré se réveille

Après une longue période morte, le Comité provincial de lutte contre le Sida (CPLS) du Passoré revient sur la scène locale. Il a organisé des activités de sensibilisation et d’information dans 7 villages et 3 secteurs de la commune de Yako du 22 au 28 septembre derniers. A travers des causeries éducatives et des cinés- débats, une équipe de l’Action sociale, sous le pilotage du préfet et secrétaire général de Yako, a entretenu ces populations sur 4 thèmes que sont : les modes de transmission du VIH, les signes extérieurs de reconnaisance du Sida, les MST autres que le Sida, et les attitudes de l’entourage pour éviter la marginalisation des malades du Sida.

Des sorties qui démontrent l’importance de ces structures de proximité pour peu qu’elles aient les moyens financiers conséquents. La seule fausse note de cette campagne est que la presse locale n’a pas été associée pour mobiliser davantage les populations à l’écoute des précieux conseils de l’équipe d’animation. Le CPLS est présidé par le haut-commissaire de la province.


Le CSC à la rencontre des médias de Gaoua

La directrice régionale de l’Ouest du Conseil supérieur de la communication, Hyacinthe Sanou, était à Gaoua le 8 septembre dernier. La responsable du CSC des Hauts-Bassins couvrant le grand Ouest a expliqué aux différents médias les missions du CSC, en particulier celles qu’elle assume. La représentante régionale du CSC visait également, à travers sa visite à Gaoua, à établir un partenariat avec la presse de la cité du Bafuji.

Le Pays

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