Plusieurs activités sont au programme de la mission de Bretagne international conduite par Koffi Yamgnane, vice-président du conseil général du Finistère : visites touristiques au parc animalier de Ziniaré et au village artisanal, rencontre avec des autorités (politiques et économiques) du Burkina Faso et de la Commission de l’UEMOA, de l’ambassade de France, rencontre avec les opérateurs économiques etc. Le but de la commission de Bretagne international c’est de nouer de contacts d’affaires avec des opérateurs économiques du Burkina Faso et ceux des pays de l’UEMOA attendus à Ouagadougou pour la circonstance.

La présente mission dénommée « spéciale Afrique Occidentale » entend contribuer au développement international de l’économie régionale car Bretagne international accorde un intérêt particulier aux territoires encore insuffisament explorés pourtant consituent de réelles opportunités de marchés pour les entreprises. Elle s’adresse également aux filières agri-agro/pêches, équipements et produits, BTP eau assainissement, énergie, TIC, images, réseaux et télémédcine.

La délégation conduite par le vice-président en plus du Burkina va séjourner au Bénin. Bretagne international est une association d’entreprises contrôlées par un conseil de surveillance et un directoire. Le conseil de surveillance est présidé par le président de la région Bretagne, par ailleurs, président de l’Agence régionale de développement économique.

Relance du cycle de Doha : l’OMC appelle à plus de solidarité

Face au risque pour les négociations du cycle de Doha de perdre de vue l’importance d’un système multilatéral commercial équitable pour les pays pauvres, le directeur général de l’OMC, Pascal Lamy a appelé, mardi 16 janvier 2007, les pays riches à plus de solidarité pour faciliter l’aboutissement des négociations de Doha. Celles-ci avaient butté en juillet dernier sur l’intransigeance des Etats-Unis, de l’Europe sur la réduction des soutiens ou subventions à leurs agriculteurs.

Côte d’Ivoire : le cacao rapporte toujours gros

Premier producteur mondial de cacao avec 1,200 million de tonnes de fèves (40% de l’offre mondiale), les ventes de cacao constituent la première source de devises de la Côte d’Ivoire et 30% de la valeur totale des exportations. On pourrait dire que le cacao est à la Côte d’Ivoire ce qu’est le coton pour le Burkina, cette culture qui fait vivre près de 3 millions de personnes, et près de 60% des recettes d’exportations.

La croissance mondiale au vert, selon la FMI

Le monde va encore accumuler plus de richesses cette année. En effet, le Fonds monétaire international prévoit une croissance mondiale de 5% en 2007. Après 4 années consécutives de forte croissance, nous attendons à ce que la croissance mondiale reste solide, a estimé le directeur général du FMI, Rodrigo Rato. En dépit de cette probable performance, les économies avancées devraient continuer à maintenir un bon équilibre dans leur politique monétaire afin de prendre en compte le risque d’un ralentissement plus marqué que prévu et celui d’un possible regain d’inflation.

Téléphone mobile : 1 milliards de portables vendus

Selon des experts de la téléphonie mobile, réunis à Las Vegas (USA), environ 1 milliard de téléphones mobiles ont été vendus dans le monde en 2006. 2 milliards sont en fonction actuellement et moins de trois ans suffiraient pour franchir la barre de 3 milliards. Le marché est dominé, en ce moment, par Nokia suivi de Motorola.

La France, championne de la natalité

Dans un bilan démographique rendu public, mardi 16 janvier dernier, l’Institut national de la statistique (INSEE) affirme que la France a franchi la barre de deux bébés par femme en 2006, le taux de fécondité le plus élevé en Europe. Alors que les débats sur l’élection présidentielle défraie la chronique, les Français sont estimés à plus de 63, 4 millions au 1er janvier 2007, soit 830 900 naissances de plus en 2006.

Le seuil de remplacement des générations de 2007 par femme est pratiquement atteint, souligne l’INSEE. L’espérance de vie est également en hausse : 77 ans. Pour l’heure, les économistes ne sont pas parvenus à expliquer rigoureusement ce regain de vitalité démographique en France. Au Burkina, on attend de voir ce que le recensement général de la population et de l’habitation entrepris du 9 au 23 décembre 2006 va donner comme résultat.

Sidwaya.bf