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Yatenga - Attribution de parcelles : Le siège de la commission cambriolée

Publié le mardi 22 novembre 2005 à 08h35min

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Le samedi 19 novembre dernier, on a constaté un cambriolage au siège de la commission d’attribution de parcelles de Ouahigouya, sis à la maison des jeunes et de la culture de ladite ville.

On ne sait pas quand exactement cela a eu lieu, mais la souris, l’écran et le clavier d’un ordinateur ont été volés et un lot de paperasse laissé dans un désordre total. De toute apparence le (ou les) cambrioleur (s) devrait (ent) avoir avec lui (eux) une clé de la salle.

Car seulement trois persiennes d’une fenêtre ont été à moitié coupées ; toutefois ce trou visiblement ne peut en aucun cas être une issue pour un être humain, quelle que soit sa taille. La porte, elle, est intacte. Comment donc le cambrioleur a-t-il pu entrer dans cette salle ?


Election présidentielle du 13 novembre

* Du riz pour les membres de bureaux de vote
Selon certaines sources, le CDP a offert le jour de l’élection présidentielle, un sac de riz par village, dans le département de Namissiguima, dans le Yatenga. Ce riz devant servir de repas pour les membres des différents bureaux de vote.

* Grincements de dents à la CEDI de Tangaye
Des membres de bureaux de vote de Tangaye soupçonnent la Commission électorale départementale indépendante (CEDI) dudit département d’avoir "bloqué" une partie de l’argent destiné à la confection des isoloirs. Ils se plaignent de n’avoir reçu que la somme de 3 000 F CFA par bureau, sur les 12 000 F CFA prévus pour la confection d’isoloirs. Le reliquat serait de 9 000 F CFA. Où est-il passé ?


Système éducatif burkinabè : une indignation !

Le dimanche 20 novembre 2005, il y a eu à la salle de conférences de la direction régionale de la Santé du Nord, à Ouahigouya, une conférence sur l’éducation et la vie chère au Burkina. Le conférencier, un militant des premières heures du SYNTER, dit-on, a dépeint un tableau si noir de la situation de l’éducation au Burkina, qu’un jeune homme qui n’a pas pu se contenir a explosé en pleurs. Très indigne, Il a pleuré "comme un bébé", devant un beau monde... non moins meurtri.

Le Pays

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