Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
Le Conseil Régional des Hauts-Bassins a été visité par des bandits dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 avril 2018. Trois bureaux ont été cambriolés par ces « bandits ».
Le lundi 16 avril 2018, des individus sont entrés nuitamment par effraction au Conseil Régional des Hauts-Bassins. Selon nos sources, ces cambrioleurs ont visité le secrétariat du secrétaire général (SG), le bureau du directeur des affaires financières (DAF) et le bureau du responsable des ressources humaines (RH) dont les portes ont été défoncées. Profitant de l’absence du personnel, les visiteurs indésirables ont pris le soin de fouiller de fond en comble tous les compartiments susceptibles de contenir des documents ou autres. « Tout porte à croire que les délinquants cherchaient quelque chose de précis puisqu’ils se sont intéressés aux documents », nous a confié une des sources qui a voulu garder l’anonymat. Sans vouloir en dire davantage, elle affirme que c’est la première fois qu’une telle situation se produit au conseil régional des Hauts-Bassins. [ Cliquez ici pour lire l’intégralité ]
Romuald Dofini
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 17 avril 2018 à 20:00, par Tengbiiga En réponse à : Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
Il n’y a pas de gardien au Conseil Regional des Hauts Bassins ?
Le 18 avril 2018 à 14:02, par Voyant En réponse à : Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
Gardien était allé saluer Salimata, ça faisait longtemps même.
2. Le 18 avril 2018 à 08:50, par La cour En réponse à : Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
Ça, c’est tout simplement un défi lancé à nos fière Dozzo !!!
Le 18 avril 2018 à 11:47, par LE PENSEUR En réponse à : Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
MR LA COURS.TU ES VRAIMENT COURT D’IDEE ET ON DIRAIT TU N’es pas normal.DOZZO FAIT QUOI ICI.SI TU VEUX PARLER AU HASARD VA SUR FACEBOOK.
Le 18 avril 2018 à 13:22, par le probe En réponse à : Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
un défi lancé aux forces de défense et de sécurité et non aux dozos. Pour votre gouverne les dozos ont d’autres préoccupations et la sécurité des personnes et de leurs biens relève des FDS et non aux dozos qui n’apportent que leur contribution aux FDS.
3. Le 18 avril 2018 à 11:30, par OSL En réponse à : Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
Qu’est ce que les Dozo ont avoir dans cette histoire. Cela se passe en ville dans un bâtiment sensé être gardé par des vigiles, et non en brousse où les Dozo évoluent en principe. Ne mélangeons pas les rôles comme d’autres le font (suivez mon regard) et le Nation se portera bien.
4. Le 18 avril 2018 à 16:36, par jack En réponse à : Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
Vivement que nos FDS mettent la main sur ces délinquants qui visiblement sont à la recherche d’autres choses que l’argent
5. Le 19 avril 2018 à 00:27, par KIENDREBEOGO issaka En réponse à : Cambriolage rocambolesque au Conseil Régional des Hauts-Bassins : Trois bureaux visités par des « bandits »
Il faut sécuriser toutes les zones stratégiques du pays et les bâtiments administratifs d’importance ; ce joyaux qui a été construit à des centaines de millions,sans un seul camera de surveillance ;ce n’est pas normal ; cela pouvait orienter les recherches. Quant à MR la cour qui parle de dozos, c’est tout simplement un adepte des kolgweogo alors que les deux structures privées n’ont pas les mêmes objectifs principaux ;cependant, l’une dans l’autre, elles peuvent contribuer en fournissant des renseignements aux FDS ; malheureusement ou Heurement, Bobo ne veut pas de kolgweogo et de bonne foi que l’on soit pour ou contre, au burkina d’aujourd’hui, l’on ne peut pas ignorer l’existence de ces deux groupes. Cordialement