Vos commentaires

• 1. Le 13 juillet 2016 à 19:07, par obachir En réponse à : Courrier confidentiel N° 109 !Disponible chez les revendeurs de journaux au Burkina Faso

  J’ai lu le journal en question et je me suis embrouillé.
  Le titre désigne Zida comme suspect No 1. Pourtant dans le fond de l’article il est dit clairement que personne na donné l’ordre aux militaires de tirer sur la foule. Les militaires entendus parlent d’accident. Cette thèse de l’accident ou de balles perdues est difficilement défendable, certes mais pour qu’on parle de suspect cela suppose un commanditaire qui aurait donner l’ordre de tirer. Si Zida n’a pas donner l’ordre aux militaires de tirer de quoi le suspecte-t-on ? Même si des éléments dont Zida avait le commandement étaient sur le terrain pourquoi blanchir le premier responsable de ces éléments qu’est Djiedéré ; surtout quand on sait ce que ce dernier a fait par la suite ? Quid de la police, de la gendarmerie, des CRS des autres militaires et des mercenaires qui étaient aussi sur le terrain ? Pourquoi Blaise et Djiédéré disent avoir été trahis par Bassolet et Zida à propos de la sécurisation de la session parlementaire contestée. En outre, le journal revient sur la réquisition de Luc Tiao qui ordonne aux militaires de réprimer la manifestation par la violence précisément par l’usage des armes. C’est pour cette raison que le MBDHP l’a placé suspect No 1 au même tire que Blaise COMPAORE. Autrement dit c’est Luc TIAO qui, par document signé, a donné le feu vert aux militaires pour massacre la foule. Malgré tout c’est Zida qui était à Bobo en ce moment selon certaines sources et qui n’a pas donné d’ordre qui est suspecté d’avoir tuer trente manifestants et blesser 600 autres. Je ne comprend rien à votre analyse.

• 2. Le 13 juillet 2016 à 19:11, par ka En réponse à : Courrier confidentiel N° 109 !Disponible chez les revendeurs de journaux au Burkina Faso

  Depuis les nuits des temps, les massacres des insurrections au Burkina ont eu ses racines de coupables, mais très protégés par ce qui a été calculé, mesuré, pesé. Dans l’historique des insurrections de notre pays, les vrais coupables a l’incitation des crimes ne se sont inquiétés de quoi que ça soit. Ce fut les cousins dit Denis Yameogo et les Guissou qui sous l’ombre de Mauice Yameogo qui ont introduit des erreurs a ce dernier jusqu’à ce jour fatidique du 3 Janvier 1966. Pô et ses habitants, du gouverneur au préfet, ont étés des complices des lieder du CNEC pour les coups d’états de 1983 et 1987, dont des gouverneurs de l’époque ont bénéficié de leur silence, des planques comme ambassadeurs en Suisse ou à ailleurs. l’insurrection es 30 et 31 Octobreb 2014 à été causé par des incrédules comme Alain Yoda, Achille Tapsoba, François Compaoré et autres qui ont induit en erreur l’introverti Blaise Compaoré, en lui mettant dans la tête qu’il peut resté et mourir au pouvoir. Poursuivre un du RSP qui a su jouer un rôle très important à sa manière pour une alternance politique apaisé, devienne un règlement de compte ou une vengeance camouflée et sans nom, téléguider par celui qui a fui avant midi de son pays. Je me pose une seule question, est-ce que Roch Kaboré est apte à gouverner le Burkina sans Blaise Compaorè qui continue dans sa résidence a COCODY socialement offerte comme réfugié par la Cote d’Ivoire a dicter sa loi, même dire a Roch de demander pardon a ses larbins par ce qu’ils n’ont pas pu aller le voir ? ‘’’Zida ne répondra pas, comme Blaise Compaoré s’en tape avec des gouvernants de deuxième zone au Burkina. Dans la mesure où nous sommes, je me dis que comme partout ailleurs, les hommes passent, et le pays reste. Le Burkina continue d’avancer, et a besoin d’une nouvelle dynamique de ses gouvernants. On ne devrait pas faire les cas des fui yards une affaire extraordinaire. Avons-nous déjà vu un adversaire vous donner son sabre pour le trancher la gorge ? Que ça soit Blaise Compaoré ou Zida, personne ne répondra a une justice incapable et corrompu, dont ils savent depuis 27 ans, et qui reste leur système, ou à des rigolos qu’ils ont donné le pouvoir pour les manipuler. Ce qui est sure, Zida avec sa transition a permis au peuple Burkinabé d’avoir une alternance politique apaisée, avec une chance de s’exprimer et de choisir un jour des vrais dirigeants, sans ruses, ni menteurs, ni criminels en puissance.

• 3. Le 14 juillet 2016 à 10:43, par ka En réponse à : Courrier confidentiel N° 109 !Disponible chez les revendeurs de journaux au Burkina Faso

  Pourtant quand il était dans le pays avec son RSP, les bouches étaient toutes cousues du côté des gouvernants, comme du côté de la justice corrompue. Le Burkina a besoin des personnes de la trempe de l’équipe de la transition ou celle du feu Norbert Zongo pour avancer sans l’injustice, ni l’impunité.