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Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

Publié le dimanche 19 juin 2016 à 23h30min

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Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

Suite au putsch manqué du Général de brigade Gilbert Diendéré du 16 septembre 2015 sous la transition burkinabè, des éléments sonores ont été annoncés pour justifier l’arrestation et l’incarcération à la Maison d’Arrêt et de Correction des Armées (MACA) de l’unique général de la gendarmerie burkinabè depuis de 29 Septembre 2015.

Cependant, il a fallu attendre plusieurs semaines, le 12 novembre 2015, pour que, via les réseaux sociaux, un certain Théophile Kouamouo, journaliste français d’origine camerounaise vivant en Cote d’Ivoire, proche de l’ex président ivoirien Laurent Gbagbo, incarcéré à la CPI, expose le contenu de cet élément sonore. C’est malheureusement suite à cette propagande sur les réseaux sociaux, que miraculeusement la justice burkinabè a déclaré avoir en sa possession des supposés enregistrements et de signaler sa volonté de les reverser dans le dossier BASSOLE.
Une attitude curieuse, qui suscite plusieurs interrogations quant à la qualité dudit élément qu’on tente d’imposer au général de brigade Djibrill Yiépèné Bassolé afin de justifier sa détention provisoire jusqu’à 9 mois.

D’où viennent ces supposées écoutes téléphoniques ?
Pourquoi n’ont-elles pas été mises à la disposition du procureur avant l’arrestation du général ?
Pourquoi elles n’ont pas pu être fournies aux juges militaires avant que l’on les rencontre sur les réseaux sociaux ?
Comment se sont-elles retrouvées dans les mains d’un étranger ?
Ont-elles une valeur juridique de par leurs origines ?

Face à ces graves inquiétudes, la défense,, en l’occurrence les avocats du général de brigade Djibrill BASSOLE, ont procédé à une authentification liée à la nature de l’élément sonore en question présenté comme pièce à charge. Ainsi, l’expert français en acoustique Norbert Pheulpin membre du collège national français des experts en acoustique, expert en acoustique près du tribunal de grande instance de Dijon, a été saisi pour une expertise. Cette expertise faite sur les caractéristiques techniques de cette bande sonore de 16 min 32 s « conteste de façon formelle l’intégrité de la pièce audio concernée qui ne peut être présentée comme étant l’enregistrement intègre d’une interception téléphonique classique ».

Elle a été portée à la connaissance des juges d’instructions, aux fins de preuve d’un acharnement sur Bassolé, prouvant dès lors que l’élément qui a apparu dans le dossier, est un grotesque montage en vue de nuire, ternir l’image politique de ce dernier tant sur la scène nationale et internationale. Par ailleurs cet acte interpelle la justice à la sur l’usage de cet élément comme fond de dossier.

Malgré cela, les juges militaires proches de la transition, ont fait la sourde oreille et continuent de retenir cette bande dans le dossier. En rappel, la présentation de cette expertise a eu pour effet une sortie du commissaire du gouvernement à l’époque, KOUDOUGOU Norbert, qui a laissé entendre que les écoutes n’avaient pas encore été authentifiées.

C’est alors que la défense a demandé la réalisation d’une contre-expertise sur l’élément audio en question. Jusqu’à ce jour cette demande reste sans suite. Les anglais diront « why ? » Pourquoi ce silence assourdissant bien qu’il s’agit d’une œuvre de garantie de vérité gage d’une justice équitable ? Où est donc passé, le principe de l’impartialité du juge dans le traitement des dossiers ?

Face à ce refus de mener l’expertise de la part des juges militaires, la défense a trouvé simple de demander évidemment juste la présentation des bandes originales des supposés enregistrements et aussi ceux qui les auraient interceptés. A en croire les déclarations de la transition, c’est bien les services secrets du Burkina qui sont à l’origine de l’interception du fameux appel. Une demande qui elle aussi se heurte à une volonté contraire. Pourquoi ?

Voilà autant de questions et de zones d’ombres qui minent un dossier qui à priori est vide. Si ces interrogations voire inquiétudes, restent sans réponses dans le dossier Bassolé, l’on ne voit dans quelle mesure est-ce qu’on pourrait lui garantir un procès équitable.

Il est d’ailleurs inadmissible, que le tribunal militaire passe 9 mois sur ce dossier sans même pouvoir éclairer l’opinion nationale et internationale sur cette question d’écoute, qui d’emblée a engendré un scandale politico-judiciaire mettant à mal les relations entre le Burkina Faso et certains pays voisins.

Pour le sérieux de notre système judiciaire en général, il est plus qu’important de vider le contentieux autour de cette question d’écoute dans un bref délai soit par une expertise conjointe (défense –accusation) soit en allant à la source prendre l’originale afin situer l’opinion sur l’authenticité de la bande en question.

« La conscience de chacun est libre, cela est la dignité mais pour porter des jugements vrais, la conscience a besoin de la vérité sur l’homme. Il leur rappelait l’Evangile selon saint jean : La vérité vous rendra libres … » Jean Raspail

Jean Claude Kaboré
jclaudebf@gmail.com

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Vos commentaires

  • Le 19 juin 2016 à 11:50, par YIRMOAGA En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Si c’est ce qu’on a tous écouté, ce sont les voix des cités ? Qu’on traite le cas SORO par la diplomatie, tant mieux ? Mais celui du pays, il pourra comparaitre et se défendre ? Y a pas de doute, c’est authentique ce qu’on a écouté et mêmes les autres écoutes. Celui qui veut pas la vérité parlera d’authenticité ? SORO compte sur la médiation qu’ADO engagera, mais lui BASSOLET doit assumer.

  • Le 19 juin 2016 à 12:18, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Mon frère ,expertise pour expertise,Nous savons ce que Dr Chochois a fait du dossier Salifou Nébié.On sait ce qu est advenu de l expertise ADN de Thom-Sank.On sait également que compte tenu de l appartenance de Djibi à la grande loge Franc-maçonnerie,La France parait à nos yeux ,comme un juge et partie.Qui plus est ,des soupçons de soutiens français aux putchistes pèsent encore sur ce dossier coup d état.Plus sérieusement,qu est-ce qui explique la démission de la présidente de la chambre de contrôle du tribunal militaire alors que l examen du dossier Bassolet ,"en son aspect écoute téléphoniques " connaitrait son délibéré le 24 juin ?

  • Le 19 juin 2016 à 12:19, par YIRMOAGA En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Si c’est ce qu’on a tous écouté, ce sont les voix des cités ? Qu’on traite le cas SORO par la diplomatie, tant mieux ? Mais celui du pays, il pourra comparaitre et se défendre ? Y a pas de doute, c’est authentique ce qu’on a écouté et mêmes les autres écoutes. Celui qui veut pas la vérité parlera d’authenticité ? SORO compte sur la médiation qu’ADO engagera, mais lui BASSOLET doit assumer.

  • Le 19 juin 2016 à 12:26, par Nabiiga En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Jean Claude Kaboré, il fallait ajouter le montant qu’on vous a versé pour ce charabia. Je l’ai dit et je le répéterai. L’authenticité ou la fausseté de ces écoutes ne peut pas être sélective : Ou bien, l’ensemble des écoutes sont fausses ou elles sont toutes authentiques ; le fait qu’elles aient été soumises à des analyses importe peu dès lors l’on ne dit absolument rien sur les autres enregistrements. Gilbert Diendéré a-t-il communiqué avec son fils, oui ou non ? Yipène, votre fameux général de carton de gendarme, a-t-il communiqué avec une certaine dame à la présidence togolaise, oui ou non ? Le CEMA diminutif ivoirien, a-t-il communiqué avec Gilbert oui ou non ? Guillaume Soro, a-t-il communiqué avec Gilbert, oui ou non ? Je me permets de me répéter ; soit toutes ces écoutes sont fausses soit, ils sont toutes authentiques car tous les enregistrements émanent de la même source. Comment peut-on alors être malhonnête au point de conclure de manière éhontée que seules les écoutes concernant votre fameux général de putschistes sont fausses et les autres sont authentiques sinon, on attend que vous nous situiez sur les autres enregistrements car enregistrements, il y en a eu. Aidez-nous à comprendre, très cher Kaboré. Dites-nous ce que vous pensez des autres enregistrements.

    Le sort éventuel des détenus impliqués dans ce coup de force ne fait plus de doute pour personne au Burkina. Ceux écroués sont des anciens collaborateurs de ceux chargés de les juger ; une collaboration vielle d’une trentaine d’année. Les autorités, face à ce dilemme, souhaitent bien manger son gâteau et l’avoir en même temps. Autrement dit, le gouvernement souhaite relaxer ses collaborateurs d’hier (c’est bien compréhensible dois-je l’avouer car ils ont fait beaucoup de choses ensemble pendant ces trente dernières années) et satisfaire une population meurtri de justice et dont il (le gouvernement) a la responsabilité constitutionnelle d’assurer pour la population.

    Alors que faire ? Commençons par diaboliser Zida. Exposons Zida comme le diable, le malhonnête, corrompu et arriviste ; le traiter de tous les noms d’oiseau afin de préparer l’opinion publique. Sinon, qu’on justifie le harcèlement de ce monsieur. Malversations financières tant à la présidence qu’à la primature clame-t-il haut et fort le Président lui-même (je me demande où est bien passé son garde des sceaux pour qu’il se charge de lui-même de faire ces sorties médiatiques) mais c’est plutôt le monsieur de la primature qu’il faut diaboliser, qu’il faut chercher, qu’il faut exposer parce qu’il a osé mettre les partisans de ce gouvernement dans des beaux draps à travers ces écoutes enregistrés. Les malversations financières à la présidence on n’en parle pas car les enregistrements auraient été faits à l’insu du PF de la transition en l’occurrence Michel Kafando et pour cela, il ne doit pas s’inquiéter de ce qu’on retient comme malversations financières contre sa gestion de la chose publique de la Présidence. Sinon, pourquoi ne parle-t-on de Michel, les autres ténors du pouvoir transitionnel etc. À cause des parcelles à Ouaga 2000 ? Que celui qui n’a jamais péché lance la première pierre.

    La stratégie du gouvernement pour relaxer votre héros consiste tout premièrement à mettre des doutes sur l’authenticité des écoutes sur lesquelles se basent strictement son inculpation. Ensuite, pousse un tout petit peu en blanchissant son interlocuteur en Côte d’Ivoire en l’occurrence Soro à travers une banale dénonciation qu’on sait impérativement bien qu’il n’y aura pas d’issu. Par la suite, attend que l’effervescence de la dénonciation envoyée en CI se dissipe un peu. Lorsque la population commence à oublier, concerné et meurtri par la cherté de vie, et Gibril pourra être libéré provisoirement car, en effet, si les écoutes ne sont pas authentiques et Soro est relaxé indirectement, que fait-il alors votre général à la MACA ? Logiquement, il doit être relaxé à son tour, et le tour sera joué, au moins pour lui. Vous ne devez même pas vous donner la peine d’écrire car personne ne peut endormir lambda burkinabè à travers la littérature comme ce que vous avez produit. On est tous éveillé, trop même, dirais-je.

  • Le 19 juin 2016 à 12:30, par YIRMOAGA En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Si c’est ce qu’on a tous écouté, ce sont les voix des cités ? Qu’on traite le cas SORO par la diplomatie, tant mieux ? Mais celui du pays, il pourra comparaitre et se défendre ? Y a pas de doute, c’est authentique ce qu’on a écouté et mêmes les autres écoutes. Celui qui veut pas la vérité parlera d’authenticité ? SORO compte sur la médiation qu’ADO engagera, mais lui BASSOLET doit assumer.

  • Le 19 juin 2016 à 12:32, par Laissez les gens tranquille En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Quand est-ce que vous allez laisser les gens tranquille ? Il ne se passe pas un mois sans qu’on ait des écrits sur Djibril Bassolé. On a en marre à la fin. Vous nous les casser à longueur de journée.

    1. Vous n’êtes pas dans le dossier de Bassolé, donc vous ne savez pas ce qui pousse la justice à garder Bassolé toujours en détention.

    2. 9 mois de détention et vous trouvez que c’est trop ?! Il y a des gens en détention pendant plus de 2 ans qui attendent toujours le jugement de leur dossier !

    Arrêtez de nous les casser !!!

  • Le 19 juin 2016 à 12:46 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    J’enverrai des kogleweogo tester l’authenticité de cette bande sonore.

  • Le 19 juin 2016 à 12:48 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Mais Claude en matière pénale la loyauté des modes de preuves n’est pas exigée. Pourvue quelles soient discutées contradictoirement. En plus le rapport d’expertise dont vous parler est la preuve de cette discutions contradictoire. Il appartient au juge de décider. Ce que les avocats de bassolet ont produit n’est qu’un moyen de défense pas la vérité juridique

  • Le 19 juin 2016 à 13:06 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Vraiment ou allons nous ?Dieu sauve le Burkina faso.

  • Le 19 juin 2016 à 13:15, par Amadoum En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu. DE QUELLE DIGNITE ?

    La conscience individuelle et la dignite collective ont quitte le Burkina Faso depuis tres longtemps. Et que M. Kabore ose parler de leur restauration a la suite de l’arrestation de quelques individus, soient-ils generaux, m’etonne. Ou eties-vous, quand le general Bassolet et ses collaborateurs mettaient le pays a genoux ? Si le general et tous les autres qui ont dirige notre pays ces deux dernieres decenies avaient une conscience ou de la dignite, le pays ne serait pas dans cette deliquescence totale. Le pays tout entier, meme ceux qui ont accumule des fortunes, ne sait plus ou donner de la tete.
    Argumenter vigoureusement pour demander la liberation du premier genral de gendarmerie, mais pour l’amour du ciel, retenez-vous de lier cette liberation a la dignite de notre pays ; l’une n’a absolument rien a voir avec l’autre.

    Et si vous voulez citer l’Evangile dans la meme veine, ne soyez pas selectif, car l’Evangile a de nonbreux passages qui parlent aussi de la maniere dont on doit se traiter les uns les autres : "traiter autrui comme on aimerait etre traite soi meme", pour ne citer que celui-ci.

    Bonne chance avec votre cas !

  • Le 19 juin 2016 à 13:56, par Papa En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Je n’ai j’amais eu de l’estime pour Djibril Bassole’ compte tenu de son abus de pouvoir dans le passe’ mais, de mon point de vue je pense qu’on tente de lui faire la force comme on dit vulgairement. Si on estime que son inculpation est par rapport aux ecoutes telephoniques avec Guillaume Soro, alors pourquoi donc lever le mandat d’arret contre Soro et vouloir detenir coute que coute Djiril Bassole’ en prison ? Non soyons realiste meme quand on aime pas une personne il faut avoir le courage de denoncer ce qui est illegal . Si Bassole est inculper pour d’autres crimes que les ecoutes telephoniques alors qu’il soit juge’ et condamne’ mais, si c’est seulement pour les ecoutes telephoniques il nya pas de raison qu’il reste en prison. Il n ;est pas question qu’on detienne en prison un Burkinabe qui est Djibril Bassole’ et laisser Soro libre pour les memes accusations. C’est mon point de vue .

  • Le 19 juin 2016 à 14:13, par ka En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Mr. Jean Claude Kaboré, ne prenez pas le peuple Burkinabé pour des bourriques. Nous savons ces expertises achetées, nous savons Djibril Bassolé et son ami Soro capables, sinon le gouvernement Burkinabé ne remettra pas le sort de Soro a la justice Ivoirienne. Nous savons aussi qu’on vous a payé pour chier votre vomissure, et vous pouviez la mettre là ou vous savez. Ma question a mon petit frère Roch Kaboré est : Avons-nous vraiment une justice au Burkina de Roch Kaborè ? Tout est à reculons, c’est comme si ce régime veut à tout prix cimenter l’impunité et l’injustice. Qu’est ce qui arrive au chef des armés qui bafoue sa propre justice pour saboter la victoire de la jeunesse qui avait pourtant dit ‘’’que rien ne sera plus comme avant ?’’’ Monsieur Roch Kaboré, libérez-les tous, et faites revenir Blaise Compaoré sur le trône de l’impunité et de l’injustice, car vous voulez la continuité de son régime, et dites que vous n’aviez pas la trempe de Michel Kafando que vous insultez en passant : Celui qui a utilisé la charte de l’UA pour défier le clan ADO et son CEDEAO, celui qui a pu mettre à l’ombre le criminel le plus puissant du 21e siècle au Burkina, qui est Diendéré Gilbert, celui qui a conduit un peuple meurtri a une élection présidentiel apaisée dont vous jouissiez en oubliant que le fauteuil de Kossyam est une dynamite pour tout président caméléon. Tout ce qui se prépare pour la libération de tous ces criminels, est de faire retourner le Burkina dans les ténèbres, et ça sera votre vraie fête. Avec cette analyse pour insulter la transition, c’est que les jours qui viennent, la libération de Djibril Bassolé est imminente. En libérant vos amis, profitez pour les libérer tous, et oubliez les martyrs.

  • Le 19 juin 2016 à 14:15, par Pagnangde En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Pourquoi parle—ton encore des ecoutes telephoniques qui sont en defaveur de Bassolet ?
    Ce que le burkinabe ignore et qui est en possession de la justice, c’est qu’il y a d’autres preuves qui l’accablent si non il serait comme le nomme KOMBEOBO ou quoi je ne sais plus.
    Pour participation au coup d’etat, Bassolet l’a ete. Qui connais comment il a eu son general, connait le niveau de ses relations avec Gilbert qui le lui a donne pour service a lui rendu. Je vous rappelle que Bassolet n’etait pas le plus gradee de la gendarmerie. Palm a tout fait pour cette Gendarmerie mais il n’a pas ete general. Pire KAMBOU Daprou, qu’est-ce-que ce type n’a pas donner a cette armee ? Sa dignite lui a eloigner de grade de general.
    Bassolet meme liberee aura toujours le sang des gendarmes de Samorogouan sur ses mains et aussi les sang des policiers recemment tuees au nord,
    Pour que ce Bassolet ne meurt pas d’une mort attrocement bete, gardez-le en prison. c’est sa chance de vivre.
    A bon entendeur salut./

  • Le 19 juin 2016 à 15:15, par TIR En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Vouvouzela de Monsieur Bassolét, attendez seulement. Vous aurez le loisir de le défendre au procès. C e charabia ne peut pas influencer la suite des choses.

  • Le 19 juin 2016 à 15:23, par Alexio En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Jean Claude Kabore, Si vous doutez de l originalite de cette bande d ecoute, votre niaiseries intellectuelles est coupable. Ma premiere fois d ecoute de cette bande conspiratorisque addossant le coup d Etat manque releve toute amalgame. Le Language flou de Bassolet sur le coup d Etat. L homme ne condamne pas le coup d Etat parcequ il a ete ecartez d avoir soutenu Blaise Compaore pour la modification de l article 37, la cause de leur declin souhaite a eux-meme au prime abord et ensuite par la force de la rue. En jouant cette derniere carte, un bon polticien et stratege comment on avait lhabitude de l entendre de leur Champion Blaise Compaore. Le point de retour etait comsomme. Resultat la fuite de Blaise en Cote d Ivoire sans Bassolet qui d apres lui-meme avait jouer un role pour reduire les degats.

    Leur strategie maconique etait comme le preconisait Soro, le rapport de force etait favorable a eux. Le RSP la garde regallienne sous la direction de Diendiere.

    Dans la logique des choses Bassolet n etait pas au cote du peuple mais au cote de son patron qu il a lui trahit.

    Comme la trahison politique outil utilise pour la prise de pouvoir en 1987 par l assassinat de son ami Thomas I. Sankara. La transition de Zida etait averti d avance. Puique lui meme faisait par des ses rouages RSP qu il connaissait mieux que n importe qui.

    Revenons a la bande d ecoute. La France a toujours un flou politique avec ses francs-macons qui sont dans le gouvernement de Francois Hollande.

    Les expertises francaises sont manipulees sont nulles et non avenue en ce qui concerne les crimes commandites en Afrique.

    Depuis le sabotage de notre grand parachutiste le Capitaine Moumouni Ouedraogo Commandant a Bobo-Dioulasso. Cette affaire n a pas eu de suite est classee comme le premier crime politique de la Haute-Volta. L expertise francaise ? La Mafia.

  • Le 19 juin 2016 à 16:16, par KIHAN En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    ce qui est sûr Toute cabale finit toujours par s’effondrer. le rapport fourni par la transition n’échappe pas à la règle des raccourcis et des ragots juste pour éliminer un adversaire.

  • Le 19 juin 2016 à 16:29 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Jean Claude Kaboré, tu es un avocat ou quoi ? attend le jour du procès si c’est le cas !

  • Le 19 juin 2016 à 17:38 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Laissez nous tranquille. Même si on fait ecouter ces bandes la a un sourd, il vous dira qu’elles sont authentiques. Les faits sont reels et s’agencent dans l’espace er le temps. Que vous voulez defender des putchistes, c’est normal, mais de là a nous prendre pour des C.....,je dis non.

  • Le 19 juin 2016 à 17:40 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Il y a plein d’innocents qui croupissent à la MACO. Ce n’est pas le cas de Bassolé qui est dans sa prison dorée, climatisée de la MACA qui va nous inquiéter. Si l’autorité, politique ou judiciaire, s’hasardait un seul instant à élargir les deux généraux, alors vous saurez qu’il y a encore des BOYS dans ce pays.
    Quant à vous M. KABORE, cherchez du travail car être le tam-tam ou le griot de Bassolé ne fera pas de vous quelqu’un.

  • Le 19 juin 2016 à 17:48, par BANGOSS En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    L’expertise du Dr CHOCHOIS sur le corps du juge Salifou NEBIE devrait nous faire réfléchir.Je n’ai plus confiance en ces experts français.Rappelons que les médecins burkinabè avit été formel sur le corps de NEBIE sans matériel .Mais CHOCHOIS le grand expert nous a tous insulté copieusement et personne n’a levé le petit doigt.Pire le rapport a été divulgué par jeune afrique et nos autorité se sont tues....

  • Le 19 juin 2016 à 17:59, par SOYONS_VIGILENTS En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Ternir l’image de l’accusateur d’abord afin de justifier l’accusé. C’est la tactique politique que les politiciens utilisent pour abetir le peuple afin de se mettre en valeur. Ils ne savent pas comment faire pour relancer le développement du pays. Alors il faut orienter le regard du peuple sur des mirages pendant que le temps passe.
    J’avais dit dans un de mes posts aux temps forts de nos démèlées en 2014 avec Blaise Compaoré sur la modification de l’ Art-37, de nous méfier de ce nouveau parti de frondeurs du CDP devenu MPP. A leur propos je disais au peuple de se méfier d’eux parce qu’ils peuvent etre des envoyés en mission de BC pour brouiller les cartes de l’Opposition afin de rester toujours maitres des lieux pour couvrir leurs arrières.
    Ils sont tous comptables des crimes de sang et économiques dans ce pays depuis 27 ans. Comment peuvent-ils, s’ils ne sont pas betes, scier la branche sur laquelle ils sont assis ? Ils risquent fort de tomber et mourir. Ces gens-là n’ont aucun intéret à juger des gens qui peuvent les dénoncer pour beaucoup de choses cachées et ignoblles si elles venaient à etre découvertes. C’est pourquoi ils entreprennent de libérer leurs complices. Je vous le dis : lls vont nous ramener leur mentor de Cote d’ivoire, BC assassin de tous les temps ici au pouvoir si nous ne prenons garde. Ouvrons donc nos sens (oeil, oreille et esprit) pour ne pas nous laisser surprendre.

  • Le 19 juin 2016 à 18:32 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Internaute 14. Si on libére Djibril, il ira où le coup d’Etat a été fomenté, pour parfaire son génocide Contre le burkina. Il a seulement besoin de L’aval de la CDEAO. Une lettre à la poste.
    Internaute 16. Parlez nous brièvement de l’histoire du "grand parechutiste capitaine Mounouni OUEDRAOGO."

  • Le 19 juin 2016 à 18:37, par SOME En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Je vous avais dit que la reconquete va s’organiser dans les jours qui suivent, suite a l’intronisation du nouveau grand maitre alain coeffé, en remplacement de Bassolet, car bassolet entravé ne pouvait donner les ordres. Roch est allé chercher les ordres a Paris et la voie diplomatique qu’on lui avait soufflée lui fut intimée, avec une feuille de route qu’il est en train de mettre en oeuvre.

    Le voyage des pontes de la maconnerie du burkina a ceux de Cote d’ivoire en a scellé definitivement les modalites. Et le mot d’ordre est parti. On comprend bien que blaise, soro, bassolet etc ont lancé un mot d’ordre a tous leurs freres. Toutes ces sorties, articles, etc ne sont que des snipers envoyés pour faire des breches dans le mur en semant le doute, provoquer des erreurs et donner des opportunites pour isoler les recalcitrants et finalement enterrer les dossiers. La franc maconnerie est en train de créer une catastrophe : non seulement detruire la societe burkinabe, mais elle s’autodetruit elle-même. Comment voulez vous que l’on ait une autre idee que la franc maconnerie : ce n’est autre chose que de la mafia, de la corruption et des affairismes ? Montrez nous le contraire !

    Nous savons que ces dossiers sont traités par des freres ou ceux qui s’en occupent sont soumis a l’influence de freres qui sont leurs superieurs haut placés. L’intervention de Tapsoba R(de H) n°2 est assez edifiante. Alors quand ce sbire ecrit : « Malgré cela, les juges militaires proches de la transition, ont fait la sourde oreille et continuent de retenir cette bande dans le dossier » que voulez vous y lire ? Quand il va jusqu’à oser meme ecrire une telle phrase « Pour le sérieux de notre système judiciaire en général »…

    Ces dossiers n’ont rien de judiciaire ; prenez les dans le plan international de redistribution de l’ordre mondial, et principalement de la nouvelle mise en coupe reglée de l’afrique, dont l’on tente d’entraver la resurgence. Le burkina est sur une pente, bien rendue plus que glissante, vers la confrontation generalisée tant recherchée.

    Tous ces ecrits qui sortent de nulle part et de facon si recurrente, si concertee, montrent clairement la grande bataille qui est en train d’etre livree dans cette guerre contre le peuple burkinabe (et l’afrique en general). Il est clair que la guerre se fait et se situe ailleurs, a un niveau que nous ne soupçonons meme pas. Vous comprendrez le silence des militaires et policiers, l’immobilisme du politique, et les campagnes mediatiques de rehabilitation du regime de Roch (cf Jeune afrique de ce mois). Ce pouvoir s’est donné comme objectif premier : enterrer ces dossier avant de demarrer tout programme politique. A quoi se resume le gouvernement thieba depuis sa mise en place ? Le gouvernement n’a rien montré d’autre comme projet de societe. Les assassins nous ont été designés et imposés comme les fossoyeurs des cadavres et ils sont trop occupés a creuser les fosses communes pour enterrer ces cadavres pour parler d’un projet de societe ; ensuite ils pourront s’asseoir et profiter calmement de leur butin.

    L’explication de Nabiiga n°4 est plus que plausible : ce plan bien elaboré, tous nous le comprenons depuis longtemps, avant meme qu’ils ne le debutent : « On est tous éveillé, trop même… » ! De toutes facons, ils comptent sur les mercenaires et la fraction pourrie de l’armee pour massacrer les revoltes prochaines, a defaut de n’avoir pas pu degouter les populations de se revolter encore une deuxieme fois. Les tentatives de bruler les dossiers au ministere de la justice, les intimidations diverses, etc tout cela, ce n’est que des moyens du plan. Les vrais juges qui veulent voir clair ou tentent de faire un minimum, sont sous pression.

    Vous aurez bon insulter ces mercenaires de tout poils, de tous les injures que vous connaissez, eux ils s’en foutent : ils savent tres bien ce qu’ils font et pourquoi ils interviennent. Mettons nous en lutte tout simplement. Seule la lutte paie : c’est naivete et immaturité que de croire que le MPP viendra faire quoi que ce soit pour le peuple. A mon frere KA n°14, je disais dans un post que tu sembles naif vis avis de ces gars du MPP : ton post me dit que tu t’es resolu a voir l’evidence.

    Eux ils ne sont pas patriotes, nous on est patriotes. Quand le peuple se met debout, les apatrides fuient ou font massacrer. Qu’ils comprennent notre patriotisme est plus fort que leurs kalach. Plus que jamais, comme nous l’a appris thomas sankara, le peuple burkinabe est un peuple de convaincus et non un peuple de vaincus qui subissent leur destin. Nous allons inventer notre avenir. Malheur a ceux qui baillonnent leur peuple.
    LA PATRIE OU LA MORT, NOUS VAINCRONS.
    SOME

  • Le 19 juin 2016 à 19:42, par Bougoum-barga En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Cher Monsieur Jean Claude,
    Avec le Burkina Faso nouveau, né de l’insurrection des 30 et 31 Octobre 2014, il est autorisé à tout le monde, même les imbéciles de dire ce qu’ils veulent, là où ils veulent. Aussi, au bénéfice de cet avantage populaire, nous vous concédons ce droit puisque vous êtes un burkinabé de souche au regard de votre « nom KABORE » si il est bien votre nom. Cependant, nous ne saurions tolérer que vous vous foutiez de « l’intelligence du peuple » avec des écrits, des analyses qui ne sont sortis que de vos rêves. Est-ce pour vous faire connaître ou, est-ce pour aider à faire vendre une « feuille de choux » ?
    Dans votre écrit sur le sujet dans une confusion totale, vous arrivez à des questions que vous vous posez ou peut-être, posez aux lecteurs et autres internautes qui dans la situation, peut représenter le peuple. Ces questions qui portent sur les fameuses « écoutes téléphoniques Bassolé-Soro » sont, je vous cite : « i)-pourquoi ces écoutes n’ont pas été mises à la disposition avant l’arrestation de prévenu ? ; ii)-pourquoi n’ont-elles pas été remises aux Juges militaires avant leurs publications dans les réseaux sociaux ? ; iii)-comment se sont-elles retrouvées entre les mains de personnes étrangères ? ; iv)-ont-elles une valeur juridique de par leurs origines ?
    Des quatre questions posées, seule la quatrième mérite attention parce que contenant un peu de logique. Quant aux trois autres, elles restent idiotes. Pourquoi ? Primo : ces écoutes sont, si nous n’en abusons pas, des « pièces à conviction » que les Juges d’Instruction dans le cadre de leur travail se doivent de recueillir pour, après analyses, invalider ou retenir comme telle en « charge » et/ou en « décharge » pour les conclusions du dossier. Secundo : cette question ne saurait être posée aux Juges qui tout d’abord, ne sauront maîtriser les « Réseaux sociaux » pour savoir ou contrôler la circulation des infos y publiées, puis, à quel titre voudriez-vous qu’ils se mettent à retenir une telle question bien idiote à sa base pour se donner ou trouver une explication ? Enfin de la 3ème, les étrangers comme vous le dites sont tout comme vous ou la/les presses que vous représentez, des agents de presse à la poursuite de ce que vous appelez dans votre jargon, les « scoops ». Est-ce donc étonnant ou une question à poser de chercher à savoir pourquoi et comment ces éléments de dossiers se soient retrouvés entre de mains étrangères comme vous le dites.
    Par ailleurs, vous faites ressortir que les Avocats du prévenu, après avoir procédé à une authentification de l’élément présenté, authentification réalisée par le Sieur Expert « Norbert Pheulpin » y ont entrevu un acharnement sur le prévenu. Ce qui selon vous, veut dire que le document n’est pas « authentique ». Pouviez-vous nous rassurer que cette expertise est du reste « valable ? » Et si oui, même si la défense du prévenu qui est tenue de donner la preuve du contraire de ce qui est reproché à son client, pensez-vous qu’on puisse donner à ces gens-là « la palisse » de leurs déclarations ? Si vous êtes bien du Burkina Faso et que vous suiviez bien les actualités, vous devriez vous rappelez d’un évènement non anodin qui s’est passé il y a quelques années. Alors que TomSank a été liquidé par voie d’Armes militaires, un Expert (un Médecin à considérer aussi comme expert dans sa profession) a délivré un Certificat de décès qui y disait « qu’il était mort, de mort naturelle ». Pas même de maladie, mais de mort naturelle. Etait-il moins expert que votre toquard de Norbert Pheulpin ? Confiance pour confiance, si vous n’accordez pas de crédit aux dires des autres, ne vous étonnez pas qu’on n’ait pas confiance en vous. Ceci est une Loi de la nature. Quant à l’utilisation de l’élément comme pièce de fond du dossier, acceptez que vous êtes trop « minus » pour y faire objection.
    Les juges militaires ayant eu la charge du dossier sont des « proches de la Transition » dites-vous. Mieux, vous avancez qu’ils ont fait la sourde oreille sur les réclamations de la Défense du prévenu malgré la sortie du Commissaire du Gouvernement d’alors qui avait bel et bien confirmé à l’époque que l’élément n’avait pas été encore authentifié. Cette sourde oreille se trouve où ? Ne pensez-vous pas être allé trop loin dans vos affirmations ? Affirmations qui viennent nous informer que vous ramez pour quelqu’un. Vous parassiez être partisan et ce, pour le compte du prévenu que vous semblez défendre « bec et oncle ».
    Le « Why » dont vous faites allusion sur le silence observé par rapport aux Presses Nationales et Internationales, il y a lieu de vous relever que dans la logique même des choses, les choses devraient être tenues au secret jusqu’au jugement. Malheureusement dans notre pays, vous les journalistes, parce qu’on vous a laissé faire, vous vous croyez au centre des choses et en droit de tout savoir et tout dire. Vous journalistes, vous pensez être ceux-là qui doivent faire ou défaire les choses comme bon vous semble.
    La garantie de la vérité et le principe de l’impartialité dont vous faites allusion sont bel et bien observés dans le traitement du dit dossier, si vous les vendeurs de choux, prêts à vendre vos âmes, vos mères et quoi encore, ne vous y mêlez pas.
    L’opinion nationale ne vous suit pas car, ayant vécu les évènements, est plus informée que vous. Quant à l’opinion internationale, alors que vous évertuez à vous (journalistes burkinabé) faire entrevoir comme de personnes importantes, n’en a rien, absolument rien à foutre du sujet dont vous traitez aussi bassement.
    Neuf (9) mois sont bien insuffisants pour comprendre et traiter un dossier aussi important que la « Tentative/Complot de Coup d’état) qui a fait mourir des compatriotes et qui par la suite aurait fait pire. Prendre en otage tout un pays ne saurait être traité comme on règle une affaire de vol de poulet

  • Le 19 juin 2016 à 20:12, par guussi En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Ha C’est bon décrire mais calme toi .le cas Soro est différent. on pense a nos planteurs

  • Le 19 juin 2016 à 21:04 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Jusqu’au comble de la bassesse et de l’indécence morale. Il nous faut vraiment avoir de l’honneur pour savoir que la jalousie ne prospérera pas. Le niveau de noblesse de Bassolé était trop élevé pour eux. Leur niveau de dignité, de noblesse, et de valeur morale est tellement bas qu’ils ne pouvaient que prostituer la justice pour en avoir des faveurs. HONTE VRAIMENT À EUX. Libérez Bassolé un point c’est tout.

    Même quand on est malhonnête et stupide on sait que ces enregistrements sont du montage impudique. Et notre justice à l’utiliser est tout aussi indigne et impudique à moins qu’elle nous édifie avec des sonorités authentiques et autorisées ; pas ces orchestrations de gargotes.

  • Le 19 juin 2016 à 21:13, par sidbala En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Si le BURKINA possède toujours des Hommes, ce n’est pas compliqué, on fait balle à terre, on remet les compteurs à zéro et on remet les choses sur de bons rail ; sinon on passera des siècles à parler sans cesse de ce qui ne nous amènera nul part.
    Que les dignes fils de ce pays nous aide à aller de l’avant tout en nous débarrassant des mauvaises graines.
    Toute cette cacophonie est du à l’état de droit, mais si nous ne pouvons pas le gérer, qu’on le mette de coté et prendre ce qui nous convient ????.
    L’habit de la démocratie est beau, mais ce n’est pas à notre taille, on fait comment.
    A VOS MARQUES PRÊT AVANÇONS.

  • Le 19 juin 2016 à 22:08, par lina En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    La verite finira par jaillir un jour. Merci pour votre article monsieur Kabore. C est dommage que des coeurs soient si endurcis et des gens si aveugles.

  • Le 19 juin 2016 à 22:39, par TIENFO En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Le MPP a été voté sur la base de son programme de société et non pour juger ou apprécier les actions de la transition et de ses animateurs. La détention des putschistes aussi est un fait divers pour le peuple affamé qui attend de meilleures conditions de vie.

  • Le 19 juin 2016 à 22:46, par peres bebeto En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    cette bande sonore a été fabriquée de toute pièce par le Général en carton Voleur ZIDA et le beau gosse Kafando .

  • Le 19 juin 2016 à 23:15, par assi En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    quand je lis certains internautes jai des craintes pour le burkina futur car le reveil risque d etre tres dur un tribunal ce n est pas la cour du chef du village ou le coupable est designe avant le jugement

  • Le 20 juin 2016 à 01:02, par john,,bf En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Chapeau bas à monsieur Some, internaute n°24. Vous avez tout dit. Tout cela est l’oeuvre des francs-maçons pilotée par la grande loge en France. Mais c’est mal connaître le pays des hommes intègres. Les écoutes sont authentiques. Le régime de Roch n’a Pay intérêt à libérer ce général-papier. Sinon n’gaow.

  • Le 20 juin 2016 à 05:10, par oued En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Mon frère Jean Claude, nous vous disons que ces écoutes sont bel et bien authentiques. Arretez de nous berner SVP ! Je pense que nous sommes occupés à autre chose que des articles pareils nuls et sans valeurs. La franc-maçonnerie n’aura pas le dessus dans ce pays. Dites moi si vous faites de cette confrérie démoniaque ?

  • Le 20 juin 2016 à 06:00, par Pardon En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Merci internautes 24 et 25 Somé et Bougoum-Barga. A vous lire (24), il ne reste qu’ à supplier le Tout Puissant d’affaiblir la puissance des démons qui veulent détruire le Burkina Faso. Franc maçonnerie et cie, fortes vous êtes ! Dieu est le PLUS FORT ! Qu’Il protège et sauve toujours notre pays de ces prédateurs.

  • Le 20 juin 2016 à 06:26, par ngoonga En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Merci internaute 24. Il faut publier ton écrit dans la presse et le traduire dans les autres langues car c’est pathétique ce que tu nous fais découvrir ’’pardon’’ ce que nous savons déjà. C’est seulement une confirmation. Le changement au BURKINA n’a pas été apprécier par l’Impérialisme et vous voyer les multiples voyages dans la sous région même le Nigérien qui nous a soutenu est rentré dans la danse avec sa mission éclaire sous prétexte de sécurité dans la sous région.Mais nous avions confiance car GORBA est toujours là,(non le peuple souverain) c’est sûr qu’il ne vas pas se dédier, le connaissant pour ses convictions.

  • Le 20 juin 2016 à 06:43, par Ghost En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Pauvre Burkina Faso. C’est le ridicule qui va nous tuer tous ici au Faso. Sans être partisan de tel ou tel bord, force est de constater que la justice du Burkina, militaire surtout, au lieu d’être différents de l’autre montre qu’elle n’a pas la capacité, la compétence et la carrure pour traiter des dossiers autres que disciplinaire des soldats de rang. Que de non dit, que de faux dit et que d’embrouilles depuis cette histoire de transition. A croire qu’elle s’est lancé avec un esprit vindicatif pour satisfaire les besoins inavouables de certaines personnes et voilà maintenant que tout est grippé et sa frise même le ridicule pour tout le pays. On se donne en spectacle au monde entier pour un oui ou pour un non et finalement on sort par la petite porte la tête baissée à chaque fois.

  • Le 20 juin 2016 à 06:45, par Professeur En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Internaute 12 savez vous vous qu’ en tant que burkinabé, si vous pactisez avec une force étrangère contre la sécurité nationale, vous courrez plus de risque que l’ étranger. D’ailleurs même personne n’a dit l’ accusation contre Soro sont fausses. C’est pour des raisons diplomatiques que le mandat d’arrêt a été levé et non pas parce que les écoutes téléphoniques étaient fausses.

  • Le 20 juin 2016 à 07:26, par le panafricain En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    SVP , librez le generalDjibril
    si non dite a votre Mogho Naba de dire a ZIDA et Kafando de venir nous donner des explications sur les contre expertises sur les dossiers du pays
    ce pays n’appartient pas uniquement aux mossis
    merdre

  • Le 20 juin 2016 à 07:53, par NAMA En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Le cas SORO et celui de BASSOLE sont liés. En decidement de sacrifier et de passer aux oubliettes les sacrifices de nos freres decédés lors du pusch au non de la diplomatie , j’estime qu’on devrais aussi elargir purement et simplement BASSOLE. C’est une question de logique.

  • Le 20 juin 2016 à 08:09, par Je te vois venir En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Bj à tous ! Mr KABORE tu as eu combien de franc pour effectuer ce travail de blanchissement ?

  • Le 20 juin 2016 à 08:23, par L’Oeil du peuple En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Arrêtons de parler d’authenticité d’écoutes téléphoniques. Il n’y a pas plus authentiques que ce que nous avons écouté et continuons d’écouter. Comment les BURKINABE peuvent descendre aussi bas que cela ? On ne peut sacrifier des vies humaines et les passer en perte et profit au détriment de la diplomatie. Si nous respectons nos morts et notre intégrité ce ne sont pas les autres qui viendront les faire à notre place. Tant pis pour nous.
    Les parents des victimes au lieu de lutter pour une justice véritable pour les martyrs, passent tout le temps à réclamer de l’argent comme si l’argent peut remplacer un être cher qu’on a perdu. Les parents des victimes devraient marcher pour réclamer justice pour les martyrs sinon ces martyrs seront morts pour rien. Et on est en train de tendre vers l’étouffement total des dossiers de crimes et de coup d’état.
    Que les parents des victimes recadrent leur revendication car ils peuvent être indemniser sans qu’il ait justice pour les victimes. Un peu de morale svp.

  • Le 20 juin 2016 à 08:25, par TANGA En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Famille, il faut que l’on se dise la vérité !
    La veille de la fuite de Blaise, les buveurs de sang à la solde de la famille COMPAORE avaient placé des hommes prêts à ouvrir le feu sur d’éventuels manifestants au niveau de tous les points qu’ils jugeaient stratégiques.
    Ne voulant pas suivre Blaise dans le trucide de notre peuple, BASOLE, DJENDERE, KERE et d’autres comme eux sont allé relever ces hommes aux derniers moments avec comme consigne, ne tirer pas baisser les armes, laissez passer le peuple et rentrez chez vous.
    Alors, Blaise criait à l’abandon et à la trahison. Tous savons quelle a été la réponse de BASOLE.
    En revanche, ZIDA cantonné à Kossiam recevait les directives de Blaise. Tirez. Etant donné que seul Kossiam n’était pas pris, alors Blaise demanda à ZIDA de garder la maison en attendant.
    C’est ainsi que sont née les mésententes entre ZIDA, DJENDERE et BASOLE.
    ZIDA voyait que Blaise n’avait plus de chances et voulu faire sombrer les autres pendant que DJENDERE cherchait à comprendre pourquoi la transition ne voulait pas réunir. BASOLE quand à lui se préparait tranquillement aux élections.
    Tenez vous bien qu’un général de Gendarmerie ne fait pas certaines erreurs comme l’affaire des écoutes. Mrs X a utilisé la même technique du COUPER COLLER (Utilisée pour massacrer les hommes du camp de KOUDOUGOU après la mort de THOMAS SANKARA) pour faire sombrer BASSOLE.
    Famille, ouvrons les yeux car ce ZITA pardon ZIDA avec ces conseillés LUGUBRES nous ont mis dans la merde puis veulent fermer les robinets.
    Le Gle DJENDERE lui ne comprenant que stratégie militaire (car il est bon militaire), voulu bousculer la transition. On l’y a poussé et il y est tombé. Son coup d’état venait surtout pour lui le protéger et pas autre chose.

  • Le 20 juin 2016 à 08:51 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Comme quoi, tous les Burkinabé ne sont pas si intègres, a la lecture de ce post de M. KABORE... La Cote d’Ivoire et le Burkina Faso semblent avoir mal a la conception de l’’Institution qu’est LA JUSTICE ! Sinon, comment un simple Citoyen pourrait mettre toute une Institution au pilori ? Dommage...
    Et puis, M. Jean-Claude KABORE traite M. KOUAMOUO d’étranger français d’origine camerounaise. Il semble avoir le complexe de la peau blanche ! C’est honteux de réfuter le journaliste d’investigation qu’est ce journaliste a la peau noire mais français. Alors que si ce journaliste avec été un français bon teint, il aurait avale la couleuvre surement ! Il montre la ses tares héritées de la colonisation... Dommage...

  • Le 20 juin 2016 à 09:09, par KAFANDO Bila En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    ça m’offusque l’attitude du tribunal militaire qui ne communique pas et reste muet sur le dossier.J’apprécie l’analyse de Claude qui lance le débat.Tampis pour les esprits à ras le sol.

  • Le 20 juin 2016 à 09:23 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Humm ! Les habitants du Burkina nouveau !
    Tous des juges et des magistrats !
    Mais retenez une chose. Que vous aimez Bassolé ou pas, la justice a ses règles et ses principes. Ce n’est pas un débat de cabaret et de QG ! Voilà !
    Laissez la justice faire son travail !

  • Le 20 juin 2016 à 09:25, par William En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Attention à ne pas répéter les erreurs du passé. On ne bâtit pas un état juste sur de l’injustice !

  • Le 20 juin 2016 à 09:30 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    libérez Djibril, c’est tout. on a besoin de ZIDA et KAFANDO, de vouloir profiter du sang versé par des burkinabè innocents. Djibril a fait quoi. tout ça c’est la jalousie de Zida et de son balai citoyen, pour ouvrir la porte du pouvoir à l’UPC

  • Le 20 juin 2016 à 09:35, par Nongba En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Heureusement que ce n’est pas sous le CNR ou la Rectification. Si non on aurait liquider le Monsieur pour RIEN.

    Nous sommes dans un état de droit. Malheureusement du point de vue du droit il n ’y a pas grand chose contre lui. Acceptons donc qu’il soit libéré. Bassolé n’est rien d’autre qu’un prisonnier politique.

    A défaut revenons à un état d’exception et là, chacun de nous pourra être arrêté jugé et fusillé en 24 h sur simple dénonciation de CDR convaincu et convaincant ou bien d’ officier ou de soldat fidèle au Président....

    A lire certains internautes, je me rappelle des slogans " ........ au poteau" d’une certaine époque, que nous regrettons amèrement aujourd’hui, les tètes et les yeux baissés devant les veuves et orphelins que par naïveté nous avons fait .

    "C’est ça aussi qui est ça" les populations peuvent être aveuglées et manipulées.

    Soyons démocrates jusqu’au bout CAMARADES REVOLUTIONNAIRES !

  • Le 20 juin 2016 à 09:56, par SOME Zubada En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Neuf mois de detention provisoire pour faire la lumiere sur un Coup d’Etat, c’est rien par rapport a 24 mois et plus de detention pour des faits presumes de vols de petit betail ou d’escroquerie portant sur des sommes d’argent inferieur a 1 million. Faites un tour a la MACO et visitez le register d’entree. Vous verrez que les juges d’instruction en font leur poules aux oeufs d’or. Et puis, y a t-il eu une arrivee de nouveaux juges dans nos instances judiciaires pour qu’on s’attende a autre chose ? Ce sont les memes magistrats qui ont gere la chose judiciairo-penitenciaire sous Blaise COMPARE le Batard et Lache.
    QU’EST-CE QUI A CHANGE AU B.F.

  • Le 20 juin 2016 à 09:59 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Pauvre Nabiiga, l’africain répondant aux questions par des questions lorsqu’il n’est pas près à accepter la vérité. Humm !!!

  • Le 20 juin 2016 à 10:10, par RAWA En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    TANGA, à quelle occasion Djibril nous a t-il prouvé qu’il est bon militaire ? Un bon politicien d’accord mais un bon militaire, j’en doute.

  • Le 20 juin 2016 à 10:11, par YABSORE En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    A l’internaute 9. débats contradictoires qui guident la décision du juge oui. mais n’oubliez pas cette subtilité juridique qui nous enseigne que le doute profite à l’accusé. il en sera ainsi que vous hurler dans la rue alors que le juge n’a cure des subjectivités ou sensibilités , il ne dit que le droit, rien que le droit. que l’accusation fasse donc la preuve de la véracité ( c’est le rôle des avocats accusateurs) des écoutes sinon libérer sa conscience en acceptant la verdict qui ne sera de son gout

  • Le 20 juin 2016 à 10:30, par yambyélbéninwendé En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Djibril, tu n’as pas honte à vouloir qu’on te défende pour que vive ? les gendarmes qui n’ont pas âge et que tu les a fait tuer laisser leurs enfants mineurs. leurs larmes se transformeront en eux de feu pour te brûler jusqu’à ta descendance. Sah lah hou.

  • Le 20 juin 2016 à 10:44, par Affaire David En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    La loi sera tjrs du coté du plus fort tant que le peuple ne se reveillera pas. L’on se rapelle que dans l’affaire David Ouedraogo c’est sous le comandement du meme Djibril BASSOLET que des gendarmes avaient établi un faux procès-verbal pour certifier que feu David OUEDRAOGO avait été conduit à la Gendarmerie et y avait trouvé la mort. Lorsque le juge Armand OUEDRAOGO(le meme) avait mis cela à nu,il a vu son dossier retiré et l’un des deux gendarmes (Semdé) auteurs du faux P.V a été retrouvé mort dans un stage alibi à Bobo. Jusqu’à son arrestation pour le coup d’Etat, il jouissait d’une impunité toatle et pire il avait été promu Ministre de la Sécurité pour ’’ casser du collectif ’’ puis Ministre des afffaires étrangères.
    QUE LES ’’GRIOTS ’’ et ’’AVOCATS’’ mange-mil de BASSOLET la ferme !

  • Le 20 juin 2016 à 10:54 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    internaute 43 si ce que tu dit ne reflète pas la vérité, que Dieu plonge ta famille et toi dans la souffrance eternelle. tu ne gagne rien en mentant au peuple. tu dois etre maudit à jamais.

  • Le 20 juin 2016 à 10:55, par ragomzanga En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Arrêtez de nous prendre pour des idiots à propos de l’authenticité de ces écoutes !!!!!!!

  • Le 20 juin 2016 à 10:56, par PUKNINI En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Internaute 39 le panafricain, ne mélangez pas les choses. Qu’est ce que le Mogho Naba et les Mossi ont à voir dans cette histoire. Ya combien de mossi qui sont inculpés dans cette affaire. Quittez dans ça sinon vous êtes un danger potentiel pour la paix. Si vous n’avez rien à dire taisez vous.

  • Le 20 juin 2016 à 10:58 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Humm ! ethnicisme stérile africain, quand tu nous tiens ! Je parie que si Général Djibril Bassolé était un mossi, la causerie était terminée ya longteeemmmmps !

  • Le 20 juin 2016 à 11:00, par zeph En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Je regrette amèrement d’avoir participé aux différentes marches et meetings politiques pour un changement.
    J’ai honte de porter la nationalité burkinabe sans fierté.

    Ce qui fait le plus mal, c’est ceux là tués comme des lapins pour rien.

    Libérer tous le monde si vous voulez. Diendéré, djibril, tout le monde et on en parle plus. Que la foudre de l’Eternel abatte sur vous tous

  • Le 20 juin 2016 à 11:05, par mami En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Moi je ne comprends pas le peuple Burkinabè. Vous vous plaignez pourquoi ? Vous pensez qu’il aurait un changement si vous remettez les mêmes personnes qui ont géré pendant plus de 25 ans le pays avec Blaise ?
    Qu’est-ce qui a changé ? les elections présidentielles et municipales les méthodes sont pareilles qu’avec le CDP. Vous vous faites avoir en remettant le pouvoir aux mêmes personnes. Et vous voulez un changement. ça risque d’être pire même si je ne souhiate pas. Comment Roch peut gagner alors que c’est lui qui a conçu la modification de l’article 37 ?

    En ce qui concerne Djibril Bassolé, que la justice soit appliquée. Qu’on fasse sortir les preuves, qu’on le juge une bonne fois pour toute car pour l’instant cela fait 9 mois de prison sans qu’on aie une version juridique officielle de son arrestation.
    Moi personnellement je ne crois pas trop à l’histoire des ecoutes , mais ça n’engage que moi , mais le vérité sortira un jour.
    Actuellement on a besoin de justice, de sécurité, de formation civique, d’éducation et surtout une relance que l’économie.

    Roc ne devait pas être notre président , mais je sais pourquoi il l’est. C’est très dangéreux le jeu auquel on s’adonne actuellement. Jusqu’à présent les autres essaient de supporter , mais pour combien de temps ? ça va eclater un jour. Faite attention !!

  • Le 20 juin 2016 à 11:07, par Dedegueba SANON En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Comme c’est difficile au bourreau d’hier d’être la victime d’aujourd’hui ?
    A supposé que Djibi soit entrain de subir une injustice, combien de burkinabè lui Djibril a contraint à porter la camisole de force ? Les faux complots, les intrigues et les calculs politiques ont toujours été son fort.
    Mais il y a une fin à tout.
    Lorsque tu fais plus d’un quart de siècle dans la ruse, la felonnie et la perfidie, sans compter la cupidité, la méchanceté et la traîtrise, tu finis par te croire un demi Dieu, et VLAN ! la sanction divine...
    Bonne indigestion....beaucoup sont passés par là.

  • Le 20 juin 2016 à 11:36 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Burkinabès vous faites vraiment pitié, seigneur ayez pitié de ces mégalomanes et prétentieux.

  • Le 20 juin 2016 à 11:46 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Dr Chochois : Juge Nebié est un Véritable Soûlard qui est allé dans ces déambulations nocturnes se cogné à des camions à plus de 20 km de Ouaga.
    C’est de la comédie que faisait le RSP pendant le putsch manqué de septembre 2015 : sinon aucun Mort, aucun dégât.
    Honte à vous

  • Le 20 juin 2016 à 12:35, par Minute En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Cessez tout ça là ! On n’a pas besoin de techniciens souvent à la solde de ceux qu’on connait pour dire et confirmer que les voix écoutées sont celles de BASSOLET et de SORO. Les burkinabé n’ont qu’à seulement comprendre et accepter que la dénonciation sied ici au regard des rapports qui existent entre la cote d’ivoire et le Burkina qu’un mandat d’arrêt contre Guillaume SORO. Aucun pays, même le Burkina n’acceptera envoyer un citoyen juger ailleurs. N’en parlons pas d’une autorité d’une telle envergure. De toutes les façons, en nous renvoyons SORO à Ouaga et du coup, on chasse nos compatriotes de la cote d’ivoire en les spoliant de leurs biens ; qui-est-ce qui est plus bénéfique pour notre pays ? Ce qui s’est passé est déplorable, mais, il vaut mieux privilégier l’intérêt supérieur du pays. On dit souvent qu’un mauvais arrangement vaut mieux qu’un bon procès. Nous condamnerons toujours les immixtions d’étrangers dans nos affaires internes. Les nationaux tels que les Djibril doivent s’assumer. Ils ont tenté un coup d’état, et ils ont été pris la mains dans le sac avec des morts. Ils doivent de sentir heureux, car en d’autres temps, on parlerait d’eux au passé. Combien de burkinabé sont mort sur une simple présomption ? Pourtant, c’est eux qui manigançaient tout. Nous ne pouvons pas toujours être des gens qui doivent subir et eux, ceux qui ont droit de vie ou de mort sur le peuple. Ici au moins, notre problème interne, nous allons le régler. N’en déplaise aux malhonnêtes et aux sinistres individus qui ne vivent que sur la douleurs du peuple.

  • Le 20 juin 2016 à 12:46, par wo En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Les écoutes sont vraies mais ce sont les méthodes d’écoutes à partir d’une table d’écoute montée par les yankees qui sont illégales et attaquables en justice.si on utilise les écoutes il y aurait forcément un autre procès de bassole et ses avocats contre les Usa et la France pour complots de déstabilisation d’un gouvernement légitime en tempd de paix et partant pour terrorisme d’État. Soit c’est un non lieu pour bassole soit ce sera le grand bazard si ce dernier reste bien sur en vie.N’oubliez pas les francs mavons sont actuellement très actif pour la libération de B.je pense qu’au final bassole sera libéré pour insuffisance de preuve et Diendere sera mis en résidence surveillée. la France au départ favorable pour le pustch a rejoint la position de Tulinabo laissant à quai les ivoiriens emportés dans leur élan et la confiance sur sa réussite du coup sans savoir que la ligne a été mise sur enregistrement et brouillage.

  • Le 20 juin 2016 à 13:15 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Internet 51

    .Commencez par nous dire ce que vous considérez comme étant la vérité. C’est un débat civilisé sur des choses qui regardent directement notre pays. Si vous croyez que mes propos sont opposés à la vérité, ça vous encombre de me corriger, de me dire votre vérité. Cachez derrière des écrans pour hurler que Nabiiga ne dit pas la vérité est une lâcheté sans description.

  • Le 20 juin 2016 à 13:18, par kihan En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    mr somé ( N 24) c’est mieux de prendre ce temps écrire des romans, là en tant que écrivain peut-être que tu seras moins aigri

  • Le 20 juin 2016 à 13:25, par SOME En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Je m’adresserai directement au sieur Nongba n°49 : tu as tellement la haine contre le CNR meme 30 ans apres, que tu ne peux t’empecher d’ecrire : « Heureusement que ce n’est pas sous le CNR ou la Rectification. Si non on aurait liquider le Monsieur pour RIEN. » Est-ce sous le CNR qu’on disait de facon si banale « Si tu fais, on te fait et n’y a rien » (bravo le niveau !). Faisons la comptabilité macabre puisque cela te rejouit : Combien de personnes ont été tuees par le CNR et combien avec Blaise ? Pourquoi ce MPP s’accroche tant a ce pouvoir ? Parce qu’ils savent ce qui les attend a cause de leur gouvernance avec Blaise et tout ce qui s’est passé. Jugeons les uns et les autres, au moins on saura qui a fait quoi ! De quoi a-t-on peur ? Mais on comprend de quel coté tu te trouves : tu as choisi ton camp, tout est a ton honneur, mais saches tu es perdant. La victoire est au peuple courageux et vaillant qui combat l’impunité et l’injustice.

    L’intervenant n°42 a raison : les parents des victimes ne doivent pas adopter cette tactique, sinon ils seront perdants sur toute la ligne. Je sais que l’ere de la compaorose a tout gaté dans la tete des gens : il n’y a plus aucne morale ; on ne connait et on n’adore que le dieu argent, sans aucune honte. La vie humaine n’a pas de prix, mais elle a une dignite a respecter et une justice a offrir : nos freres morts sont des martyrs, des heros…

    Je constate que l’on tente de ramener le tribalisme dans un debat ou il n’y a rien, ni de pres ni de loin, a voir avec. Bref tout est fait pour embraser le burkina car il y a en afrique des ignares, des primitifs qui ne peuvent meme voir comment on les utilise contre eux-mêmes.

    D’accord avec Mami n°25 « Moi je ne comprends pas le peuple Burkinabè. Vous vous plaignez pourquoi ? Vous pensez qu’il aurait un changement si vous remettez les mêmes personnes qui ont géré pendant plus de 25 ans le pays avec Blaise ?
    Qu’est-ce qui a changé ? les elections présidentielles et municipales les méthodes sont pareilles qu’avec le CDP. Vous vous faites avoir en remettant le pouvoir aux mêmes personnes. Et vous voulez un changement. ça risque d’être pire même si je ne souhiate pas. Comment Roch peut gagner alors que c’est lui qui a conçu la modification de l’article 37 ?
     »

    On les a voulus, on les a eus, on les garde ! Il faut savoir assumer ses actes. Soyons consequents avec nous-mêmes comme je le dis tout le temps. La constance est la vertu qui permet de construire quelque chose.
    « Roc ne devait pas être notre président , mais je sais pourquoi il l’est. C’est très dangéreux le jeu auquel on s’adonne actuellement. Jusqu’à présent les autres essaient de supporter , mais pour combien de temps ? ça va eclater un jour. Faite attention !! » Ne t’inquiete pas pour lui : il le sait lui-même, plus que toi ; mais il a choisi son camp. C’est une lutte de classes.
    SOME

  • Le 20 juin 2016 à 13:25 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Je ne suis qu’un observateur et je pense qu’il faut que les soient-disant intellectuels s’élèvent au-dessus de la mêlée pour se départir des émotions populaires/populistes car nous parlons du DROIT qui prévoit que les vices de forme constituent une entorse à la justice et n’effacent pas l’acte commis (l’infraction). Cependant, ils sont une cause nullité de la procédure. C’est pourquoi, le dossier est bloqué entre le Droit et la Politique et les juristes savent bien que la manière dont ces écoutes téléphoniques sont receuillies sont une distorsion a lajustice et au droit sur le fond. De plus, la question des écoutes lient deux personnes mais comment peut-on lever le mandant d’arrêt contre SORO, celui-là même qui est vraiment " l’auteur" ou le "Commanditaire" et laisser croupir son complice en détention provisoire. Si Djibril est toujours maintenu a la MACA, ce n’est ni plus ni moins d’une détention politique. Il doit à présent bénéficier d’une liberté provisoire.

  • Le 20 juin 2016 à 14:13 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    LA PAUVRETE MENTALE DE CERTAINS BURKINABE est terrible. Beaucoup de Burkinabè sont assis sur leur intelligence. Vous voulez la preuve ?
    1- Ils ont exclus un candidat comme Eddie et accepté le candidat Roch concepteur originel de la modification de l’article 37 ;
    2- Ils ont chassé Blaise et installé les RSS, les véritables artisans du pouvoir de Blaise ;
    3- Ils veulent libérer Soro, un Ivoirien, et condamner Bassolé, un frère Burkinabè ;
    4- Zida a mal niqué ce peuple ;
    5- Ce peuple est trop fan des rumeurs et prend la rumeur pour la vérité ;
    6- Ce peuple a détruit son armée, le RSP notamment, pour se plaindre ensuite de l’insécurité ;
    7- Beaucoup de Burkinabè vendent leur conscience pour un 1000F de Salif Diallo ;
    Etc. etc.
    Laisse Bassolé, les gens vont regreter gravement même.

  • Le 20 juin 2016 à 14:54 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Belle analyse. Ne sois pas blessé par les réponses des internautes. C’est la pensée unique depuis deux ans. Il y a une majorité silencieuse qui fera son bruit un jour. Les gens sont intimidé, ont peur de prendre position sans se sentir ridicule...Un jour viendra et très bientôt et le peuple Burkinabè comprendra que le Chien ne change pas sa manière de s’assoir. RSS c’est pas mieux que Zida, qui n’est pas mieux que Blaise. Ce sont juste les méthodes qui changerons. Lorsqu’on dit "transfuge du CDP" est ce à dire qu’il suffit de changer de bord pour être quelqu’un de bien ? allons seulement....

    Pour le Général je n’ai pas d’opinion, seulement je relève un flou dans le dossier.

  • Le 20 juin 2016 à 15:36 En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Internaute 10

    ce n’est pas à Dieu de sauver le BURKINA

    Prenez vos destins à main. l’avenir dépend de nous

  • Le 20 juin 2016 à 15:38, par taringuéssé En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    n°62, bravo, tu as tout dit, que dieu te donne longue vie. Tu le vois comme çà avec sa casquette de chacal là, il a mangé mon parent. Que dieu le honnis d’avantage. Saurait été à son temps il allait faire piquer tous les prisonniers avant même s’il doit les libérer. Les âmes l’attendent dans l’au-delà. il vivra longtemps et il verra.

  • Le 20 juin 2016 à 16:24, par Kaka En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    internaute 39, panafricain, grand de nom et petit d’esprit. fais pitié....

  • Le 20 juin 2016 à 16:50, par turbo En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    au n°55, il ne jouissait pas d’une impunité dèh, vous ne savez pas que comme il est malfaiteur dieu lui a confié une lourde tache non ? sa progéniture joblec fait qu’il n’a pas la joie. vous avez vu une fois il est allé en mission tomber au milieu des milliers de personnes c’est sûr qu’il a fait pipi se mouiller. quelle honte. ceux dont il a tué seront mieux que lui étant vivant. Il va manger son caca avant de mourir.

  • Le 20 juin 2016 à 18:34, par Nongba En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Vraiment M. Somé : ? internaute 69 il ne faut pas donner raison à ceux qui vous traite d’aigri.
    j’ai dit "« Heureusement que ce n’est pas sous le CNR ou la Rectification". Rectification c’est le début du Régime Compaoré si vous n’avez pas oublié. Ou bien vous avez lu ce que vous vouliez juste entendre.

    Au demeurant, que vous le voulez ou non, sous le CNR, il y avait aussi des exactions des droits humains. Malheureusement au Burkina, sur ce aspect, ça a commencé à se gâter sérieusement sous le CNR. C’est là qu’on a commencé véritablement à connaitre les effusions de sang, les tortures, les violences morales et financières en politique. Dommage mais triste réalité. Tout n’était pas rose sous le CNR. Même Sankara l’a reconnu officiellement en aout 1987 quant-il déclarait "nous préférons un pas avec le peuple que 10 pas sans le peuple" sans oublier le terme de "CDR Brouette" qui vient de lui.

  • Le 20 juin 2016 à 19:23, par Sampawindé En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    En 2000 j’ai été enfermé de façon extraordinairement arbitraire pendant quelques heures dans une gendarmerie de la capitale. J’ai alors compris qu’il y’avait des personnes honnêtes qui croupissent en prison par la méchanceté des hommes.
    Pendant ce temps, les vrais bandits, les vrais escrocs, les vrais voleurs se la coulent douce !
    La justice, la vraie, est à Dieu !

  • Le 21 juin 2016 à 00:53, par Jean Gabriel YAMEOGO En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Bonnes gens ! Ne vous fatiguez plus sur ce dossier. Il sera, à l’instar, du mandat d’arrêt contre l’autre, enterré par "voie diplomatique". Nos "éminents" cerveaux gris cherchent pour ce faire des juges "faciles" qui accepteront porter la toge de la honte pour cette ième basse besogne. Vous verrez que, l’unique général de la gendarmerie du pays des hommes intègres, humera, sous peu, l’air de la liberté ; en attendant que l’autre général en fasse de même. Vous avez dit indépendance de la justice ! Mon œil ! Le peuple croupira encore pendant 4 ans 6 mois sous la férule humiliante imposée par les valets locaux. Ceci est la rançon de la compromission ; le peuple ayant monnayé sa voix, un certain jour du 29 novembre 2015, contre des espèces sonnantes et trébuchantes. Et comme dit l’adage : "nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes". rendez-vous est pris pour 2020 pour la conquête du bonheur et du progrès. A bon entendeur, salut ! Que Dieu sauve les généraux et le Faso !

  • Le 21 juin 2016 à 10:19, par nonguommèga En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    A nos chers autorités svp ! laissez Djibril en prison toujours pour que nous nous soulageons un peu de plus. Parce que si quelqu’un tue ton parent alors que tu n’as pas la force contre lui, si toi aussi tu gagne qu’il se fait épingler par quelqu’un de plus fort que lui, toi aussi tu es content et tu peu boire un peu d’eau. S’il vous plait, au nom de dieu, laissez-le poiroter labà pour nous soulager un peu car il a fait la force à des pauvres, des innocents jusqu’à ôter leur vie. Depuis son incarcération nous aussi faibles, on est un peu soulager. Pitié pour ceux qu’il a fait tué, pitié, pitié. Essuyez nos larmes car étant en prison même déjà on est satisfait. C’est de tout mon cœur que je parle. J’aimerai qu’un de ses enfants lise cette écrit pour savoir à quel point leur est méchant, et la malédiction qu’il laissera à eux. Je vous remercie.

  • Le 21 juin 2016 à 11:36, par Le patriote En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Lisant les réactions , l’on s’aperçoit que le Burkina est loin de comprendre les principes juridiques qui gouvernent l’administration de la justice . Il ne s’agit de penser que celui ou celle là est comptant dans cette affaire . Il est ici question de vérité . En lisant l’auteur on peut percevoir cette recherche de vérité. Il demande la lumière sur cette histoire d’écoutes afin d’éviter de créer des frustré dans notre société . Faire la lumière sur cette affaire n’est point synonyme de libération ni de condamnation c’est juste pour la vérité . Quitte à cette vérité de décider du sors du détenu .
    Vivement que la vérité soit .

  • Le 21 juin 2016 à 15:31, par Reel En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Bassole sera libéré car ses détracteurs n’ont rien contre lui , ils veulent l’imposer le faux . Vive DB

  • Le 21 juin 2016 à 18:39, par SIDWAYA En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Huuummm !!!! ça na va pas au Burkina Faso. Pauvre de nous. Vouloir coute que défendre et faire libérer quelqu’un que la justice garde pour des faits suffisamment grave c’est dommage. Mr Kaboré vous serez surpris. Wait and see. Si on libère Bassolet il faudrait libérer immédiatement Diendéré car il est moins nocif que Bassolet. Depuis là c’est lui parle ou qui fait parler. Mr Kaboré épargnez nous de vos inepties. Vous voulez mettre du feu à ce pays ? vous serez servi . Expertise !! mon oeil . UN expert a contredit des médecins légistes Burkinabè en disant que le Juge Nébié est mort accidentellement. Un autre a dit la même chose pour Norbert ZONGO. Méditez sur ça Mr Kaboré. Sachez une chose Mr Kaboré : NOUS SOMMES PASSE PAR LES MÈMES ECOLES. Foutaise !!!! Il sera libéré peut etre mais le tribunal de l’histoire nous le livrera tôt ou tard

  • Le 4 juillet 2016 à 15:31, par Le Citoyen Républicain. En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    "via les réseaux sociaux, un certain Théophile Kouamouo, journaliste français d’origine camerounaise vivant en Cote d’Ivoire, proche de l’ex président ivoirien Laurent Gbagbo, incarcéré à la CPI, expose le contenu de cet élément sonore. C’est malheureusement suite à cette propagande sur les réseaux sociaux, que miraculeusement la justice burkinabè a déclaré avoir en sa possession des supposés enregistrements et de signaler sa volonté de les reverser dans le dossier BASSOLE.
    Au Burkina, pour 30000 francs CFA, on peut détruire l’honorabilité et la respectabilité d’un citoyen honnête. Là, c’est un étranger de merde qui est venu foutre la merde chez nous et nous l’avons accepté. Où sont passées les valeurs de probité et d’intégrité de nos ancêtres. Elles ont passé l’arme à gauche... C’est vraiment grave ce qu’est devenu le Burkina Faso.
    Nous ne laisserons pas faire cette prise d’ottage de notre courage légendaire. Le Citoyen Républicain.

  • Le 5 juillet 2016 à 16:34, par touïssida En réponse à : Affaire écoutes téléphoniques : Le tribunal militaire entre nécessité de vérité et volonté d’imposer du faux à un détenu.

    Bonjours ! A tout ceux qui défende Djibril ! vous défendez le diable. Je crois que le peuple burkinabè est croyant. Vous êtes soit dans l’animisme, l’islam ou le christianisme. Pardon vous pouvez défendre quelqu’un qui croit en dieu. Mais c’est pas quelqu’un qui croit à son secte satanique qu’un croyant en dieu doit défendre. Laissez-le son satan va le supporter. Ce type vous le voyez comme çà là, il ne connait pas dieu. il a fait de l’adjudant simdé comme blaise à fait sankara. son ami et frère qu’il a osé sacrifier pour sauver le pouvoir de blaise. Tout le monde sait que l’ordre est exécuté dans la hiérarchie militaire. Et il a osé sacrifier son frère et ami pour sauver le pouvoir de blaise qui est son semblable en satanisme. Peut être ils croit sont éternels. Personne ne peut rien contre eux mais le tout puissant est là et ils sont loin de lui. Ils auront une fin. Je vous remercie. Ne m’en voulez car simdé était apprécié de tout ceux qui le connaissaient.

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