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L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

Publié le vendredi 11 mars 2016 à 01h30min

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L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

Sans être auréolée d’aucune résolution, l’Organisation des Nations Unies (ONU) s’est engagée à promouvoir une “Société des anus ouverts” dans ses pays membres conformément au pacte inique conclu en son sein le 26 juin 2014 et “reconnaissant à tous les membres de son personnel le mariage des couples homosexuels, unis dans un pays où ces unions sont légales”.

L’étape du Burkina Faso a été maladroitement dévoilée par son Secrétaire Général, Ban-Ki Moon en personne, à l’occasion de sa visite à l’hôpital Saint-Camille de Ouagadougou (HOSCO). Son plaidoyer en faveur de l’homosexualité a bien donné un goût amer à son séjour de quarante-huit (48) heures : “Je conçois que l’homosexualité soit un sujet tabou. Cela peut constituer un obstacle. Il faut comprendre qu’il s’agit d’une question de santé publique. Nul ne doit se cacher en raison de sa sexualité ou de ceux qu’il aime surtout si cela les met en danger. Faisons preuve de compassion." Cela vient conforter l’opinion que les institutions onusiennes sont à la solde des partisans de Sodome.

En venant saluer la maturité démocratique des Burkinabè-voyage apprécié à sa juste valeur-le patron de l’ONU a cru que cette nouvelle ère offre l’occasion de sensibiliser sur des pratiques contraires aux moeurs de ce pays. Au final, son soutien aux homosexuels s’apparente à “un dépassement de l’oeil” car c’est une provocation doublement tenue dans un démembrement de l’Eglise catholique et en terre très puritaine du Burkina Faso. Bien que le catholicisme établisse une distinction entre les actes d’homosexualité, « intrinsèquement désordonnés » et « contraires à la loi naturelle » et la personne homosexuelle qui « doit être accueillie avec respect, compassion et délicatesse » précisant qu’il faut « éviter à leur égard toute marque de discrimination injuste », unanimement les Burkinabè, prompts à combattre toutes sortes d’injustices bien que faisant preuve d’ouverture d’esprit, ne semblent pas encore prêts à offrir publiquement de la compassion aux homosexuels. L’adhésion aux principes de l’Etat, de la République et de la Nation commande aussi de ne pas mettre en péril la cohésion nationale.

Comme sur la question des droits humains en Chine, le sujet de l’homosexualité fâche en Afrique en général et au Burkina Faso en particulier. La demande de “compassion” de Ban-Ki Moon a buté sur une réaction vigoureuse. Connu pour avoir le courage de ses opinions-comme il l’a brillamment manifesté à travers son opposition “sans camouflage” au projet de modification de l’article 37-Son Eminence Philippe Cardinal Ouédraogo a rétorqué du tic au tac : “Le repère de l’Eglise, c’est l’Evangile. La diversité des opinions fait la beauté du monde. Il ne faut pas imposer un point de vue, de façon unilatérale. Ça serait une dictature, la dictature de la pensée unique." Les uns défendent des intérêts certainement sous la pression de lobby ; les autres portent l’étendard de la quintessence de l’humanité en empêchant l’avènement d’un monde à sens unique qui renierait ses fondements. Quiconque plus que cette personnalité réligieuse de premier plan pour reconnaître les origines de l’homosexualité et la colère divine qui en est résultée : les livres saints le relatent avec l’histoire de “Sodome & Gomorrhe.”

Certes, la référence biblique ne suffit pas à elle seule pour justifier pleinement l’homophobie de la quasi-totalité des Africains. L’antipathie pour les homosexuels puise son essence dans des us et coutumes prédominants sur un continent bien singulier étant donné qu’il est le “Berceau de l’humanité” et entend perpétuer la race humaine. Au Burkina Faso, la Constitution définit dans son article 23 le mariage comme « fondé sur le libre consentement de l’homme et de la femme ». La loi fondamentale interdit ainsi le mariage entre personnes du même sexe. Devant cette immixion du premier responsible de l’ONU dans les affaires intérieures d’un Etat membre, le politique n’aurait pas eu les coudées franches pour exprimer sa pensée. Il aurait certainement balbutié à l’image du Conseil national de Transition (CNT) qui a balayé du revers de la main la proposition de loi du PAREN, condamnant l’homosexualité, sous prétexte que l’adoption d’une telle disposition est susceptible de priver le pays de ses sources de financement. Avec ce “Comportement du mendiant sans aucune dignité”, le Burkina Faso risque de perdre un jour son âme. Les homosexuels y sont déjà représentés dans certaines instances telles le comité de gestion des ressources du Fonds mondial sous l’appellation de : “Personnes clés”. De cette “honteuse” reconnaissance d’Etat, dépend la manne d’une catégorie de donateurs.

L’attitude surprenante du “très dévoué” Ban-Ki Moon apparait comme un acharnement des grands de ce monde particulièrement sur un continent fragilisé par l’extrême pauvreté et des besoins énormes de financement. La “compassion” exigée par Ban-Ki à l’endroit des homosexuels est à dessein car celle-ci a été évoqué au moment où les responsables de HSCO ont posé le manque de moyens suffisants pour la prise en charge adéquate des malades du Sida. L’extrême pauvreté et ses besoins de financement des pays africains sont deux faiblesses cyniquement exploitées pour parvenir à imposer l’homosexualité. Cette sortie inapropriée rappelle celle d’un certain Barack Obama lors de son escale à Dakar au Sénégal. Sans ambages, Macky Sall s’est montré téméraire sur la question en signifiant au “puissant” locataire de la Maison blanche que son pays n’est pas prêt à accepter la légalité d’une telle pratique : “Le débat sur l’homosexualité n’est pas à l’ordre du jour chez nous. Ce n’est pas notre préoccupation du moment. C’est comme sur la peine de mort aux Etats-Unis. Nous l’avions déjà abolie dans notre législation alors que sa suppression piétine jusqu’à lors dans votre pays. Permettez-nous d’aller à notre rythme sur certaines questions en se fondant sur nos propres valeurs”.

Il est très difficile voire impossible d’amener la majorité des Africains à concevoir que l’homosexualité ne nie pas les lois de la nature. Pis, cette déviance revendique “l’africainement” inacceptable : “des personnes de même sexe qui réclament le droit de se marier entre elles tout en sachant qu’elles n’ont aucune possibilité de procréer et poussent le culot de vouloir adopter des enfants”. Cette démarche est à la fois immorale et amorale. Aucune hauteur de vue, aucune fuite en avant derrière la mondialisation, aucune prétention intellectuelle ne peuvent justifier une telle pratique contraires aux valeurs africaines que les grands de ce monde veulent imposer à travers une dictature qui ne dit pas son nom. La planète est constituée de particularités que toute initiative de généralisation pour asseoir une vision unilatérale de société, ignorant la primauté de la diversité culturelle des uns et des autres, mènerait l’humanité à la catastrophe. Même si sa voix est sciemment étouffée dans les hautes sphères mondiales, l’Afrique doit faire entendre sa position sur l’homosexualité. Il y va de la préservation de sa dernière dignité. L’ONU doit admettre une fois pour toutes que les homosexuels sont des individus qui ont dévié sur le plan sexuel et défient les lois de la nature et de la race humaine. Alors qu’ils laissent tranquilles ceux qui sont dans le droit sexuel.

Après avoir subi toutes sortes de chantages de la part des institutions de Bretton Woods dans les années 1990 pour l’adoption au forceps des Programmes d’ajustement structurel (PAS), les pays africains se voient infligés un autre diktat pour épouser contre leur gré les préceptes d’un monde en perdition. Pour avoir oser “crier haut et fort” leur refus à une telle alliénation culturelle, des Etats tels le Zimbabwé, l’Ouganda sont aujourd’hui sous perfusion. “J’aimerais souligner à Barack Obama que la plus belle chose qu’il a accomplie, c’est d’épouser Michelle”, a retorqué Yoweri Musseveni. “Si Barack Obama estime que l’homosexualité est une bonne chose qu’il divorce avec Michelle pour venir m’épouser. (…). Même le Diable n’a pas cherché à séduire Adam ; il a été attiré par Eve”, enchaine “l’indomptable”, Robert Mugabé. Des législations de pays africains sont, à tort, jugées tantôt de liberticides tantôt de retrogrades parce qu’elles repriment l’homosexualité.

La seule arme pour les Africains de se prémunir des affres des lobbies homosexuels, c’est de conquérir leur indépendance économique afin que leurs pays ne soient plus là à accepter une dictature culturelle sans fondement moral et éthique. Car si l’on part du postulat que “la culture, c’est ce qui reste à un individu lorsqu’il a tout perdu”, la perte de la bataille contre l’homosexuelle signifie l’absence de toutes les souverainetés sur le continent : politique, économique, culturelle. Si l’homosexualité et la pédophilie s’apparentent à des pratiques exercées en grande partie par une classe aisée, celles-ci s’appuient sur la misère et la propension au gain facile pour gagner du terrain sur le continent.

Face à l’homosexualité, deux conceptions des relations entre homme et femme s’opposent avec acuité et divisent les opinions à plusieurs niveaux à travers le monde. Il n’y a qu’en Afrique que l’on assiste au plaidoyer indécent en faveur des homosexuels de la part des grands de la planète. Parce que c’est le continent qui tend le plus la main et offre tous les attributs de “Poubelle de l’humanité”. Alors que la question reste aussi posée dans de nombreuses contrées en Asie, en Amérique et en Europe. Seuls (21) pays, soit 900 millions d’habitants, sur les 193 pays membres de l’ONU, dont l’Afrique du Sud seulement sur le continent, autorisent à ce jour le mariage gay. La minorité ne peut imposer sa conduite à l’immense majorité du reste du monde.

La diversité culturelle suppose le respect de la culture de l’autre et la hauteur de vue de ne pas imposer un ordre culturel commun sous aucune pression. Comme l’a prévenu Bertin Juminer dans “Les Bâtards”, “On a beau peindre mon corps en blanc, mon âme en dessous crie noir”. Même avec l’extrême mimétisme et l’acculturation tous azimuts, un Africain ne deviendra jamais un Asiatique, un Américain voire un Européen. Même si l’histoire retient que le porte-étendard du “Mariage pour tous” en France est une Guyanaise “noire foncée” en la personne de Christiane Taubira. Autant les autres habitants de la terre se targuent d’une civilisation meilleure à partager avec les autres, autant le “Berceau de l’humanité” se dresse comme le garant de la perpétuation de l’espèce humaine. Le fossé entre la “modernité” qui caractérise les uns et la “sauvagerie” qui désigne les autres, se doit d’être combler par des valeurs unanimement acceptées qui ne heurtent pas la conscience humaine. Si “épouser plus d’une femme” est aperçu ailleurs comme une attitude de sauvage, “coucher avec un individu de même sexe” va au-delà d’une déviance pour s’apparenter à de l’animalité. Si l’Afrique est prête à ne pas regarder le “Postérieur de l’humanité” en ce qui concerne des avancées indéniables, elle refuse d’avaler les couleuvres de l’homosexualité et porter préjudice à sa société.

Les Etats africains sont bien conscients d’évoluer dans un monde globalisé où les maux et les valeurs transcendent les océans et les frontières. L’homosexualité y est aujourd’hui une réalité indéniable qu’ils ne peuvent continuer de nier. Elle n’est plus l’apanage des seuls expatriés. Des compatriotes l’ont aussi épousé tout en sachant qu’ils heurtent la conscience collective. Mais il est inconcevable de l’admettre comme un fait normal de leur société. S’exposer en s’adonnant à cette pratique au vu et au su serait jeter l’huile sur le feu.

S’il n’est plus possible d’entretenir en Afrique l’omerta sur ce phénomène aussi contemporain que mondial, toute obligation à reconnaître des droits à des homosexuels alors que le contexte purement africain ne s’y prête pas, c’est tout simplement déposséder plusieurs nations de leur repère sociétal. Le seul fait d’aborder le sujet de l’homosexualité attire le courroux. L’éminent professeur Serges Théophile Balima en sait quelque chose. Présentateur du rapport général sur l’indice de développement du PNUD dont le thème cette année-là a porté sur la diversité culturelle, il s’est évertué dans une demarche intellectuelle à attirer l’attention de ses compatriotes que “l’homosexualité est un phénomène mondial que le Burkina Faso ne doit ignorer dans sa gouvernance et dans ses relations internationales”. C’est avec des voix reprobatrices et très reprimantes que le Larlé Naba Tigré et Clémentine Ouédraogo de Promo-Femmes-Développement ont aussitôt lancé “Nous ne voulons pas de ça chez nous” comme si le Professeur faisait l’apologie de l’homosexualité.

Des anthropologues, comme le Britannique Edward Evan Evans-Pritchard, ont certes tenté de démontrer que des mariages homosexuels ont existé dans l’Afrique pré-coloniale notamment dans la tribu des Azandes (actuel Soudan). La réalité actuelle est telle qu’une disposition visant à les légitimer aujourd’hui au point d’aboutir à des gay-prides serait une source de troubles internes et de déstabilisation d’un socle culturel.

Pourquoi les grands de ce monde ne se lancent-ils pas dans la promotion du mariage homme-femme alors que le monde est confronté à de plus en plus célibataires et que des hommes ou des femmes choisissent de vivre dans la solitude ? Pourquoi les hommes et les femmes mariés n’entreprennent-ils pas d’organiser des parades à travers le monde pour prouver leur existence ? Tout simplement parce que leurs relations s’inscrivent dans la normalité. Ce qui est normal n’a besoin ni de plaidoyer ni de sensibilisation ni de tapage pour s’imposer.

Filiga Anselme RAMDE
filiga.ramde@yahoo.fr
Pour lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 10 mars 2016 à 22:42, par Honest En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Merci beaucoup pour cet article. Il n’y a pas de place pour les homosexuels au Faso. Si ban ki moon les aime qu’ils les emmènent chez lui.

  • Le 10 mars 2016 à 22:53, par flaison En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    defendre l’homosexualite ! c’est la voi vers la dissolution de l’onu. et qui vivera vera.

  • Le 10 mars 2016 à 22:56 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Monsieur Ramde,

    Je suis un Français hétérosexuel ayant participé depuis plus de quarante ans à des mouvements, manifestations, etc. antiracistes et anti-xénophobes ou, plus concrètement, en faveur des "sans-papiers".
    Je suis choqué qu’il soit devenu acceptable en Afrique de tenir à l’égard des homosexuels des discours aussi réducteurs et aussi ignobles que ceux que l’extrême-droite et la droite européenne tiennent à l’égard des immigrés d’origine africaine.

    Des compatriotes l’ont aussi épousé tout en sachant qu’ils heurtent la conscience collective. Mais il est inconcevable de l’admettre comme un fait normal de leur société. S’exposer en s’adonnant à cette pratique au vu et au su serait jeter l’huile sur le feu

    Je me demande si j’ai milité puis manifesté pendant des dizaines d’années pour favoriser l’entrée sur le territoire français de personnes mues par la même haine de l’autre que celle des racistes et des xénophobes que je combats.
    Bien sûr, je ne renie pas mes idéaux de tolérance et de l’accueil de l’autre. Mais je suis découragé et moins motivé.
    Ne comprenez-vous pas que les homosexuels (dont je ne suis pas) et les hétérosexuels qui combattent l’homophobie (dont je suis) constituent une part importante des soutiens dont ont bénéficié les immigrés d’origine africaine dans les pays occidentaux ? Ne comprenez-vous pas qu’en tenant votre discours haineux, vous confortez ceux qui prêchent la haine contre les immigrés africains ? Ne comprenez-vous pas qu’en ratiocinant sur une prétendue essentialité de l’homophobie africaine aussi peu démontrable que la prétendue incapacité de l’homme africain à entrer dans l’Histoire, vous contribuez au malheur de ceux de vos concitoyens qui cherchent pour des raisons parfaitement légitimes à avoir leur part de l’aisance matérielle occidentale ? Ne comprenez-vous pas que ce genre de petite jouissance sordide vous fait certes plaisir à court terme mais contribue à dégrader l’image de ceux dont vous prétendez défendre la dignité ?
    À Bobo-Dioulasso comme à Pékin ou à Birmingham, les hommes sont interdépendants des autres membres de l’espèce humaine. C’est pourquoi votre homophobie et celle des trop nombreux Burkinabè qui manifestent leur haine des homosexuels sur le Faso.net contribuent à salir l’image de l’Homme africain comme l’ignominie de quelques sweat-shops a sali celle de Nike. Seuls ceux qui sont capables de concilier les contraintes de cette interdépendance et le légitime combat pour le contrôle de leurs propres vies pourront acquérir leur dignité d’être humain. Le moins qu’on puisse dire dire, c’est que vous n’en prenez pas le chemin en refusant de vous adapter à la différence de vos voisins et en crachant sur les valeurs de la partie des occidentaux les plus farouchement opposés au racisme et à la xénophobie dont vos concitoyens sont les malheureuses victimes.

    Par ailleurs, il est cocasse que vous invoquiez pour justifier votre homophobie la prétendue autorité morale d’une institution sans rappeler les innombrables cas de pédophilie et de complaisance à l’égard de la pédophilie dont elle a été éclaboussée. Puisque vous vous dîtes chrétien, peut-être connaissez-vous la parabole et l’injonction suivantes :

    « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? Ou comment peux-tu dire à ton frère : Laisse-moi ôter une paille de ton œil, toi qui as une poutre dans le tien ? Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors tu verras comment ôter la paille de l’œil de ton frère. »

    Que celui qui n’a jamais péché jette la première pierre !

    Mais je crois bien que votre christianisme et celui du Cardinal auquel vous vous référez ne sont que des prétextes à la manifestation de votre haine de l’autre.

  • Le 10 mars 2016 à 23:14 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    avec la question de l’homosexualité on a tendance à se poser des questions ; est ce que les hommes d’église ne perdent pas leur temps et pourquoi c’est dans les pays surtout dominés par le christianisme qui acceptent cette vie de couple.veulent-ils nous prouver la non crédibilité de cette religion.nous préférons repartir dans notre tradition (animisme) que d’accepter la honte .

  • Le 10 mars 2016 à 23:30, par gohoga En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Ce tout simplement propre.

  • Le 11 mars 2016 à 00:47, par Jeunedame seret En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Société de quoi ouvert ? Nous ne sommes même pas habitués à prononcer ce mot (anus) d’une manière crue dans le langage courant. Les grandes puissances sont toujours les grands pollueurs ; au propre comme au figuré. Comme on le dit en mooré, quand l’homme est rassasié il devient idiot. Mais il y a toujours de l’humanité en Afrique. Malgré les erreurs politiques de nos états. En effet, la plus grave faute des Africains, c’est de signer des accords sans en maîtriser les fins. Leur plus grande bêtise, c’est leur incapacité à dire NON à certains cadeaux, mêmes infectés. Leur plus grande faiblesse, c’est leur manque de définition personnelle du mot développement. MR RAMDÉ ; merci pour ce long éclairage ; proposez surtout à nos politiciens, des méthodes de résistance à cette perversion.

  • Le 11 mars 2016 à 00:55, par bintoa En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Vous l avez si bien dit "ce qui est normal n a pas besoin de tapage !". Peut être est ce leur nouvel ordre mondial : exterminer la race humaine.

  • Le 11 mars 2016 à 01:06, par bikutu En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    M. Filiga Anselme RAMDE j’aimerais vous dire toute mon admiration pour ce merveilleux plaidoyer. Je vous assure, on est aussitôt soulagé après avoir lu pareil exposé. C’est comme si à travers votre exposé nous disions toute notre colère. Malheureusement c’est la pure vérité que vous avez décrit. Et c’est bien triste. C’est bien triste en effet qu’on soit arrivé à cet extrême. Qu’on en soit réduit à se renier pour pouvoir survivre, à accepter l’inacceptable pour pouvoir continuer à bénéficier des financements des grandes institutions et de ceux des pays sous les bottes desquelles elles se trouvent.

    Par votre exposé vous nous permettez déjà de dire non. Nous disons non à l’homosexualité, et nous vous remercions. Que les valeurs de l’Évangile l’emporte : "tu quittera ton père et ta mère et tu t’attacheras à une femme"

  • Le 11 mars 2016 à 06:02, par sougri En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Là je suis entièrement d’accord , vraiment d’accord avec cet écrit
    Merci au cardinal Philippe et à vous monsieur ramdé

  • Le 11 mars 2016 à 07:52, par af En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    simplement merci.

  • Le 11 mars 2016 à 08:27, par dosso En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Très bel article, je conseille aux élèves et étudiants de capturer et conserver sur un autre support cet article de Mr RAMDE, pour meubler leur culture générale et les essais littéraires.

  • Le 11 mars 2016 à 08:30, par lautre En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Le sujet ici abordé est délicat par la façon dont la communauté internationale, habituée à imposer ses idées par la pression financière, procède.
    En effet, une chose est le fait qu’il existe des homosexuels et de ce fait, leur trouver un cadre juridique d’expression de leur tendance sexuelle. De toute façon, les hétérosexuels ont-ils une loi qui les protègent ? Et l’acte sexuel étant hautement secret dans nos coutumes, y a-t-il besoin de légiférer pour que deux homosexuels se rencontrent intimément ? Suite à la proposition de loi par le PAREN, nous avons vu une manifestation des plus ridicules, tant on sentait du bricolage. Je parie qu’il n’y avait dans ce groupe aucun homosexuel. C’est du payé ! C’est laid ! Quand on voit des personnes convaincus qui marchent pour leurs révendications, on peut être opposés à leur démarche, mais on y perçoit de la sincérité et de l’harmonie entre leur marche, l’idéal poursuivi et leur être.
    Une autre chose est d’en faire une question d’importance capitale, comme si en Afrique on tuait chaque matin des homosexuels. Cette façon de faire n’aboutit qu’à une crispation. D’autant que les gens savent maintenant que la communauté n’a pas toujours été porteuse de valeurs, de réel désir de voir se développer l’Afrique.
    Le Cardinal a bien répondu. L’Occident ne s’est pas encore converti de son désir de dicter ses manières en Afrique. Cela interpelle aussi les Africains. Voyez-vous, quand un Africain expose les us et coutumes de son continent, il a souvent un brin de mépris dans ses propos et cela suscite un rire narquois chez les Occidentaux. Et lorsque ces derniers présentent les leurs, ils suscitent l’admiration chez les Africains. Cet afro-pessimisme est à éradiquer dans nos comportement.
    Je me réjouis que le Faso Dafani refasse surface. Avec lui, le jus Dafani, l’eau Laafi, le fonio, le beurre de karité, le riz local, et les autres produits locaux doivent prendre leur envol. C’est par la transformation et la consommation de nos produits locaux que nous parviendront à prendre notre envol économique et à résister au diktats de la communauté internationale.

  • Le 11 mars 2016 à 08:39, par rora En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Mr Ramdé depuis quand le Burkina est une terre très puritaine avec le nombre de chambres de passe qu’on y a et où mariés et célibataires se livrent chaque jour à des actes pas du tout puritains ? C’est bien beau de s’opposer à l’homosexualité mais ne nous présentons pas pour autant comme des champions de vertus ou des puritains.

  • Le 11 mars 2016 à 08:42, par lautre En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    L’Afrique a besoin de prioriser par elle-même ses domaines d’action.
    Son retard constaté vient du fait que les Occidentaux ont toujours eu le loisir de dire à l’Afrique ce qu’elle doit faire. On devient libre quand on ne fait plus parce qu’"on doit", mais parcequ’"on veut" faire.
    L’infantilisation du continent n’a que trop duré.
    N’avons-nous pas plus important : les universités burkinabé sont en panne depuis plus d’une décennie et le fameux secrétaire général de l’ONU n’en a point dit mot. Mais il va s’en prendre à un hôpital qui avec peu de moyens économiques offre des soins de grande qualité et à moindre coût aux populations, convaincu qu’une population bien portante est un atout pour le développement du pays. Comme si l’hôpital camillien avait déjà refusé de soigner un homosexuel. Quand on vient à l’hôpital on n’a pas gravé sur le front son orientation sexuelle. C’est vraiment ridicule, tant le sujet a été abordé de façon incongrue.
    Ma question aux autorités est la suivante : A quand le redressement de la situation des universités burkinabé ? C’est si crucial !

  • Le 11 mars 2016 à 08:44, par Spirou En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    L’article pose un problème de fond, qui est celui d’avoir une stragégie sur ce que nous voulons pour nos populations, la mettre en oeuvre et la défendre ardemment. Autrement, nous continuerons subir ce que les autres voudrons nous imposer. Aujourd’hui c’est l’homosexualité, demain ce sera peut-être l’inseste, puis la pédophilie, la zoophilie et j’en passe.

    La polygamie fait partie de nos régimes matrimoniaux. Nous pouvons, sur le principe demander à l’ONU de la reconnaître rien que pour faire entendre un autre son de cloche et faire respecter les droits des polygames qui sont dans une union librement consentie et assumée. Il est temps de nous réveiller et de défendre les droits de nos polygames, notamment de nos immigrés en Europe à qui des prestations sociales sont refusées au motif que la polygamie n’est pas reconnue.

    Enfin nous devons compter sur nous-mêmes pour éviter qu’à travers l’aide liée, on nous impose quoique ce soit. On a vu certains pays développés conditionner l’otroi de l’aide à l’acceptation de l’homosexualité. Ouvrons l’oeil !

  • Le 11 mars 2016 à 08:55 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Voilà qui est bien dit...

  • Le 11 mars 2016 à 09:07, par Bi télé En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    L’homosexualité n’est pas une nouveauté pour l’humanité. Les adeptes du chaos et du désordre pour les générations actuelles et futures ont trouvé la voie royale pour corrompre l’espèce humaine et la terre tout court. On en veut pas, cette homosexualité. ça aussi ça fait partie de la liberté. Mesdames messieurs acceptez humblement svp.

  • Le 11 mars 2016 à 09:25, par l’hétéro En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Bravo ! tout simplement BRAVO !
    "Tout simplement parce que leurs relations s’inscrivent dans la normalité. Ce qui est normal n’a besoin ni de plaidoyer ni de sensibilisation ni de tapage pour s’imposer."
    ils ont officialisé par leur actes le règne de Mamon sur le monde (Dieu ancien qui présidait aux divers péchés que fait commettre l’amour de l’argent). POUR UN PEU D’ARGENT MAMON NOUS INVITE A VENDRE NOTRE ÂME. Ca commence par l’homosexualité et sa se finit par la pédophilie, la zoophilie, les IVG, le clonage, les transformations génétiques.
    Reconnaissez au moins aux peuples le droit de VIVRE LEUR VALEUR, tout comme vous vivez les votres (mêmes s’ils sont de plus en plus immorales). ce n’est pas parce que nous sommes pauvres que nous pourrez acheter nos âmes avec de l’argent. L’ARGENT ici n’est qu’un moyen, pour nous avoir. Après, vous en avez d’autres dans votre sacoche (nous le savons) : guerre, rébellion, règles juridiques absurdes comme celles de la composition du conseil de sécurité de l’ONU qui consacre le droit du plus fort, etc.

  • Le 11 mars 2016 à 09:26, par Alerte226 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Quand un styliste fabrique un beau vêtement aux coleurs multiples, on dit qu’il a su marié telle couleur à telle autre coleur.
    Par exemple, on peut dire que le tailleur a su marié le blanc au noir, le jaune au marron etc.
    IL faut remarquer dans cet exemple qu’on marie deux couleurs différentes.
    En effet, ça ne fait aucun sens de dire que le tailleur a su marié la couleur blanche à la couleur blanche.
    Pour revenir au mariage, ça doit être évident que le mariage a lieu entre deux personnes de sexe diffirent.
    Ce qui se passe entre les personnes homosexuelles ne peut en aucun cas s’appeler mariage.
    Il faut savoir désigner l’erreur, la mauvaise voie à ne pas emprunter.
    Si vous avez besoin de vous cacher pour faire quelque chose, sachez que cette chose n’est pas bien.
    Le mariage est mariage parce qu’il est public et engage une femme et un homme à se consacrer l’un à l’autre devant Dieu et les hommes.
    Voilà le chemin normal.

  • Le 11 mars 2016 à 10:02 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Merci mon frère, tu m’a régalé ce matin. Que Dieu continue de bénir ta plume ! On ne saurait accepter des comportement déviants au nom de la compassion.

  • Le 11 mars 2016 à 10:03, par Zounofol En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Belle analyse,M. RAMDE
    Que le SG de l’ONU nous épargne de cette entrée en force en venant dans un pays meurtri par l’injustice, mis en retard par la malgouvernance, rendu inefficient par l’épidémie du SIDA, la rafale du paludisme, la sécheresse, le manque d’eau, l’analphabétisme..., bref, pour nous détourner dans un débat qui nous ferait passer à coté de nos priorités. Loin de nous l’idée de bafouer des libertés, de saper l’agenda de l’ONU, mais nous savons quelles sont nos priorités lol.

  • Le 11 mars 2016 à 10:49, par Kôrô Yamyélé En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    - RAMDÉ, tu as ce que tu as fait avec ton article ? Tu a énervé mon ami blanc. Ce n’est pas gentille de ta part. Et tu risques de l’amener à abandonner la lutte pour les sans-papiers en France. Mais malgré tout, félicitation pour ton article

    INFO  : Un sud-africain homosexuel est mort la semaine passée de cancer d’anus !!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 11 mars 2016 à 10:50, par Minim noma En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Merci M Ramdé, des intellectuels comme vous, l’Afrique en a besoin.

  • Le 11 mars 2016 à 11:02, par Deamel En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Monsieur Filiga Anselme RAMDE, je ne vais pas ici me ranger du côté du POUR ou du CONTRE l’homosexualité. Je prends le temps de poster mon commentaire pour vous dire que je trouve votre diatribe intellectuellement malhonnête et je ne voudrais perdre mon temps à soulever les différents points qui m’ont amenés à cette conclusion. Il y a cependant un mot qui au milieu de toute cette logorrhée m’a fait bondir plus que tout, c’est le mot : normalité. Vous concluez votre texte par cette idée que les relations hétérosexuelles s’inscrivent dans la normalité. Attention à ce mot. Derrière celui-ci des massacres ont été perpétués, des injustices ont été prononcé. Les nazis trouvaient NORMAL de gazer les Juifs parce qu’ils considéraient que ces derniers étaient une anomalie. Les Hutus ont massacré les Tutsis sous l’égide de la normalité. On a coupé le clitoris des fillettes parce que c’était culturellement NORMAL. La normalité interdit toute autre forme de vision et obscurcie l’esprit. N’oubliez pas non plus qu’il était NORMAL que les noirs que nous sommes soient tenus en esclavage à une certaine époque et qu’il y avait des gens bien intentionnés qui intellectuellement vous expliquaient en quoi l’esclavage était NORMAL.
    Vous rendez vous compte de la haine que votre texte suscite ? Il y a déjà des commentaires qui disent que "si ils rencontrent des homosexuels, ils vont leurs tomber dessus et les castrer". Autant ouvrir des camps de concentration et gazer les homosexuels, pendant qu’on y est. Il y a certainement dans le lot des gens catholiques que s’ils pensent que l’homosexualité n’est pas "normale" devraient avoir au moins de la compassion.
    Et c’est quoi cette idée que si nous, Burkinabé, nous n’acceptons pas les homosexuels, cela va faire que les investisseurs vont nous tourner le dos ??!
    Un investisseur est là pour se faire du fric, il n’en a rien à foutre que l’on soit pour ou contre l’homosexualité et je vais même vous dire, il n’en à rien à foutre de nous.

  • Le 11 mars 2016 à 14:40, par Aigle Royal En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Dites à BAN KI MOON de défendre la polygamie, elle est une cause plus noble. Nous en avons marre du diktat occidental.

    Bravo à vous M. RAMDE pour le brillant exposé !

  • Le 11 mars 2016 à 14:53 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    moi personnellement, je vois pas une haine dans l’écrit. mais plus tôt un éveil de conscience des africains au regard de l’imposition de certains comportements aux pays sous développés.
    tout ce qui se passe en Afrique est la cause des pays occidentaux :
    - la pauvreté de l’Afrique causé par les occidentaux ;
    - le pillage de l’Afrique causé par les occidentaux ;
    - les guerres en Afrique causé par les occidentaux etc.
    et les occidentaux aujourd’hui veulent nous imposer l’homosexualité comme mode de vie.
    moi je prefère mourir que de tolerer un homosexuel.

  • Le 11 mars 2016 à 15:33 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    ÉCRIT PUANT, SCANDALEUSEMENT HAINEUX, XÉNOPHOBE ET INTELLECTUELLEMENT MALHONNÊTE ET LÂCHE ! Ce qui m’attriste le plus : c’est de voir tous ceux qui, en suivant, crachent leur venin...!!! Trop facile Monsieur ! Vous saisissez ce non-évènement onusien pour caressez l’opinion dans le sens du poil, pour la maintenir dans la pauvreté d’esprit, manipuler sa bassesse, faire du populisme : HONTE A VOUS M. le pseudo-intellectuel !

  • Le 11 mars 2016 à 16:39, par Rakiisé En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Monsieur Deamel, il est bien que vous rappeliez à M. RAMDE les risque d’utilisation abusive de termes qui en d’autres lieux et époques ont été source de crime contre l’humanité. Cela dit, il y a que cette pratique de l’homosexualité est en soit un CRIME CONTRE L’HUMANITÉ car elle conduit à terme à l’extinction de race humaine. De deux maux, s’il faille choisir le moindre, retenons l’anormalité de l’homosexualité. Comprenez-vous pourquoi la crise des migrants inquiète tant l’Europe, c’est parce que dans moins d’un siècle, les descendant de ces migrants seront les seules populations de ce continent dont les pratiques sexuelles de ses habitants ne permettent pas de se renouveler. Notre souhait le plus ardent est qu’ils continuent de se "hara-kiri" (mais sans nous contraindre) afin qu’au XXIIe et au plus tard au XXIIIe siècle, nous Africains ayons à coloniser une terra incognita européenne.

  • Le 11 mars 2016 à 16:43 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Com 23 : Des hétérosexuels ont aussi des cancers d’anus ! dès que l’on parle d’homosexualité, on se comporte comme des idiots sans réfléchir. Au début des années 80, le sida était vu comme la maladie des homo (découverte dans les communautés gays et de drogués aux USA notamment). Or, il n’en est rien ! Et, pour les puritains qui commentent, c’est hélas, en Afrique où il y a eu le plus de morts à cause du Sida depuis le début de l’épidémie. Donc, si je raisonne comme un idiot. Je dirais que l’Afrique a le plus d’homo alors que toutes les statistiques à travers le monde et quelque soit les cultures, on a plus ou moins le même chiffre. C’est plutôt l’intolérance qui est le problème !

  • Le 11 mars 2016 à 16:46, par petit Lexis En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Si nous nous inscrivons dans la logique de Ban kimoon,50ans seraient trop pour la destruction complete du monde.ils font une rationalisation de leurs attitudes et cultures et condamnent tous ceux qui pensent differemment d’eux.CHRETIENS ,nous voulons servir Dieu , pas l’argent.j’ai l’impression que le fait d’etre griser par le pouvoir assombrit le jugement de certains grands de ce monde.je ne suis meme pas certain que la Coree dont il est originaire tolere un non sens pareil.En occident les gens soupconnent tout ce qui a une opinion religieuse de s’ affirmer tel quel.Un penseur a dit que le fait que le monde entier disent ou acceptent un mensonge n,en fera jamais la verite....
    Donnez l’asile et la nationalite aux homos comme c’est deja le cas Monsieur le Francais,Vous refusez de voir le reel besoin des Africains.Si vous les aimez comme vous pretendez donner leur vos nationalites et accueillez les aux USA OU EN FRANCE ou ...Combien de dizaines d’africains sont morts du faits d’avoir dit non A L ;HOMOSEXUALITE ? des dizaines et des dizaines Que Dieu soit avec nous et nous preserve de vous et de vos "valeurs" qui ne vous ont jamais rendu plus humain envers l’afrique comme vous le pretendez.Ouvrez vos yeux .......Merci au Cardinal et merci a Ramde
    le francais.Acceptez un peche de plus mettra t il fin aux autres peches ou ignorez vous que les maladies sexuelles sont en nettes croissances dans les cercles homosexuels memes en France ou aux Usa.De grace si vous savez ce que vous voulez ,les africains aussi savent ce qu’ils veulent.Dieu soit loue.

  • Le 11 mars 2016 à 17:54, par Sagesse En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Salut ! vous comprenez maintenant pourquoi le monde se porte mal. Nouvel Ordre Mondial communément appelé LES ILLUMINATIS qui veulent réduire la population mondiale au 2/3. voilà le but du terrorisme

  • Le 11 mars 2016 à 18:24, par Toutdemême En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    A Monsieur le français hétérosexuel,
    Cher Monsieur, lorsqu’il est dit (par Filiga ou toute autre personne) que l’homosexualité (celle qui est actuellement proposée aux Africains) est une pratique contre-nature, immorale, choquante, attentatoire à la pérennité de l’humanité, et porteuse de germes de conflits, où se trouve la haine ? Il s’agit là d’un simple rappel à ceux qui prétendent promouvoir une telle abomination en Afrique (Obama, Ki-Moon et autres). A la suite de Filiga, j’affirme que ce programme criminel ne passera pas chez nous et ils se trompent lourdement, ceux qui parient sur notre vulnérabilité du fait de notre faiblesse économique. Et c’est là précisément que vous étonnez en brandissant comme menace le rejet éventuel des migrants (africains je suppose). Vous faites à dessein l’amalgame avec la question de l’homosexualité. Je ne m’intéresserai pas à votre évaluation des « valeurs de la partie des occidentaux les plus farouchement opposés au racisme et à la xénophobie » et du niveau de christianisme de Filiga et du cardinal. Je vous dis simplement ceci : l’homosexualité ne deviendra pas une pratique normale au Burkina Faso.

  • Le 11 mars 2016 à 18:37, par Le Capitaine En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Chacun a sa conception des relations humaines, l’essentiel est de ne pas l’imposer a l’autre, car tu ne peux pas empecher ton voisin, dans son intimité, de coucher avec un ane n’en parlons pas avec un homme (et puis, qui vous dit que votre voisin n’est pas homo ? Que votre boutiquier ou beau frere ne l’est pas ?). Il convient de ne pas cautionner l’homosexualité, mais attention à ne pas developper de la haine, ce qui serait contraire a notre foi, quelqu’elle soit.
    Au lieu de passer notre temps a crier "occident,occident", on ferait mieux de prendre conscience de la valeur de notre continent et travailler ensemble a sortir de la pauvreté. Arretons par exemple de chercher a ecraser les autres pour des miettes et travaillons a l’interet general et vous verrez que nous serons independants.
    Si on ne se reveille pas, soyez en sur que c’est l’argent des homosexuels qui paieront nos salaires, si ce n’est pas deja le cas (vous connaissez sources de nos financements ? Pouvez-vous en tracer l’origine ?)...
    Si nos cultures et notre devenir sont si importants, tout comme notre devenir, mettons notre energie a lutter ensemble sans haine. Transformons l’energie que nous aurons pour detester les autres en hardeur au travail...car personne d’autre ne viendra developper le Faso ou le continent pour nous...

  • Le 11 mars 2016 à 20:59, par Abomination En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Priez pour que Dieu guérisse les homosexuels vivant au Burkina de leur désordre psychique. L’homosexualité est la pire des pires maladies de l’espèce humaine.

  • Le 11 mars 2016 à 21:19, par bikutu En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Lautre, Rakiisé et Toutdemême BRAVO à vous les gars ! J’ai aimé.

  • Le 12 mars 2016 à 04:45 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Si "ce qui est normal n a pas besoin de tapage !", pourquoi ce qui est anormal aurait- IL BESOIIN DE TAPAGE ?.
    Mr. Ramde, vous gagneriez a ecrire contre les Vieux qui subornent nos petites filles de 12 ans. C’est la que le combat vaut la peine d’ etre combattu. Vous ecrivez dans ce sens pour gagner l’ ovation de la populace mais sachez que tous vos arguments ne resistent pas a une bonne discussion. Sideux adultes sains de corps decident de se voler en l’ air comme ils le veulent, de facon consentante, ou est votre probleme ?Pourquoi voudriez- vous seulement que ce soit les blancs qi soient homosexuels ? Donc on peut dir aussi que ce sont seulement les noirs qui n’ ont pas l’ esprit scientifiue ou technologique alors. Il n’ y a pas d’ essentialite qui tienne ici.
    Des gens ont blanchi des quatre- vingtaines de milliards, laissant ainsi mourir des milliers d’ enfants. Vous ne dites rien et tout ce qui vous interesse, c’est de fouiner votre museau dans les affaires d’ adultes consentants qui n’ ont commis aucun crime.Pendant qu’ on y est, pourquoi n dressez- vous pas la liste de tous les actes qu’ on doit faire au lit entre un homme et une femme et de tous les actes qu’ on doit pas faire ? Et dire que vous avez mis des heures pour pondre ce document de la haine ! En quoi c’ est different des racistes ? C’est le rejet de la difference dans tous les deux cas. Sachez seulement que la clameur publique n’a jamais ete un verdict intelligent.

  • Le 12 mars 2016 à 05:07 En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Ou lalala ! que d’ hypocrites !!!!!!!! Laissez chacun gerer son zizi et son anus. Des vrais BIGOTS !

  • Le 12 mars 2016 à 08:15, par Nabs En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Que les homo s’accouplent comme ils veulent mais qu’ils ne viennent pas demander d’adopter nos enfants à nous heteros.

  • Le 12 mars 2016 à 08:52, par kwiliga En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Chers amis internautes Burkinabé, je voudrais attirer votre attention sur le fait que pour rendre possible ce genre de discussion, nous utilisons des ordinateurs, des logiciels, des programmes,... dont une bonne partie ont été imaginés, conçus, réalisés, par des homosexuels !
    Quand j’y pense, ça me dégoute même de toucher le clavier de mon ordinateur.
    J’arrête donc immédiatement et invite tout homophobe qui se respecte à aller, comme moi, jusqu’au bout de ses convictions et à cesser toute collaboration avec l’univers perverti des gays.
    Dorénavant, avant d’acheter, de consommer, d’utiliser un produit en provenance de l’occident, demandons un label "hétéro-garanti" !!!

  • Le 12 mars 2016 à 16:41, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Internaute 3, "M. Le Français" : Je ne sais pas ce qui doit le plus choquer dans votre écrit, la condescendance ou l’amalgame.

    Ainsi, parce vous supportez "généreusement" la cause des africains immigrants illégaux et même légaux devenus "sans papiers", tous les Africains devraient, par "reconnaissance", admettre vos points de vue et façons de faire. Vous semblez vouloir ignorer que tous les Africains, qu’ils soient en occident ou restés au pays, ne soutiennent pas forcément cette vague d’immigration sauvage. L’unanimisme n’existe nulle part, à propos de rien. Or c’est ce que vous prétendez imposer à M. Ramdé et aux autres qui pensent comme lui au nom de vos beaux sentiments envers les immigrants, et sous la menace à peine couverte de ne plus avoir "d’humanisme" envers les sans papiers. Bravo donc pour vos beaux sentiments mais respectez aussi un peu les gens que vous prétendez "aimer".

    En rappel, si effectivement le racisme est à l’origine du rejet d’une certaine immigration par certains citoyens occidentaux, ce sont des politiques, pas du tout mus par le racisme mais par l’intérêt, dans l’optique de récupérer cet électorat, qui ont créé de toutes pièces ces problèmes d’immigrés légaux devenus illégaux par des changements de lois, de criminalisation de l’immigration et de centres de rétention. Les chiffres montrent que si cette immigration déstabilise les pays de départ, elle est nécessaire pour les pays d’accueil. Vos pays pourraient donc absorber la majorité de cette immigration sans tout ce cinéma, destiné surtout à montrer aux racistes et autres tenants de "l’envahissement de l’occident" que les gouvernants s’y opposent. D’ailleurs le cas des milliers de syriens accueillis en quelques semaines le montre bien.

    Vous voulez faire un amalgame inacceptable entre opposition à une idée, un principe, une façon de faire et la haine de celui ou ceux qui en sont partisans ou sympathisants. Désolé, mais on peut être opposé à l’immigration Africaine sans haïr les Africains comme on peut être opposé à l’homosexualité sans haïr les homosexuels. L’argument de la haine ne peut être brandi à chaque fois pour faire accepter à quelqu’un ce qu’il réprouve.

    1°) Nous comprendrions parfaitement que des Français souhaitent que la France reste à majorité blanche et catholique. C’est leur droit de le vouloir. Le seul hic est peut être que ce sont eux mêmes (ou leurs parents) qui ont fait venir par bateaux entiers des travailleurs étrangers musulmans, qui ont colonisé des pays étrangers et fait venir leurs élites en France, ramené des esclaves pour leur confort. Ce sont eux qui ont souhaité que les Antilles, la Guyane et récemment Mayotte, fassent partie de la France, sachant bien que leurs populations étaient noires. Alors parler aujourd’hui de France blanche serait une aberration historique, politique et démographique. Si en plus vos dirigeant ne veulent pas avouer qu’ils ont besoin de l’immigration pour pouvoir payer les retraites, vous devriez les changer.

    2°) La France, comme de nombreux pays occidentaux, refuse la polygamie. En quoi cela doit-il être vu par les Africains, ou par les autres pays du monde qui le pratiquent, comme de la haine ? C’est pourtant une union entre adultes consentants et devrait relever des droits et libertés élémentaires. Même si les pays ou la polygamie est légale constituent la majorité des habitants de la planète (vous pouvez vérifier), il ne nous viendrait pas à l’esprit d’aller demander à la France de la légaliser, ni aux Français de le tolérer par "compassion". Car nous respectons la France, les Français et leurs choix moraux, culturels, sociétaux, légaux. On comprend donc difficilement pourquoi ce même respect ne nous est pas accordé. Encore que les mêmes Français emprisonnent et expulsent l’immigré Malien dénoncé pour polygamie mais ne disent rien quand un Qatari débarque dans un hôtel 5 étoiles avec ses quatre femmes. Mais passons...

    3°) Les USA pratiquent la peine de mort. Cette sentence suprême a déjà été abolie en France et dans de nombreux pays Africains au nom des droits de l’homme. Il ne me semble pas que les Français mette l’abolition de la peine de mort comme un préalable pour avoir des relations diplomatiques et commerciales avec les USA ? Que des politiques ou des associations Françaises fassent des campagnes pour dénoncer le non respect des droits de l’homme aux USA ? Que les dirigeants Français se permettent à chaque discours aux USA d’évoquer la peine de mort ? Or c’est ce qui est fait dès qu’il s’agit de l’Afrique et des Africains. Pourquoi ?

    4°) La majorité des pays Africains refusent de voir légaliser l’homosexualité, en quoi cela doit heurter le citoyen Français, Américain ou Suédois au point que cela devienne un problème entre États, une condition de bonnes relations diplomatiques et économiques ? Cela est d’autant plus malhonnête que si la plupart des pays Africains ne reconnaissent pas l’homosexualité, peu ont des lois qui la condamnent pénalement. Or, des pays du Golfe et du Moyen Orient "amis" des occidentaux condamnent les homosexuels à mort sans que cela émeuve qui que ce soit en occident. Ni Bann Ki moon, ni Barack Obama, ni François Hollande ne vont leur faire la leçon, ni demander de faire preuve de compassion, encore moins de revoir leur législation. Alors de qui se moque-t-on ?

    Le problème de l’homosexualité soulève la passion en Afrique et au Burkina du fait de son refus et de sa condamnation par la majorité de la population. Mais de façon plus objective, une analyse simple permets de comprendre pourquoi des gens qui n’y sont pas opposés par principe condamnent son expansion. La France et les autres pays qui ont légalisé les couples homosexuels affrontent d’ailleurs ces problèmes actuellement :

    1°) Quid de la natalité ? Qui sont ceux qui doivent servir "d’outils" à ces couples homosexuels pour qu’ils puissent devenir parents ? Et dans quelle mesure, dans des pays à la natalité déjà problématique, cela peut-il suffire à un renouvellement minimum de la population et aux équilibres sociaux et économiques ? Expansion de l’homosexualité rime donc avec dénatalité et pourquoi pas extinction comme l’ont dit certains intervenants.

    2°) Mères porteuses, "location de ventres", "achats de bébés" dans des pays tiers (avec option de retour si pas satisfait !), vols de bébés, exploitation et traite des personnes dans les pays pauvres, reconnaissance juridique des enfants ainsi "importés", etc. La satisfaction du souhait d’une minorité vaut-il tout ce cortège de problèmes et de malheurs qui frappent en premier lieu les enfants et les jeunes filles ? Et que dire des droits des enfants ? Et les couples homosexuels qui n’ont pas les moyens de ces solutions onéreuses et quasi-mafieuses ? Expansion de l’homosexualité rime donc avec traite des humains (dont les enfants) et injustices.

    3°) Alors qu’on parle à chaque fois de "relations entre adultes consentants", la pratique de l’homosexualité (en Afrique en tout cas) est marquée par une actualité qui fait penser le contraire : Viols de mineurs, prostitution, souvent forcée, chantage, usage de drogue, violence. Or, ceux qui réclament sa légalisation ne citent que le cas du "pauvre jeune adolescent homosexuel" qui serait stigmatisé, refoulé, bref rejeté par la société. Et on oublie de dire que les premiers bénéficiaires d’une vraie liberté ne seront pas ces images de propagande mais bien les trafiquants de chair humaine et les prédateurs sexuels, ceux la même qui s’en donnent à cœur joie dans le contexte hétérosexuel. Expansion de l’homosexualité rime sous nos contrées avec criminalité et pouvoir de l’argent.

    Pour plusieurs raisons donc, subjectives et objectives, nous ne voulons pas de l’expansion de l’homosexualité au Burkina Faso. Mais pour autant, contrairement aux Français avec les polygames, nous ne remettrons pas dans le premier avion un visiteur qui s’affiche comme tel, ni ne lyncherons un compatriote dans la rue pour cela. Les problèmes commencent quand, au nom de la "liberté", la visiteur se donne pour objectif "d’initier" nos adolescents du quartier à sa pratique, ou que le compatriote "exige" qu’on change les lois pour lui ou d’avoir un traitement de faveur. Il leur sera alors rappelés vigoureusement qu’un pays a des lois, faites par la majorité pour la majorité, il qu’il doit s’en accommoder jusqu’à repartir chez lui pour l’un ou avoir une majorité pour changer la loi pour l’autre.
    L’argument des droits de l’homme et celui des erreurs judiciaires n’ont pas pu faire abolir la peine de morts aux USA. Le même argument des droits de l’homme ou celui de la lutte contre le Sida ne feront pas légaliser l’homosexualité au Burkina Faso. Respectez nous en tant que peuple, en tant que nation, respectez nos choix moraux, sociétaux, culturels et légaux comme nous respectons les vôtres !
    Cordialement

  • Le 12 mars 2016 à 17:02, par sougri En réponse à : L’ONU et la delicate question de l’homosexualité en Afrique

    Héé le monsieur français qui confond tout et qui veut détourné le débat. Dit moi en quoi équivaut accepter et Acceuillir sur son sol des immigrés qu’ils soit blanc noir ou jaune sous entend que les autres doivent renier leurs fondement culturel et sociétal pour épouser le votre parce que tous simplement vous accueillez des immigrés chez vous ?? D’ailleurs quand on arrive en France on nous dit que pour obtenir des papiers il faut s’intégrer et pendant 2 ou 3 jours il y a des cours d’intégration au nouveau arrivant qui sont dispensés par l’ofi(office française d’immigration) et s’est sanctionné par un diplôme . Ok !! Maintenant ce que nous allons faire pour vos ressortissants en générale et homosexuels en particulier dès qu’ils arrivent ici nous allons les données des cours d’intégration sur nos valeurs culturel tout en prenant soin de dire aux homosexuels et autres pédophile que ses pratiques font des interdits culturelle et religieux du burkina faso et que durant leurs séjour ils sont tenues de respecter cette forme culturel de mode de vie . S’est ce que nous tous immigrés nous faisons ici en France .on respecte vos lois , on respecte votre culture , on respecte votre mode de vie etc... et a ma connaissance aucun de nos chefs d’état ne vous à imposé quoi que se soit sur la manière dont vous devez nous traité . Donc cher monsieur le français (poste 3) soit raisonnable continue de milité contre le racisme et autres et ne cherche pas à nous imposer une vision culturelle autre . On est pas prêt à avalé des couleuvres . Pourquoi vous ne voulez pas gardé cette chose bestiale que vous avez enfanté chez vous et vous voulez l’exporter chez nous .

    Sougri de paris

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