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POT-POURRI : Un DG victime du remaniement ministériel

Publié le vendredi 12 septembre 2008 à 08h30min

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Le remaniement ministériel qui a officialisé Tertius III a laissé des ministres et des ministrables sur le carreau. C’est dans l’ordre normal des choses car tout le monde ne peut pas être ministre et c’est aussi une évidence que le fauteuil ministériel n’est pas un poste éternel.

Ce n’est pas la compréhension de ce DG (Directeur général) d’une société de la place à qui un "gourou" du régime avait donné toutes les assurances possibles pour le poste de ministre qui lui serait attribué. Malheureusement, le DG qui s’attendait donc à être nommé et s’était préparé dans cette optique n’a point été appelé. Et depuis lors, il en est tombé malade.

CDP : du grabuge chez les jeunes de Sig-noghin


Cette lettre émane de la "jeunesse indignée de Sig-Noghin". Elle est adressée au président du CDP, pour lui faire part d’irrégularités qui seraient survenues dans la mise en place du bureau des jeunes CDP de Sig-Noghin.

"Par la présente, nous tenons à porter à votre connaissance et à celle de l’opinion publique, notre désappointement face à la pratique anti – statutaire qui a émaillé le renouvellement du bureau de la coordination d’arrondissement des jeunes à Sig – Noghin.

Nous nous sommes vu obligés de nous adresser à vous par voie de presse, car l’importance de ce que nous tenons à dénoncer mérite d’être portée à la connaissance du public.

Aussi, nous savons depuis le temps que vous assumez la direction du CDP , combien le respect de la légalité vous est cher. Mais malheureusement, monsieur le président du parti, certains responsables ne sont pas dignes de diriger les structures .

En effet, la désignation des responsables de la coordination actuelle des jeunes de Sig – Noghin s’est faite en totale violation des articles 16 et 18 de la directive n°2008/001/CDP/CN/BPN/BEn portant renouvellement des structures locales de l’union des jeunes du congrès pour la démocratie et le progrès (CDP).

Monsieur le président, la coordination sortante n’a pas manqué d’attirer l’attention du président national des jeunes sur le non respect de l’article 16 qui rappelle « la mise en place des bureaux du comité des jeunes du village ou du secteur, de la coordination départementale ou d’arrondissement des jeunes, de la coordination provinciale des jeunes se fera par consensus et à défaut par élection par des collèges de désignation dont la composition est définie ci – dessous ».

A Sig – Noghin, les membres de la nouvelle coordination n’émanent ni d’une élection, encore moins d’un consensus.

Malgré cette démarche auprès du président national des jeunes, sa seule réaction a été un silence complice.

Monsieur le président, nous tenons ici à réaffirmer notre attachement au respect des valeurs démocratiques au sein de notre parti.

De telles attitudes anti – démocratiques apparaissent à nos yeux, comme des tentatives de liquidation de notre parti pour lequel nous nous sommes toujours battus corps et âmes.

Nous ne sommes pas prêts de sitôt à contenir ce type de méprise.

Pour ce faire, nous ne nous reconnaissons pas à travers cette coordination créée de toutes pièces par le président national des jeunes et le président provincial des jeunes sortant qui seuls connaissent les tenants et les aboutissants de leurs actes .Cette coordination n’est pas le reflet de la volonté des populations de Sig-Noghin et personne ne saura mieux choisir ses représentants.

A ce propos, un proverbe mossi dit ceci « si le chien prétend mieux connaître la forêt que le singe, il a menti ».

Monsieur le président, nous comptons sur vous pour prendre les mesures appropriées afin que l’ordre revienne dans la maison CDP.

Veuillez trouver ici, l’expression de notre volonté à œuvrer pour l’intérêt du parti."


Cité SOCOGIB à Kourittenga : une voie à problèmes

Ce sont des plaintes sans cesse renouvelées d’habitants du quartier Kourittenga au secteur 17 de Ouagadougou. La longue voie non-bitumée qui dessert la cité SOCOGIB sise au quartier Kourittenga, est plus que jamais impraticable, en ces temps de pluie. La route en question est celle qui prolonge les habitations de la cité AZIMO de Ouaga 2000 et qui, venant de la cité SOCOGIB, débouche sur le boulevard France-Afrique, pour faire face à une alimentation à Ouaga 2000 située peu avant les feux tricolores implantés au niveau de la bifurcation menant à la salle de conférence de Ouaga 2000. Crevasses, cassis, boue, énormes flaques d’eau, etc., tout y est pour rendre la circulation pénible sur cette voie. Selon Dame rumeur, il est prévu que la rue en question soit bitumée. Mais jusque-là, rien ne se signale à l’horizon si bien que bien des habitants ont fini par déchanter. A défaut de mieux, quelques résidents préfèrent aller emprunter la nouvelle voie bitumée qui débouche sur la nouvelle station Petrofa de Ouaga 2000.

Dieu seul sait pourtant combien ils seraient heureux d’avoir eux aussi leur voie asphaltée on tout au moins praticable. A quand le soulagement pour eux ? Les usagers de la voie à problèmes seraient bien curieux de le savoir.


Circulation routière : deux blessés graves sur l’axe Ouaga-Fada

Il s’est produit, le dimanche 7 septembre 2008, aux environs de 10h, à l’entrée de Mogtédo, sur l’axe Ouaga-Fada, un accident de la circulation. Le bilan est de deux blessés, le chauffeur et un passager. La voiture Nissan Primera, immatriculée 11 N 1766, qui roulait vers Koupéla, aurait brusquement quitté la route pour se retrouver dans un ravin, selon les villageois qui ont accouru sur les lieux. Ces derniers ont trouvé les deux occupants du véhicule dans un piteux état. Ils ont été évacués au Centre médical avec antenne chirurgicale (CMA) de Mogtébo. La police de ladite localité était également sur les lieux où elle a procédé au constat d’usage.


Loumbila : une manifestation contre le maire

La commune rurale de Loumbila était en ébullition hier jeudi. Des populations ont organisé une marche pour exiger la lumière sur un don de 2 millions de FCFA fait par le président du Faso. Cette somme était destinée à aider les victimes des violents orages qui ont frappé Loumbila il ya environ un mois, entraînant des dégâts matériels et faisant des blessés. La somme, qui avait été remise au maire depuis plus d’un mois à la suite d’un SOS de celui-ci, tardait à revenir aux bénéficiaires. D’où cette manifestation de protestation. Les plus hautes autorités de la région du Plateau central, selon un témoin présent sur les lieux, ont fait le déplacement. L’argent objet du litige aurait été restitué sur-le-champ.


Police municipale de Ouagadougou : un citoyen interpelle le directeur général

Nous avons reçu à notre rédaction un citoyen qui a eu maille à partir avec un agent de la police municipale de Ouagadougou. Pour les faits, ce dernier dit être passé au vert à un feu tricolore sur une artère de la capitale en début de cette semaine, avant de s’arrêter pour décrocher un appel sur son téléphone portable. Au moment de redémarrer, le feu était au rouge derrière lui. C’est ainsi qu’un policier qui l’avait bel et bien vu dans ses mouvements, l’a arrêté. Il dit ne rien comprendre à ce qui lui est arrivé et interpelle le directeur de la police municipale à qui il demande de "discipliner" ses éléments. Des policiers a qui monsieur X reproche de rouler impunément sur des engins sans phares la nuit.


Vendeurs de ferrailles : ne troublez pas la quiétude des morts !

Décidément, les vendeurs de ferrailles ne manquent pas d’imagination pour maintenir leur commerce florissant. Pour eux, la fin justifie les moyens. En tout cas, ce qui se passe à Ouagadougou est simplement intolérable. Après le pont de Boulmiougou, les vendeurs de ferrailles ont poussé le cynisme jusqu’à profaner les cimetières, où ils s’emparent des crucifix qui figurent sur les tombes. La morale a-t-elle donc fini d’agoniser au pays des hommes intègres ? C’est ce que l’on est en droit de se demander devant de telles pratiques.


CSPS de Bondoukuy : des bizarreries

Cette lettre ouverte au Premier émane d’une ressortissante de Bondoukuy (Dédougou), qui s’indigne du comportement de certains agents de Santé du CSPS de la localité.

"Monsieur le Premier ministre, je tiens d’abord a vous témoigner ma gratitude pour tout le travail que vous abattez pour assurer la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat.

Partisane de la bonne gouvernance, j’adhère totalement à la politique que vous menez. C’est pour cela que j’ai décidé, excellence, d’attirer votre attention sur ce qui se passe dans le Mouhoun, notamment au CSPS de Bondoukuy (district sanitaire de Dédougou). Je ne me serais pas intéressée à ce qui s’y passe si celui-ci n’était pas en passe d’annihiler les efforts que vous développez au quotidien au profit des Burkinabé des villes et des campagnes.

En effet, monsieur le Premier ministre, rien ne va au CSPS de Bondoukuy. Après un séjour dans cette localité au chevet d’un parent hospitalisé dans ledit CSPS, j’ai été scandalisée, choquée voire révoltée, par ce qui se passe au sein de cette structure sanitaire.

Le CSPS est censé être animé par quatre agents. Mais pendant mon bref séjour, j’ai pu constater que ce CSPS fonctionne avec seulement deux agents travaillant nuit et jour. Il s’agit de l’AIS et de l’accoucheuse auxiliaire.

Trois jours durant, l’AIS qui, a à peine un an de service, est obligé de s’occuper seul des malades du dispensaire. Surmené et affaibli par le poids du travail, notre jeune AIS finit par piquer une crise alors qu’il était en consultation avec un patient.

Très marquée par cet incident, j’ai été poussée à connaître davantage ce qui se passe réellement dans ce CSPS. Les habitants et les pensionnaires de ce centre me feront comprendre qu’ils ne connaissaient que l’AIS comme "docteur".

Monsieur le Premier ministre, je me tourne vers vous pour vous demander de mettre fin à cette situation nuisible aux malades qui ont souvent besoin de soins dépassant les compétences d’un AIS et d’une accoucheuse auxiliaire. Il faut que chacun assume ses responsabilités au sein de cette structure sanitaire.

Dans l’attente d’une suite favorable à ma requête, je vous prie, monsieur le Premier ministre, d’agréer l’expression de ma très haute considération."


Une idée du "Pays" qui fait des émules

Ce lecteur explique au Directeur de publication du quotidien "Le Pays" en quoi l’idée d’un comité de défense de la démocratie l’enchante. Il s’appelle Charlemagne Baya Badolo et est prêt à porter le projet avec d’autres Burkinabè.

Monsieur le Directeur,

J’ai lu avec attention "Dialogue Intérieur" du mardi 9 septembre 2008. Je tiens a vous adresser toutes mes félicitations pour cette idée clairvoyante et constructrice du devenir de notre continent. J’y adhère entièrement et j’ai tenu à vous le dire publiquement.

Pendant bien longtemps, j’ai pensé comme vous, mais par l’opposé, c’est-à-dire par la mise en place d’une structure de guerre qui aura pour rôle de combattre en pensée ou par action même violente les prédateurs de la démocratie en Afrique. Ainsi, toute personne se rendant coupable de comportements dignes d’un fossoyeur de la démocratie dans notre continent devra accepter le sort qui pourrait être le sien même en dehors du continent. Car, tout mettre en œuvre pour empêcher la manifestation de la démocratie est un acte purement et simplement criminel.

Monsieur le Directeur, toute la misère, et parfois la honte, que nous connaissons sur notre continent n’est pas le fait d’un manque de moyens. Comme vous l’avez relevé dans l’article, l’Afrique est riche en tout sauf de ses enfants et surtout de la frange dite intellectuelle. Il est donc temps d’aller en guerre contre cette race de prédateurs et de fossoyeurs à qui les Occidentaux chantent les louanges et donnent à tout bout de champ de la promotion.

Pour concrétiser notre idée, je propose la mise sur pied d’un groupe de réflexion

chargé de préparer la convocation d’une assemblée générale constitutive du CDDA (Comité de défense de la démocratie en Afrique) section du Burkina. Car, ayant accompli mon droit de vote aux élections législatives et présidentielles de 78, je sais que la démocratie est possible en Afrique. J’affirme, tout en sachant que je peux me tromper, que la première manifestation de la vraie démocratie sur notre continent a eu lieu dans notre pays. Il peut être le point de départ pour mener cette bataille.

Tout en souhaitant que ce comité voie rapidement le jour, je vous prie de trouver ici,

Monsieur le Directeur. l’expression de mes sincères sentiments."


Mission de santé américaine : des noms de patients effacés

Une mission sanitaire de l’armée américaine a séjourné récemment à Ouagadougou dans le cadre des interventions de la cataracte qui se sont déroulées à l’ex-Trypano. Auparavant, une autre mission était venue pour une série de consultations pour retenir les patients qui devaient subir les interventions. Mais voilà que lors de celles-ci, une patiente du nom de Adja O., veuve de son état, qui avait été retenue au départ, n’est pas passée sur la table du chirurgien. La raison, dit-elle, c’est qu’il y a eu un premier appel avant que les agents chargés de la question déclarent s’être trompés de liste qu’ils ont par la suite changée. C’est à ce moment qu’elle n’a pas entendu son nom alors qu’elle souffre atrocement du mal de la cataracte.


Komsilga : un problème de parcelles à Garghin

Garghin est un village de la commune rurale de Komsilga, à la limite de Ouaga 2000, sur la route de Saponé. Suite à un projet immobilier, le village a bénéficié d’une trame d’accueil en 2006. Mais des problèmes subsisteraient, selon Boukary Ilboudo, conseiller municipal de Komsilga et fils de Garghin. Un individu aurait fait main basse sur de nombreuses parcelles, en spoliant ses propres parents, à travers des "fraudes et des falsifications de reçus". Une somme de 750 000F CFA, versée par une entreprise de travaux publics au village, aurait été également détournée le même individu. Face à cette situation, le conseiller Ilboudo demande au MATD et au haut commissaire du Kadiogo "d’ouvrir l’oeil sur cet homme et de nous permettre de préserver la paix dans notre village".


Rentrée scolaire 2008-2009

Selon une source proche du MEBA (Ministère de l’enseignement de Base et de l’alphabétisation), la rentrée administrative aura lieu en principe le lundi 15 septembre à 10h à Boulsa dans la province du Namentenga et servira en même temps de lancement de la campagne massive 2008-2009 de scolarisation des filles. La rentrée pédagogique se déroulera quant à elle le 1er octobre 2008.


Le cyclisme et le volley ball burkinabè en deuil

La triste nouvelle est tombée hier : Moussa Zizien n’est plus. Ancien volleyeur, il était un des talentueux techniciens de la ligue du centre et de la fédération burkinabè de cyclisme où il était respectivement secrétaire général et commissaire général . Il était également l’entraîneur de l’USFA en volley-ball. Militaire de son état (sergent chef), la grande silhouette de ce chronométreur ne passait pas inaperçue sur les routes du Tour du Faso, des différentes compétitions nationales et sous-régionales , notamment en Côte d’Ivoire. Souffrant depuis quelques années, il n’avait cependant pas quitté le monde du cyclisme et du volley-ball et bravait ce mal pour rester opérationnel. Moussa Zizien était marié et âgé de 48 ans.


L’ADJ tient ses journée parlementaires

Le groupe parlementaire Alternance, démocratie et justice organise du 13 au 14 septembre dernier à la maison Antoine Nanga, des journées parlementaire sous le thème "Responsabilité des acteurs politiques et institutionnels dans l’échec des alternances en Afrique". Deux communicateurs sont annoncés. Michel Moussa Tapsoba, président de la CENI et Valentin Ouoba de l’ONG CERTRA. En plus des 11 députés que compte ce groupe, les militants et militantes des partis politiques auxquels appartiennent lesdits députés prendront part à ces journées.


Célébration des 15 ans de la mort du président Maurice Yaméogo

Le 15 septembre prochain sera la date du 15e anniversaire de la mort du premier président de la république de Haute-Volta aujourd’hui Burkina. Pour l’occasion, la coordination d’initiatives et d’actions des jeunes du Bulkiemdé voudrait faire un travail de mémoire pour le père de l’indépendance. Elle envisage d’organiser à Koudougou, une série d’activités dont un jeu de pétanque que le défunt président appréciait beaucoup, de nettoyer le caveau familial, d’organiser une messe en sa mémoire et de faire des témoignages sur le président Maurice Yaméogo.


Ramadan : le CDP solidaire avec la communauté musulmane

Lors de la rencontre des leaders politiques du Centre du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), tenue le dimanche 7 septembre dernier à Ouagadougou, le maire Simon Compaoré, en accord député avec les autres camarades du parti, avait mandaté le Salifo Tiemtoré, pour une distribution de cartons de sucre à la communauté musulmane en ce mois de ramadan. Le jeudi 11 septembre dernier, l’émissaire du CDP s’activait pour la mission spirituelle devant le conduire successivement chez le président de la communauté musulmane, El Hadj Oumarou Kanazoé, le Mogho Naba Baongo ainsi que dans les cinq arrondissements de la capitale. Lui et des camarades ont distribué plusieurs centaines de cartons de sucre au compte du parti.


La reconnaissance du président de l’UCIP à l’UCAP-Burkina

Dans le cadre des préparatifs du Congrès mondial des Comunicateurs catholiques que le Burkina doit abriter en 2010, le bureau mondial de l’Union catholique internationale de presse (UCIP) avait dépêché à Ouagadougou du 26 au 30 juillet dernier son Secrétaire général, Joseph Chittillappilly. Un mois après , le patron de cette organisation mondiale, le Brésilien Ismar de Oliveira Soares, a adressé la correspondance ci-dessous au président de l’UCAP-Burkina, Alexandre Le Grand Rouamba, et, à travers lui, à tous les membres de l’Union locale pour exprimer sa satisfaction :

" Monsieur le président, de retour de la mission de Ouagadougou qu’il a effectuée du 26 au 30 juillet 2008, le secrétaire général de l’UCIP, Monsieur Joseph Calstas-Chittillappilly, m’a rendu compte du succès de son séjour dans votre pays. L’UCIP, à travers cette mission, a voulu toucher du doigt le degré d’engagement des autorités politiques et religieuses dans cette grande et magnifique oeuvre qu’est le Congrès mondial de l’Union mondiale que le Burkina veut abriter en 2010. Fort de son rapport, j’ai pu mesurer la disponibilité des responsables de votre pays, de son Eglise et du sérieux mis dans les préparatifs par les membres de l’UCAP-Burkina que vous présidez. Je suis convaincu que le Burkina est en train de mettre tout en oeuvre pour que le premier Congrès de l’UCIP en terre africaine après 80 années d’existence reste mémorable. Je vous exhorte à continuer dans ce sens car je ne doute pas de votre dynamisme, de votre don de soi et du sacrifice que vos collaborateurs sont prêts à consentir. Je vous renouvelle, à vous personnellement, et aux membres de l’UCAP-Burkina, mes sincères amitiés et encouragements".


L’UNDD fait un don de médicaments à Kombissiri

Le parti de la Panthère, l’Union nationale pour la démocratie et le développement, poursuit sa série de remises de médicaments. Ainsi, après le Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo, c’est au tour de la direction provinciale de la Santé de Kombissiri de bénéficier, le 16 septembre prochain, d’un lot de médicaments qui sera remis par une délégation conduite par la vice-présidente de l’UNDD, Marlène Zébango.

Le Pays

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