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<I>Pot-pourri</I> : Une candidate malheureuse au BEPC se suicide à Pouytenga

Publié le vendredi 20 juin 2008 à 13h24min

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Plus de 4 000 candidats sont allés à la conquête du diplôme du 1er cycle des lycées et collèges dans la région du Centre-Est. Les résultats sont tombés et donnent un pourcentage de 54,73% de succès pour le centre de Pouytenga. Une fille du nom de Aminata Kaboré s’est, malheureusement, donné la mort après les résultats du premier tour.

Au total 4 126 candidats répartis dans les différents centres de la région du Centre-Est ont répondu présent à l’appel de 7 h pour les premiers sujets le jeudi 5 juin. Le centre d’examen de Pouytenga a présenté 446 candidats inscrits au départ mais ce sont 433 candidats, dont 252 garçons et 181 filles, qui ont pris d’assaut les salles de composition le jour J dans 2 jurys. Les examens se sont déroulés dans le calme, sans incident et sans cas de fraude flagrante. Les premiers résultats sont tombés le vendredi 13 juin et donnent 197 admis au premier tour et 157 au second tour. Après les compositions du second tour, on dénombrait 40 admis. Le centre de Pouytenga a donc réalisé un taux de 54,73% au BEPC, session 2008.

Si certains candidats jubilent, chez d’autres c’est la désolation, ce qui a même conduit au suicide de l’élève Aminata Kaboré du collège Sangoulé Lamizana de Pouytenga. Elle s’est donné la mort en avalant des cachets de nivaquine. Conduite d’urgence au district sanitaire de Pouytenga, elle décédera avant d’avoir reçu les premiers soins. Selon les rumeurs, cette fille parlait à son entourage avant même les examens de son désespoir en cas d’échec. Les présidents des jurys ont prodigué des conseils aux admis et à ceux qui ont échoué.


Marché central de Bobo : de réels risques d’incendie

Le marché central de Bobo Dioulasso est confronté à des problèmes d’ordre sécuritaire. Les encombrements des espaces marchands et les branchements électriques anarchiques y ont pignon sur rue, faisant ainsi planer de réels risques d’incendie sur l’édifice public dont la contribution au développement socio-économique de la cité n’est plus à démontrer.

Conscients de ces risques, les responsables du marché ont profité, le 16 juin dernier, de la visite d’une délégation de l’Agence française de développement (AFD) qui a participé pour une grande part au budget de construction du marché, pour solliciter un appui en vue de la réalisation d’ouvrages complémentaires, notamment des équipements électriques dans les magasins. Cela d’autant que le budget de la construction du marché central n’avait pas, en son temps, permis de prendre suffisamment en compte les aspects sécuritaires de l’édifice. La délégation de l’AFD, par la voix du chargé de mission, Jérémie Dumon, a promis de transmettre le message à qui de droit. Du reste, les membres de la délégation ont, en compagnie du secrétaire général de la mairie de Bobo, Benjamin Kafando, et du directeur du marché Frédéric Sidibé, eu l’opportunité de prendre la mesure des risques à travers la visite des différents compartiments du marché.


Le directeur de la Sûreté nationale n’est plus

La nouvelle est tombée hier soir, à la grande surprise de tous : le commissaire Ambroise Kafando est mort. Celui qui venait d’être porté à la tête de la Sûreté nationale a rendu l’âme le 19 juin dans la soirée des suites, apprend-on, d’un malaise. Ex-directeur régional de la police du Centre-Est et ancien commissaire de l’ aéroport, Ambroise Kafando a pris service à la direction de la Sûreté nationale seulement le 12 juin dernier. Il décède donc, jour pour jour, 7 jours après la passation de service. Toutes nos condoléances à la famille éplorée.


Un mystérieux visiteur

Le jeudi soir aux environs de 19h, une fille du secteur 28 a reçu un mystérieux visiteur. Elle ne connaissait pas l’homme mais ce dernier lui paraissait très familier et prétendait même la connaître. Dès qu’elle lui serra la main, ce fut fait d’elle. Il lui racontait tout de sa vie : ses connaissances, ses activités, ses déplacements... Cela, elle le crut naïvement tant les dires collaient avec la réalité. Avant de prendre congé de son hôtesse, il lui demanda de le déposer avec sa moto JC Best. Mais elle déplora la sortie de sa moto et ne put donc rendre service à son visiteur. Le lendemain, elle se rendit comme à son habitude à ses cours à l’université. Profitant d’une pause à 9h, elle voulut appeler une de ses amies, mais ne retrouva pas son portable. Son coeur se mit à battre la chamade. Alors elle retrouva ses esprits et se rendit compte que son fameux visiteur de la veille avait demandé son portable pour l’admirer. Elle ne s’était plus rendu compte de rien jusqu’à cette heure précise. Pourtant, elle ne gardait même plus le moindre souvenir de l’homme. Heureusement que sa moto n’avait pas été là !


Méfiez-vous de ces zones !

Le Centre national de veille et d’alerte (CNVA) a identifié certaines zones comme étant criminogènes au Burkina Faso. La région du Centre, en l’occurrence le Kadiogo, compte parmi ces zones. Selon le CNVA, les axes les plus dangereux sont : Saonré Brafaso dans le département de Komsilga, Goudrin et la zone non lotie à Saaba et au secteur 28, les secteurs 1 et 2 de Tanghin-Dassouri, ainsi que les ruelles qui conduisent aux villages environnants Sourgoubila, Vipalogho Lougsi-Tensoula. Il y a aussi les localités de Yamba, Zouma, Wavougué, Goupana (Pabré). A Ouagadougou, les zones dangereuses sont notamment : le long du canal de l’université de Ouagadougou, le Club de l’étrier (bois de Boulogne), les alentours du barrage de Tanghin et de Dagnoën, les zones hors lotissements des secteurs 28, 29, 30, la zone du camp militaire route de Pô et les alentours de l’échangeur, côté sud-ouest de l’aéroport, le pont reliant la cité de Tanmoaga et le secteur 17, le pont Anna-Yélé reliant le secteur 27 et le secteur 24 Kossodo, les alentours du théâtre populaire, le long des rails du stade du 4-Août à la station Pétrofa de Larlé, l’Hippodrome, la zone du projet ZACA, la zone du SIAO, Cissin baongo et le Musée national.


UO : le président avait prévenu ...

Le 16 juin, c’est-à-dire la veille de la marche des étudiants qui a dégénéré en affrontements, le président de l’université, Pr Jean Koulidiati, avait adressé cette lettre aux délégués des corporations ANEB des UFR/SEA et SVT.

"Vous avez souhaité organiser une assemblée générale aux fins de tenir informée votre base des résultats des entretiens auxquels je vous ai invités. A cet effet, je vous ai accordé l’usage de l’amphithéâtre C. J’espère qu’à cette assemblée générale vous avez porté à la connaissance de votre base ce qui suit :

- concernant les problèmes d’infrastructures (amphithéâtres, laboratoires), je vous ai montré un dossier complet, plans à l’appui, de projet de construction d’un complexe d’amphithéâtres de 2 500 places au total et d’un immeuble R + 2 devant abriter les laboratoires d’enseignements des UFR/SEA, SVT et SDS ;

- concernant les problèmes de bourses et/ou prise en charge des étudiants de 3e cycle, le ministre des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique m’a instruit de mener une étude dont je vous ai exposé les résultats, chiffres à l’appui, avec, si l’étude était agréée, prise en charge par le FONER ;

- concernant les dérogations, à ma demande vous n’avez jamais pu me produire de liste d’étudiants satisfaisant aux conditions édictées par le Conseil scientifique de l’université de Ouagadougou.

Par contre, vous exigez la mise en place d’une instance ou vous allez siéger et décider de façon concertée avec vos professeurs des conditions d’octroi de dérogations, réorientation, transfert, d’année blanche, de suspension annuelle d’inscription et d’interruption de la scolarité dans les différentes UFR et auxquelles vos camarades vont satisfaire.

Par la suite, je vous ai dit que jamais, je dis bien jamais, les étudiants ne siégeraient avec leurs professeurs et leurs maîtres pour décider ensemble d’affaires relevant du domaine académique et scientifique.

Malgré tout, par lettre citée en objet, vous avez décidé d’observer une grève à partir du lundi 16 juin 2008, ponctuée d’une marche le mardi 17 juin 2008 en direction de la présidence de l’université de Ouagadougou.

Je voudrais, ici et maintenant, vous rappeler les termes de mes correspondances précédentes : votre marche sur la présidence de l’université de Ouagadougou est formellement illégale, donc fondamentalement interdite.

Par conséquent, j’ai déjà pris toutes les dispositions et mis en oeuvre tous les moyens en mon pouvoir, au nom des prérogatives qui sont les miennes, pour empêcher tout trouble sur le campus.

Il est indécent, par votre attitude d’une part, de porter préjudice aux efforts et sacrifices que font les étudiants dans leur grande majorité pour réussir leur année académique et d’autre part, ceux des enseignants de boucler l’année académique de façon sereine.

En tout état de cause, je vous désigne comme les seuls responsables de la dégradation continue et constatée du climat social au sein de vos UFR.

Tout en vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous exhorte à plutôt mener les débats au sein des instances où se décide le sort de la communauté universitaire, notamment au sein des Conseils de Gestion de vos UFR et au sein du Conseil de la Formation et de la Vie universitaire d’une part, et d’autre part, je vous renouvelle ma constante détermination à garder le calme et la quiétude sur le campus de l’université de Ouagadougou."


UO : le MBDHP condamne une "répression sauvage"

Le Comité MBDHP de l’université de Ouagadougou, dans cette déclaration, s’insurge contre la répression du 7 juin contre les étudiants.

Chères étudiantes, chers étudiants, le 17 juin 2008, l’université de Ouagadougou a été le théâtre d’un affrontement entre les forces de l’ordre et les étudiants. A l’origine, une marche pacifique organisée par les corporations ANEB des UFR / SEA et SVT en direction de la présidence de l’université de Ouagadougou pour revendiquer de meilleures conditions d’études. Auparavant, les autorités universitaires interdisaient un sit-in et une marche pacifique programmée par les deux corporations, respectivement le mercredi 4 juin pour l’UFR / SEA et le vendredi 6 juin pour l’UFR / SVT, de même qu’une marche commune des deux corporations le 12 juin sans motivation aucune. Le comité MBDHP de l’université de Ouagadougou, fidèle à sa mission de promotion, de protection et de défense des droits de l’Homme, a suivi de bout en bout les différentes péripéties de cette lutte des étudiants. Cette fois-ci, les autorités universitaires ne se sont pas limitées à l’interdiction de la manifestation, elles ont fait descendre les forces de l’ordre sur le campus (gendarmes, CRS) de même que des forces de défense, c’est-à-dire les éléments du régiment de sécurité présidentielle du tristement célèbre Conseil. Il s’en est suivi une répression féroce. Jets de gaz lacrymogène, rafales nourries de balles blanches, tirs à balles réelles, bastonnades, chasse aux étudiants, arrestations d’étudiants, etc., ont été les méthodes usitées par les hommes en treillis face à des étudiants aux mains nues.

Le bilan, quoique provisoire, reste lourd, faisant état de plus d’une soixantaine d’étudiants arrêtés, et de trente-quatre (34) étudiants blessés, dont quatre (04) grièvement. Cette répression sauvage ainsi que les interdictions illégales et non motivées des manifestations des étudiants sur le campus universitaire posent le problème très important des franchises et libertés académiques en particulier et celui de la jouissance réelle et de l’exercice effectif des libertés publiques en général. En effet, la liberté de manifester est un droit constitutionnellement garanti et consacré par les textes internationaux auxquels notre pays a souscrits (Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, pacte international sur les droits civils et politiques, etc.). Il en est de même des franchises et libertés académiques qui font partie intégrante des droits de l’Homme et consacrées par les déclarations de Dar-Es-Salam du 19 avril 1990 et de Kampala du 29 novembre 1990 qui doivent servir de modèle aux universités modernes. Aucune autorité, quelle qu’elle soit, ne peut porter atteinte à ces textes fondamentaux. Les agissements des autorités universitaires constituent une violation grave et flagrante des franchises et libertés académiques que le comité MBDHP / UO ne saurait passer sous silence. C’est pourquoi

- il condamne énergiquement la répression féroce abattue sur les étudiants ;

- exige le retrait des forces de l’ordre du campus et la libération sans conditions des étudiants arrêtés.

- Par ailleurs, il invite les autorités universitaires au respect scrupuleux des textes fondamentaux suscités.

MBDHP, rigueur et constance dans la promotion, la protection et la défense des droits de l’Homme.


Mairie de Bogodogo : la loi violée ?

Moustapha Ouédraogo, premier adjoint au maire de l’arrondissement de Bogodogo, a évoqué dans une lettre adressée au MATD, un vice de forme dans la succession du maire sortant (voir "Le Pays" n°4140 du 17 juin 2008). Il se demandait notamment pourquoi un intérimaire n’a pas été nommé, après la démission du maire, conformément aux textes en vigueur. En effet, selon le Code général des collectivités territoriales, un intérimaire doit être nommé pour gérer la transition jusqu’à l’élection du nouvel édile. Mais à Bogodogo, tout est allé très vite. Aucun intérim n’a été assuré. Ce qui suscite bien des interrogations.


Un accident à l’intersection du boulevard de la circulaire et de la rue de Bogodogo

Un accident de la route s’est produit en milieu de matinée, le jeudi 19 juin dernier, aux feux tricolores de l’intersection du boulevard de la circulaire et la rue de Bogodogo, non loin du site du SIAO. Un véhicule de livraison en provenance de l’hôpital pédiatrique en direction du SIAO a percuté un véhicule de marque Peugeot 205.

Dans sa manoeuvre, le véhicule de livraison a percuté le feu tricolore de la rue de Bogodogo. A ce niveau, se trouvait un mendiant qui a dû décamper. Deux personnes sur une moto l’ont échappé belle, s’en tirant avec quelques égratignures. Le chauffeur du véhicule de livraison a, selon les informations recueillies sur place, pris la clé des champs.


Etalons : les supporters invités à une forte mobilisation

Le 7 juin dernier, les Burkinabè se sont mobilisés pour soutenir les Etalons qui ont battu les Itambas du Burundi par 2 buts à 0 à Ouagadougou. C’est dans ce sens que l’Union régionale des supporters des Etalons du Centre (URSE) remercie les autorités politiques, militaires, paramilitaires, tous les supporters et sympathisants pour leur mobilisation générale autour des Etalons. Leur soutien est une fois de plus sollicité, puisque l’URSE leur lance un appel pour une mobilisation encore plus importante pour le match retour contre les Pirates des Seychelles, prévu ce samedi 21 juin à 18h au stade du 4-Août.


JCI : la conférence de Ouaga fut un succès

La Jeune chambre internationale (JCI) du Burkina a abrité du 14 au 17 mai dernier la conférence JCI Afrique et Moyen-Orient. Les organisateurs ne cachent pas leur satisfaction, au regard des résultats. Quelques statistiques : plus de 650 participants de 40 pays des 5 continents ; 35 heures de formations dispensées avec des modules riches et variés ; 14 heures d’assemblées générales ; 5 heures d’ateliers et de communications sur le commerce équitable, la responsabilité sociale des entreprises et l’accès aux services essentiels de nos populations.


LTO : tout va pour le mieux

Cet écrit émane d’un "groupe d’enseignants" du Lycée technique de Ouagadougou (LTO), en réponse aux rumeurs faisant état d’une grogne au sein de l’établissement.

"Suite à un article paru dans votre journal "Le Pays" du 16 juin 2008, page 4/8 ; Confidences du Week-end, titré "Lycée Technique de Ouagadougou : ça grogne", il ressort essentiellement que les bulletins de notes du 1er et du 2d semestres ne sont pas disponibles. Usant du droit de réponse et pour éclairer l’opinion publique et les parents d’élèves sur la situation réelle, nous allons, sans créer de polémique, relater les faits réels.

En effet, pour les bulletins du 1 er semestre dont on semble ne pas connaître la couleur, nous précisons que ces bulletins sont disponibles depuis le 14 février 2008 et tous les parents des élèves qui ont obtenu une moyenne supérieure ou égale à 10/20 sont en possession des bulletins de leurs enfants. Ceux dont les enfants n’ont pas obtenu cette moyenne ont été invités, depuis février, à les retirer auprès de la surveillance.

Pour les bulletins du 2d semestre, nous précisons aussi que les conseils de fin d’année ont été tenus et même une cérémonie de remise de prix aux meilleurs élèves a eu lieu le lundi 2 juin 2008 sous la présidence de responsables venus du ministère.

C’est vous dire que nous nions en bloc ces accusations de cet auteur qui aurait dû approcher la direction de l’établissement.

A lire certaines affirmations non fondées sur notre établissement, on se demanderait si, à dessein, il ne s’agirait pas d’un discrédit savamment orchestré pour salir le nom du LTO, ce qui pourrait être profitable à d’autres.

En attendant, au LTO tout se passe pour le mieux, comme le confirment éloquemment nos résultats scolaires.

Nous invitons les parents d’élèves à passer retirer les bulletins de fin d’année qui, du reste, sont disponibles."


Fête de la musique à Bobo Dioulasso

A l’occasion de la célébration de la fête de la musique qui a lieu le 21 juin de chaque année, le Centre culturel français (CCF) Henri Matisse de Bobo Dioulasso organise ce week-end une manifestation pour tous les Bobolais. La fête débute ce 21 juin à partir de 20h 30. Sur scène, Kantala en compagnie de bien d’autres artistes musiciens. L’entrée est libre.


Match Burkina-Seychelles : la CNSE sonne la mobilisation

Dans ce communiqué de presse signé de son président, El Hadj Mahamadi Lamine Kouanda, la Coordination nationale de soutien aux Etalons appelle le public sportif à se mobiliser autour de son équipe nationale

"La Coordination nationale de soutien aux Etalons remercie le peuple burkinabè pour la mobilisation constante pour la série des trois matchs entrant dans le cadre des éliminatoires combinées CAN coupe du monde 2010.

La CNSE vous est reconnaissante pour cet acte patriotique. Elle invite le groupe d’animation, la cellule de Coordination et l’ensemble du public sportif pour une mobilisation exemplaire le samedi 21 juin lors de la quatrième sortie de nos vaillants Etalons. La CNSE compte sur tout le peuple sportif pour qu’ensemble nous nous mobilisions derrière notre onze national en arborant le drapeau national en ville et au stade (particulièrement dans les villes de Ouagadougou et de Bobo).

Pour la circonstance, la coordination met 100 drapeaux à la disposition des taximen de la ville de Ouagadougou. Elle informe aussi le public que des émissions de jeux radiophoniques à Salankoloto, Horizon FM et Savane FM avec plusieurs cadeaux (billets d’entrée au stade, drapeaux, maillots, etc.) seront organisées."

Le Pays

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