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Une Mercedes folle cause des dégâts sur l’Avenue des Arts de Kalgodin

Publié le vendredi 2 mars 2007 à 08h38min

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Les riverains de l’Avenue des arts au quartier de Kalgodin, ont été réveillés au petit matin du mercredi 28 février 2007 par un bruit provenant d’un choc violent. En effet, une Mercedes Berline C250 déviant de sa trajectoire, aurait percuté le garde-feu en béton d’un pont de caniveau à proximité de la Brigade des sapeurs-pompiers.

Dans sa lancée folle, la cylindrée a également froissé deux kiosques et terminé sa course dans une maisonnette inhabitée en bordure de rue, après l’avoir éventrée. Des sources provenant des riverains accourus sur les lieux, les occupants du véhicule étaient tous jeunes. Ils regagnaient leur domicile à 4 heures du matin après des randonnées nocturnes dans les maquis ou autres coins de "godé". Sous l’emprise de l’alcool, le "chauffard" a dû rater un tournant à l’intersection de deux voies. Les sapeurs-pompiers qui se sont rendus sur les lieux ont pu évacuer les cinq jeunes occupants, de la carcasse du véhicule.

Aux dernières informations, ils s’en sortiraient avec des blessures légères. Imaginez un instant ce qui aurait pu arriver en plein jour, et aux heures de pointe. Les conséquences allaient être incalculables. Ce cas de figure interpelle certains parents qui prennent le risque de ne pas surveiller les gestes indélicats de leurs progénitures (certains fils à papa) qui trouvent du plaisir à montrer qu’ils savent conduire. Ces comportements doivent être évités pour épargner la vie des usagers et riverains de la route.


ONEA : pourquoi ces pannes des appareils informatiques ?

Des clients de l’Office national de l’eau et de l’assainissement (ONEA) ont vécu une journée pénible le mercredi 20 février dernier. Ce jour était la date limite de règlement des factures d’eau sous peine de pénalité. S’étant rendu premièrement à un des services de la nationale des eaux situé non loin du siège de la SONABEL au centre-ville de Ouagadougou, beaucoup de clients ont été obligés de rebrousser chemin pour raison de panne informatique. Sous la menace de la pénalité, certains clients se sont déportés au quartier Gounghin pour pouvoir enfin se mettre en règle vis-à-vis de l’ONEA.

Malheureusement, le scénario de panne informatique s’est également répété au service annexe situé à proximité de l’hôtel Rayi’s. Ceux qui ont eu le courage de continuer à la Société générale des banques du burkina (SGBB) où se trouve un guichet ONEA n’ont pu payer leurs factures parce que les portes étaient déjà closes. C’est dommage et vraiment dommage ! Chers clients, n’attendez plus les derniers jours pour courir à l’ONEA. Mais que l’ONEA veille à ce que de telles situations ne se répètent plus.


* Quand des fils téléphoniques dérangent !

A l’attention des usagers de la route située côté Est du cimetière de Dagnoën, reliant ledit cimetière à la circulaire. En effet, des fils téléphoniques pendent sur cette voie depuis déjà une semaine, au risque de prendre au coup les passants. Si les piétons, les cyclistes et les petits véhicules arrivent tant bien que mal à se frayer un passage, ce n’est pas le cas des poids lourds, contraints à de longs détours.

Les riverains qui ont constaté cet obstacle à la circulation routière, suite à la chute de deux poteaux téléphoniques, attendent que leur route soit débarrassée de ses fils. Nous nous joignons à cette interpellation des services techniques de l’ONATEL. Parce qu’il ne s’agit pas de traîner les pas en attendant le 1er incident dû à ces fils pendants, avant de prendre les dispositions qui s’imposent.

Sidwaya

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